Avertissement : Je ne possède pas et ne possèderais jamais l'histoire D'Harry Potter ainsi que les personnages d'Harry Potter. Cela appartient à J.K Rowling.
Mais l'histoire m'appartient et je suis seule à l'écrire et la corriger. Donc il peut y avoir des petites fautes.
Chapitre 2 : La banque Gringotts !
PV Harry :
Je me réveille le lendemain sur les coups de sept heures et me frotte les yeux. Je me décolle de Ron qui me tient fermement contre lui et je sors de la chambre sans bruit. Je me dirige vers la cuisine ou se trouve actuellement Bill, un journal à la main. Je n'ai pas le temps de retrousser chemin pour me cacher qu'il m'aperçoit et bizarrement, il n'a pas l'air d'être étonné de me voir. Ce qui veut dire que les jumeaux lui ont déjà parler.
« Bien le bonjour Harry, j'espère que ta nuit a été meilleur que ta soirée d'hier. Fred et Georges m'ont appelé ce matin très tôt, voir beaucoup trop tôt, pour que je vienne à la rescousse et je dois dire que j'ai été des plus surpris d'apprendre ce qui se passe derrière notre dos. J'ai d'ailleurs pensé à aller tuer directement ma mère et ma sœur. Mais je me suis dit que ça serait une très mauvaise idée en tout cas pour le moment. » Je le regarde surpris, mais heureux qu'il soit là avec nous. « On doit garder l'avantage qu'on a sur nos ennemies. D'ailleurs en passant, je jure sur ma magie de ne jamais nuire à Harry Potter et de garder ses secrets pour moi et ce qui les connaisse déjà. » Dit-il rapidement sans me laisser le temps dans placer une et son air triste me fait mal au cœur.
« Tu parles toujours autant le matin Bill. En tout cas, oui j'ai bien dormi et je suis très content de te revoir. Ce n'est pas comme si on se connaissait très bien, mais ça sera l'occasion et je suis désolé que ta famille soit concernée par mes problèmes. » Dis-je en lui embrassant la joue qui rougit sous le baiser. Il pose ensuite une main sur celle-ci en me regardant avec un regard coquin, mais celui-ci disparait bien vite.
« C'est vrai, c'est l'occasion ! D'ailleurs, je suis ici pour t'accompagner à la banque. » Me dit-il soudainement.
« Je pourrais y aller seul ! » Dis-je avec peu d'entrain.
« Non, je travaille là-bas et ça sera plus simple pour toi de passer avec moi. Et puis, on ne sait pas sur qui on peut tomber, je préfère être avec toi et te soutenir au cas où. »
« Merci Bill. On part dans combien de temps ? » Demandé-je très toucher par sa présence et son aide.
« D'ici une heure, tu as le temps de déjeuner et de te faire une beauté. Est-ce que tu as de beau vêtement à te mettre pour y aller ou pas ? » Demande-t-il en me regardant de la tête au pied. Actuellement, je ne dois pas être très beau, vu que je porte des vêtements trois fois trop grand pour moi et la grimace de Bill me le confirme.
« Non, j'ai que des vieux vêtements de mon cousin. » Dis-je en grimaçant à mon tour.
« Je vais te prêter l'un de mes costumes qu'on mettra à ta taille. Tu bois du café ? » Me demande-t-il en changeant de conversation et je lui souris avec reconnaissance.
« Merci, Bill ! Eh oui, j'en bois ! » Dis-je alors qu'il place une tasse devant moi à l'aide de sa baguette et je commence juste à déjeuner quand Ron entre dans la cuisine en mode radar. Il vient vers moi et embrasse mon front avant de se servir une tasse de café. Il s'assoit ensuite près de moi et commence à manger.
« Bonjour à toi aussi Ron ! » Dit-Bill avec un sourire.
« Bonjour Bill ! » Il lui faut quelques secondes pour se rendre compte de la présence de son frère. « Projet de loi ? Merde Harry ! » Crie-t-il en se mettant devant moi pour me protéger, ce qui fait que je renverse un peu de café sur moi et je grogne à l'encontre de Ron.
« Ron si j'avais voulu faire du mal à Harry, ça serait déjà fait. Alors détend toi ! Cependant, tu as de bon réflexe petit frère. » Rie Bill.
« Oui désolé, c'est mon instinct ! Mais que fais-tu là ? »
« Les jumeaux m'ont appelé cette nuit pour que je vienne les voir. Ils m'ont parler de la situation et je suis dans votre camp sans hésitation. »
Ses mots ont le don de le détendre et il reprend son déjeuner sans se poser plus de question. Bill sourit et reprend son journal. Georges apparait alors dans la cuisine et il embrasse mon nez. Je rougis de son acte et Fred le suit de prêt en embrassant le coin de mes lèvres. Ce qui me transforme immédiatement en tomate.
« Hé Fred ! » Râlé-je faussement. Ce dernier glousse et hausse les épaules.
« Il ne restait plus de place ailleurs. Ron a fait le front, Georges le nez et moi la joue. »
« Ce n'était pas vraiment la joue, tu sais. » Dis-je en regardant le fond de mon verre et en me demandant comment il a fait pour savoir ou Ron m'a embrassé alors qu'il n'était même pas présent.
« Tu étais trop tentent tout rougissant. Je n'ai pas pu résister. Mais en tant que grand frère, je suis resté sage. J'aurais pu toucher la. » Rajouta-t-il en touchant ses propres lèvres, ce qui me fait redevenir pivoine.
« Fred arrête d'ennuyer le petit. Si Harry te plait dit lui et ne tourne pas autour du pot. » Dit doucement Bill avec un air de confidence.
« Un... Mais... Quoi ? » Bégaya-t-il en devenant rouge à son tour.
« Bas alors Freddie, on en pince pour notre petit frère. » Le taquine Georges.
« Enfin bref, prépare toi Harry et nous partirons. » Dit Bill sans quitter son journal des yeux et en mettant fin à la scène devant nous.
« Je peux venir ! » Demandez Ron la bouche pleine.
« Non, tu restes ici ! » Lui réplique Bill gentiment.
« Mais... »
« Pas de mais Ron ! Toi et les jumeaux vous restez ici. Tu dois rester cacher. Dumbledore et Maman doivent être entrain de vous chercher partout et je ne peux protéger tout le monde à moi seul. » Lui explique Bill.
