Disclaimer : Tout l'univers et les personnages de Twilight appartiennent à Stephenie Meyer !
Bonjour,
Et voilà, ce qui devait arriver est arrivé. Il s'agit du dernier chapitre de la première partie de l'histoire. La suite n'est pas encore écrite, mais ne vous en faite pas, je n'abandonne en aucun cas cette fiction.
Bonne lecture, et on se retrouve à la fin du chapitre.
Dimanche 29 juin 2008 !
Seattle !
Il ne fallut que vingt minutes à Kim pour gagner la résidence où se trouvait l'appartement de ses parents. Ils vivaient dans un immeuble où il n'y avait que des appartements de luxe. Il y avait même un parking souterrain avec garages, mais Kim se gara sur le parking extérieur de la résidence. Dans l'ascenseur, elle appuya sur le bouton du septième étage, et quand les portes se refermèrent, Jared l'attira à lui pour l'embrasser.
« Tu as fini de bouder, à ce que je vois. » dit-elle contre ses lèvres.
« J'ai trop envie de toi. » grogna-t-il.
« Patience, mon loup adoré. » Elle lui mordit la lèvre. « Tu n'auras plus à attendre trop longtemps. »
Ils arrivèrent au bon étage. L'appartement était plus grand que ce que Jared n'avait pensé.
« Tes parents aiment avoir de l'espace. » dit-il.
« Viens, ma chambre est par-là. »
Kim le précéda dans une chambre à la décoration sobre. Elle alla écarter les rideaux et ouvrit la fenêtre pour laisser la pièce s'aérer un peu.
« Tu m'aides à faire le lit ? »
Elle sortit une paire de draps rouges de son armoire. La couleur fit sourire Jared, et ils firent le lit dans lequel ils allaient dormir pendant une semaine. Dormir et faire l'amour, pensa Jared. Très important.
« Tu veux le tester ? » le taquina Kim, qui grimpa sur le matelas une fois le lit terminé. Elle avança à quatre pattes vers son homme. « Je le vois dans tes yeux. »
« Si tu continues d'avancer vers moi comme ça, je vais te donner une sacrée fessée. »
« Ouh ! » fit Kim en arrivant à sa hauteur. Elle se redressa et glissa ses mains son t-shirt. « Hum, tu as envie d'une petite sucrerie en guise de pardon ? »
« Tes parents… »
« Ne rentreront pas avant ce soir. » le coupa-t-elle. « Tu ne veux pas que je te fasse une petite gâterie ? »
« Tu… tu sais bien que… oh merde… » Elle avait profité de son trouble pour défaire les boutons de son jean et pour y glisser une main. Il était déjà tout dur et dressé autour de sa main. « Kimmy… »
« Embrasse-moi ! » quémanda-t-elle d'une supplique.
Il agrippa ses longs cheveux et lui donna un baiser féroce. Kim le laissa mener le baiser comme il le désirait, et se concentra sur le sexe qu'elle avait en main. Elle commença à le caresser doucement, attisant le désir de son loup. Elle joua de son pouce avec son gland, sentant une goutte de liquide pré séminal contre sa peau. Jared rompit le baiser pour enlever son t-shirt, puis, revint à la bouche de Kim, qui cajola le sexe de son homme avec plus de vigueur.
« Arrête Kim, stop mon cœur ! »
Elle s'écarta à temps et Jared recueillit les jets de sperme dans son t-shirt.
« T'es une sorcière ! » Kim se contenta d'hausser les sourcils et de sourire. « Attends que je me venge. »
« C'est une promesse ? » demanda-t-elle.
« Kimmy ! » s'écria-t-il. « Arrête de me provoquer quand je ne peux pas te prendre. »
« Pardon, je ne le ferais plus ! »
Mais il sut qu'elle n'en ferait rien. Elle lui montra la salle de bain pour qu'il puisse se rafraîchir, et alla dans la cuisine pour sortir de quoi déjeuner. Dans le frigo, elle y trouva une barquette de fraises et une bouteille de crème chantilly. Je t'adore, maman ! Sa mère ne lui avait pas posé de questions que les raisons qui ont amené Kim à lui demander d'en acheter. Elle les avait simplement achetés, et mis bien en avant dans le frigo avec un post-it où il y était écrit De rien. Kim adorait sa mère. Elle pouvait parler d'absolument tout – sauf du fait que Jared était un loup-garou et tout ce qui tournait autour. Les bras de Jared vinrent s'enrouler autour d'elle alors qu'elle cherchait encore quoi préparer.
