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Souvenirs du passé.
Chapitre 16
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Mardi 7 septembre, nouvelle lune descendante, croissante.
Au boulot, aujourd'hui, Stiles n'avait pas eut une minute à lui. Leurs indices avaient porté leurs fruits. Mason et lui allèrent directement arrêter le suspect. Les interrogatoires s'étaient de suite enchaînés. Ils purent ensuite mettre le coupable en détention. Stiles eut un petit moment avant de partir, il lança une recherche sur les trois loups restant de la meute.
À peine sa recherche lancée, il se dirigea vers le centre commercial, afin de faire quelque course.
Stiles était chargé de plusieurs sac. Il s'était fait plaisir à acheter des légumes et produits frais. Il adorait cuisiner des plats maison et aimait surtout cuisiner pour les autres. D'où les plats préparés pour son cher papa. Derek aimait les légumes et les produits sains alors s'il ne se priva pas pour faire le plein de bonnes choses. À son arrivé, Derek le débarrassa de suite de ses sacs et l'invita à s'asseoir sur le canapé.
« Assied-toi, j'ai préparé l'apéro, fit Derek en désignant la table basse.
– L'apéro? répéta Stiles en apercevant sur la table, deux verres de vin, des cacahuètes et du saucisson aux noisettes. Du saucisson aux noisettes?! Han t'es un as!
– Je sais que adores ça, pose toi. Tu mérites bien de te détendre un peu. Tu bosses sans arrêt, tu t'occupes de ta fille quand elle est là et un loup casse bonbon t'emmène un jour sur deux traquer une meute de loup. »
Stiles acquiesça seulement ses dires en souriant puis se laissa tomber sur le canapé. Il piqua deux, voir cinq rondelles de saucisson et attendu tout de même que le loup revienne.
« Tu sais que je supporte pas trop le vin? déclara Stiles.
– Tu veux boire autre chose ?
– Ben maintenant qu'elle est ouverte...
– Tu peux prendre autre chose, on l'a finira au dîner, proposa Derek.
– Humm, acquiesça Stiles. Du martini, t'as?
– Yep, fit Derek en se dirigeant dans la cuisine. »
Stiles prit une poignée de cacahuète et se tourna brusquement vers la cuisine. Il n'était pas un loup garou, mais il pouvait parfaitement reconnaître l'odeur des feuilletés aux fromages. Derek sorti de la cuisine, Stiles lui sourit aussitôt.
« Qu'est ce qui te fait sourire comme ça?
– Toi? Enfin, je veux dire. Euh. L'apéro tout ça, t'as fais des feuilletés aux fromages? Tu sais j'adore ça!?
– C'est ton jour de chance aujourd'hui, déclara Derek.
– Carrément, ouais, c'est vraiment une bonne journée. Tout se passe comme sur des roulettes. Demain, c'est moi qui cuisine, annonça Stiles.
– Tu nous feras quoi? Demanda Derek en servant leurs verres.
– Tu veux que je te cuisines quoi? questionna Stiles conquis par ce bel homme.
– Je... Fais ce que tu veux, Stiles.
– Ce sera une surprise alors.
– Très bien, allez, santé.
– Santé. »
Les garçons trinquerent les yeux dans les yeux. Ce loup était vraiment agréable. Il était souriant, il avait le regard pétillant, il était sublime, c'était Derek Hale, il était parfait.
« Alors comment s'est passée ta journée? questionna Derek après avoir bu deux longue gorgées.
– Parfaite, on a clôturé une enquête, le coupable est en détention provisoire, prêt à être juger. Le dossier est béton et il a avoué. Et... s'arrêta Stiles.
– Et? chercha le loup à en savoir plus.
– Et un loup grincheux s'est transformé en un loup super agréable, ajouta t-il en souriant pleinement. »
Derek sourit seulement.
« Du saucisson aux noisettes! Ajouta t-il encore. Un martini! finit par dire Stiles.
– C'était du vin au départ, rectifia Derek.
– Mais tu t'es bien rattrapé, fit Stiles en montrant son verre, des feuilletés aux fromages, énuméra t-il encore. Manquerait plus qu'on fasse des lasagnes et se sera le plus beau jour de ma vie.