« Bien Bill, je reste ici ! Mais tu fais attention à lui. » Dit Ron avec un ton sévère.
« Ne t'inquiète pas ! »
Je me lève alors et met ma tasse dans l'évier et avant de sortir de la cuisine, je jette un regard vers Fred qui me fait un clin d'œil que Georges remarque, mais je m'empresse de sortir.
« Tu en pinces vraiment pour lui. »
Ce sont les derrières paroles de Georges que j'entends avant de fuir vers la chambre. Je trouve alors des vêtements de Bill sur mon lit et me demande comment il a fait son coup. Enfin bref, je me dirige vers la salle de bains et me déshabille avant de faire couler l'eau chaud de la douche. Je me glisse dessous et me relaxe le plus possible.
Cependant, c'est le contraire qui se passe, je me dis que j'ai seulement seize ans et pourtant je vis une vie d'adulte. Je n'ai pas eu d'enfance et cela me rend triste. Je n'ai jamais pu avoir d'ami avant mes onze ans et avant et après ça j'étais toujours battu par ma famille, alors j'ai grandi trop vite.
En plus, je me dis que si je me détends de trop quelqu'un va en profiter pour apparaitre derrière moi et me tuer. Je secoue ma tête pour me faire oublier cette idée, mais des larmes se mettent à couler sur mon visage, puis je me mets franchement à pleurer. J'ai l'impression que je ne fais que ça depuis hier, je suis faible, trop gentil, ils ont peut-être raison finalement. Ils profitent de cela pour me mettre plus bas que terre et j'ai l'impression que sa marche. J'ai honte, il faut que je me ressaisisse, mais là je n'y arrive pas, pas tout seul. J'essaye d'être discret, mais apparemment ça ne marche pas vraiment, on dirait que quelqu'un va défoncer la porte de la salle de bains. J'ai dû crier ! Tiens depuis quand je suis par terre moi.
« Fred ta baguette, Harry ouvre la porte, ça va aller. Harry, tu m'entends ? Fred grouille, tu fous quoi ? » Crie Ron derrière la porte. J'essaye de me redresser, mais rien à faire mes jambes refuse de m'écouter et mes larmes se font encore plus forte.
« J'arrive, elle a glissé sous mon lit. Georgie, tu ne l'as pas sur toi ? » Crie à son tour Fred.
« Bande d'incapable ! Harry, je vais déverrouiller la porte et entrer. » Dit doucement Bill.
« Non ! » Sangloté-je à travers l'eau de la douche.
« Tu préfères que Ron entre ? » Demande Bill, alors que la porte s'ouvre.
« Ron ! » Reniflé-je pitoyablement.
Soudain l'eau qui me couler sur la tête se stoppe et Ron me prend dans ses bras. Il me serre contre lui et je fais de même en attrapant son t-shirt.
« Harry calme toi, je suis là ! Je serais toujours là pour toi. Tu es mon frère et je te jure de les faire payer tous autant qu'ils sont. On va devenir plus fort ensemble et tu verras on arrivera à les faire tomber. »
« Ronnie, il va attraper la mort comme ça ! Entoure le d'une serviette. » Lui conseille Bill, mais je refuse de le lâcher, en ce moment je me fou d'être nu ou d'avoir froid.
« Impossible pour le moment. Il me tient fort ! »
« Ron, reste avec moi, ne me laisse jamais seul. »
« Harry, je serais toujours là pour toi ! je t'en fais là promesse. Tu es mon petit frère ! »
« Oui, je suis ton frère et tu es le mien. Jamais séparer ! » Dis en le relâchant un peu pour le regarder. Ses yeux sont humides de larmes, mais je n'ai pas le temps dans dire plus qu'une serviette s'enroule autour de moi et que des bras puissants me soulève. Je m'accroche alors à Bill et le regarde perdu.
« Harry, on ne te laissera plus tout seul si c'est pour déprimer comme cela à chaque fois. Vraiment en plus nous n'avons pas le temps pour cela, nous devons aller à la banque, alors sèche ses larmes et habille-toi. Aller prend de grande respiration. » Dit Bill en me déposant sur le lit et en sortant de la chambre.
« Mes vêtements... »
« Sont là ! » Compléta Fred en les posant près de moi. « Je n'aime pas te voir dans cet état Harry. Même si ce regard perdu et à croquer et me donne de mauvaise idée, je ne veux pas te voir pleurer. » Dit doucement celui-ci, en me caressant lentement la joue. Mais je n'ai pas le temps de m'attarder sur son regard qui fait demi-tour et quitte la chambre. Je me demande vraiment ce qui lui prend à Fred. Est-ce qu'il est vraiment intéressé par moi ? Harry, ce n'est pas le moment de penser à ça. Je me dépêche alors de m'habiller et sors de la chambre avec ma cape sous le bras. Bill me fait signe de le rejoindre dans l'entrée et c'est ce que je fais.
« Tu vas mettre ta cape d'invisibilité et tant que je ne te dis pas de l'enlever tu l'as gardé sur toi. On n'a pas beaucoup de chemin à faire, mais il faut rester sur ses gardes. On ne sait jamais qui on peut croiser. Prêt à partir ? »
« Je suis prêt et Ron est … »
« A la douche, je préfère qu'on parte maintenant sinon il va vouloir venir avec nous encore une fois. Mets ta cape ! Parfait, on y va ! »
Il ouvre la porte et sort de l'appartement pour rejoindre la boutique. On sort ensuite par derrière. Il claque la porte et marche très vite. Je dois presque courir derrière lui pour le rattraper. Heureusement pour moi on arrive très vite à la banque. On longe l'aller ou des gobelins comptent des galions et on arrive devant un grand bureau ou un gobelin écrit. Il redresse la tête et avise Bill.
« N'êtes-vous pas en vacances Monsieur Weasley. » Déclare lentement le gobelin.
« Je ne suis pas ici pour moi ! » Dit doucement Bill. Le gobelin regarde alors autour de Bill et ses yeux se posent vers moi alors que je suis toujours sous ma cape.
« Je vois attendez ici, je reviens ! » Dit le gobelin en s'éclipsant.