« Il y a des blancs de poulet. » dit-elle en le sortant. « On se fait des pâtes ? »
« Ouais ! » Il lui donna une tape sur les fesses. « Je vais t'aider. »
Ils firent revenir les blancs de poulet à la poêle, et Kim assaisonna les assiettes avec de l'huile d'olive. Ils s'installèrent à même le comptoir de la cuisine, assis sur des tabourets.
« Ça te suffira ? » lui demanda Kim.
« Tu devrais me connaitre depuis le temps. » répondit-il, un sourire en coin. « Et puis j'ai vu des fraises dans le frigo. »
« Je pensais les garder pour demain. » dit Kim. « Mes parents doivent assister à un important gala de charité à Portland, et comme ils ne rentreront pas, et que mes règles devraient se finir demain… »
Avalant sa bouchée de pâtes, Jared obliqua vers elle un regard lourd de sens.
« On pourrait même couper les fraises en petits morceaux pour faire durer le plaisir. »
« Ça suffit, mon cœur. » dit-il. « Je suis à deux doigts d'éjaculer dans mon jean. »
« Excuse-moi ! » Elle se pencha pour l'embrasser sur la joue. « Je t'aime ! »
« Mouais, t'aimes surtout me rendre chèvre. » marmonna-t-il, non sans l'embrasser sur la bouche au passage.
Après le déjeuner, ils rangèrent la cuisine et ils allèrent faire une petite sieste qui dura une bonne partie de l'après-midi.
Quand les parents de Kim rentrèrent à dix-neuf heures trente, il y avait une délicieuse odeur de légumes, de viandes et de pommes de terre au four qui flottaient dans l'air.
« Bonsoir, les enfants ! »
Déposant leur manteau à l'entrée, ils trouvèrent le jeune couple dans le salon, la table mise et les plats disposés sur des dessous de table.
« Juste à temps ! » leur dit Kim en allant prendre ses parents dans ses bras.
« Bonsoir, ma fille. »
Ils saluèrent Jared, Monsieur Andrews en lui serrant la main, et Madame Andrews en lui faisant la bise.
« Bonsoir, mon gendre ! » dit Estelle. « Content d'être en vacances ? »
« Oh que oui ! » répondit Jared.
« Allez, à table ! » dit Kim.
Les parents allèrent se laver les mains et rejoignirent les deux amoureux autour de la table.
« Ma chérie, ça a l'air très bon. » dit son père.
« Merci ! » dit Kim. « Jared m'a aidé. »
« J'ai épluché les pommes de terre, ce n'est pas un exploit. » dit-il en haussant les épaules.
« Tu as participé, c'est ce qui importe. » dit Estelle.
Le dîner se passa dans une ambiance légère, et surtout, familiale. Jared se sentait totalement intégré dans la famille Andrews. Même s'ils vivaient sur Seattle et non à Forks depuis que Kim était entrée au lycée, ils avaient toujours eu de bons rapports avec eux. Il a toujours été bien accueilli, même lorsqu'il n'était qu'ami, avec Kim.
« Hum, c'était délicieux. » dit Estelle à la fin du repas. « Mais je ne pourrais rien avaler de plus. »
« T'as dû encore manger entre deux opérations. » railla Kim.
« Plutôt entre deux accouchements. » rectifia sa mère. « J'ai fait naître quatre bébés rien qu'aujourd'hui. »
« C'était peut-être la pleine lune ? » dit Jared, provocant quelques rires.
« Café ? Thé ? » proposa Kim.
« Mon lit ? » répondit Estelle. Kim pouffa. « Excuse-moi mon ange, mais je suis épuisée et je pourrais être appelé n'importe quand. »
« Maman, tu n'as pas à t'excuser. » lui assura la jeune fille. « Allez-vous reposer. Surtout que demain vous avez une longue journée qui vous attend. Allez, Jared et moi on va débarrasser. »
Estelle serra longuement sa fille dans ses bras.