– Des lasagnes tu dis? On a peut-être tout sous la main, fit Derek en réfléchissant.
– Si t'as les pâtes, j'ai acheté de quoi faire un chèvre épinard.
– Adjugé, fit Derek en trinquant encore.
– Han mon dieu, t'es parfait, glissa le policier.
– Parfait est mon deuxième prénom.
– On ferait de s'y mettre de suite, c'est long à faire.
– J'embarque nos verres, prends ton saucission et les cacahuètes, ordonna Derek. »
Stiles sourit et suivit son hôte à la cuisine. Le duo sorti de quoi cuisiner. Stiles s'occupa du chèvre et des épinards, Derek des pates et de la béchamel. Les hommes cuisinerent tranquillement tout en dégustant leur verre. La lasagne était presque finie d'être préparée lorsque Kat entra dans la cuisine; surprenant un échange de regard taquin entre Stiles aux fourneaux et Derek à ses côtés un verre de vin à la main
« Et bien, c'est Noël ici! lança t-elle.
– Salut Kat, fit Derek en relayant Stiles pour faire monter la béchamel.
– Salut crevette, déclara Stiles.
– Du saucisson! lâcha Kat les yeux pétillants.
– Pas touche, c'est à Stiles! intervint le loup.
– Je suis pas propriétaire du saucisson, se défendit le concerné.
– C'est pour toi que je l'ai acheté, marmonna Derek en montrant la bechamel au policier.
– Continue encore, annonça Stiles, puis ajouta. C'est pour ça que t'en manges pas depuis tout à l'heure?
– Je voudrais pas t'enlever le saucission de ta bouche... plaisanta le loup.
– Traites-moi de goinfre tant que tu y es! lâcha Stiles sur la défensive.
– J'ai pas dis ça.
– Mouais...
– Je peux en prendre ou non? demanda Kat qui avait assisté à leur scène de ménage.
– Non! fit le loup.
– Oui! contra Stiles.
– Moi aussi? quémanda le loup garou. »
Stiles roula des yeux tout en soupirant.
« Vas-y. T'as préchauffé le four au moins?
– Il est chaud, tu enfournes? Je vais mettre la table, fit Derek en partant. »
Stiles asquiecsa et Kat ne cessait de sourire.
« Vous êtes trop mignon vous deux, glissa t-elle en souriant bêtement.
– Chut Kat, fit Stiles.
– Je sais que tu n'aimes pas que je te dises ça mais vous faites un trèèèèès beau couple, ajouta l'ado.
– Chut Kat ! fit encore le policier.
– Tu l'aimes mon mon beau papa, hein? titilla t-elle.
– Kat... marmonna Stiles.
– Hein, tu l'aimes ? insista la gamine.
– Je le déteste pas, fit finalement Stiles.
– Qui tu détestes pas? demanda Derek en pénétrant à nouveau dans la cuisine.
– Toi, annonça t-il seulement.
– Ok, fit Derek avant de se poster derrière Stiles qui regardait la lasagne dans le four. »
Le loup se glissa derrière lui, puis lui susurra à l'oreille.
« On glisse les feuilletés en dessous!
– Derek! Tu m'as fait flipper, arrête de faire ça!
– De faire quoi!
– Chuchoter dans mon oreille! fit Stiles en se tenant le coeur.
– T'aime ça, Stiles, on le sait, glissa Kat, d'humeur taquine aujourd'hui.
– Toi! Va finir de mettre la table! ordonna t-il à Kat. Et toi! Enfournes tes feuilletés! ajouta t-il pour Derek.
– D'acc, répondit Kat.
– Et on dit, oui, maître, ajouta Stiles. »
Derek pouffa de rire, Kat le suivi, ainsi que Stiles qui s'en alla de la cuisine. Il alla prendre son traitement puis se dirigea vers la salle à manger. La table était mise et Derek lui avait tout de même versé un verre de vin.
« La lasagne sera prête dans 10 minutes, le temps que tu finisses ton saucisson, annonça Derek en partant vers la cuisine.
