Disclaimer : Tout l'univers et les personnages de Twilight appartiennent à Stephenie Meyer !

Hello hello,

Et voilà, il s'agit du dernier chapitre que j'ai en magasin. Je vous laisse le découvrir, et je vous retrouve à la toute fin pour plus d'informations.

Bonne lecture !


Nuit du mercredi 23 juillet 2008 !

Chaud. Il faisait trop chaud. Elle avait l'impression qu'Embry était vraiment avec elle. Elle était plus consciente que lors des rêves précédents. Maintenant qu'elle connaissait la vérité. C'était de plus en plus clair. Les baisers et les caresses étaient plus distincts. Ils n'avaient pas la même sensation que lorsqu'elle était éveillé, mais il faisait son effet. Allongée dans un lit qui n'était pas le sien, Angela avait les mains placées au-dessus de sa tête, reliées par les poignets et retenue par la brassière de sport qu'elle portait et que son compagnon avait laissé là après avoir libéré ses seins. Elle pouvait s'en défaire si elle le souhaitait, mais c'était comme si son corps protestait à cette simple pensée. Un corps qui était en ébullition. Ses seins étaient délicieusement douloureux, tout comme sa féminité qu'elle sentait pulser. Il ne la touchait pas là, et ça la frustrait. Il parcourait son corps, sa peau de sa bouche et de ses doigts, exacerbant son désir. Fébrile, Angela se sentait dériver de plus en plus. Elle mourrait d'envie qu'il la touche encore plus. Qu'il apaise cette tension dans son corps. Il l'embrassa, et Angela le supplia presque du regard quand il s'écarta.

« Dis-moi ce que tu veux, ma belle ! » susurra-t-il, sa main enserrant tendrement la gorge de sa compagne.

« Je… je veux… que tu me touches. » dit-elle d'une voix éraillée.

« Mais, c'est ce que je fais. »

Il glissa sa main de sa gorge à ses seins, qu'il engloba l'un après l'autre.

« Pas… pas là ! » dit Angela, même si les caresses étaient sublimes.

« Oh, tu veux que je descende plus bas ? »

Elle déglutit bruyamment et acquiesça vigoureusement. La main d'Embry descendit plus bas mais avec une lenteur insupportable. Quand, enfin, il atteignit sa moiteur, Angela laissa échapper un soupir de soulagement, très vite remplacé par une décharge de pur plaisir quand il la toucha…

Angela battit des bras et des jambes au milieu de son lit, comme une enfant piquant une crise. Elle était frustrée, et ces rêves l'agaçaient plus que de raison. Elle en avait marre. Marre dans le sens où tout ce qu'elle voulait, c'était dormir, mais vraiment dormir. Alors oui, les rêves lui laissaient un sentiment de plénitude au réveil, mais ça n'empêchait pas son corps de se languir d'être touché dans la vraie vie. Elle s'était réveillée au moment le plus intéressant, et elle pouvait sentir le fantôme des doigts d'Embry sur sa féminité. Sur la table de chevet, son téléphone vibra si fort qu'elle sursauta. Merde ! Elle décrocha après avoir lu le nom de son loup sur l'écran.

« Embry je… »

« Rendors-toi. Maintenant ! »

Non mais qu'est-ce qu'il lui prenait, à ce type ?

« Je rêve, ou tu viens de me donner un ordre ? »

« Non, tu ne rêves pas. Rendors-toi, j'aimerais bien reprendre ce qu'on a commencé. »

« Ce que nos subconscients ont commencé. Et je réagis très mal à l'autorité alors fais gaffe ! »

Elle l'entendit grogner à l'autre bout du fil, et elle ne put réprimer un frisson. Pas de peur ou quoi, non. Jamais elle n'aurait peur d'Embry. Ce grognement provoqua chez elle un profond et violent désir.

