Attention ce chapitre contient du lemon !

LOVELY 7

Fujisawa, après le départ de l'équipe

Dans la demeure familiale des Atton, Adela de leva après s'être longuement étirée. Comme à son habitude, elle resta allongée quelques minutes supplémentaires en regardant son téléphone et comme elle s'y attendait, elle avait un message reçu dans la nuit. Comme elle mettait son téléphone en mode silencieux, cela n'avait réveillé personne.

"Ça fait plusieurs jours maintenant que je suis au Japon et je n'ai toujours aucune nouvelle de toi. Quand est-ce que tu vas enfin lui dire ? Quand est-ce que tu vas enfin prendre la décision ? Je comme à saturer sérieusement de cette situation ! S'il te plaît envoie moi de tes nouvelles. Pouvons-nous nous retrouver comme d'habitude rien que tous les deux ? Te quiero mi amor. P"

En voyant ce message, Adela souffla mais elle savait qu'il avait raison. Cela faisait deux jours que Paolo était au Japon et elle lui avait promis d'aller le voir et elle ne l'a toujours pas fait. Mais entre l'anniversaire d'Olivier, les journées et soirées avec ses amis, qu'Adela appréciait moyennement, et le fait d'être logée chez les parents de son petit-ami, rendait cette tâche compliqué. Sans parler du coup de chaud qu'elle a attrapée et qui l'ont forcé à rester au lit et au frais durant plusieurs jours. Mais aujourd'hui elle se sentait mieux bien qu'elle ai affirmé le contraire à Olivier la veille de son départ pour un séjour au vert. Un séjour qu'elle aurai pas du tout appréciée. Être loin de la ville et être aussi ancré dans les petits village ridicules du Japon et puis au moins elle échappait à cette soirée où ils devront porter ces affreux vêtements que sont les kimonos.

À nouveau la jeune brésilienne se leva et descendit prendre son petit déjeuner. Elle afficha un sourire quand elle salua Daichi en compagnie de ses parents.

- Tu vas mieux ? Demanda Maggie en lui donnant un verre de jus d'orange

- Oui, je ne comprends pas pourquoi j'ai attrapé chaud tout d'un coups. Au Brésil nous sommes habitué à ce type de chaleur, donc je ne sais pas ce qu'il s'est passé, répondit-elle

- Le plus important, c'est que tu ailles mieux, rassure le patriarche

- Vous savez si les sources où sont partie les garçons sont accessibles en transports ? Je me suis dis que je pouvais faire la surprise à Olivier vu que je lui ai fais croire que je n'allais pas mieux

- En train c'est possible, l'informa Maggie. Souhaites-tu que je te conduise à la gare ?

- Ce serai fort aimable, merci. Et évitez de lui en parler, je veux vraiment qu'il soit surprit.

Elle termina son petit-déjeuner et remonta pour se préparer. En même temps, elle fit un sac pour quelques jours. Olivier restait aux sources pour le reste de la semaine. Faut juste qu'elle puisse arriver à Fujisawa avant lui et hop le tour était joué.

"Rendez-vous à la gare dans vingt minutes. A"

Elle appuya sur envoyer et alla rejoindre Maggie qui attrapa son sac et les clefs de voiture. Adela salua Mickael et Daichi qui lui rendirent le salue, et elle suivit sa belle-mère.

Adela avait rencontré Paolo Peña alors qu'elle faisait du shopping à Barcelone. Il était devenu son nouveau personal shopper suite au départ de son ancienne styliste personnelle. Et aussitôt ce fut une attirance physique entre les deux. Cela faisait maintenant huit mois qu'elle jonglait entre Olivier et Paolo mais Adela ne s'est jamais résolu à rompre avec Olivier et elle savait pourquoi. Même si le salaire d'un personal shopper était très bon, celui d'un joueur professionnel était mieux. Adela Santos était narcissique, exigeante avec son allure, excentrique et parfois égoïste, elle le savait mais cela ne l'a dérangeait pas le moins du monde. Elle savait qu'elle était belle, bien faite par la nature et que tous les regards se tournaient vers elle. C'était ce qu'elle préférait d'ailleurs. Alors quand Olivier et elle s'était rapprochés au Brésil, elle savait qu'elle avait mit la main sur le jackpot. Il était jeune, talentueux et bel homme. Rapidement elle voulait qu'on sache qu'elle était la petite amie de celui qu'on surnommait Le surdoué du foot et ça avait payer. Mais quand elle avait fait la connaissance de ses amis japonais, Adela avait comprit qu'elle n'entrerai pas aussi facilement dans leurs bonnes grâces. Elle avait donc surjouée la plus part du temps. Mais ce qu'elle n'avait pas prit en compte, c'était la droiture du jeune homme mais aussi son côté forte tête. Mais elle avait réussit à se calmer pour mieux paraître en société.

Elle remercie Maggie de l'avoir amener à la gare et la salua quand celle-ci quitta le dépose minutes. Elle prit à nouveau son téléphone et envoya un message à Paolo qui arriva cinq minutes après le départ de Maggie. Rapidement, Adela entra dans le véhicule et déposa son sac à ses pieds.

- Bah qu'est-ce qui t'arrive ? Demande-t-elle. Embrasse moi !