– Il est bien de bon humeur aujourd'hui, constata l'agent du FBI.
– Les jours de nouvelle lune, il était toujours comme ça, l'informa Katarina.
– J'aimerai que se soit la nouvelle lune tous les jours, souhaita t-il.
– Tu t'emmerdrais avec un Derek aussi mielleux, supposa t-elle.
– Hum, c'est pas faux.
– J'ai postulé dans un restaurant, annonça t-elle soudainement
– Pourq uoi faire? se demanda Stiles.
– Argent de poche.
– Tu as hérité, dit Stiles.
– La rénovation du manoir nous a coûté un paquet de blé, il reste assez d'argent pour mes études, ma voiture et mon permis, d'ailleurs, si tu pouvais glisser un mot à ce propos à Derek, ce serait bien, chuchota t-elle ensuite.
– Il a quoi Derek? Demanda justement le concerné qui deboula dans la pièce avec les feuilletés.
– Rien, c'est entre ton mec et moi, répondit Kat d'un ton plus sec qu'elle n'aurait voulu. »
Stiles releva les yeux de son verre, les joues cramoisies. Il était rouge de honte, de colère et de stupéfaction. Que devait-il répondre à ça? Il était plus que mal à l'aise et aurait voulu s'éclipser comme Castiel dans Supernatural. Pourquoi diable avait-elle sorti ça? Le policier ne sut quoi répondre, et son cerveau fulminait. Derek trancha.
« J'ai cru que ça me concernait vu que mon nom a été prononcé. Si t'as quelques chose à me faire savoir, Kat, dis-le, ne cherche midi à quatorze heures!
- Mais rien c'est juste... Je veux passer mon permis... souffla Katarina.
– On verra ça plus tard!
– Plus tard? Mais j'ai seize ans Der! Tu l'as eu à mon âge, Stiles aussi, et... J'ai postulé pour un poste de serveuse, si je rentre tard, c'est mieux non?
– T'as postulé où? demanda Derek se calmant petit à petit. »
Stiles souffla lentement, le fait que Kat ait sous-entendu qu'ils étaient en couple avait été passé à la trappe. Faudra tout de même qu'il ait une discussion avec Katarina. Elle dépassait les bornes parfois. Et manquait contestablement de respect à Derek.
Le repas se passa plutôt bien à part ça. Stiles avait bu beaucoup de vin qu'il ne l'aurait voulu afin de cacher sa gêne qu'il avait enduré plus tôt. Derek avait finalement accepté que Kat passe son permis, le fait qu'elle travaillerait tard avait influé dans sa décision.
L'adolescente n'était pas restée longtemps en leur compagnie. Derek avait embarqué la reste de la bouteille de vin dans le salon. Le loup s'était installé confortablement. Assis les jambes croisées, un livre dans une main et un verre de vin dans l'autre. L'image que Stiles decouvrit de la porte lui plaisait. Derek paraissait calme, serein et magnifique.
Le policier s'installa sur le canapé et alluma la télé. Le vin avait eut raison de lui lorsque ses paupières s'étaient fermées sur un film. Il s'était senti glisser sur le canapé, puis avait senti un bras passer autour de ses épaules.
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Mercredi 8 septembre, nouvelle lune descendante, croissante.
À son réveil, Stiles se demanda comment il avait atterri là. Il se souvient de s'être endormi dans le canapé et se retrouvait dan le lit moelleux de Derek. Derek... Cet homme commençait réellement à le perturber. Le policier regarda son ami, toujours allongé sur le dos, enfouit dans les couvertures, seul sa tête et ses bras dépassaient. Il regarda ensuite son réveil. Il fallait qu'il s'active et se réparer pour aller bosser.
Arrivé au poste, il se fut attribué une nouvelle enquête. Avec son coéquipier, ils se dépêchèrent d'avancer dans cette affaire. Il regarda également les résultats de sa recherche sur la meute de Kyle. Les Whitehorse avaient plusieurs demeure, mais l'une d'elles se trouvait aux abords de Beacons Hills. Il nota l'adresse, en se disant que Derek sera ravi de s'y rendre.
