Disclaimer : Tout l'univers et les personnages de Twilight appartiennent à Stephenie Meyer !

Bonjour,

Je ne m'attarde pas. Bonne lecture. Chapitre 100% Pella !


Forks !

Paul avait une seule hâte, lorsqu'il se gara devant la maison de son beau-père. Prendre Bella dans ses bras et enfouir son visage dans ses longs cheveux pour y respirer son odeur. Il avait besoin de sentir ses doigts sur sa peau et de goûter sa bouche après cette journée merdique. Elle avait pourtant si bien commencé. Il s'était réveillé avec Bella, la tête posée sur son torse nu. S'en était suivis un copieux petit-déjeuner et une séance de bisous langoureux. Il avait besoin de ça. Son sac en main, il grimpa les quelques marches du perron, frappa deux petits coups et attendit. Il sourit de contentement lorsqu'elle apparut, les cheveux étalés autour d'elle. bien, il n'aurait pas à gronder même si elle lui avait clairement dit qu'elle ferait ce qu'elle voudrait tant que la marque était à son cou. Peut-être que la présence de son père, s'il se fiait à la voiture de patrouille garée dans l'allée, en était la raison. Elle était habillée de la même manière que ce matin lorsqu'ils s'étaient quittés pour aller chacun dans son lycée, à savoir un jean et un pull fin.

« Enfin t'es là ! » dit-elle, soulagée de le voir. « T'en as mis du temps. Que s'est-il passé ? »

Il entra, posa son sac dans l'entrée et la prit dans ses bras pour enfouir son nez dans ses cheveux comme il en rêvait.

« Plus tard ! » dit-il en emplissant ses poumons de son odeur.

Une odeur de freesia qui lui fit tourner la tête et les sens, et qui apaisa son loup qui fit le dos rond avec de se rouler en boule.

« Pose tes mains sur moi, bébé ! » quémanda-t-il.

« Ouh la, ça a l'air sérieux. » dit-elle en fronçant les sourcils, mais en glissant ses mains sous son t-shirt pour toucher sa peau. « C'est mieux, comme ça ? »

« Parfait ! » souffla-t-il. « Tu m'as manqué. »

« Toi aus… hum ! »

Il l'embrassa avant qu'elle ait pu lui répondre à l'identique. Elle se perdit dans ce baiser, tendre et sauvage à la fois.

« Tu fais encore des gâteaux, ou bien mon nez me tromperait ? » demanda-t-il en sentant une délicieux odeur de farine et de chocolat.

« Non, tu ne te trompes pas. » répondit-elle en aspirant sa lèvre entre les siennes. « Mon homme a toujours faim. »

« Si tu continues, c'est toi que je vais dévorer. » grogna-t-il.

« Patience, mon père sera parti après le dîner, et j'ai une petite surprise pour toi. » dit-elle d'une voix suave alors qu'elle caressait sa peau, ses mains toujours sous son t-shirt.

« Si c'est pour me torturer comme hier… » la prévint-il, mais elle le coupa d'un baiser.

« Tu pourras te venger ce week-end. »

« Ah ouais ? » Elle répondit d'un hum hum tout en ramenant une main sur ses abdos. « Et, de quelle manière ? »

« On verra ça le moment venu. » dit-elle.

Retirant ses mains de sa peau, elle le prit par le bras et le fit asseoir sur une chaise dans la cuisine, et lui demanda :

« Raconte-moi ce qui s'est passé. J'ai ressenti une colère et une lassitude il y a moins d'une heure qui ne venaient pas de moi. »

Alors, Paul lui raconta tout depuis le début. De l'altercation entre Kim et Chelsea dans les couloirs du lycée, jusqu'à la convocation du Conseil des deux parties, non sans oublier qu'elle venait de dire qu'elle avait ressenti ce qui émanait de lui alors qu'ils étaient séparés par une distance importante. Manifestant sa joie en se redressant et en remuant la queue, son loup poussa l'homme à se jeter sur elle pour jouer avec elle. Il voulait la lécher, l'embrasser, la mordre. Paul avait remarqué depuis plusieurs jours que le lien s'était renforcé. Le week-end qu'ils avaient passé ensemble y avait contribué, en plus de la marque, mais ça prenait toujours un peu plus de temps pour l'imprégnée.