« Tu es sûr que c'est une bonne idée, Bill ? » Chuchoté-je.
« Gringotts est un lieu sur Harry. Tu ne crains rien ici ! »
Je ne pose pas plus de question et fais confiance à Bill. Dix minutes plus tard le gobelin revient et nous fais signe de le suivre.
« Le directeur Ragnok va vous recevoir en privé Monsieur Weasley. »
« Le directeur ? » Demande Bill avec un air sidéré.
« Oui le directeur ! Vous avez emmené un sujet sensible du monde magique avec vous. Alors ceci sera dirigé par là-haut. Veuillez entrer Messieurs et ne vous inquiétez pas, ce bureau est sous confidentialité comme toute la banque d'ailleurs. Personne n'entendra ce qui se passe dans ce bureau. » Rajouta le gobelin avant de repartir dans l'autre sens et le bureau s'ouvre devant nous. Bill entre le premier et je le suis. Un gobelin à l'air retord et sombre est installer derrière le bureau. Il nous regarde approcher et se lève.
« Que votre or soit prospère et fructueux Monsieur Weasley et à vous aussi Monsieur Potter. » Nous dits le gobelin et Bill me fait signe de me montrer.
« Que vos affaires soient bonnes, Maitre gobelin. » Répondis-je en retirant ma cape et en la posant sur la chaise devant moi.
« Vous connaissez les use de la banque Monsieur Potter ? » Me demande le gobelin surpris.
« Non, mais mon instinct me le dicte. »
« Je vois ! Veuillez prendre place Messieurs et dites pourquoi vous êtes venu me voir. » Dit le directeur en s'asseyant et on fait de même.
« Un ami m'a conseillé de venir à la banque le plus rapidement possible, après avoir découvert un complot sur ma tête, maitre gobelin. »
« Vraiment ? Vous avez enfin compris que le directeur Dumbledore n'est pas aussi bon sorcier que cela. » Raya le gobelin en comprenant directement de quoi je parle.
« Vous êtes au courant ? »
« Ça fait des années que nous savons que le vrai mage noir n'est pas celui que tout le monde pense. Dite moi, qui est votre ami qui vous a conseiller de venir nous voir ? »
« Le phénix de Dumbledore ! Fumseck ! » Dis-je et je vois Bill d'étouffer avec son thé qui vient de nous être servi. Le gobelin me jette un regard intéresser.
« Son phénix vous a envoyer à nous. Mais, il est dit que le phénix de la famille Dumbledore n'écouter que l'un des leurs. Quel est ce mystère qui se cache derrière tout cela. » Dit le gobelin en se frottant le menton. « A nous de le découvrir n'est pas ? » Rajouta-t-il en se frottant les mains.
Je le vois alors sortir plusieurs documents et très vite un tas se forme. Puis il claque des doigts et d'autres document arrivent devant lui. Je regarde ses dossiers voler au-dessus de nous et il les met devant lui, surement dans l'ordre des plus urgent.
« Bon commençons ! Il a bien fait de vous conseiller de venir, on a beaucoup de chose à voir. Et la première sera de vérifier votre identité, même si je sais que c'est vous. Approchez votre main sur cette feuille. Parfait ! » Dit-il en me piquant soudainement le doigt et une goute tombe sur le parchemin. Mon nom entier apparait et il la fait rapidement disparaitre. « Voilà une chose de faite, passons à la suite. Avez-vous reçu les relever bancaire que nous vous avons envoyer ? » Je le regarde sans comprendre et je le vois soupirer. « Apparemment non, Dumbledore a dû omettre de vous les transmettre. Ce n'est pas important, je vous donnerais un dossier complet à la fin de ce rendez-vous. »
« Il a surtout fait exprès pour que je ne sache pas ce que j'ai dans mes coffres. » Ragé-je doucement.
« Surement ! Deuxième question, avez-vous reçu notre courrier vous informant de la lecture du testament de votre Parrain feu Lord Sirius Black ? » Me demande-t-il et je lui fais signe que non. « Je ne m'étonne plus de rien maintenant. Je vais donc faire la lecture de ce testament maintenant et en présence de notre témoin, Monsieur Weasley. Il certifiera avoir pris part à la lecture du testament. Le ferez-vous Monsieur, Weasley ? »
« Je certifie prendre connaissance en tant que témoin du testament de feu Lord Sirius Black. » Dit-il solennellement.
« Bien, voilà ce qu'il dit ! »
« Moi, Lord Sirius Orion Black saint de corp et d'esprit et en toute connaissance de cause, lègue tous mes biens à Harry James Potter, ainsi que mon titre de Lord qui à la lecture de mon présent testament deviendra un majeur émancipé.
Les coffres 427, 601, 1034 et 2036 seront intégralement mis à son nom et mes différentes maison, entreprise et tout ce qui sent suit sera également à lui.
Je lègue également 100 000 Galions au dernier des maraudeurs encore vivant, qui est Remus Lupin, je souhaite qu'il s'offre une nouvelle garde-robe et profite enfin de sa vie.
Veuillez également remettre cette lettre qui accompagne mon testament à mon filleul Harry James Potter.
Sirius Orion Noir. »
« Voici la lettre citée plutôt, elle est magiquement celée et uniquement vous pouvez la lire, mais surtout l'ouvrir. » Dit-il en me donnant la lettre que je regarde quelque seconde avant de la mettre près de moi. « Si vous voulez bien signer ceci ! une fois fait vous deviendrais Lord Black et cela montre que vous acceptez les termes du testament. »
« Dès que je signe, l'argent ira sur le compte de Remus ? » Demandé-je pour être sûr qu'il reçoive son argent.
« Oui monsieur Potter, une fois signer, l'accord est donné et l'argent ira dans le compte de son propriétaire. »
« Parfait ! » Dis-je en signant le testament de mon parrain, ainsi que le papier pour devenir le nouveau Lord Black. Les papiers se doublent et une partie disparait, alors qu'une boite apparait devant moi.
« Les doubles vont dans votre coffre principal et cette boite est la bague du Lord Black, vous devez la mettre pour voir si elle vous accepte. » M'explique-t-il et je fais ce qu'il me dit. La bague s'ajuste directement à mon doigt et un flux de magie me travers, ce qui me rend euphorique quelques secondes, mais rien de bien grave. « Lord Black, la bague vous a accepter comme étant digne d'être à la tête de la famille Black. Avez-vous un premier ordre à donner en tant que Lord Black ? »
« Je peux faire ce que je veux même dégager Bellatrix de la famille ? » Demandé-je avec un sourire.