« Merci, ma fille ! Je te promets qu'on passera une journée toutes les deux avant la fin de la semaine. »
« Mais oui ! » sourit Kim. « Et puis, je ne suis pas toute seule. Jared est là. »
« J'ai quelques copies à corriger avant d'aller me coucher. » dit son père. « Mais pas de café, sinon je ne dormirais plus. »
« Tu veux que je t'apporte une tisane ? » lui demanda sa fille.
« Non merci, ma fille. Je n'en ai pas pour très longtemps. »
Lundi 30 juin 2008 !
Kim s'était réveillé tôt. Elle savait que son père préférait travailler à son bureau à l'université quand sa femme était d'astreinte à l'hôpital – même le week-end – alors quand les parents firent irruption dans la cuisine, prêts pour leur journée, le café était chaud, et une merveilleuse odeur de cookies aux pépites de chocolat leur chatouillèrent les narines.
« Que fais-tu debout à cette heure-ci ? » lui dit Estelle, qui accepta une tasse de café.
« Je vous fais gagner du temps. » dit simplement Kim, qui donna une deuxième tasse à son père. « Cookies ? »
Elle leur mit une assiette de cookies tout chaud sous le nez. Ils se laissèrent tenter, et dix minutes plus tard, ils partirent tous les deux avec une boîte de cookies chacun et un thermos de café tout chaud pour le trajet. Nettoyant la cuisine, Kim emporta les cookies restants dans la chambre. Jared était réveillé, et il se contenta d'enlacer Kim quand elle se rallongea à ses côtés. Un peu plus tard dans la journée, Kim et Jared profitèrent du beau temps pour aller se balader main dans la main. Kim lui fit découvrir une partie de la ville, et ils rentrèrent à l'appartement quand le temps se couvrit. Les parents rentrèrent en début d'après-midi pour récupérer leurs bagages pour Portland, et ils repartirent après de longues embrassades avec leur fille.
« Occupe-toi bien de notre princesse ! » lui dit Monsieur Andrews avant de partir.
Jared le lui avait promis. Quand ils furent seuls, il attendit que Kim les ait enfermés pour la plaquer contre la porte et coller son corps au sien.
« Dis-moi que tu n'as plus tes règles, mon cœur. » Sa voix était rauque, emplie d'un désir sauvage flagrant et qui envoya des frissons dans tout le corps de la jeune fille. « J'ai tellement envie de toi. »
« Moi aussi j'ai envie de toi, Jared. » susurra Kim, qui posa son index sur sa bouche. « Mais sois patient. On a toute la journée, et toute la nuit devant nous. »
« Dis-moi simplement si mon calvaire va prendre fin. »
Kim l'embrassa fiévreusement, laissant transpirer dans ce baiser tout le désir qu'elle avait accumulé ces derniers jours. Rassuré, Jared la souleva dans ses bras et l'emporta dans la chambre. Il l'allongea sur le lit, et ils s'embrassèrent longuement.
« Tu crois qu'on peut utiliser le jacuzzi de tes parents ? » demanda-t-il.
« J'ai posé la question à ma mère, et j'ai eu son autorisation, à condition qu'on n'y fasse pas de cochonneries. » dit Kim.
« Tu lui as dit que je préférais te faire jouir sous la douche ? » Il lui mordilla la lèvre, puis la lécha. « Tu es sexy à en crever toute ruisselante d'eau. Tu sais quoi ? Un jour, je te prendrais sur le capot de ma voiture pendant qu'il pleut averse. »
« Alors, non, je n'ai pas évoqué devant ma mère nos nombreux ébats sous la douche… » Sa respiration se fit plus saccadée lorsqu'elle sentit la main de Jared se faufiler sous son pull pour caresser son sein. « Et, en ce qui concerne ton fantasme, je serai plus que ravie de le réaliser. »
Ils furent interrompus par l'estomac de Jared, déclenchant un éclat de rire de la jeune fille. Elle l'emmena à la cuisine et lui prépara un sandwich.
« Je reviens ! » lui dit-elle.
Seul, Jared dévora son sandwich quand son téléphone sonna. Il décrocha quand il vit que l'appel venait de son meilleur ami.