« La mère de Chelsea a essayé de gifler Kim ? »

Bella n'en revenait pas. Comment une adulte, une mère de famille, pouvait en arriver à vouloir frapper une enfant qui n'était pas la sienne ?

« Ouais ! » acquiesça Paul. « La mère de Jared est arrivée juste après qu'il l'en ait empêché, et elle ne s'est pas privée pour lui rendre la faveur. »

« Comment risque de le prendre la mère de Kim ? » demanda Bella. Au vu de la grimace que fit le jeune loup, elle comprit le message. « Je vois, ça risque de chauffer lorsque ses parents vont rentrer. »

« Comment réagirait ta mère si une adulte essayait de t'en mettre une parce qu'elle ne croit pas aux allégations contre sa fille ? » voulut-il savoir.

« Ouh la ! » fit Bella, en allant prendre la bouteille de lait dans le frigo.

« Ce serait un vrai massacre ! »

Charlie entra dans la cuisine, les yeux mi-clos par le sommeil.

« Déjà réveillé ? » s'étonna Bella.

« L'odeur de tes gâteaux m'a réveillé. » dit Charlie. « Et le coup de fil de Billy pour me parler de cette convocation. Je vais aller à la réserve. »

« Je vais te faire du café. » dit Bella, avant de prendre un muffin dans le panier de pâtisserie pour le tendre à son père, qui lorgnait dessus avec une envie évidente. « Tiens ! »

« Tu es la meilleure, ma fille ! » dit-il en s'emparant du muffin.

Il retourna à l'étage. Bella versa un grand verre de lait qu'elle posa devant Paul, et lui donna deux muffins avant d'aller préparer du café pour son père. Paul se régala en silence. Chaque fois qu'il goûtait à la cuisine de Bella, il ne pouvait s'empêcher de se dire à quel point il était chanceux. Elle savait cuisiner comme un vrai chef, et elle faisait des gâteaux d'enfer. Charlie parti vingt minutes plus tard, un thermos de café chaud dans une main, et un sachet de congélation avec des muffins dans l'autre. Vidant son verre de lait d'une traite, Paul attendit que Bella se retourne vers lui pour lui faire signe de le rejoindre.

« Approche, bébé ! »

Elle ne se fit pas prier, et s'assit sur lui à califourchon. Du pouce, elle récolta les gouttes de lait qui s'étaient accroché sur sa lèvre supérieure, et le porta à sa bouche.

« Bella, comment veux-tu que je me comporte correctement quand je te vois faire ça ? » demanda Paul, le souffle court par ce qu'elle venait de faire.

« Tu aurais préféré que je lèche du chocolat ? » demanda-t-elle, malicieuse.

« Ça suffit, bébé ! » gronda-t-il.

« Tu as des devoirs pour demain ? » demanda-t-elle pour changer de sujet. Il secoua la tête. « Une interro à réviser ? » Nouveau hochement négatif. « Moi non plus. Et il n'y a plus de gâteaux dans le four. »

« Donne-moi ta bouche ! » grogna-t-il en agrippant sa nuque pour l'attirer pour un baiser langoureux, sauvage, plein de chaleur et de désir. « Ta chambre ? »

« Oui ! » souffla Bella.

Dieu du ciel que ses baisers étaient renversants ! La gardant dans ses bras Paul monta dans la chambre de Bella, et les allongea sur le lit. Elle se tortilla pour enlever son pull tant elle avait chaud. Paul l'imita, et très vite, elle se retrouva en soutien-gorge – un très beau modèle bleu-roi, et lui torse nu. Quand il posa les yeux sur le soutien-gorge, il se lécha les lèvres et se pencha pour lécher la peau de Bella entre ses seins.

« Superbe ! »

« Tu veux voir le bas qui va avec ? » demanda-t-elle.