« Oui, vous pouvez le faire ! » Sourit-il.
« Super, mais je garde l'idée sous le coude. J'attendrais le moment propice pour le faire. Passons, que représente l'héritage Black ? »
« Votre fortune Black s'élève à 600 258 456 galions ! La fortune Black c'est beaucoup fructifié c'est dernière année. »
« Je suis millionnaire ! La vache ! » Dis-je sidéré.
« Oui, vous avez aussi cinq maisons dans des pays différent aussi que le manoir Black qui se situe en Ecosse. Vous avez autant d'entreprise Moldu que sorcière. Mais ne vous inquiétez pas, je vous remettrais toutes les informations. Autre chose ? »
« Je suis vraiment majeur ? »
« Oui, vous l'êtes. Votre parrain vous a émanciper et le titre de Lord le prouve. »
« Je n'ai plus la trace alors ? »
« En effet, mais je vous conseille quand même d'aller à Saint Mangouste pour faire un examen complet. Connaissant Le vieux fou, il ne vous laisserait pas sans surveillance. Donc pour le moment, ne faites pas de magie au moins jusqu'à ce rendez-vous. »
« Je pense que le directeur a raison Harry, nous irons après la banque. » Me dit Bill et je hoche la tête pour confirmer.
« Poursuivons ! Maintenant que vous êtes légalement majeur, vous pouvez entendre le testament de vos parents et prétendre au poste de chef de famille Potter. Voilà le testament. »
« Nous, Lord James Potter et Lady Lily Potter saint de corp et d'esprit et
en toute connaissance de cause, léguons à la majorité de notre fils Harry James Potter, la totalité de nos biens. Nos coffres 3, 55, 61, 101, 1111 et...
N'oublie pas le mien James !
Oui ainsi que le 445 et le 2145. Je n'allais pas oublier Lily jolie. Nos trois maisons et le manoir Potter lui sont également légué. Nous lui laissons également la possibilité de laisser des lègues après la lecture de ce testament aux personnes proche de la famille.
Mais avant la majorité de notre fils, nous souhaiterions que sa garde soit remise à son parrain Sirius Black. Si celui-ci ne pourrait le faire pour une raison grave, nous souhaiterions que sa garde soit laissée à M. et Mme Londubat ou remus lupin et en dernier recourt à Severus Tobias Rogue. Mais en aucun cas, sa garde ne devra être remis à ma sœur pétunia Dudley et son Mari Vernon Dudley. Ces derniers détestent la magie et je ne souhaite pas que mon enfant soit maltraité par des fou.
Par ailleurs nous déclarons dans ce testament que notre gardien du secret était Peter Pettigrow et qu'Albus Dumbledore a jeter le fidelitas sur nous tous. S'il nous est arriver quelque chose à cette période-là, c'est entièrement de leur faute ou du moins l'un d'eux.
Pour finir, veuillez remettre cette lettre à notre fils à sa majorité.
Lord Potter et Lady Potter. »
« Voici la lettre qui doit vous êtes remise à votre majorité. » Dit-il en me remettant une lettre que je m'empresse de mettre avec l'autre.
« Comment cela se fait-il que ma garde ait été donner à ma tante alors qu'ils l'ont interdit ? » Demandé-je outré.
« Le testament de vos parents n'a jamais été lu. Il a été bloquer par Dumbledore dès leur mort et personne ne l'a contredit quand il vous a placer chez ses moldu. »
« Tout ce qui met arriver et entièrement de sa faute. » Dis-je débité, même si je le savais déjà.
« Tu le savais déjà ne te déprime pas pour lui. Nous arriverons à le nuire. » Me rassure Bill.
« J'espère Bill, j'espère ! » Soupiré-je.
« Votre héritage Potter se monte à un peu plus d'un milliard deux cent millions et vous avez trois grandes société moldu, deux sorcières et vous détenez 53 % de la gazette. »
« Encore une fois, je suis super riche ! Je comprends pourquoi ta mère veut me tuer Bill. » Dis-je en secouant la tête de tristesse.
« Ne dit pas ce genre de chose Harry. » Me gronde Bill.
« En tout cas, vous êtes le plus riche sorcier d'Angleterre et d'Ecosse. » Dit le gobelin
« Connaissez-vous un bonne avocat maitre gobelin ? »
« Votre famille en a un et c'est le meilleur si vous voulez mon avis. C'est un sorcier, il a dans les cent ans, mais il a toute sa tête. Pourquoi cette question Monsieur Potter ? »
« Pour lui remettre ce testament et tous les dossiers qui pourrait incriminer les fautes de Dumbledore. De plus, il y a la preuve que mon parrain n'a rien à voir avec le meurtre de mes parents, alors je veux qu'il soit innocenté, même à titre posthume. »
« Une fois signer, j'en ferais deux copies que j'enverrais à celui-ci. »
« Je ne veux pas qu'il le fasse tout de suite, parce que sa révélerez des choses trop tôt et ce n'est pas ce que je veux. »
« Ne vous inquiétez pas, je lui dirais et il prendra contact avec vous. »
Je le remercie et signe le testament ainsi que celui pour devenir Lord Potter. Comme pour la première fois, la bague s'ajuste à mon doigt et une chaleur m'envahit puis plus rien.
« Ensuite... »
« Il y en a encore ! » Dis-je avec de grands yeux
« Bien-sûr, je vais maintenant vous demandez de laisser quelque goute de votre sang sur ce document. Il va nous montrer les différents liens de parenté que vous pouvez avoir avec d'autre famille, ainsi que les dons ou pouvoir que vous avez. » Je fais alors ce qu'il me demande et soudain le parchemin devient plus long et des choses s'écrivent dessus. Le gobelin le prend et ouvre grand les yeux. Il me regarde quelques instants avant de revenir au document. « C'est bien plus impressionnant que prévue Lord Potter Black. »
« Je peux le voir ? » Dis-je en tendant la main.