- ... l'embrassant furtivement

- Bon qu'est-ce qu'il y a ?

- Tu me demandes sérieusement ce qu'il y a ? Laisse moi réfléchir ... de une j'ai pas hésité à traverser la moitié du globe pour venir jusque ici afin de te voir et pourtant tu ne me donnes aucunes nouvelles. De deux, cette situation commence sérieusement à me chauffer car on fait passer quelqu'un pour un idiot alors qu'il n'a rien à se reprocher. Et de trois je me demande sincèrement si ça en vaut la peine nous deux !

- Bien sur que ça en vaut la peine ! Dit-elle

- Alors pourquoi tu ne met pas fin à votre histoire ? Oh mais je sais pourquoi, c'est parce qu'il est plus friqué que moi alors lui au moins il peut subvenir à tes envies.

- Ne dis pas n'importe quoi !

- Arrête Adela je sais que tu aimes qu'on te regardes, tu me l'a toi même dit sur l'oreiller !

- Je ne dis pas le contraire mais est-ce qu'on peut s'il te plaît profiter de ces quelques jours tous les deux ? J'ai repéré un hôtel loin de cette ville ridicule mais au pied du Mont Fuji. Le cadre est magnifique. On sera tranquille et personne pour venir nous déranger.

- ...

- S'il te plaît Paolo. Tu m'as énormément manqué et je te promet que plus vite tu nous y conduis, plus vite nous pourrons nous amuser, dit-elle en caressant son entre jambes par dessus son jean


Aussitôt la colère monta en elle. Cette image immonde d'une femme trompant son conjoint alors que celui-ci se trouvait à dix minutes à pied. Patty voulait exploser et foutre son poing dans la belle gueule de cette blondasse. Mais elle se ravisa en comprenant que si elle agissait ainsi, ce serai elle la fautive ! Et puis si jamais elle devait en parler à quelqu'un, il fallait qu'elle ait des preuve. Et quoi de plus formel qu'une photo ? Elle prit donc son téléphone et discrètement elle s'approcha du couple, qu'elle trouva répugnant, et prit quelques clichés. Elle savait que c'était mal mais il lui fallait une couverture. Elle en prenait plusieurs mais la plus choquante pour Patty fut celle où Adela et cet inconnu s'embrasse alors que la brésilienne fit entrer sa main dans le jean de l'homme pour lui presser les fesses. Mais c'était du flagrant délit donc elle prit la photo.

Puis elle attendit qu'ils rentrent dans l'hôtel dont elle nota le nom, avant de reprendre son chemin. Mais elle n'avait plus la force de se dépêcher pour rentrer surtout si elle faisait face à Olivier en voulant retourner dans sa chambre. Elle renta donc en marchant en errant dans ses pensées.

- Ah enfin te voilà jeune fille, fit la voix du coach Freddy. Jenny m'a dit que tu étais partis courir avec ton téléphone pour la musique et ... tu vas bien ? Demanda Freddy la voyant blanche

- Oui ... oui j'ai juste ... c'est juste que ça fait longtemps que j'ai pas couru et je n'ai pas l'habitude de le faire en pleine montagne alors je suis un peu plus crevé. Mais tous va bien, tenez, dit-elle en donnant son téléphone qui contenait des clichés qui mettront sûrement fin à une histoire.

Mais elle comprit que le coach n'avait pas été convaincu alors pour ne pas qu'il lui pose trop de questions, elle monta dans sa chambre. Et afin d'éviter le risque de croiser le capitaine de l'équipe, elle prit les escaliers. Avec beaucoup de chance quand elle arriva au troisième étage, où elle était logé, elle ne rencontra personne et elle avait même éviter tout contact avec lui à la seconde près. Alors qu'elle entrait dans sa chambre, lui sortait de la sienne. Il regarda la porte de sa voisine qui était fermée et il arqua un sourcil. Olivier alla tout de même frapper à la porte mais il ne reçu aucune réponse. Peut-être était-elle allée prendre son petit-déjeuner ou bien utiliser les activités que l'hôtel offrait pour leurs clients. Lui comme chaque matin, il décida d'aller faire de la musculation. Vu qu'il n'allait pas courir, il renforça ses muscles. Bien qu'il n'en avait pas besoin, c'était juste pour se maintenir en forme. De naissance il avait les épaules carré, un trait physique que son père lui avait légué puisque Mickael Atton avait pratiquer le rugby durant sa jeunesse avant d'entrer dans la marine marchande. D'ailleurs Olivier avait bien faillit faire du rugby mais ce fut le foot qu'il fut passionné. Mais parfois il lui arrivait de regarder un match de temps en temps.

En salle de muscu, il fut surprit de voir Bruce isolé des autres en soulevant des altères. Intrigué de voir son ami ainsi, Olivier alla le voir. Afin de lui faire comprendre sans qu'il se ne fasse mal avec les altères. Il lui tapota l'épaules et aussi Bruce rangea la barre.

- Tout va bien ?

- Oui Evelyn et moi on s'est légèrement embrouillé hier soir mais rien de grave, répondit le défenseur

- Toi ? T'embrouiller avec quelqu'un ? C'est rare, plaisante Olivier

- Ça m'arrive mais je fais toujours en sorte de régler le problème rapidement

- Tu veux en parler ?