Quitte à le rendre fou, autant mettre le paquet, se dit-elle.

« Bella, ton père… »

« Ne va pas rentrer avant un moment. » le coupa-t-elle. « Et rien ne t'empêche d'aller fermer la porte. »

« Si je te vois en sous-vêtement, je risque de devenir fou et de déraper. » lui dit-il. « Je ne peux… »

Elle coupa d'un baiser, et dit fermement :

« Va fermer la porte, et reviens vers moi. »

Alors Paul alla fermer la porte de la chambre. Avant de se rallonger, il se délesta de ses chaussures, et enleva son jean. Bella approuva d'un signe de tête et lui tendit la main pour qu'il la rejoigne.

« La journée a été difficile, n'est-ce pas ? » demanda-t-elle d'un souffle. « Tu as besoin de moi ? »

« J'ai toujours besoin de toi, Bella. » lui dit-il. « Ça ne fait qu'une semaine que je t'ai rencontré, et tu es déjà plus importante pour moi que tout le reste. »

Il avait envie de lui dire je t'aime, mais il préféra garder ses mots pour lui. Pour l'instant. C'était trop tôt. Pour elle.

« J'ai tellement envie de toi, besoin de toi que ça me fait mal. » Il caressa sa joue du bout des doigts. « Je n'ai qu'une seule chose en tête quand je te quitte le matin, c'est de te retrouver pour t'embrasser, respirer ton odeur. »

« Embrasse-moi ! » geignit-elle, le corps en feu.

Entre la chaleur du corps de son homme et les mots, la façon dont il les prononçait, Bella n'en pouvait plus. Un feu brûlant traversait ses veines. Elle avait l'impression d'être sur le point d'imploser.

« Mon pantalon… »

« Va rester où il est. » dit Paul. « Il vaut mieux que tu le gardes, bébé. Ce n'est pas comme le jour où je t'ai marqué. »

« Ok ! »

Il ne semble pas avoir remarqué un détail, sur son soutien-gorge, et Bella en profita pour le dérouter. Elle porta les mains sur le devant de son soutien-gorge, et détacha les agrafes qui étaient au-devant du vêtement. Elle n'avait pas dit à Kim, au téléphone un peu plus tôt, qu'elle portait déjà le fameux soutien-gorge, et quand Paul vit ses seins, ses magnifiques seins ronds et savoureux poindre une fois libérée de leur entrave, son loup se rua contre sa cage pour prendre le contrôle.

« A la niche, sac à puce ! » lui grogna Paul.

Mais le loup ne voulait rien entendre. Paul serra les dents, referma sa main gauche sur la couverture.

« Mon loup te veut… » dit-il à Bella, grinçant des dents pour résister à la vague de désir qui le submergea.

« Embrasse-moi ! »

« Ça ne suffira pas ! » dit-il. « Il veut tellement plus. Je veux tellement plus. »

Prenant la main qui serrait la couverture par le poignet, Bella la porta à sa poitrine et la posa à plat sur sa peau, entre ses seins.

« Bébé… »

Répondant à un instinct qui venait du plus profond de ses tripes, Bella noua ses mains l'une à l'autre au-dessus de sa tête. Le loup et l'homme virent ce geste comme une sorte de soumission. Un abandon de soi pour qu'il puisse faire ce qu'il voulait d'elle. Paul fut transpercé par une puissante vague de confiance et d'un amour naissant qui étouffa l'impatience du loup. L'animal fut calme, absorbant les émotions qui venaient de sa compagne. Elle tombait amoureuse de lui. D'eux. Paul le sentait aussi, et cela l'aida à reprendre ses esprits. Il pouvait embrasser Bella, parcourir son corps sans chercher à forcer les choses. Les émotions qui allaient et venaient entre eux via le lien suffisaient. Doucement, il fit glisser sa main vers le cou de Bella, caressant sa peau du pouce et remonta vers sa bouche, qu'il effleura. Il se pencha et captura sa bouche d'un baiser tendre.

« Un de ces jours, ma Bella, je t'attacherais pour te rendre au centuple ce que tu me fais endurer. » lui dit-il, une note de promesse dans la voix et dans le regard.