« Je vais plutôt vous le lire ! »
*Famille Apparenté :
-Peverell
-Gryffondor,
-Serpentard,
-Dumbledore,
-Noir,
-Blanc,
-Potier,
-Merlin.
Père : James Potter
Mère : Lily Potter née Black. Adopter Evan.
« Quoi ? Comment ça née Black ? Crié-je sans m'en rendre compte.
« Apparemment votre mère n'est pas née de moldu. Peut-être que la lettre vous en dira plus. A vous de le découvrir plus tard. »
« Désolé de vous avoir interrompu, mais c'est résultat mon surpris. Je suis apparenté à Merlin et à la famille de Dumbledore. C'est trop bizarre, Non ? »
« Pas tant que ça, quand on sait que le phénix de la famille Dumbledore vous parle et vous conseille. Pour Merlin, nous verrons après, mais d'abord continuons. »
*Pouvoir, magie, don :
-Magie sans baguette,
-Magie élémentaire,
-Magie blanche,
-Magie noir,
-Magie elfique
-Magie du sang,
-Don de transformation,
-Animagus multiple,
-Don pour parler aux animaux divers,
-Voyance,
-Don de l'esprit, don de persuasion,
-Don en sortilège,
-Don de guérison,
-Don en métamorphose,
-Lien fort avec la faune et la flore,
-Don en potion.
*Créature magique :
-Inconnue pour le moment.
« Bill, c'est quoi ça don de voyance ? »
« Peut-être que tu vas me lire l'avenir dans des cartes de tarot ou dans une boule de cristal. Un peu comme Trewlaney, mais en espérant que tu sois meilleur qu'elle. » Me dit-il en rigolant et je le suis, ce qu'il a le don de me détendre un peu.
« N'empêche, je pense que votre papier se trompe. Don en potion ? Je suis une plaie en potion. »
« Peut-être que bientôt, vous comprendrez pourquoi vous n'êtes pas bon en potion. Mais je peux vous certifier que ce document ne peut mentir. »
« C'est quoi une créature magique ? »
« Quand vous aurez entre seize à dix-huit ans et seulement à votre anniversaire, votre créature magique se réveillera et votre pouvoir sera plus important. »
« Cool, par contre tous ses dons, ils représentent quoi ? »
« Cela montre que vous êtes un grand sorcier Lord Potter Black et avec un peu d'entrainement vous ne devriez plus vous inquiétez pour vous et votre famille, mais plus pour ceux sur votre route. » Dit-il et soudain un document apparait devant un moi. « Signez ce document de votre sang, s'il vous plait ! » J'hésite un peu quand je vois ses yeux briller d'impatience.
Mais, je fais ce qu'il me demande et après seulement quelques secondes, je sens une brulure se faire dans mon dos et je gémis en remuant sur ma chaise. Mais la douleur part très vite et je regarde le gobelin avec des yeux noir.
« Qu'avez-vous fait ? » Dis-je en touchant mon dos
« Rien. Pourquoi ? Vous avez ressenti quelque chose ? » Les yeux du gobelin s'illuminent de joie.
« Une brûlure dans le dos. »
« Montrer moi votre dos, mon ami ! » Dit le gobelin, alors que Bill hoquète pour une quelle qu'onc raison. J'hésite à le faire, mais le gobelin à l'air tellement heureux que j'enlève ma veste et soulève mon haut en me tournant vers le gobelin. Ce dernier se met alors à taper dans ses mains avec enthousiasme. « Vous avez êtes reconnu comme l'héritier de Merlin ! Incroyable ! »
« Qu'est-ce que cela veut dire ? »
« Cela veut dire que vous êtes devenu intouchable vis-à-vis des lois sorcières. Vous représentez la magie, vous êtes là pour la défendre contre le mal ou les gens qu'il veulent la détruire. En gros, cela signifie que si quelqu'un vous pose des problèmes, cette dernière ira au-delà des soucis. Voir directement en enfer ! »
« Il y a-t-il autre chose à savoir ? »
« Vous avez maintenant trois coffres en plus ou vous trouverez à l'intérieur des artéfacts, des livres, la baguette de Merlin et bien-sûr un peu plus d'argent. Vous êtes encore plus riche qu'au début. »
« Que représente ce que j'ai dans le dos ? »
« Un tatouage qui vous prend une grande partie du dos. L'arbre de la vie de Merlin et il est accompagné d'un phénix, un lion, un serpent, une licorne et un jaguar. Si vous voulez mon avis vous comprendrez la signification de tous ses animaux au fur et à mesure de votre apprentissage. Bien sûr, c'est un tatouage magique, donc il bouge et chaque identité a son propre caractère. »
« J'ai hâte de le voir ! » Dis-je excité.
« Vous le regarderez plus tard. La seule preuve qu'il vous faut au cas où quelqu'un discute votre lien avec merlin et maintenant sur votre dos. Continuons ! » Je soupire, mais tout doit être boucler avant que Dumbledore n'agisse. « Vous devez maintenant voir si l'héritage Gryffondor et Serpentard vous acceptent » Dit-il en sortant deux feuilles que je signe de mon sang. Deux coffrets apparaissent immédiatement et je les ouvre un à un. Un collier et un bracelet si trouve. Je passe le collier de Gryffondor qui représente un lion et le bracelet de Serpentard en forme de serpent et les deux émettent une douce chaleur qui me confirme que les deux m'acceptent. « Vous êtes maintenant Lord Potter Black Gryffondor Serpentard Merlin. Vous avez en votre procession l'une des plus grandes fortunes du monde sorcier et surement moldu. »
« Je me pose une question pourquoi ce n'est pas Voldemort qui est le Lord Serpentard ? Il se dit l'héritier, mais il ne l'ait pas vraiment vu que c'est moi le Lord. »
« Le bracelet à refuser que Tom Jedusor devienne le Lord de sa maison. » Précise Ragnok sans en dire plus. « Bon voici l'arche de la famille Dumbledore, voyons on se situe votre lien de parenté. Un peu de votre sang réveillera surement cet arbre généalogique. » Je lui donne une goutte de mon sang et une fois sur le papier un nouveau nom apparait, puis encore d'autre. Les noms partent du père de Dumbledore pour arriver à lui-même. « Le père de Dumbledore aurait eu une liaison avec la fille de la famille White peu de temps avant son enfermement. Un fils serait né et ce dernier aurait eu une fille, qui à son tour aurait eu une liaison avec Cygnus Black, le père des trois sœurs Black. »
« Ce qui fait que ma mère est la demi sœur des sœurs Black et que Drago est mon cousin. L'horreur ! » Dis-je en grimaçant ce qui les fait rire.