- Non, on a compris qu'on avait tord donc on s'est excusé l'un, l'autre ce matin. Mais il fallait que j'extériorise

- Tu sais que je suis là si tu as besoin ?

- Je sais oui, merci capitaine !

En réalité si Bruce et Evelyn se sont embrouillés était dus au fait que la futur mère souhaitait allier courir afin de se maintenir en forme mais Bruce ne voyait pas ça d'un très bon œil. Qu'elle continue à faire un peu de sport oui mais avec attention par rapport à leur futur enfant à naître. Ils se sont donc mit d'accord sur le point. Si Evelyn voulait faire du sport alors le meilleur moyen était de voir avec un coach sportif qui ferai des exercices tout à fait adaptés pour elle. Mais il s'avère que quand Bruce se dispute avec quelqu'un qu'il aime, il mettait beaucoup de temps à redescendre. Il avait horreur de disputes. Il en avait assez vécu durant son enfance entre ses parents avant que ceux-ci ne divorcent. Aujourd'hui entre eux ça allait mieux mais le jeune homme avait le souvenir des violents disputes entre son père et sa mère. Oh bien sûr ça n'allait jamais au delà des mots mais le jeune garçons qu'il était se souvient de toutes la fois où ses parents se criaient dessus. Et quand cela arrivait, soit Bruce se cachait sous son lit soit il trouvait refuge chez Patty.

Mais aujourd'hui il n'était plus un enfant, il était un jeune homme de vingt-six ans donc il devait gérer ses problèmes seul en adultes avec la personne concernée. Et c'était ce qu'il avait fait avec sa petite amie. Et ça Bruce pouvait se monter fière de voir qu'il pouvait y a soir de disputes sans forcément en arriver à hausser le ton. Et d'après ce que lui avait dit Evelyn, c'était une des chose qu'elle adorait chez lui. Prendre les choses calmement sans forcément s'énerver directement.

(...)

Depuis son retour de son jogging matinal, Patty n'avait pas bougée de sa chambre de toute la journée. Pourtant ce n'était pas les propositions qui manquaient. Mais elle prétextait vouloir terminé son article avant de rentrer à Fujisawa et profiter tranquillement des derniers jours qu'il lui restait. Et ça avait marché, puisque durant deux heures, elle n'avait pensé à rien d'autres qu'à son travail mais elle savait qu'il lui manquait une chose à faire. Photographier l'équipe pour son article. Et ce n'était pas facile à faire quand au fait qu'elle avait découvert qu'Adela trompait Olivier. Elle imagina l'attitude qu'aurait le jeune homme si jamais il venait à le savoir. Il serai sûrement furieux ! Et ça Patty ne souhaitait pas en être la responsable ou bien d'assister à ça. Mais elle savait qu'elle devait en parler à quelqu'un mais à qui ? Jenny ? Peut-être pas vu que la dernière fois Olivier lui avait fais clairement comprendre qu'il n'avait pas aimé qu'elle se mêle de sa vie privé. Ben ? Sûrement avec le tempérament calme qu'il avait il saura comment lui dire les choses mais ce serai créer une fissure entre deux meilleurs amis. Bruce ? Le premier à avoir accueilli le capitaine quand il est arrivé à Fujisawa mais Patty connaissait Bruce, il était du genre à se montrer méchant quand on vient à faire du mal à l'un de ses amis.

Au fur et à mesure, Patty passa en revu toutes l'équipe mais à chaque fois elle réussissait à trouver une option qui faisait qu'ils étaient éliminé. Si vraiment Olivier devait savoir la vérité alors il fallait qu'elle prenne son courage à deux mains et qu'elle lui dise. Elle ne voulait pas être la responsable de son malheur ni même de le voir furieux mais il semblerai qu'elle n'ait pas le choix. Elle avait la sensation d'être seule au monde sur ce coup là même si en son fort intérieur elle savait qu'elle ne l'était pas. Mais là maintenant c'était ce qu'elle ressentait. Mais elle avait aussi un besoin urgent de parler à quelqu'un. Alors elle se leva, sortie de sa chambre et alla rejoindre celle du coach. Elle ne voulait entendre les conseils de ses parents, peut-être qu'eux sauront la conseiller sur comment elle devait s'y prendre. Arrive devant la porte de Freddy, elle frappa plusieurs coups et celui ouvrir pas tellement surprit de la voir.

- Je me disais bien qu'à ta tête ça n'allait pas, dit-il. Tu veux entrer pour en discuter ?

- Je sais que vous êtes de bon conseils coach mais là, j'ai besoin d'en avoir de la part de mes parents. Est-ce que je peux avoir mon téléphone s'il vous plaît ? Je suis à deux doigts de vous dire qu'il en va de ma santé mentale si jamais vous refusez.

- Tiens jeune fille, dit-il en lui tendant son téléphone. Comme je te l'ai dis, je sentais que ça n'allait pas alors je savais qu'à un moment ou un autre tu allais me le demander

- Merci

Elle retourna dans sa chambre mais sur le chemin elle rencontra la personne qu'elle ne désirait pas voir.

- Eh bah ... tu sais qu'on est censé être au vert ? Dit Olivier en la voyant avec son téléphone en main

- Oui ... je sais ... mais ... j'en ai besoin pour téléphoner à mon chef et ... avec le décalage horaire je dois l'appeler en pleine journée !