« Angela… »

« Tu ne peux pas me téléphoner et m'ordonner de me rendormir. Tu n'as pas la moindre idée de ce que ces rêves me font. Oui tu es atteint aussi, mais tu sais tout de tout ça depuis que t'es gosse et moi, je viens juste de l'apprendre. Ce n'est pas facile, pour moi. Je t'accepte tel que tu es et j'accepte tout ce qui va avec le côté âme-sœur, mais c'est frustrant, Embry. C'est tellement frustrant de vivre et de subir tout ça en rêve, et de ne pas ressentir d'apaisement. »

« Ma belle… » La voix d'Embry s'était fait plus tendre, plus posée. « Excuse-moi, je ne voulais pas te donner d'ordre. Et je comprends parfaitement ce que tu ressens. J'ai un alter-ego animal qui me pousse à te rejoindre et à te marquer depuis que tu es entré dans notre vie. Le museler pour qu'il ne me pousse pas à tout foutre en l'air est épuisant. »

Angela se détendit.

« Je vais essayer de me rendormir, mais je ne te promets rien. »

Quelques heures plus tard !

Je vais courir quelques heures avec Sam et Paul. A tout à l'heure ma belle. Sois prête pour moi. Voilà ce que disait le message d'Embry juste au moment où elle terminait de prendre son petit-déjeuner. Il était neuf heures du matin. Elle avait réussi à se rendormir, et le rêve avait continué et Angela avait encore la sensation des lèvres d'Embry… , juste sur sa féminité. Elle savait que la sensation ne devait pas être la même, dans la vraie vie. Elle devait même être décuplée, mais ça ne changeait rien au fait qu'elle avait chaud, et faim de contact. De son contact. Elle allait donc devoir patienter un peu jusqu'à ce qu'il ne la rejoindre. Bien. Elle envoya un message à Bella. Tu peux me rejoindre chez moi, vu que nos hommes vont courir ? En attendant la réponse de Bella, elle rangea la cuisine. Oui, j'arrive dans 20-30 minutes ! Parfait, se dit Angela. Elle répond Entre sans frapper. Bella allait pouvoir la conseiller en vue de la marque. Certes, elle avait beaucoup discuté avec les filles la veille, durant la soirée d'anniversaire de Kim, mais sa meilleure amie la connaissait mieux que Kim ou Emily. Et puis, quelques conseils supplémentaires ne lui feraient pas de mal, bien au contraire.

Quand la porte d'entrée s'ouvrit, Angela posait une assiette contenant des morceaux de pommes au milieu de la table de la cuisine.

« Salut, Angie ! »

« Salut ! » Angela ravala un bâillement, mais Bella n'était pas dupe. « Oh ça va, hein ? »

« Je suis passé par là. » lui rappela Bella, qui s'asseya sur une chaise autour de la table. « Alors, comment était le dernier rêve ? »

Assise en face de son amie, Angela sentit la chaleur lui envahir le corps. Elle croqua dans un morceau de pomme, faute de pouvoir répondre en terme cohérent.

« C'était chaud à quel point ? » demanda Bella.

« Disons que j'étais à poil, allongée sur un lit qui n'était pas le mien, et les mains attachées au-dessus de ma tête avec pour corde, ma brassière de sport. » répondit Angela.

« Il a de la ressource. » la taquina Bella. « Tu as pu te rendormir ? »

« Oui, et j'ai eu besoin d'une longue douche plus ou moins glacée pour faire baisser la température de mon corps. » dit Angela.

« Il faudra t'y faire. » Bella croqua dans un morceau de pomme. « Toujours nerveuse ? »

« Un peu. » avoua Angela. « Mais tout ce que je veux, c'est que les rêves cessent. »

« Cette nuit, tu dormiras comme un bébé. » lui assura Bella. « Tu n'as pas besoin de plus de conseil. Suis et écoute ton cœur, et ton corps. Aies confiance en Embry ! »

Confiance. Elle avait confiance en Embry. Bon sang, elle ne le connaissait que depuis vingt-quatre heures.

« Bon, parlons d'autre chose ! »

« T'as mère continue de te harceler ? » demanda Bella.

« Elle a appelé une seule fois depuis que je me suis levé, mais je n'ai pas décroché. » Angela ricana. « Elle serait bien capable d'appeler nos voisons pour qu'ils m'espionnent. »

« Elle irait jusque-là ? » s'étonna Bella.