« Oui et tu es l'arrière arrière neuve de Dumbledore. » Conclu Bill.
« Donc j'ai bien un lien avec eux. Maintenant qui est la famille White ? »
« C'était une grande famille de sang pure ! Mais aux dernières nouvelles, la dernière des White qui est aussi votre grand-mère n'aurait pas eu de descendance. Mais apparemment si, vu que vous êtes là. »
« Est-elle toujours en vie ? » Demandé-je en espérant que j'ai encore un membre de ma famille vivant.
« Oui et elle vit dans son manoir seule. Je pourrais peut-être vous arranger un rendez-vous avec elle si vous voulez ? De ce que je me souviens c'était une gentille femme. »
« Oui, je veux bien mais je ne veux pas la déranger. » Dis-je avec une pointe d'excitation dans la voix.
« Je lui demanderai audience mais ne lui dirait pas vraiment la raison. »
« Vous pensez que ceci est la vérité. Ma mère est une sang pur et elle est la demi sœur de Bellatrix, la folle, celle qui a tué son cousin qui était aussi celui de ma mère et qui été mon parrain. »
« Cela ne peut mentir Harry ! » Dit doucement Bill.
« Ma mère était une sang pur ! »
« Effectivement et vous aussi mon ami ! » Dit Le directeur avec un sourire.
« C'est bizarre de savoir tout ça, j'ai mal à la tête maintenant ! » Dis-je en secouant la tête, complètement perdu.
« C'est normal Lord Potter B… »
« Vous ne voulez pas m'appeler par mon prénom, mon nom de famille est trop long maintenant. »
« Seulement si vous faites de même ! »
« Très bien Ragnok, avons-nous fini ? »
« Pour la paperasse oui. »
« Je peux vous demandez d'être mon gestionnaire de compte. »
« Avec plaisir Harry ! »
« Super, merci ! Pouvez-vous me faire une copie de tous les biens que je possède et les derrières transaction qui ont pu être faite. »
« Voilà pour vous ! » Dit-il en claquant des doigts et un gros dossier apparait devant moi.
« Comment puis-je obtenir de l'agent de mes comptes ? » Demandé-je en feuilletant mon dossier.
« Je peux vous fournir une carte de crédit qui pourra être utiliser dans le monde magique et moldu. »
« Ça serait parfait ! Par contre, je vois que des virements et retrait ont été fait d'un de mes compte Potter. »
« Dumbledore était votre tuteur magique et malheureusement avait accès à votre compte personne, pas les autres. Par contre, ces prélèvements devaient avoir un rapport avec votre bien être et entretien quotidien. »
« A-t-il prouvé que cet argent était pour mon bien être ? »
« Je vois que les premiers étaient pour votre famille moldu, après rien n'est indiquer. »
« Je veux que vous obteniez les moindres détails des virements qui on était fait pendant toute ses années. Dès que vous avez le tout, envoyer le à mon avocat. Bien sûr, personne d'autre que moi ne doit avoir accès à mes comptes. Je veux que toutes les serrures soient changées, surtout celle de mon coffre personnel, vu que Dumbledore à la clé. Et plus aucun retrait ne doivent être fait pour ma famille moldu qui n'est d'ailleurs même pas ma vrai famille. Protection du sang, mes fesses ! » Râlé-je.
« Nous le ferons des aujourd'hui. Maintenant Harry, je vous conseille d'aller à l'hôpital pour faire un examen complet. Dès que vous aurez les documents de cet examen, faites les moi parvenir, j'en mettrais une dans votre coffre et j'enverrai l'autre à votre avocat. »
« Nous allons y aller de se pas mon ami, mais avant ça, je voudrais savoir si l'un de mes maisons peut nous accueillir moi et ma famille ? » Alors que je vois Bill sourire doucement.
« Bellatrix Lestrange a fait demander la remise en état du manoir Black en pensant qu'il allait lui revenir après la mort de feu Sirius Black. Nous pensons que d'ici quelques jours, il sera prêt à vous accueillir. »
« Génial, est ce que je peux vous demander d'y aller pour le sécurisé un maximum. »
« Bien sûr, j'irai moi-même. Mais ne vous inquiétez pas le manoir est déjà truffé de sort de protection. »
« Merci ! Avant de partir, pourrais-je faire un tour dans le coffre de Merlin où se trouve sa baguette ? »
« Allons-y ! » Dit Ragnok en se levant et on le suit après que j'ai récupérer ma cape sur la chaise, mes dossiers, ainsi que mes deux lettres. On prend un petit train qui nous emmène à toute vitesse dans le tréfond de la banque. Après un arrêt brutal, Ragnok me montre un coffre très vieux et me dit de laisser une goutte de mon sang sur ma main et de la poser dessus.
« Décidément, il ne va plus rien me rester après aujourd'hui. » Dis-je en riant et les deux autres me suivent.
Je fais alors ce qu'il me demande et le coffre s'ouvre devant moi. Mon regard se pose sur une montagne de livre se trouvant sur la droite du coffre, à gauche j'aperçois des artefacts et de l'or. Mais ce qui m'attire, c'est la baguette qui se trouve tranquillement au milieu de tout ça. Je me dirige alors vers l'endroit, mais je n'ai pas fait un pas que la baguette vient directement dans ma main. Je la lève et une connexion se fait immédiatement entre elle et moi.
« La baguette reconnait son sorcier, je ne pensais pas vivre assez longtemps pour voir ce jour. La baguette de merlin enfin entre de bonne main ! Sachez Harry que les gobelins vous seront à jamais fidèle et nous vous apporterons notre aide si besoin. Je peux vous assurez que nous ne serons pas les seul à le faire une fois que les gens apprendront qui vous êtes. Même vous, vous ne le savez pas encore ! »
« Merci Ragnok ! Vous permettez que je me serve ? » Demandé-je encore incertain.