- Quel professionnalisme et dis moi est-ce ...

- Olive j'ai vraiment pas le temps ... je ... j'dois vraiment téléphoner !

Elle le laissa en plan au beau milieu du couloir et rentra à nouveau dans sa chambre. Rapidement, elle appuya sur le contact "Mamoune" et attendit qu'elle décroche.

- Bah ma crapule je pensais que vous étiez au vert les journées, lui dit sa mère en décrochant. Qu'est-ce qui t'arrive pour que tu désobéisses au coach ?

- Il m'arrive que ça va pas !

- Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda Tamara surprit par le ton de sa fille

- Maman je suis pleine galère et si je continue à ruminer toute seule pour trouver une solution je crois que je vais devenir folle !

- Alors pour commencer tu vas te calmer ! Ensuite tu t'assois et tu m'expliques ce qui t'arrive !

Puis Patty lui raconta ce qui se passait et elle apprécia que sa mère ne lui coupe pas la parole, écoutant attentivement ce qu'elle lui disais. Puis elle expliqua son dilemme de savoir si elle en parlait elle même à la personne concernée ou si elle devait partager ce qu'elle à vu le matin même à quelqu'un pour ensuite avoir du soutient. Dans les deux cas, cela reviendrai à aller voir Olivier et le lui dire.

- Écoute Patricia, la seule chose que je peux te dire c'est d'aller le voir et de le lui dire. Alors oui ce n'est pas facile je te le concède mais il a droit de savoir ! Après oui si tu ne veux pas être seule pour le lui dire parles en à une personne. Et puis de toute façon sache qu'il y a deux scénarios possibles : le premier étant celui le plus logique est qu'il confronte cette jeune femme et que oui il risque de se mettre en colère contre elle. La seconde est que malheureusement, il n'en crois rien, il joue l'autruche et qu'il s'énerve contre ceux qui lui en ont parlé.

- Et c'est précisément ce que je veux éviter maman. Je ne l'ai jamais vu en colère. Je n'avais jamais été confronté à un Olivier Atton en sur les nerfs que depuis que je suis au Japon et je n'aime pas ça du tout. Là ce n'est pas la colère qui va l'animer, il va être furieux et je ne pense pas être assez forte pour lui tenir tête et lui faire comprendre que c'est à elle qu'il doit divulguer cette ... enfin ces sentiments.

- Il sera en colère malgré tout ! Et puis quand il se calmera et qu'il verra les choses sous un autre angle, il comprendra qu'au moins il n'a pas été trahit pas ses amis mais par sa petite amie. Et puis ne pense pas que tu es responsable de quoi que ce soit. Tu n'as rien fais dans l'histoire

- Je ne pensais pas à ça !

- Patty c'est moi qui t'ai faite donc je te connais !

C'est vrais en tant que mère, Tamara connaissait très bien sa fille donc elle n'était pas surprise quand sa mère lui sortie ce genre de phrase. Bien qu'ils avaient parfois du mal à savoir ce qu'elle ressentait, Quentin et Tamara Gasby avaient toujours su lire en leur fille même si elle ne disait rien. Et voici que cela se confirmait une nouvelle fois malgré qu'une plusieurs kilomètres les séparent.

- Et puis mieux qu'il l'apprenne par quelqu'un de confiance que de tombé sur des échanges de sms ou carrément en personne par hasard. Ajouta Tamara. Tu veux que j'en parle aux Atton histoire qu'ils en parlent à leur fils ?

- Surtout pas maman ! Je ne veux pas les mettre en porte à faux !

- Je sais ma crapule ! Mais dis toi qu'ils sauront comment calmer leur fils si il vient à s'énerver ! Et puis tu crois vraiment qu'ils le laisseront gérer ? Non en tant que parents, moi y compris, je n'accepterai pas qu'on humilie mes enfants de la sorte ! La preuve avec ton ex meme si tu nous as dis que tu avais rompus, je n'avais qu'une envie, c'était de lui faire mordre la poussière ! Et puis faut arrêter d'avoir peur de lui dire les choses, Olivier n'est pas en porcelaine que je sache ?

- Maman ...

- Patricia tu fais ce que tu veux, tu es assez grande pour savoir ce que tu veux faire mais n'oublie pas qu'il est préférable d'apprendre une malheureuse chose par une personne de confiance que par des inconnus ou de tomber dessus par hasard !

- Hum ...

- Laisse toi du temps si tu veux réfléchir à comment aborder la chose avec lui. Et si jamais ça ne va pas, n'hésite pas à demander de l'aide pour un soutient d'accord ?

- Oui mam's

- Bon et si jamais tu as encore besoin de parler, appelle-moi sans hésitation !

- Oui maman. Merci

Elle raccrocha et elle pensa aux conseils de sa mère. Patty sabir qu'elle avait raison donc elle se donna pour mission de parler avec Olivier. Le tous maintenant était de savoir comment lui aborder la chose mais aussi de comment réagir quand il comprendra en voyant les photos qu'elle avait prises.