« Ma mère n'est pas agaçante qu'avec moi, mais avec tout le monde. » dit Angela. « Je ne m'inquiète pas, parce que je sais que mes voisins ne la supportent pas, alors ils ne risquent pas de lui dire que je laisse entrer un garçon chez moi. »

« Je suis désolée qu'elle agisse comme ça avec toi. » dit Bella, compatissante envers son amie.

« Oh, j'ai l'habitude. » souffla Angela. « Heureusement, j'ai mon père. »

Elle soupira !

« Quoi ? » demanda Bella.

« Rien, à part que je ne sais quoi faire à manger à Embry. Je n'ai que des plats tout prêts et des boîtes de conserves, et je ne suis pas du tout un cordon bleu comme toi. »

« Je peux fouiller tes placards ? » demanda Bella.

Angela acquiesça. Bella se leva de sa chaise et fureta dans la cuisine. Placards, réfrigérateur, congélateur. Elle alla même jusqu'à regarder le matériel de cuisine de Madame Webber.

« Ouais, pas terrible ! » dit Bella, en refermant un placard. « Ton père t'a donné de l'argent pour faire des courses ? »

« Ouais, pourquoi ? » voulut savoir la jeune fille.

« Allez suis-moi, on va acheter ce qu'il te faut, et je vais t'apprendre une recette facile. »

Elles allèrent donc au supermarché avec la voiture d'Angela. Elles y restèrent une bonne demi-heure, et une fois rentrées, elles déballèrent les courses sur la table de la cuisine.

« Il n'y a rien de plus simple que de faire des pâtes ou du riz, il te suffit de trouver le bon accompagnement. » dit Bella. « Donc, on va faire un gratin de pâtes aux courgettes et à la viande hachée. Ce sera très facile à faire réchauffer au four. T'es prête ? »

« Fin prête ! » dit Angela.

« Remplis une marmite d'eau et fais-la bouillir. »

Pendant plus d'une heure, elles cuisinèrent. Angela suivit avec attention les instructions de Bella, que ce soit pour le gratin ou pour le clafoutis à la framboise qu'elle fit pour le dessert. La maison embauma. Littéralement. Quand le gratin fut prêt, Bella tendit une cuillère à Angela, qui goûta le plat.

« Oh merde ! » dit-elle en posant une main devant sa bouche. Elle finit de mâcher la bouchée et l'avala. « C'est vachement bon, mais tu crois qu'Embry va aimer ? »

« Tu dis ça à cause des légumes ? » Angela hocha la tête. « Ma chérie, je fais manger des légumes à Paul tous les jours, et crois-moi quand je te dis que le plat est vide à la fin du repas. Bon, on va recouvrir le plat d'alu et le laisser au four. »

Une fois le plat de nouveau dans le four, Bella reçut un texto de Paul. Je suis rentré, bébé. T'es où ? Elle répond Avec Angela. Je rentre vite.

« Paul vient de rentrer, je vais te laisser. » dit-elle à Angela.

Elle remit sa veste, et sur le perron de la maison, elle posa ses mains sur les épaules de son amie.

« N'oublie pas ce que je t'ai dit, aies confiance en Embry, et écoute ce que désirent ton cœur et ton corps. »

La Push !

Bella avait à peine enlevé sa veste qu'elle fut attirée contre un corps chaud et presque nu. Presque parce qu'il avait enroulé une serviette autour de sa taille. Un corps qui sentait bon et qui réveilla ses hormones.

« Hum, bonjour vous ! » sourit-elle.

Elle accepta le baiser qu'il lui donna. Un baiser profond et délicieux.

« Salut, bébé ! » susurra-t-il.

« Tu t'es bien défoulé avec les gars ? » demanda-t-elle, enroulant ses bras autour de son cou.

« Ouais, ça m'a fait du bien. » Il frotta son nez contre le sien. « Maintenant, j'aimerais bien me défouler d'une autre façon. »

« Et si je te nourrissais, avant. » proposa-t-elle. « On a tout le temps de faire des bêtises. »

Elle lui vola un baiser et se défit de ses bras. Il la laissa aller à contrecœur, mais la suivit tout de même dans la cuisine et la regarda faire à manger. Il adorait la regarder cuisiner. Pas par machisme, parce qu'il lui avait souvent proposé de l'aider mais elle refusait tout le temp. Elle aimait cuisiner et faire les choses à sa façon. Point.

