Disclaimer : Tout l'univers et les personnages de Twilight appartiennent à Stephenie Meyer !
Hello,
Voici le chapitre de la semaine.
Bonne lecture, et je suis ravie de lire vos reviews :)
Suite du vendredi 28 mars 2003 !
Forks !
Quand elle s'était habillée ce matin, Bella avait fait bien attention à ce que sa marque ne se voit pas. Comment aurait-elle pu expliquer qu'elle avait laissé son petit copain la mordre jusqu'à en laisser une trace bien visible ? Non, personne ne devait savoir, alors son choix de vêtement s'était porté sur un pull avec un léger col roulé. Pas trop gros, mais il cachait parfaitement sa marque. Elle s'était aussi retenue toute la journée pour ne pas se toucher le cou, ça aurait attiré l'attention sur elle, et elle ne le voulait pas. Elle se languissait de Paul. Toute la journée, bien qu'elle se fût concentrée sur les cours, elle n'avait fait que penser à lui, écoutant à peine les banalités du quotidien des autres. Imprégnation, coup de foudre… peu importe le nom. Bella avait mis les deux pieds dans le plat, et sans le moindre regret. Pourquoi en aurait-elle ? Rare sont les personnes qui peuvent affirmer avoir rencontré l'homme de sa vie du premier coup. Certains le pensent, mais se rendent compte au bout d'un laps de temps s'être trompé et mettent fin à leur mariage. L'imprégnation, c'était pour la vie. Ok, ils se connaissaient tout juste, et malgré qu'elle l'ait laissé la marquer seulement quatre jours après l'avoir rencontré, ils auraient tout le temps nécessaire pour apprendre à mieux se connaitre.
« Ne crois pas que la marque te force à quoi que ce soit, bébé. Je t'ai dit que j'allais te séduire, et je vais passer des jours, des semaines, des mois s'il le faut, à apprendre à connaître celle que tu es. Je veux tout connaitre de ma femme. »
Il lui avait fait cette déclaration après le dîner. Ma femme… Bella ne croyait pas au mariage, mais si Paul insistait…
Clac !
La porte de son casier se ferma dans un bruyant claquement alors qu'elle était en train de rêvasser. Bella cligna des yeux pour sortir de ses pensées, et fit face à une Angela assez perplexe, et déterminée à obtenir des réponses. Aïe… Bella n'avait pas vraiment dit à son amie qu'elle avait revu ce beau garçon rencontré au supermarché.
« T'étais ailleurs toute la journée, ce qui ne te ressemble pas. » lui dit Angela. « Tu m'expliques ? »
« Euh, et bien disons que j'ai comme qui dirait un, petit copain depuis mercredi ! »
Petit copain… Paul était pour elle plus qu'un simple petit-ami, mais ça, elle ne pouvait pas l'avouer à son amie. Le secret de la meute devait rester tel quel. Secret !
« Et tu me l'as caché parce que… »
« Parce que je suis littéralement en train de planer. » dit Bella.
« C'est qui ? » demanda Angela. « Ça ne peut pas être un mec du lycée, sinon tu serais accroché à son bras. »
« Tu l'as déjà rencontré ! » dit Bella. « Tu m'as vu craquer pour lui au supermarché. »
« Non ? » souffla Angela. « Ok, je veux tous les détails ! »
Aïe… Comment altérer la vraie version de l'histoire ? Bella ne pouvait pas avouer à Angela que les rêves érotiques qu'elle faisait au sujet de Paul n'étaient pas juste le fruit de simples fantasmes.
« Je suis allée à la réserve mercredi pour prendre l'air et, on s'est croisé. On a parlé et une chose en entraînant une autre, on s'est embrassé. » commença à raconter Bella. « On a eu le coup de foudre et il m'a demandé de sortir avec lui. »
« C'est… complètement dingue. » dit Angela.