- Je suis pas dans la merde sur ce coup là, se dit-elle


Malheureusement, Patty n'avait pas trouvé le bon moment pour lui parler. Ils étaient constamment en présence de leurs amis. Et si il y avait bien une chose qu'elle ne voulait pas c'était de le prendre en aparté devant eux et risquer de subir les taquineries et les regards interrogateurs. Déjà quand elle dénia enfin de sortir de sa chambre, elle croisa Evelyn qui l'avait aussitôt attrapé pour la mener jusqu'à la piscine. Là elle trouva le coach et elle en profita pour lui redonner son téléphone. Elle comprit la question silencieuse qu'il lui posait et elle répondit par un simple hochement de tête et Freddy n'en demanda pas plus. Comme elle n'avait pas mit son maillot, elle resta uniquement à l'ombre en regardant ses amis s'amuser à se défier dans une course de longueur en nage libre. Mais elle n'affichait aucun sourie étant bien trop préoccupée par ce qu'elle avait à dire à Olivier. Cependant elle avait très bien remarqué que Jenny, Philippe et Bruce la dévisageaient de temp en temps mais elle les rassura en leur affichant un sourire et en mimant avec ses lèvres que tout allait bien.

Le soir venu, c'était la soirée qu'ils devaient passer en kimono. Ils avaient réservé une table dans un petit restaurant à dix minutes de l'hôtel à pied. Le petit restaurant était tout aussi traditionnel que leur vêtement et il se situait au bas de la montagne où était l'hôtel. Il suffisait juste de descendre les escaliers de pierre et de longer une petite forêt de cerisier pour y accéder. Ils étaient donc chacun dans leur chambre à se préparer. Pour Stella, Romy et Lucie, leurs conjoints respectif les avaient aidés à mettre leur kimono vu qu'elles n'avaient pas l'habitude d'en porter. Donc les trois couples étaient les derniers à descendre au rez de chaussé où ils s'étaient donnés rendez-vous. Même le coach était parmi eux et avait suivit leur délire d'être en tenu traditionnelle.

C'était l'avant dernier soir au sources thermales de Kawaguchiko Onsen et bien qu'elle s'était faite une raison de lui dire, Patty ne s'était toujours pas remise de ce qu'elle avait vu le matin même. Adela dans les bras d'un illustre inconnu tout en l'embrassant à pleine bouche. Pendant un millième de seconde elle se voyait aller empaler cette bombasse de brésilienne et lui faire comprendre qu'on se trahissait pas ses amis ainsi. Surtout quand il s'agissait de celui qui avait beaucoup compter pour elle. Mais elle ne devait créer d'esclandre ce soir pour plusieurs raisons. La première étant que les sources thermales japonaises étaient réputées pour le calme et la sérénité des lieux et elle se voyait mal hausser le ton au risque que cela ne porte préjudice à l'équipe qui serai complètement perdue face à son attitude. La seconde étant qu'Olivier et elle se reparlaient petit à petit depuis leur confrontation alors elle ne voulait pas gâcher ça. Et puis même si elle devait le faire, elle était sans nu doute la dernière personne qui souhaitait le voir avoir le cœur brisé. Néanmoins, elle savait qu'il fallait que ça sorte. Mais à qui ? Comme elle se l'ai dis au début, les garçons n'avaient pas une grande estime pour Adela et les filles semblait partagées la même opinion. Et le coach peut être mais le fera-t-il alors qu'une compétition arrivait d'ici quelques mois ? Non elle devait le faire seule mais au bon moment.

Patty était tellement dans ses pensée qu'elle bougeait machinalement. Elle était assise entre Evelyn et Danny. Jenny étant en face d'elle avec Philippe. Elle ne souvenait pas de participer aux conversations alors que quelques brides lui disaient le contraire. Cependant elle se revoyait très clairement boire dans son verre plusieurs fois jusqu'à en avoir mal à la tête. Elle n'avait même pas vu passer les entrées et les plats principaux qu'ils en étaient déjà au dessert. Mais la simple vue de son fondant au chocolat lui retourna l'estomac.

- Veuillez m'excuser, dit-elle en se levant, je me sens pas très bien tout à coup. Je crois que ... que je vais rentrer à l'hôtel

- Tu veux que quelqu'un t'accompagne ? Demanda Evelyn

- Non c'est tout droit pendant dix minutes, je survivrai, refusa-t-elle en lui adressant un clin d'œil

Elle balaya sa main pour les saluer et sortie du restaurant. L'air frais lui fit du bien puisqu'elle prit une grande inspiration avant de reprendre son chemin. Ses pensées était tellement tourmentées par Adela et cet autre homme qu'elle ne s'était même pas rendu compte qu'elle était déjà arrivée au bas des escaliers menant à l'hôtel. Malheureusement la moindre pensée de savoir qu'elle devait monter les marché lui donnèrent le tournis alors elle s'assoit à même le sol afin que cela se calme. Elle en profita pour détacher ses long cheveux noir qui tombaient en cascade dans son dos dont quelques mèches vinrent se placer autour de son visage.

- Ça va tu vas bien ? Fit une voix devant elle

- Ça pourrai aller mieux, répondit-elle après avoir reconnu Olivier. Qu'est-ce que tu fous là ?