« Salut bouffon ! »
« Toujours en train de t'empiffrer, enfoiré ! »
Les deux amis éclatèrent de rire.
« Quoi de neuf à Seattle ? »
« Il pleut. Tu parles d'un été. Et toi ? »
« Oh, Bella est allé faire du shopping avec sa mère, et je me la coule douce près de la piscine. »
« Je te hais ! »
« Il n'y a pas de piscine privée dans l'immeuble des parents de Kim ? »
« Non, mais il y a un jacuzzi dans la salle de bain. »
« Qu'est-ce que tu me fais chier avec ta jalousie à la con ? Un jacuzzi, mec ! »
« Ouais t'as raison. D'ailleurs Kimmy me fait signe de la suivre. Ouh, j'adore quand elle me regarde comme ça. »
« Faites gaffe à ce que ses parents ne rentrent pas en avance. »
« Aucun risque. Ils viennent de partir à un gala de charité à Portland. Ils vont y rester jusqu'à demain. Kimmy et moi on a une longue nuit qui nous attend. Salut trouduc ! »
Il raccrocha sur l'éclat de rire de son pote. Kim, qui était sur le seuil du couloir qui menait aux chambres et aux sanitaires, ne portait plus qu'un peignoir de bain. Elle avait relevé ses cheveux en un chignon, d'où quelques mèches dépassaient, et elle regardait Jared avec une lueur et une moue séductrice. Il la rejoignit, et il se laissa guider dans la salle de bain, ravalant son irrépressible besoin de lui défaire ce chignon. Qu'est-ce que c'était ce besoin de s'attacher ces foutus cheveux alors qu'il lui avait clairement fait comprendre qu'il détestait ça ? Jared remarqua que le jacuzzi était rempli, et en marche. C'était très attirant. Il avait hâte de pouvoir s'immerger dans ce bain à remous avec sa compagne.
« Déshabille-toi ! »
C'était un ordre. Il n'y avait pas le moindre doute, mais il joua le jeu. Il resta en caleçon, cependant.
« Toi le premier ! »
Il s'installa dans le jacuzzi, face à Kim. Il écarta les bras sur les bords, attendant la suite. Kim défit son peignoir, qui révéla un maillot deux pièces rouges. A son tour, elle entra dans le jacuzzi, et Jared l'attira aussitôt dans ses bras.
« Tu avais tout prévu, on dirait. »
« Je sais depuis deux semaines, pour le gala de charité. » Elle enroula ses bras autour de son cou. « Tu comptes me remercier ? »
« Tu comptes me laisser te faire l'amour ? » demanda-t-il.
Elle acquiesça d'un signe de tête. Jared l'embrassa. Leurs langues se mêlèrent dans un ballet sensuel, sans essayer de prendre l'ascendant sur l'autre. Les deux amoureux profitèrent de cet instant.
« Tes cheveux… » marmonna Jared dans le baiser.
« Je n'ai pas envie de les mouiller. » dit Kim. « Détends-toi, on ne va pas rester dans le jacuzzi trop longtemps. Détends-toi, et embrasse-moi ! »
« C'est ce que je fais, non ? » Il la laissa haletante et dévia dans le creux de son cou, où il passa de longues secondes à lécher l'endroit où la marque se trouvait encore deux mois plus tôt. « J'ai envie de te mordre. »
« Et moi, j'ai envie que tu me touches. » dit Kim.
Le jacuzzi exacerbait le désir qu'ils n'avaient pas pu exprimer ces derniers jours. Les mains de Jared sur sa peau la firent bouillir de l'intérieur. Ils restèrent dans l'eau chaude du bain à remous pendant une dizaine de minutes avant d'en sortir et de s'emmitoufler dans des peignoirs, mais Jared défit celui de Kim aussitôt, puis le sien. Il lui enleva le maillot, enleva son caleçon puis, la souleva dans ses bras et l'emmena dans la chambre. Kim détacha ses cheveux, qui tombèrent en cascade dans son dos. Allongée dans le lit, Jared ne prit pas le temps de la savourer comme il aimait le faire, et la pénétra d'une longue poussée qui les fit gémir tous les deux.
Au dîner, ils mangèrent tous les deux, assis sur le canapé devant la télé. Jared ne portait qu'un short, et Kim avait revêtue une nuisette rouge, courte au décolleté plongeant qui avait suscité une approbation enjouée de Jared.