« Tout est à vous servez-vous ! »
Je regarde les livres pendant vingt minutes, avant dans prendre au moins quarante. Je regarde tout ça d'un air perdu et me demande comment je vais faire pour les transporter.
« La banque Gringotts vous offres cette sacoche sans font et nous y avons déjà mis 3000 Galions. » Dit Ragnok en me donnant une jolie sacoche de couleur verte, comme des écailles de dragon.
« Merci infiniment ! » Dis-je en mettant tous les livres dedans, ainsi que les dossiers donner plus tôt. Je sors alors du coffre qui se referme derrière nous et Ragnok nous accompagne vers la sortie en me montrant la cape.
« N'oubliez pas de mettre votre cape Harry ! Au faites, ce livre ! » Me dit-il en me montrant un petit livre. « Vous permettra de me contacter à chaque moment de la journée ou de la nuit. Vous avez juste à le frotter en prononçant mon nom et j'arriverai aussi vite que possible. Bien sur le contraire et possible. Si j'ai besoin de vous voir, le journal se mettra à chauffer et vous devrez venir me voir aussi vite que possible. »
« Pratique ! » Dis-je en le rangeant dans ma sacoche, après avoir mis les lettres à l'intérieur.
« Faites attention à vous mon ami ! Bonne chance et à bientôt ! »
« A bientôt mon ami ! » Dis-je en mettant ma cape et je suis Bill jusqu'à la zone de transplane. Je lui attrape alors la main et nous transplane directement dans le hall de l'hôpital.
« Tu pourrais prévenir quand même. Quel manque de tact ! » Dit-il en râlant. « D'ailleurs je ne savais pas que tu savais le faire. »
« Bill, comment penses-tu qu'on est fait pour partir aussi vite de Poudlard et aussi pour aller chez tes frères ? » Lui demandé-je en ricanant.
« Oui, bon ! Tu as appris tout seul ? »
« Ma magie m'a guidé. Je suis mon instinct depuis quelque temps et cela me va bien pour le moment. Mais si tu veux mon avis, tu devrais arrêter de parler tout seul, les gens commencent à se demander pourquoi tu parles tout seul. Alors ne dit plus rien, si tu ne veux pas finir en asile psychiatrique. Et maintenant bouge, avant qu'on ne soit repérer ! Ah trop tard ! » Dis-je en grimaçant et en me décalant un peu de Bill.
« Bill, que fais-tu ici ? Tu es malade ? » Crie une personne en venant vers lui à toute vitesse et en le touchant partout.
« Tiens maman que fais-tu ici ? » Demande-t-il sur ses gardes en se décalent un peu.
« Répond moi William que fais-tu ici ? » Exige-t-elle en foudroyant son fils.
« Je viens visiter un ami, j'ai appris qu'il avait eu un accident de sort pendant son service alors je suis venu le voir. »
« Tu me rassure et c'est très gentil de ta part, mais tu devrais profiter de tes congés pour visiter ta famille, venir à la maison voire tes parents. » Râla Molly.
« Même si j'étais venu à la maison je t'aurais loupé vu que tu es ici. Alors maman, pourquoi es-tu là ? » Demande-t-il une nouvelle fois en s'éloignant un peu plus d'elle.
« Je suis venu voir si ton frère Ron ou Harry n'étaient pas à l'hôpital. » S'explique-t-elle.
« Tu imagines le pire, maman. » Souffle-t-il brusquement.
« Ce ne sont que des enfants William. » S'énerve sa mère.
« Oui, des enfants qui non pas besoin d'être au milieu d'une guerre et avoir des responsabilités d'adulte. » Répond sèchement Bill et je secoue la tête, il ne faut pas qui se mette en colère, on pourrait douter de lui. Soudain, je ressens un mauvais pressentiment et je me place derrière Bill et je lui attrape sa veste de toute mes forces. Bill a la grâce de ne pas être surpris et de ne pas se retourner vers moi. Heureusement !
« Pourquoi dis-tu cela William ? » Demande sa mère devenue suspicieuse et je sers les dents en espérant que sa mère laisse passer ses phrases.
« Je parle de tu sais qui, de quoi d'autre pourrais-je parler ? »
« Bill, quel plaisir de te voir ! » Dit Dumbledore en venant à notre hauteur.
« Plaisir partager, professeur ! » Dit Bill avec un peu de mal, vu qu'il se raidit.
« Voyons, pas de ça entre nous, je ne suis plus ton professeur depuis longtemps que je sache. Que fais-tu ici ? » Demande-t-il d'un ton léger, alors que Molly se détend un peu au venu de Dumbledore.
« Il vient voir un ami blessé ! » L'informe sa mère.
« Fort bien ! Molly nous devons y aller, ils ne sont pas ici ! » Dit Dumbledore avec une certaine mauvaise humeur.
« Heureusement, parce que si mon fils était ici à cause de lui, je lui ferais regr… »
« Voyons Molly, je suis sûr qu'ils vont bien tous les deux. » La stoppa Dumbledore et elle se met à rougir en se rendant compte de ce qu'elle allait dire devant Bill.
« Oui, j'espère ! c'est mon instinct maternel, voilà tout ! Bon William vient quand tu veux à la maison, ton père serait content de te voir. Surtout que Charlie ne devrait plus trop tarder à venir. Bref, je t'aime Williams ! Allons-y Albus ! » Dit-elle en caressant la joue de son fils avant de partir, heureusement elle ne remarque pas la grimace de Bill quand elle l'a touchée.
« Merde, j'ai eu tellement peur d'être vu que j'ai failli faire pipi sur moi. » Dis-je en posant ma tête sur son dos et en expirant le trop plein d'air retenu dans mes poumons.
« Tu te rends compte, elle a menacé de te tuer devant moi. Si j'hésitais encore sur le véritable camp de ma mère, je n'en doute plus maintenant. Bon allons faire un check up complet. Je déteste qu'on m'appelle Williams. » Dit-il en s'essuyant une larme sur sa joue et part vers l'accueil. Je soupire, cela me fait mal d'être la cause d'une séparation dans la famille Weasley. J'aurais aimé que les choses soit différente. « Bonjour Mademoiselle, je souhaiterais faire un check up complet, mais en tout discrétion. »
« Allez au niveau moins deux, Monsieur. » Lui répond t-elle avec un petit sourire.