« C'est plus fort que moi. » avoua-t-elle en se mordant la lèvre. « Et le rituel est… »

Encombrant. Agaçant. Chiant. Un obstacle au laisser aller de leur désir. Elle n'avait pas besoin de dire ces mots à voix haute. Paul comprit, et ressentait exactement la même chose. Recouvrant son corps du sien, il l'embrassa longuement avant de se redresser et de refermer son soutien-gorge, cachant ainsi la délicate et délicieuse poitrine de Bella.

« T'as pas envie de… »

« Si, j'en meurs d'envie. » dit-il, posant son index sur ses douces lèvres pour la faire taire. « Au contraire de Jared et Kim, on a tout à apprendre l'un de l'autre. L'un et l'autre. Je préfère qu'on garde tous les deux nos sous-vêtements quand on se fait des câlins, même si ce soutien-gorge met ma patience à rude épreuve. »

« Tu remercieras Kim. » dit Bella en se redressant pour s'asseoir. « C'est elle qui s'est occupé de ma nouvelle garde-robe, y compris la lingerie. »

« Je la remercierais quand toi et moi, on aura fait l'amour, mais d'ici là… » il enserra sa nuque d'une main et l'embrassa. « Je la maudirais pour la torture que j'endure. »

« Hum, alors je devrais me contenter de la même tenue qu'hier soir pour dormir. » dit Bella. « Je voulais te montrer une nuisette en soie et… hum… »

Elle rit contre sa bouche.

« T'es une vraie sorcière ! »

« Et si on allait préparer le dîner ? » proposa-t-elle pour alléger l'atmosphère. « On pourra parler de truc qui n'a rien à voir avec les vêtements sexy et ta bouche sur ma p… »

Il la coupa d'un nouveau baiser.

« Tu fais exprès, ou quoi ? » grogna-t-il en lui mordant la lèvre. « Rien que t'entendre parler me fout une trique d'enfer. »

« Tu sais où est la salle de bain. » pouffa-t-elle.

« Ah, c'est comme ça ! » dit-il en laissant échapper un grondement joueur.

L'instant d'après, Bella se tortillait de rire sous son corps chaud et musclé tandis qu'il l'assaillait de chatouilles. Elle demanda grâce en riant. Ils se rhabillèrent, et se séparèrent quelques minutes. Bella alla à la cuisine pendant que Paul s'occupait d'un problème évident dans son caleçon. En sortant de la chambre, Bella avait chipé un élastique, et une fois dans la cuisine, elle s'attacha les cheveux en une haute queue de cheval. Au menu du soir, des lasagnes. Elle sortit ingrédients et plats, et se mit au travail. Quand Paul revint cinq minutes plus tard, détendu mais mécontent de la voir les cheveux attachés.

« Hum, des lasagnes ! » dit-il, salivant d'avance. « Un coup de main ? »

« Non, ça ira. » répondit-elle. « Mais, tu m'aideras à faire le dessert. Il me reste du chocolat. »

« Bébé… » gronda-t-il.

« Il va falloir que j'aille faire des courses, je n'ai plus beaucoup de farine. » dit-elle, faisant fi de son grognement.

« Tu veux que je t'accompagne ? » demanda-t-il, un sourire en coin.

Le rayon du supermarché de Forks où se trouvait la farine, était devenu leur endroit préféré.

« Tu pourrais m'être utile. » dit-elle, en se hissant sur la pointe des pieds pour lui voler un baiser. « Mais il faudrait y aller demain, sinon, pas de gâteau jusqu'à vendredi. »

« Je viendrais te chercher au lycée. » dit-il. « Mais, j'y pense. Il me reste un paquet à la maison. Je pourrais te l'apporter demain. Ça suffira d'ici vendredi ? »

« Ouais, ça devrait être bon. » dit-elle, avant de l'embrasser sur la mâchoire. « Merci, mon chéri. »

Mon chéri… Paul adora la résonnance de ce surnom affectueux. C'était pourtant un mot très simple, mais il le touchait, lui faisait plaisir. Charlie rentra pile au moment du dîner. Un dîner dont il ne resta pas la moindre miette.