- Je t'ai vu partir et Evelyn m'a dit que tu ne te sentais pas bien, explique-t-il en s'asseyant à côté d'elle. Je voulais m'assurer que tu allais bien par moi même

- Tout baigne, je me suis retrouvée dans des états pire que ça !

- Alors qu'est-ce que tu fiches par terre ? Je ne veux pas faire le gros macho mais une femme toute seule en pleine nuit n'est pas très conseillé

- Les escaliers m'ont donnés le tournis. Alors je me suis assise pour me concentré avant de remonter. Mais ça n'a pas l'air de passer

- Tu veux que je te raccompagne jusqu'à ta chambre ?

- Non, refuse Patty, je suis une femme forte et indépendante. Je peux y arriver !

Mais elle se releva trop vite ce qui accentua son mal de tête au point de perdre l'équilibre. Si il n'avait pas été là pour la rattraper elle se serai retrouver le cul à terre.

- Tu vas surtout réussir à te faire mal

- Olive lâche moi, je peux marcher et monter toute seule avec l'aide de la ram... de la ram ... de la rambarde et puis si tu veux vraiment m'aider va rejoindre Adela à cet endroit, dit-elle sans réfléchir en lui donnant le papier où elle avait noté le nom le l'hôtel. Une belle surprise t'attend ... enfin selon le point de vue

- Je te trouve bien agressive tout à coup ! Fronça-t-il dés sourcils

- Moi ? Non ! Mais il y a que j'ai une forte envie de l'emplâtrer dans le mur, continue Patty sans contrôler ses mots. C'est vrais quoi ! Elle a un mec super sexy et bienveillant mais ça ne la prive pas d'aller voir ailleurs. Non elle veut le beurre, l'argent du beurre et le beurrier. Au début je pense qu'elle avait de réels sentiments pour son mec mais aujourd'hui je n'en suis plus très sure. Apres tout pourquoi elle romprait avec lui alors qu'il subvient à ses moindre désirs ? Que j'appelle des caprices. Et ...

- Bon ça suffit, gronda Olivier. Tu parles trop, faut que tu ailles te coucher !

Il fit abstraction des protestations qu'elle faisait et la ramène jusqu'à sa chambre. Il réussit à lui retirer la clef de la main afin de l'allonger sur le lit et ainsi lui enlevé les chaussures. A peine eut-elle la tête sur l'oreiller qu'elle s'endormît. Olivier fit un non de la tête et sortir de la chambre de la jeune femme. À la réception il croisera Danny qui allait lui aussi se coucher tout comme Romy et Thomas quelques minutes avant lui.

- Pas trop dur avec Patty ? Je peux t'aider si tu veux

- Non ça va elle s'est endormie,

- Ok, aller à demain !

Les deux jeunes hommes se saluèrent par un signe de la main et Olivier sortit à l'extérieur mais les paroles de l'ancienne manager l'intriguèrent. Pourquoi Adela sera présent alors qu'elle était censé être à Fujisawa ? Il regarda le bout de papier qu'elle lui avait donnée et s'arrêta sur le parking. N'aimant pas rester sans savoir, il s'avança vers une voiture que l'équipe avait loué et par chance c'était lui qui avait les clefs. Ils avaient loués des voitures afin de permettre à Patty de les photographier tous ensemble pour l'article qu'elle devait écrire. Malgré qu'il soit toujours vêtu de son kimono, il monta et prit la direction de l'hôtel noté sur le papier. Il le trouva facilement et se gara à une place. Il prit un grand bol d'air, avant de rejoindre la réception et demanda son reste.

(...)

Des coups de tambour résonnaient dans sa tête ce qui la réveilla. Difficilement elle ouvrir les yeux avant de regarder l'heure sur sa montre. Comme elle n'avait pas baisser les volets, l'éclat de la lune illuminait la chambre mais ça ne l'avait pas empêché de plissé les yeux pour voir l'heure. Trois heure vingt-quatre du matin. Qui osait la réveiller ainsi et aussi tôt ? Peu de temps après être rentrée dans sa chambre, dont elle ignorait comment, Patty avait retirée son kimono pour rester uniquement en sous-vêtements. Néanmoins, pour ne pas se présenter à moitié nue à ce visiteur nocturne, elle attrapa le tissus noir et le passa sur elle afin de paraître convenable. En titubant, elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit.

- Olive ? Dit-elle en plissant les yeux. Mais qu'est-ce que tu fais là ? Il est trois heure trente du mat' et ...

Elle fut coupée dans sa phrase puisque le capitaine se jeta sur elle en encadrant son visage de ses mains tout en posant ses lèvres sur les siennes. D'un coup de pied, il ferma la porte et plaqua Patty contre celle-ci tout en la bloquant de son propre corps. À bout de souffle, ils se séparèrent en se regardant dans les yeux malgré le peu de lumière qui filtrait dans la pièce.

- Hum ..., fit-elle, je ... Olive ?

- Pour une fois aucunes questions, aucunes remarques et surtout aucunes allusion sur notre amitié ! Une nuit sans tout ça. C'est tout ce que je demande !

- Attends .. tu empestes autant l'alcool que moi. Tu as bu ?

- Patricia !

- ... le toisant sérieusement après qu'il ait utilisé son prénom au lieu de son diminutif

- ... lui rendant son regard

- Une nuit accordé et on oublie cette foutu amitié, répondit Patty en passant ses bras autour de la nuque du jeune homme.