« Comment va Angela ? »

« Elle est nerveuse, mais je ne me fais pas de souci pour elle. » répondit Bella, qui sortit un saladier, des pommes de terre et des carottes. « Là, tu peux m'aider. »

Elle sortit un économe et un couteau, et tendit l'économe à Paul. Il prit place autour de la table et commença à éplucher les carottes, pendant que Bella coupait les patates.

« Les rêves la rendent dingue. » dit Bella. « Je connais bien ce sentiment. »

« Je ne vois pas du tout de quoi tu veux parler. » dit Paul en haussant les épaules.

Il éclata de rire quand elle lui donna un coup de pied sous la table.

« Mais tout va bien se passer. » dit Paul.

« Je sais que ça va bien se passer, mais ça ne l'empêche pas d'être nerveuse. » dit Bella. « Pourquoi je parle de ça avec toi ? Tais-toi et épluche les carottes ! »

« Ne me donne pas d'ordre ! » grogna-t-il.

« Ma cuisine. Mes règles ! » répliqua-t-elle.

Cela suffit pour fermer le clapet de Paul, qui déglutit. Ma cuisine, mes règles. Il ressentit un violent besoin d'attraper Bella et de la baiser. Là, tout de suite. Mais il ne le fit pas. Il attendit. Il attendit que Bella ait enclenché le minuteur de cuisson pour l'attraper et la faire assoir sur la table.

« T'es au courant que je suis dur comme la pierre ? »

« Ah bon ? » fit Bella, la plus innocente possible. « Je n'ai rien remarqué. »

Bien sûr que si, elle l'avait remarqué. A travers leur lien, elle avait senti un brûlant désir le parcourir, et elle sut exactement ce qui l'avait déclenché.

« On a combien de temps ? » demanda-t-il.

« Environs quinze minutes. » répondit-elle.

« Désolé bébé, mais je vais être un peu brutal. » dit-il.

« Qu'est-ce que t'attends ? »

Il lut dans son regard le même désir que celui qu'il ressentait. Il lui donna un baiser fulgurant, puis la fit descendre de la table et la fit pivoter pour qu'elle lui tourne le dos.

« Penche-toi en avant, et agrippe la table ! »

Elle s'exécuta. Paul lui caressa les fesses à travers le legging avant de baisser le vêtement jusqu'à ses genoux.

« Pas de culotte ? » grogna-t-il.

Il claqua une à une ses fesses nues. Bella couina. Paul durcit en un instant. Il détacha la serviette qu'il avait autour de la taille, et la pénétra sans attendre. Elle était tellement mouillée. Il agrippa ses hanches fermement et la prit avec force. Une de ses mains agrippa les cheveux de Bella, et ses pénétrations se firent plus denses, plus profondes, arrachant à chaque fois un cri de plaisir à Bella. Paul glissa un doigt jusqu'à son clitoris, qu'il titilla avec frénésie. Ils jouirent en même temps, et il se déversa en elle en de longs jets brûlants. Doucement, il se retira et relâcha sa prise dans les cheveux de sa compagne. Il remonta le legging pour la couvrir, la releva et prit sur ses genoux après s'être assis sur une chaise.

« Ça va, bébé ? »

Il la tint contre lui, caressant ses boucles.

« Hum… » répondit-elle dans un soupir post-coïtal.

Ils restèrent assis, jusqu'à ce que le minuteur ne retentisse. Bella s'était suffisamment remise pour vider les marmites, mais une fois qu'elle l'eut reposé sur la cuisinière, elle se retrouva dans les bras de Paul, qui l'emmena dans la salle de bain.

Forks !

Angela était assise devant la télé, son pot de glace à la framboise en guise de dessert après avoir mangé une bonne portion du gratin que Bella lui avait préparé, quand on frappa à la porte. Le pot de glace à la main, elle alla ouvrir et son cœur loupa un battement en voyant Embry. Il portait un simple short et un t-shirt, mais qu'est-ce qu'il était sexy ! Elle s'écarta pour le laisser passer, et referma la porte derrière lui.