« Waouh ! » fut la réponse de Paul lorsqu'il eut finit de manger.

« Un délice ! » renchérit Charlie.

Ce dernier parti, un thermos de café bien chaud en main, et laissa les jeunes entre eux pour aller travailler.

« Je ne sais pas si je dois rire de te voir manger autant, ou être dépité que tu ne prennes pas un gramme. » dit Bella en rangeant la cuisine.

« J'ai un excellent métabolisme. » dit-il en haussant les épaules.

« Ouais, merci ton côté loup ! » marmonna-t-elle en finissant de ranger.

« Serait-ce de la jalousie dans votre voix, Mademoiselle Swan ? » demanda Paul, en la prenant contre lui. « Mais je t'aiderais à entretenir ta forme, si tu le désires. On fera tellement l'amour que les kilos n'auront pas le temps de s'installer. »

Elle voulut le frapper, l'engueuler pour ses commentaires salaces, mais elle pouffa de rire. Ce fut plus fort qu'elle.

« Idiot ! » Elle se calma, et enroula ses bras autour de son cou. « Je nous ferais des bons plats équilibrés, sans te priver de toutes les calories qui ne s'installeront pas chez toi. »

« Tant que tu ne renonces pas au chocolat. » dit-il, un sourire en coin. « Tu sais à quel point j'adore te voir manger du chocolat. »

« Tu m'emmèneras courir, sous ta forme de loup ? » demanda-t-elle pour changer de sujet.

« Bien sûr, il te suffit de me le demander. » Il l'embrassa sur le nez, le front, revint à ses lèvres. « Mon loup a très envie que tu le cajoles. Il est jaloux que j'aie toute ton attention, et pas lui. »

« Ce week-end ? »

« Ce week-end ! » Scellant leurs lèvres, il murmura : « Voilà, il est tout excité maintenant. »

« On va se coucher ? » demanda Bella. « Je suis fatiguée. »

Elle se retrouva dans ses bras, comme une mariée. Eteignant les lumières sur leur passage, il monta de nouveau dans la chambre, et tour à tour, ils passèrent dans la salle de bain. Bella décida de remettre le legging et le débardeur de la veille. Elle avait suffisamment malmenée son loup pour aujourd'hui. S'asseyant sur le bord du lit, où Paul s'était déjà installé, en caleçon, Bella défit sa queue de cheval, et prit sa brosse sur la table de nuit pour démêler ses cheveux. Se glissant à son tour dans le lit, elle éteignit sa lampe de chevet et s'allongea face à Paul.

« Je suis triste de ne pas pouvoir aller au bal avec toi. » dit-elle, les yeux plongés dans les siens, malgré l'obscurité. « J'aurais préféré de ne pas avoir à y aller, mais je n'ai pas le choix. »

« Moi c'est pareil, bébé. » Il l'embrassa sur le front. « Personne ne t'y a invité, j'espère ? »

« Si, mais j'ai refusé. » répondit-elle d'une voix endormie. « Je vais y aller avec Angela. On restera une heure ou deux, et on partira. Et toi ? »

« Obligé d'y assister aussi. » dit-il. « Je danserais peut-être un slow avec Kim, et je passerais le reste de la soirée à me foutre de la gueule de mon meilleur pote. »

« Je viendrais chez toi, après la soirée. » dit Bella, qui vacillait de plus en plus dans le sommeil. « On pourrait danser chez toi. »

« Oui, ce serait génial ! »

Il la sentit s'apaiser, et s'engouffrer dans les bras de Morphée en quelques secondes à peine. Chez toi… Paul aurait préféré qu'elle dise chez nous, mais il ne fallait pas qu'il soit trop pressé. Le jour viendra où sa maison d'enfance deviendrait la maison où ils fonderaient leur famille. Il ne se voyait vivre nulle part ailleurs.


A mercredi prochain ?

Prenez soin de vous les amis !

Aurélie !