« Je ne te le fais pas dire. » dit Bella en marchant vers la sortie. « Ce qui est encore plus dingue, c'est que je vais passer le week-end chez lui. »
« Bella, tu ne vas pas un peu trop vite ? » lui demanda Angela, inquiète pour son amie.
« Possible, mais mon père n'y voit pas d'inconvénient. » répondit Bella. « Il le connait bien, et je sais que ça peut te paraître bizarre, mais fais-moi confiance. On va apprendre à mieux se connaitre, et on ne se pressera pas. »
Pendant que Bella rassurait son amie, sur le parking, Paul était adossé contre sa voiture à l'attendre. Il avait fini plus tôt, merci l'absence d'un de ses profs. Les élèves commençaient à s'amonceler sur le parking. Rien n'échappait au loup. Ni les regards appréciateurs des filles, et encore moins l'odeur exécrable qui venait des cinq vampires qui s'avançaient vers lui.
« Je peux savoir ce que tu fais là, loup ? »
« Calme-toi, Cullen ! » dit Paul, plus calme que ce vampire à qui il avait envie d'arracher la tête. « Contrairement à vous, j'ai le droit de me balader où bon me semble. »
« Edward, s'il te plaît, n'attire pas l'attention ! » lui dit Alice Cullen.
« Bien que je n'aie aucun compte à vous rendre, je suis venu chercher ma copine. » dit Paul, qui ne quittait Edward des yeux. « D'ailleurs, si tu tiens à garder ta tête à sa place, je te conseille de foutre la paix à Bella et d'arrêter de la regarder. Ça la met mal à l'aise. »
« Je… je ne suis veux aucun mal. » dit Edward. « Et en quoi ça te regarde ? »
Paul coula un regard vers Alice. Etant doté du don de voyance, c'était étonnant qu'elle n'ait pas vu qu'il était lié à Bella.
« Tu ne lui as rien dit ? »
« Contrairement à ce qu'on pense, je ne me mêle pas de la vie privée des gens, et encore moins de celle des loups. » répondit Alice.
« Bella est avec moi ! » dit Paul, qui regarda à nouveau Edward. « C'est mon âme-sœur. En d'autres termes, reste loin d'elle. »
Le loup ne prêta plus attention aux cinq vampires, car une odeur délicieuse de freesia vint recouvrir la puanteur des sangsues.
« Je crois qu'on en a fini. » leur dit-il.
Malgré que son regard soit focalisé sur Bella qui entrait dans son champ de vision, il vit que le garçon blond des Cullen faisait reculer Edward jusqu'à l'endroit où étaient garées leurs voitures. Bien, une bonne chose de faite.
« Enfin, j'ai cru que j'allais devoir entrer pour venir te chercher. » plaisanta-t-il, quand elle fut devant lui.
« Désolée, je discutais avec Angela. » dit Bella, en se mordant la lèvre.
« Tu lui fais du mal, et je te démoli même si tu fais deux têtes de plus que moi. » le prévint calmement Angela.
« C'est noté ! » dit Paul, alors que son loup était clairement amusé.
Il attendit qu'elle s'éloigne pour attirer Bella contre lui, une main sur sa hanche et l'autre sur sa joue.
« Bonjour, bébé ! »
« Salut ! » Il l'embrassa. « Comment ça se fait que tu sois déjà là ? »
« Prof absent ! » Un baiser sur le nez, qu'elle fronça. « Tu m'as manqué ! »
« Toi aussi ! »
Il la fit monter dans sa voiture après l'avoir embrassé à nouveau, et démarra une fois derrière le volant.
« Tes affaires sont prêtes ? » demanda-t-il.
« Oui ! » répondit-elle en bouclant sa ceinture.
« J'ai mis les choses aux claires avec Cullen devant ses frères. Il devrait te foutre la paix. »
Elle soupira de soulagement. Elle n'avait rien contre eux, mais elle n'aimait pas qu'il la regarde. Tout en conduisant, Paul lui prit la main, et ne la lâcha pas jusqu'à ce qu'ils arrivent au supermarché.