Ce fut à l'heure du déjeuner que Stiles se rappela qu'il avait promis à Derek de faire le dîner. Il déjeuna rapidement et passa à l'épicerie pendant l'heure du déjeuner. Il acheta ce qu'il lui manquait pour parfaire le menu de ce soir. Un chou fleur, deux poivrons rouges, du curcuma, du gingembre et du lait de coco. Stiles cuisinera ce soir et il était presque sûre que Derek n'avait jamais mangé ce qu'il allait lui préparer. Enfin pas du fait maison du moins.
De retour au commissariat, il continua son enquête. L'affaire paraissait assez simple mais il fallait tout de même prendre quelques précautions. Tout le monde est innocent, jusqu'à preuve du contraire.
À son retour chez les Hale, Stiles ne trouva personne. La Camaro était pourtant garée en face. Derek devait être ici, à moins qu'il était parti à pied, ou même était parti faire un footing.
Il était déjà 18h et Stiles se dit qu'il pourrait préparer un apéro tout en commençant à préparer le repas. Il coupa de l'Emmental en dés et sortit quelques tomates cerise. Il se servit un verre de vin de la bouteille de la veille.
Après avoir tout sorti ce qu'il lui fallait sur le plan de travail, il commença à éplucher un oignon. Il coupa ensuite le chou fleur, les poivrons, les oignons et les tomates. Il n'oublie pas d'écraser deux grosses gousse d'ail.
Il éminca ensuite du blanc de poulet et le fit roussir doucement avant d'ajouter les oignons, l'ail, le chou fleurette et les poivrons.
Il était en train de râpé du gingembre lorsque Derek entra dans la cuisine une unique serviette autour de la taille.
Heureusement que Stiles utilisait une râpe au lieu un couteau, car l'image qu'il eût le perturba au haut plus point et aurait pu lui faire trancher un doigt, ou même une main!
« Derek! Je savais pas que t'étais là!
– Je suis allé courir, l'informa le plus vieux.
– Dans cette tenue? fit Stiles en détaillant son corps.
– Non, fit-il en riant, je me suis fait couler un bon bain ensuite, ajouta t-il en regardant l'état de la cuisine.
– Ceci explique cela. Tu veux un verre de vin? J'ai préparé l'apéro. Tu veux peut-être passer un caleçon avant?
– Euh.. oui, pour le vin. Du gingembre ? fit Derek en levant un sourcil.
– Ouais, t'as oublié, c'est moi qui cuisine ce soir, déclara t-il en versant un verre au loup.
– Et donc du gingembre... dit simplement Derek le sourcil toujours levé.
– Ça fait partir de la recette. Tu comptes prendre l'apéro dans cette tenue? C'est pas que ça me dérange mais bon, c'est assez ... perturbant, avoua t-il alors que son regard deriva sur les abdominaux bien musclés de son kidnappeur.
– Oui, je vais m'habiller, tu comptes tout y mettre? demanda t-il en désignant le gingembre.
– Pourquoi t'as peur de ne pas pouvoir répondre de tes actes? taquinait Stiles en souriant pleinement.
– J'ai pas envie de dormir en faisant le piquet de tente, tu vois, répondit Derek en grimaçant.
– Je vois... va t'habiller, ordonna le plus jeune. »
Derek sorti de la cuisine et Stiles pu respirer à nouveau. Il ne s'était pas rendu compte mais il se retenait de respirer, Derek lui faisait vraiment un putain d'effet et c'était déconcertant.
Stiles bu une gorgée de son verre de vin puis ajouta le gingembre, le curcuma, le Curry, puis les tomates. Il fini par ajouter le lait de coco et mit l'eau du riz sur la gazinière. Derek revint à l'instant vêtu d'un jean et d'un t shirt vert bouteille, et à pied nu. Ce vert lui allait que trop bien. Stiles craqua sur sa tenue à présent.
« Au fait, j'ai une adresse pour toi. Les Whitehorse ont une propriété au sud de Beacons. Personne n'est sensé y habiter. Je me suis dis que ça pourrait-être leur tanière.