« Qu'est-ce que Paul voulait ? » demanda-t-elle en faisant référence au coup de téléphone de leur ami.
« Prendre des nouvelles. » dit Jared. « Cet enfoiré fait bronzette et profite de la piscine chez la mère de Bella. »
« Et t'étais jaloux. » comprit-elle, en souriant.
« Ouais, mais il m'a rappelé que je n'avais pas à me plaindre quand je lui ai parlé du jacuzzi, dans lequel j'aurais préféré te prendre. » dit-il.
« Mais il est à mes parents, alors je préférerais qu'on n'y fasse pas de cochonneries, comme convenu avec ma mère. » Elle se pencha pour l'embrasser sur la joue. « Et puis, tu m'as dit que tu préférerais me faire crier dans la douche. »
« Mon cœur, stop. Je n'ai pas débandé depuis que je t'ai vu dans cette tenue. » dit-il en désignant sa nuisette.
« Oui, et tu ne fais rien pour le cacher. » s'amusa-t-elle.
En effet, l'érection de Jared était bien voyante à travers la bosse que formait son short. Une fois les assiettes vides, Kim se leva et alla les mettre dans le lave-vaisselle. Elle sortit ensuite du frigo les fraises qu'elle avait préparé et découpé dans un bol. Elle était sur le point de prendre la bouteille de chantilly, mais Jared la devança et la prit.
« On peut aller jouer, maintenant ? » demanda-t-il.
« Oh oui ! » Elle éteignit les lumières au passage, et une fois dans la chambre, Jared lui enleva le bol de fraises des mains. « Qu'est-ce que tu fais ? »
« Je prends les choses en main. » Il posa le bol et la bouteille de chantilly sur la table de nuit, puis, lui baissa les bretelles de la nuisette, qui tomba au sol. « La perfection ! »
« Je croyais que tu voulais jouer. » dit Kim.
« Oh mais, je vais jouer. » assura Jared en se mettant derrière elle. « Je vais jouer avec ton corps de déesse. Va t'allonger sur le ventre. »
Ça sonnait comme un ordre, et Kim adorait le voir prendre les choses en main. Elle grimpa donc sur le lit, qu'ils n'avaient pas refait après leurs ébats précédents. Jared avait une vue directe sur sa féminité, trempée de désir. Une fois allongée, Kim croisa les bras et attendit. Jared prit le bol et la chantilly, et s'asseya sur les jambes fines de sa compagne. Il décapsula la bouteille de chantilly, la secoua et traça de lettres sur la peau de la jeune fille.
« Qu'est-ce que tu fais ? » lui demanda-t-elle. »
« J'écris mon prénom avec la crème. » répondit-il, en traçant un E et un D sur ses douces fesses. « Hum, j'en ai l'eau à la bouche. »
« T'as une imagination débordante. » s'amusa Kim.
« Chut, laisse faire l'artiste. » dit Jared.
Levant les yeux au ciel, Kim le laissa faire, néanmoins. Ça pourrait s'avérer intéressant. Jared déposa ensuite des morceaux de fraises coupées sur la chantilly, puis, une à même la peau au-dessus des fesses.
« Je vais être toute collante. » dit Kim.
« Ce ne serait pas la première fois. » dit Jared. « Maintenant, laisse-moi dévorer mon gâteau. J'ai faim. »
Il se pencha et attrapa entre ses dents la fraise au-dessus de ses fesses. C'était un vrai délice. Il n'y avait rien qu'il aimait plus que déguster de la nourriture à même la peau de sa compagne. Elle qui avait la peau si douce, si soyeuse. Pendant de longues minutes, il fit glisser sa langue pour lécher, manger la chantilly et les fraises. Le désir de Kim était à son paroxysme. La langue de son compagnon la touchait trois fois sur cinq, la rendant folle. Son bas-ventre était douloureux. Elle voulait qu'il cesse de la tourmenter. Elle le lui fit savoir en tentant de pousser ses fesses vers lui, mais tout ce qu'elle reçut fut une petite morsure.
« Hey ! » s'écria-t-elle.