« Ah, un de mes endroits préférés. » dit Paul, un sourire en coin.
Il sortit de la voiture après s'être garé, bien conscient que Bella rougissait. Il aimait la faire rougir, et il n'allait pas s'arrêter de sitôt. Il fit le tour du véhicule pour lui ouvrir la portière, et lui prit la main.
« Tu crois que tu pourrais me cuisiner des bons petits plats pour la semaine prochaine ? » lui demanda-t-il en prenant un caddie.
« Je pourrais aussi t'inviter à dîner tous les soirs. » répondit Bella.
« Je crois que je préfère cette alternative. » sourit-il.
Pendant dix minutes, Bella poussa le caddie pour laisser son chéri libre de tout mouvement pour qu'il puisse prendre ce dont il avait besoin, et elle ne fut pas étonné qu'il n'avait pas fait de liste. C'était bien un mec… se dit-elle.
« Je n'ai pas besoin de liste ! » dit-il, sentant l'amusement provenant d'elle. « Tout est là ! »
« Comment tu sais… laisse tomber ! »
Lui tournant le dos, il souriait. Paul avait senti le manque d'étonnement venant de Bella, puis une pointe d'amusement. Il n'avait pas besoin de plus pour savoir ce qu'elle pensait.
« Qu'est-ce que tu veux manger, ce soir ? » lui demanda-t-il.
« Euh, c'est plutôt à moi de te poser cette question, vu que c'est moi qui vais cuisiner. » lui dit-elle.
« Je mange de tout ! » lui dit-il en retour. « Alors, je te laisse décider quoi mettre dans le caddie maintenant. »
« Euh, ok ! » dit-elle, prise au dépourvue.
Qu'est-ce qu'elle allait bien pouvoir cuisiner pour leur dîner de ce soir ? Hum… Elle délaissa le caddie et, tout en réfléchissant aux nombreux plats qu'elle aimait cuisiner, elle flâna dans les rayons et remplie le caddie, que Paul poussait. Des pâtes, des fruits, des légumes, des pommes de terre, de la viande hachée… Quand elle se rendit compte qu'il ne l'empêchait pas de remplir le caddie, elle fronça les sourcils.
« Ne t'en fais pas pour mon budget, bébé. » lui dit-il.
« T'es sûr ? »
« Puisque je te le dis ! » Il lui prit la main et l'attira à lui pour l'embrasser. « Tu pourrais refaire le même gâteau qu'hier ? »
« Hum, si je peux prendre mon matériel à la maison… »
« Inutile ! » lui dit-il. « J'ai tout ce qu'il faut dans ma cuisine. »
Cet homme était plein de surprise. Bella passa donc dans les rayons où étaient entreposés les ingrédients dont elle aurait besoin pour faire des gâteaux, et arrivé à celui où il y avait la farine, elle sentit son cœur s'accélérer et ses joues s'échauffer. C'était à cet endroit même où elle avait rencontré Paul pour la toute première fois. Son cœur manqua un battement quand le jeune homme se coula dans son dos, une main se glissant sur son ventre par-dessus son pull.
« Besoin d'aide pour attraper la farine, Mademoiselle Swan ? » susurra-t-il à son oreille.
« Oui ! » souffla-t-elle en se mordant la lèvre pour ne pas rire.
« Un, ou deux paquets ? » la taquina-t-il.
« Arrête de me torturer ! » le supplia-t-elle dans un souffle.
« Non ! » dit-il en s'écartant. Il mit deux paquets de farine dans le caddie, avant d'embrasser Bella au beau milieu du rayon. « Je passerais notre vie à torturer ton désir, bébé ! »
« Fais attention parce que, quand je serai plus à l'aise, je pourrais te rendre la pareille. » le prévint-elle.