– Ça semble une bonne hypothèse, j'irais après manger.
– Je t'accompagnerai, fit Stiles.
– D'accord, alors, qu'est ce que tu nous fais au juste? questionna Derek en s'installant face à Stiles.
– Poulet thaï curry coco accompagné d'un riz thaï.
– Ça va de soit, fit Derek en mangeant un bout de fromage. Je te connaissais pas avec de telles compétences culinaires, t'es un homme à marier, déclara le loup. »
Stiles beugea un instant, la phrase était anodine pour Derek mais ça ne l'était pas pour Stiles.
« Euh, en vrai, j'ai deja donné et ça m'emballe pas de me marier de si tôt. Et toi? Tu voudrais te re marier ?
– J'aimerai me marier au moins une fois dans ma vie, un vrai mariage, je parle, enfin une union du moins. Sophia c'était différent, ce n'était pas vraiment une union basée sur... Y'avais pas d'amour quoi! abrégea Hale.
– Ah... fit seulement Stiles ne sachant pas quoi dire pour une fois.
– Mais toi, tu vas bien te marier un jour non? Il lui faut une vie de famille à Maddy.
– J'ai déjà une famille, murmura Stiles.
– Ton père ne sera pas toujours ... Enfin tu vois, marmonna Derek.
– Je vois, mais je pensais pas à mon père à vrai dire. C'est pas toi qui disait qu'une meute c'était une famille, lança le plus jeune.
– Si, acquiesça le loup.
– Alors j'ai une famille qui se constitue principalement de loup garou, mais c'est une famille que j'aime.
– Et la meute t'aime aussi, conclut un membre de sa famille. »
Stiles plongea le riz dans l'eau, puis commença à mette la table, Derek le suivi et l'aida. Le loup vida la bouteille de vin dans leurs verres.
« Je présume que Kat mange avec son chéri.
– Tu présume bien, marmonna Derek. »
Stiles fini de mettre la table tout en regardant son sourwolf, il voyait bien que Derek n'appréciait pas sa relation. Il avait toujours été protecteur avec les siens, un peu trop, quitte à être envahissant.
« Derek...
– Quoi! grogna soudainement le loup.
– Je vois que ça te fait chier que Kat sort avec Jo.
– C'est pas que ça me fait chier, c'est juste que je le connais à peine. On le connait pas Stiles.
– Il faut que tu apprennes à faire confiance aux gens Derek. Je sais que ton côté ptotecteur est très développé, mais c'est étouffant des fois, glissa Stiles.
– C'est normal de protéger les gens qu'on aime Stiles, Kat en particulier. »
Stiles servi Derek, puis les hommes commencèrent à manger.
« Elle n'était qu'une enfant quand j'ai débarqué chez eux. Et je pensais pas que Kyle allait se faire tuer et que .. Sophia allait mourir ensuite. Me laissant tuteur d'une gamine de 15 ans. Tu sais, on a vécu beaucoups de chose elle et moi.
– Je me doute, mais c'est la vie, Derek. Elle est pleine de surprises. Parfois la vie nous fait des bonnes surprises, parfois des mauvaises, parfois même elles peuvent être bonnes puis mauvaises, ou l'inverse. Ça peut être mauvais et bon ensuite.
– Tu es train de me dire que la mort de Kyle et Sophia peut-être bénéfique ensuite? lâcha Derek sur la défensive.
– Non, je sais juste que la première fois que je t'ai vu avec Scott, tu n'étais pas du tout une bonne surprise, loin de là, ajouta Stiles en roulant des yeux. Franchement, tu me faisais bader, mais voilà. Je suis là, avec toi, on dine à deux tranquillement, j'ai même cuisiner pour toi! fit remarquer l'humain. Tu étais une mauvaise rencontre puis tu es devenu une belle rencontre, la plus belle, si ça se trouve, souligna t-il. »
Derek baissa les yeux, sûrement gêné par l'aveu de son cadet. Les hommes mangèrent silencieusement ensuite, puis ils décidèrent d'aller chez Whitehorse.
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