Leurs bouches se scellèrent à nouveau mais cette fois en entamant un ballet harmonieux. Le kimono de la jeune femme s'était entre ouvert laissant à Olivier le plaisir d'entourer sa taille avec ses mains qui entrèrent directement en contact avec la douce peau de la jeune femme. Il mit fin an leur baiser pour descendre ses lèvres dans son cou alors qu'elle plongea sa main gauche dans la chevelure du jeune homme. Quant à ses mains à lui, elles se baladaient dans le dos de Patty tout en offrant des caresses aussi douces, fluides et légères qu'une plume. Puis il passa ses mains sous le fessier de Patty pour la soulever afin qu'elle soit à sa hauteur, alors qu'elle s'agrippait à ses épaules. Enfin ils laissèrent tomber la porte pour se rapprocher du lit. Mais comme il n'y voyait rien, ses jambes rencontrèrent le meuble et ils tombèrent sur le matelas. Il tenta de ne pas mettre tout son poids sur elle pour ne pas l'étouffer et c'est ainsi qu'il rencontra, selon lui, les plus belles courbes et féminine qu'il ait jamais vu. Cet ensemble de sous-vêtements en dentelle épousait parfaitement son corps mettant l'accent sur cette belle poitrine généreuse qu'il avait imaginé quelques jours auparavant. De plus, elle portait une couleur qui lui allait à ravir : du rouge. Elle portait bien le rouge.

Remarquant qu'il était bien plus habillé qu'elle, il retira la ceinture et de vêtement ainsi que le tissu du haut pour se retrouver torse nu devant elle. En voyant cela, Patty se redressa pour toucher et caresser ce torse qu'elle avait vu si souvent quand il était blessé mais sans oser s'y attarder. Olivier en profita pour lui retirer le kimono qui couvrait ses bras et elle se retrouva uniquement de son ensemble soutien-gorge et tanga. Puis il la vit avoir un éclat de peur dans les yeux. De quoi avait-elle peur ? De quoi pouvait-elle avoir peur ? Elle si forte habituellement pouvait avoir peur d'une toute petite chose ? Elle baissa la tête mais la jeune homme la fit relever en passant deux doigts sous son menton.

- N'ai jamais honte de ce que tu es. Tu m'a l'air exquise et c'est un régal pour les yeux ! Chuchote Olivier

Il passa à nouveau ses bras autour de sa taille et la rapproche de lui en capturant à nouveau ses lèvres. Délicatement cette fois-ci. Ils s'allongèrent sur le lit où avec les mains, ils partirent à la découverte de l'autre. Rapidement le jeune homme se retrouva uniquement muni de son boxer alors qu'il passa ses mains derrière le dos de sa partenaire pour libérer ces deux mont rond avec de beaux mamelons fièrement dressés. Ne résistant à l'envie de les goûter. Il les embrassa avant de les suçoter chacun leur tour. Cela amena Patty à soupirer de plaisir alors qu'une de ses mains étaient dans les cheveux du jeune homme et l'autre dans sa bouche pour faire le moins de bruit possible. C'est alors qu'il quitta ses seins pour remonter vers elle en lui volant un autre baiser. Alors que ses mains s'aventurèrent plus bas. Du bout de ses doigts, il pouvait sentir la dentelle qui faisait encore obstacle avec le cœur de la féminité de sa partenaire. Sans la lâcher, il voulut jouer avec elle en déplaçant son index sur la dentelle tout en se rapprochant du cœur.

- Oh non ... s'te plaît ... tous sauf ça ! Murmure-t-elle contre ses lèvres

Mais cette petite plainte fit sourire le jeune homme qui continua malgré tout. Cela amena Patty à gesticuler et il comprit pourquoi. C'était à cet endroit même où elle était très chatouilleuse. Il voulait continuer sa torture mais ne voulant pas faire cesser ce moment, il y mît fin pour ne pas recevoir de mauvais coup vu qu'elle commença à bouger énormément. Cependant, il voulut goûter autre chose que cette bouche délicieuse et cette nuque gracile. Il entreprit donc un chemin vers le bas en embrassant tous le corps de sa partenaire, qui commença en avoir une respiration de plus en plus saccadée. En même temps de sa descente, il retirai le tanga rouge qu'elle portait pour ainsi être en tenue d'Ève devant lui. Elle était allongé sur le lit alors que lui se retrouvait agenouillé au sol pour pouvoir lui offrir un moment charnel en lui offrant un baiser intime. En plus de ses lèvres, il y ajoutait la langue suivit quelques seconde après de son index et majeur.

- Oh merde ..., gémit Patty en serrant un coussin d'une main et mordant l'autre. O ... olive ...

Mais il ne s'arrête pas pour autant au contraire il accentua son action en voulant aller au plus profond de ce cœur intime. Quand il sentit qu'elle était au point de non retour, il quitta délicatement cette intimité pour remonter vers elle mais ce qu'il vit le fit sourire.

- Hey meurs pas je ne suis du genre nécrophile, dit-il en voyant qu'elle avait posé le coussin sur sa tête

- La ferme ! Fit-elle d'une voix étouffée alors qu'il riait.