« Arrête de faire l'indignée, je sais que ça t'a plu. » Il l'attrapa par les hanches et la releva sur ses genoux. « T'es prête, mon cœur ? »
« Oh oui, je n'en peux plus. » dit-elle d'une voix éraillée.
Jared baissa son short sans l'enlever totalement et s'enfonça doucement en elle. Sa féminité était chaude, humide et prête pour lui. Elle l'avala entièrement. Le jeune homme laissa son côté animal émerger et ses coups de reins furent plus puissants, plus sauvages. Il prit appuie sur sa nuque, gardant Kim à moitié allongée, et cette dernière s'accrocha à la tête de lit. Ses gémissements emplirent la chambre. Son sexe se resserra, et elle fut perdu lorsqu'il appuya son majeur sur son clitoris. Son orgasme la foudroya, et Jared vint juste après. Ils s'écroulèrent, l'un sur l'autre, et éclatèrent de rire.
Samedi 5 juillet 2008 !
La semaine était passé très vite, et si Kim avait pu passer du temps avec son père, ça avait été plus difficile pour sa mère, très demandée à l'hôpital. En ce samedi, elle profita de la matinée que lui offrait ce court répit dans l'emploi du temps de sa mère, et du soleil qui était de sortie. Elles se promenaient dans le centre-ville de Seattle, une boisson glacée à la main après une heure de shopping.
« J'avais vraiment besoin d'une nouvelle paire de chaussures. » dit sa mère. « Tu as très bien choisi pour moi. »
« Tu es faite pour porter des talons, et je suis sûre que papa appréciera cette nouvelle paire. » dit Kim.
« Ouais ! » Estelle glissa son bras sous celui de sa fille. « Tu sais ma chérie, il y a une chose que ton père et moi ne t'avons jamais dite. »
« Laquelle ? »
« On a beaucoup hésité à accepter les postes que nous proposait. Ceux qu'on occupe actuellement. » avoua Estelle. « Juste après que tu sois rentrée au lycée, on a eu une longue conversation, à peser les pours et les contres à te laisser toute seule. Tu as toujours été une jeune fille très indépendante, et plus mature que la plupart des gens. Et tu avais Jared. Vous étiez inséparables. Ça aurait dû m'effrayer, mais c'était tout le contraire parce que je voyais la façon dont il te regardait. On a parlé avec le Conseil, avec Laura, aussi, et c'est grâce à eux qu'on a pris notre décision. Ils ont tous accepté de veiller sur toi. »
« Maman, pourquoi est-ce que tu me dis tout ça ? » demanda Kim, qui s'arrêta. « Tu n'es pas obligé de t'expliquer. Je ne regrette rien de ces trois dernières années. Papa et toi vous avez eu une opportunité qui est rare, pour les gens de notre tribu. Je suis heureuse que vous l'ayez saisie. »
« Je sais mon trésor, mais je voulais que tu le saches. » dit Estelle, qui s'était arrêté face à elle. « Je sais que certaines personnes pensent qu'on t'a abandonné… »
« Mais ce n'est pas le cas. » la coupa Kim. « Je ne me suis jamais sentie abandonné. Oui vous me manquez, mais je sais où vous êtes, et pourquoi vous avez pris cette décision. Papa est un prof formidable, et tu es un médecin exceptionnel, maman. Je suis heureuse que vous mettez votre talent et vos connaissances aux services des autres dans un grand hôpital et une grande université. Je suis fière de mes parents, maman. »
Mère et fille se prirent dans les bras, se moquant d'être en plein milieu de la foule, plus proches que jamais. Kim n'en avait jamais voulu à ses parents de vouloir viser plus grand, et elle leur en était reconnaissante d'avoir eu autant confiance en elle pour la laisser poursuivre ses études au lycée dans sa réserve natale, et surtout, auprès du seul garçon qu'elle n'ait jamais aimé.
Dans la prochaine partie de la fic, arrivées des nouvelles imprégnées et transformations de deux nouveaux loups. En attendant la suite, merci de m'avoir suivi assidument pendant tous ces mercredis 3
Je vous dis à très bientôt, et vous pouvez aussi me retrouver sur ma page facebook Lily Fictions - Jeni Kat.
Prenez soins de vous *-*
Bises, Aurélie !