« J'y compte bien ! »
Le temps qu'ils finissent les courses, Bella avait réussi à retrouver un semblant de sérénité mentale. Paul aimait jouer avec son innocence, et elle était étonnée de savoir qu'un garçon aussi inexpérimenté qu'elle puisse jouer à ce point sans presser les choses. Il avait un tel self-control que s'en était déroutant. Ils firent un détour par chez elle afin qu'elle récupère son sac pour le week-end, et enfin, songea Paul, direction La Push. Il avait hâte de l'avoir pour lui tout le week-end. De la garder contre lui la nuit. Il voulait qu'elle occupe cet espace dans lequel il avait grandi pendant dix-huit ans, et où il vivait seul désormais depuis plus d'un mois. Il n'était pas question pour lui d'aller vivre ailleurs. Ça aurait été le cas, si ses parents étaient encore de ce monde et que viendrait le jour où il devra vivre avec Bella. Mais ils n'étaient plus là, malheureusement, et Paul n'avait pas l'intention de vendre la maison de son enfance.
« J'ai dû mentir à Angela ! »
Surpris dans ses pensées, Paul tourna la tête vers Bella, triste. Heureusement, ils étaient arrivés alors il se gara, éteignit le moteur, défit sa ceinture et se tourna face à Bella.
« Hey, tout va bien bébé ! » lui dit-il en prenant sa joue en coupe alors qu'elle défit sa ceinture à son tour. « Raconte-moi ! »
« J'ai été à l'ouest toute la journée, enfin, à part en cours, mais Angela a voulu savoir pourquoi et, j'ai dû lui mentir sur la façon dont on s'est mis ensemble. » dit Bella en soufflant. « Je me sens mal à l'aise d'avoir eu à lui mentir. »
« Tu n'as pas eu le choix. Tu sais bien que personne ne doit être au courant pour la meute. » lui dit-il.
« Je sais, et je ne trahirais jamais ton secret, mais je n'aime pas avoir à lui mentir. »
« Je suis désolé, bébé ! » Il l'embrassa. « Allez viens, on va ranger les courses et je vais enlever cet air triste de ton visage. »
Elle se demanda bien comment il comptait s'y prendre, mais elle sortit tout de même de la voiture. Il leur fallu en tout trente bonnes minutes pour sortir les courses du coffre jusqu'à la cuisine, de tout enlever des sacs et de tout ranger. Paul retourna ensuite à la voiture récupérer les affaires de Bella, qu'il alla mettre dans sa chambre. Elle enleva sa veste, qu'elle accrocha au porte-manteau à l'entrée.
« Et si je nous faisais un brownie ? » proposa Bella, quand il vint la rejoindre dans la cuisine.
« Plus tard ! » Il prit son visage entre ses mains et l'embrassa, affamé de sa saveur. « J'ai eu envie de faire ça toute la journée. »
Et elle dont ! Elle s'accrocha à lui quand il la souleva pour l'emmener dans sa chambre. Il la regardait comme si elle était la plus belle chose au monde. Ce qu'elle était à ses yeux, et Bella avait encore du mal à s'y faire. Caressant ses joues, il l'embrassa, caressant sa langue de la sienne. Elle se laissa aller dans ce baiser et, en voulant plus, elle leva les bras. Comprenant parfaitement le message, Paul lui retira son pull, avant d'enlever son propre t-shirt. Il dégagea les épaules de Bella de ses cheveux, les emmenant en arrière, et quand il vit la morsure sur sa clavicule, un grondement de satisfaction monta en lui. Il se pencha pour embrasser la marque, soulevant de nouveau Bella dans ses bras pour les allonger sur le lit. Traçant le contour de la marque, Paul remplaça ses doigts par sa langue. Il la lécha, l'embrassa, et en suça chaque recoin, se délectant des gémissements qui s'échappaient de Bella.
« Paul… »
« Hum ? »
« Embrasse-moi ! »
Il y avait une telle supplique dans sa voix. Comment pourrait-il y résister ? Délaissant la marque, Paul remonta vers sa bouche et s'en empara en un baiser langoureux. Elle avait une saveur aussi exquise que son odeur.
« Tu es magnifique ! » souffla-t-il en dévorant son corps du regard, une main caressant son épaule.