« Merci beaucoup ! »
Il part vers les ascenseurs et on arrive rapidement au niveau moins deux. On sort et a peine dehors, Bill percute un docteur. Ils se regardent tous les deux un moment avant que le docteur ne lui parle.
« Tiens Bill que fais-tu ici ? »
« Bob, ça fait longtemps ! Quel plaisir de te voir ! En plus, tu es devenu médicomage comme tu l'as toujours voulu, c'est merveilleux ! » Lui répond Bill avec un sourire heureux que celui-ci lui retourne. Je suis content que cette rencontre redonne le sourire à Bill.
« Oui, j'ai réalisé mon rêve de sauvé des vies. Et toi alors, que fais-tu ? »
« Je suis devenu briseur de sort pour Gringotts, comme je l'avais voulu. » Dit Bill avec un grand sourire qui atteint enfin ses yeux.
« Je savais que tu réussirais aussi à faire ce que tu as toujours voulu faire. J'en suis heureux. Et sinon pourquoi es-tu là ? »
« Pour une mission secrète et ultra importante. Ma présence et celle de mon ami ne devra jamais être signaler. » Chuchote Bill.
« Tu as ramené un tueur avec toi ? » Lui demande Bob en fronçant les sourcils et Bill rit.
« Ce n'est pas un hors la loi, c'est juste une personne importante qui voit sa vie être menacer de tous les côtés. Même celui de la lumière ! » Murmure Bill en regardant autour de lui.
« Tu m'intrigues ! »
« Si tu veux continuer cette conversation, on ferait mieux d'aller à ton bureau. »
« Mon bureau est là, suit moi ! » Dit-il en ouvrant une porte pas très loin des ascenseurs. Bill entre et je le suis de prêt. Une fois à l'intérieur, la porte se referme et Bill appose des sorts de silence en plus et un de sécurité. « Ton ami doit être important pour que tu fasses tout cela. »
« Il l'ait et c'est comme un frère pour moi alors je veux que rien ne soit laisser au hasard et qu'il soit en sécurité, enfin pour le moment. »
« Je vois ! Mais pourquoi me dire tout cela à moi. Je pourrais être un méchant aussi. » Dit-il avec un ton de conversation. Bill me cherche alors des yeux et je pose ma main sur son épaule.
« Ma magie ne ressent aucune menace venant de lui. Je pense qu'on peut lui faire confiance. » Chuchoté-je à Bill dans son dos.
« Tu donnes confiance à mon petit frère. » Répond vaguement Bill.
« Je n'ai pas vu ton frère ! » Dit le médecin et tout d'un coup son visage devient blanc, puis reprend de la couleur et essaye de me trouver. « Si ton petit frère a confiance, il pourrait se montrer ! » Dit gentiment Bob.
« Bob ! » Menace Bill en élevant la voix.
« Jurer sur votre magie que tout ce que vous verrez ou découvrirez restera au sein de ce bureau ou de l'hôpital, mais que personne n'apprendra qui je suis. » Dis-je doucement derrière ma cape.
« C'est terriblement excitant Bill. Une grande aventure ! Je jure sur ma magie que rien de ce qui ne sera dit ou découvert sortira de ce bureau et que votre identité restera secrète entre vous et moi ! »
Des étincelles sortent de sa baguette et satisfait, je retire ma cape et Bob sursaute à ma vue. Mais soudain, il sourit et donne une tape dans le dos de Bill.
« Tu m'aurais dit le nom de Potter et j'aurais accepté directement. Ravie de faire votre connaissance, Monsieur Potter ! » Me dit-il en me tendant la main que je m'empresse de serrer. « Ou devrais-je dire Lord Potter ! » Rajouta-t-il en regardant mes mains.
« Il va falloir dissimuler ses bijoux Harry. » Grogna Bill.
« Oui, Bill ! » Affirmé-je en me concentrant sur mes bijoux qui disparaisse un à un.
« Magie sans baguette, impressionnant Lord Potter ! »
« Harry, appelez-moi Harry ! »
« Bien Harry, maintenant dite moi pourquoi vous êtes ici ? »
« Harry doit faire un examen complet. Vous devez chercher la moindre parcelle de magie suspecte en lui et la moindre blessure, bleu et blessure ancienne. On doit savoir tout ce qu'il ne va pas avec lui. Rechercher s'il a ingéré des potions, des poisons ou autres. »
« Un check up très avancer. » Dit Bob en hochant la tête et en me regardant de la tête au pied.
« Pendant qu'on est ici, je voudrais savoir si on peut faire quelque chose pour ma vue. J'aimerais ne plus porter de lunette. » Dis-je d'une petite voix. Ça vient de me venir, mais ça serait cool si je pouvais ne plus les porter. Pensé-je.
« Bien sûr Harry, on va s'occuper de toi et je le ferais en même temps ! »
« Qui est le ''On'' ? » Demande Bill avec inquiétude.
« Mon équipe, je ne peux pas tout faire tout seul. Mais ils seront sous un sort de confusion. Ils ne se souviendront pas de qui ils se sont occupés. »
« Parfait ! Je dois partir quelques heures, prend soit de lui et il me revient en parfaite santé, Bob. » Menace Bill, alors que je comprends qu'il va me laisser seul ici avec un parfait d'inconnu.
« Tu me laisses seul ? » Dis-je avec un ton d'enfant que je déteste montrer.
« Je reviens vite et pour le moment tu n'as plus besoin de moi. Je vais revenir avec Ron. Tu es entre de bonne main. » Me rassure Bill en me caressant la joue.
« Je t'attendrais toi et Ron ! » Dis-je avec un grand sourire et il me le retourne.
« Je t'accompagne dehors ! » Lui dit Bob, avant qu'ils ne disparaissent derrière la porte. Je soupire et me dit que la journée et loin d'être fini. Qu'est-ce que je vais encore découvrir après tout ce qu'il sait passer à la banque. Je me demande si d'autre surprise m'attende dans les prochains jours.
…..
Suite bientôt …
Merci pour vos commentaires. J'ai moi aussi tellement lu d'histoire ou Ron est un des méchants que j'en ai eu assez, dont je vous propose cette histoire.
Je sais mes difficultés en orthographe. Du coup si quelqu'un connait ou souhaite aider pour la correction. Je suis toute oui !