Il lui retira le coussin des mains pour enfin voir son visage, avec la lumière de la lune, il pouvait voir qu'elle avait rougit et que cela s'intensifie. Pour ne pas la faire virer plus rouge qu'elle ne l'était déjà à cause du coup de soleil, il se pencha à nouveau sur elle en lui embrassant le front, les joues, le menton et sa bouche gonflée par les précédents baisers. Il savait qu'elle pouvait goûter sa texture quand il l'avait embrassé plus bas mais il s'en foutait et elle aussi apparement. Il pouvait sentir ses mains venir dans son dos et elle le rapprocha d'elle. Il pouvait sentir aussi le bas de son ventre contre sa masculinité qui gonfla à nouveau de plaisir.

- On est du genre envieux à ce que je sens ? Se moqua-t-elle

Il répondit pas en reprenant ses caresses sur sa poitrine et ses baisers fougueux dans la nuque. Il pouvait la sentir s'humidifier en son entre jambe. Olivier se releva, alors qu'elle remonta plus haut sur le lit pour se mettre à genoux et passer ses bras sur ses épaules, il retira son dernier vêtement avant de lui même passer ses bras autour de la taille de Patty. Il savait qu'elle pouvait sentir son érection contre elle mais à nouveau il ne s'en formalisa pas. Comme il y a quelques instant, il passa maintenant ses mains sous son fessier et elle entoura ses jambes autour de lui. Doucement, il les fit basculer sur le matelas. Elle était allongé sur le dos et il était sur elle. Ils ne s'embrassaient pas ils étaient là à ce contempler, le bout de leur nez étant en contact, alors qu'il s'autorisa à plonger en elle.

Il se doutait qu'elle avait eu d'autres hommes dans sa vie avec lesquels elle avait dû avoir des relations intimes mais pour une raison qui lui était inconnu, il était jaloux de tous ces hommes qui étaient passés avant lui mais également chanceux car ils n'avaient pas la moindre idée de ce qu'ils avaient laissés derrière eux. Puis il se surprit à se demander ce qu'elle pensais de lui. En tant qu'homme mais également sur son physique ? Était-ce possible qu'il soit son genre d'homme ? Et elle ... était-ce le genre de femme qu'il aimerai avoir dans sa vie ? Eh bien le réponse est ...

OUI ...

À partir du moment où il l'avait "revu" à travers la photo qu'il avait vu sur le téléphone de son frère, Olivier avait comprit qu'il ne voulait plus la savoir loin de lui, alors quand il l'avait revu en vrai cette fois, lors de la soirée chez Thomas, il avait compris qu'il devait tout faire pour ne pas la voir s'éloigner à nouveau. Il voulait qu'elle soit près de lui, qu'elle parle avec lui. C'était tellement facile de discuter avec elle, ils pouvait aborder tous les sujets mais ceux qui fâchent. Et surtout il voulait être le responsable de ce sourire qu'elle affichait quand elle était heureuse.

D'abord il bougea doucement pour ne pas la brusquer avant d'augmenter de plus en plus la cadence. Elle suivait son rythme mais il faisait en sorte qu'elle puisse respirer. Contre toute attente, il se retrouva sur le dos et elle à califourchon sur lui. Ses long cheveux noir cachaient leur visage de l'éclat de lune alors qu'elle lui vola à son tour un baiser tout en poursuivant leur danse. De ses mains, il ramena ses cheveux vers l'arrière, avant lui même de se redresser en position assise pour pouvoir être la même hauteur de cette poitrine dont une fascination naissante l'envahît. Elle se cambrait pour lui offrir ce qu'il désirait tant basculant légèrement la tête en arrière. Mais avec sa main gauche, il ramena sa tête vers lui. Dans la pièce résonnait des bruit de respiration saccadée mais également des petits gémissements de plaisir. Par moment ils se demandaient comment se faisait-il que Danny, qui était dans la chambre à côté, ne frappe pas au mur pour demander du silence. Car ils avaient l'impression de faire un énorme boucan avec leurs moment intense entre leurs gémissements et le lit bougeant à cause de leurs mouvements. Surtout quand il échangea leur place, elle laissa échapper un petit cri qu'il étouffa en plaquant ses lèvres sur les siennes. Leur rythme allait de plus en plus vite et ils atteignent l'extase à quelques minutes d'intervalle et il s'effondra sur elle. Ils tentèrent de reprendre chacun leur souffle, leur corps étant recouvert de sueurs mais également des traces de ce qu'il venait de se passer dans cette chambre.

Quand Olivier réussit à reprendre un rythme respiratoire normal, il se dégagea d'elle afin de lui permettre d'en faire autant. Aussitôt Patty avait sentit un grand vide la quitter et elle s'attendait à ce qu'il ne se relève pour se rhabiller et retourner dans sa propre chambre. Cependant, elle sentit un bras lui entourer la taille et un souffle chaud sur son épaule. Elle tourna la tête et elle le vit les yeux fermés. N'ayant pas le courage de se glisser hors de cette étreinte inattendue, elle se laissa aller en lui caressant la joue délicatement au risque de voir que cela allait le réveiller mais il n'en était rien. Et c'était sur cette image du capitaine de l'équipe ... mais également le capitaine de son cœur, qu'elle s'endormit tel un bébé.

A suivre ...