Penchant la tête en avant, il déposa un baiser entre ses seins, se souvenant parfaitement du moment où il s'en était occupé la veille. Dieu qu'il avait envie de recommencer.
« Magnifique ! » répéta-t-il.
Malgré elle, Bella laissa échapper un rictus qu'elle ravala trop tard. Paul se redressa de toute sa stature et la regarda, perplexe.
« C'était quoi, ça ? »
« Rien ! »
Il fronça les sourcils, pas décidé à lâcher le morceau. Bella se mordit la lèvre, mal à l'aise devant son regard scrutateur.
« Cesse de te mordre la lèvre. »
Elle déglutit et se redressa pour s'asseoir. Paul s'asseya sur ses talons, et attendit.
« Je… j'ai du mal à croire que tu puisses me trouver… jolie. » admit-elle en se mordant de nouveau la lèvre.
« Tu plaisantes, n'est-ce pas ? » Elle secoua la tête. « Premièrement, je vais te mordre si tu continues à t'entêter à te mordre la lèvre devant moi. » Elle gloussa quand il tira sa lèvre inférieure de son pouce. « Deuxièmement, tu n'as pas idée de ce que tu me fais. Tu es belle, ma Bella. Je veux que tu arrêtes de penser que je voudrais une autre que toi. Tu es née pour moi, pour partager ta vie avec moi, et ce n'est pas la force du destin qui me pousse à te dire que tu es magnifique. Je le pense sincèrement. Tu es tout ce que j'ai toujours désiré. Je t'attends depuis que j'ai dix ans, bébé. Tu es si belle ! »
Une larme roula sur la joue de Bella. Il l'effaça, et l'embrassa. Touchée à l'âme et au cœur par les mots qu'il venait de prononcer, la jeune fille s'accrocha à lui, lui rendant son baiser avec plus de force. Un gargouillement très bruyant rompit l'instant, et ça ne venait clairement pas de Bella.
« On dirait que t'as faim ! » dit Bella.
« La bouffe de l'école est dégueulasse comparée à la tienne. » répondit-il. « Désolé de gâcher ce moment. »
« Oh ça va, et puis ça t'apprendra à préférer m'embrasser plutôt qu'à te nourrir convenablement. » lui dit-elle en le poussant pour se lever du lit. « Allez viens, je vais nous faire un gâteau et préparer le dîner. »
Au lieu de remettre son pull, elle chipa le t-shirt de Paul par terre et le mit. Le loup sourit, ravi de la voir s'approprier ce qui lui appartenait. Maintenant, il ne manquait plus qu'à tomber le jean pour qu'il puisse mater ses jambes nues. Avec un peu de chance, elle acceptera de dormir avec rien d'autre que son t-shirt sur le dos. Dans la cuisine, il lui montra les placards où se trouvait les ustensiles de cuisine, et tout ce qui pouvait servir à la pâtisserie. Bella se mit donc au travail, sous l'œil attentif et plein de désir de Paul. Bon sang, qu'il aimait la regarder cuisiner. Bella mit le moule dans le four, et régla le minuteur électronique sur quarante minutes. Cédant à une pulsion, Paul s'approcha, prit la spatule avec laquelle Bella avait raclée le chocolat du saladier, et il fit glisser son doigt sur les restes de chocolat sur son index. Il reposa la spatule, attira Bella contre lui en la tenant par la taille, et porta le doigt à sa bouche. Il n'attendit pas qu'elle ouvre les lèvres, et les peignit délicatement avec le chocolat, qu'il lécha par la suite avant d'embrasser pleinement cette bouche qui le faisait fantasmer depuis cinq jours.
« Délicieux ! » murmura-t-il entre deux baisers.
« Arrête… » geignit-elle alors qu'il jouait avec sa langue. « … de jouer avec moi. »
A mercredi prochain pour un nouveau chapitre. D'ici là, prenez soin de vous.
Bizzz, Aurélie !