« Tu as faim ? » demanda-t-elle.

« Non merci, ma belle. » répondit-il en glissant un bras autour de sa taille pour l'attirer contre lui. « Ma mère m'a fait manger avant que je ne vienne te voir. »

Il l'embrassa, prenant son temps pour savourer sa bouche qui avait le goût de la framboise glacée.

« Bonjour ! »

« Bonjour ! » Angela sourit. « Tu veux de la glace ? »

« Avec plaisir ! » Il la suivit dans la cuisine, où elle prit une deuxième cuillère, et l'entraîna dans le salon. « On regarde quoi ? »

« Oh, je suis tombé sur un reportage animalier. » dit Angela. « On peut parler en même temps, si tu veux ? »

Elle balança ses jambes par-dessus celles d'Embry.

« Il me semble que tu dois m'expliquer comment vous savez qui seront les prochains à se transformer. »

« En effet ! » acquiesça Embry, qui essaya de faire abstraction de la manière dont la bouche d'Angela se refermait sur la cuillère pleine de glace. « C'est grâce à Alice Cullen. »

« Qu'est-ce que les Cullen ont à voir avec cette histoire ? » demanda la jeune fille.

« Ce sont, euh, et bien ce sont des vampires… » dit Embry, sans la quitter des yeux. Il la vit écarquiller les siens. « Mais rassure-toi, ce sont des gentils. Tu as vu la couleur de leurs yeux ? »

« Oui euh, ils sont dorés. » dit Angela, après avoir partiellement digéré l'information.

« Exactement. » dit Embry. « Ça veut dire qu'ils se nourrissent de sang animal. Les vampires qui boivent du sang humain ont les yeux rouges, d'après ce que je sais. »

« Ok ! » dit Angela, ignorant le frisson qui lui parcourut l'échine. « Continue ! »

« Certains vampires ont des dons, et celui d'Alice est de voir l'avenir. » dit Embry. « Je te raconterais les légendes en détail une autre fois, mais un pacte a été conclu entre nos deux clans, et Alice a vu la future génération de loups-garous. Ma génération. Elle a donné le nom des garçons de la réserve qui devaient se transformer. Encore une fois, les détails plus tard. Après moi, ils restent encore mes deux meilleurs amis à se transformer, Jacob et Quil. Trois autres viendront après eux, mais bien plus tard. Ils sont encore trop jeunes. »

Angela absorba les informations.

« Donc, Alice vous a vu vous transformer » dit-elle. « Est-ce qu'elle a vu ma venue, aussi ? »

« Euh, non ! » dit-il avant d'avaler une cuillérée de glace. « Elle ne peut pas tout voir, et la venue des imprégnées dans la vie de chaque loup devait se faire sans interférence. C'est ce qui s'est passé. Ton retour de Portland à Forks une semaine après ma transformation n'était pas une coïncidence. Ça devait se passer comme ça. »

« Merci pour les insomnies. » marmonna-t-elle.

Il sourit.

« Tu as d'autres questions ? »

« Hum, non, pas pour le moment. »

Angela cueillit une goutte de glace rosée qui coulait de sa cuillère sur son index, et porta son doigt à sa bouche. Le souffle d'Embry se coinça dans sa poitrine. Le bruit de succion le rendit dingue. A ce moment-là, Angela tourna la tête vers lui.

« Quoi ? » fit-elle, le doigt toujours dans la bouche.


Ça vous a plu ? En tout cas, je vous remercie pour vos reviews à chaque nouveau chapitre.

Donc, il s'agit du dernier avant longtemps. Je n'ai pas encore écrit la suite, et donc nous allons entrer dans une phase de break. J'ai décidé de ne plus rien posté avant un moment. Je ferais peut-être une exception le 22 août prochain, pour l'anniversaire de ma page sur laquelle vous pouvez me retrouver 'Lily Fictions – Jeni Kat', mais autrement, plus rien. Du moins, je pense ne pas poster la suite tant que je n'aurais pas écrit le reste de la fiction dans son intégralité. J'espère que vous ne m'en voudrez pas et que vous serez patientes.

Merci d'avoir été si enthousiaste face à cette histoire qui est loin d'être terminé. Il me reste encore plein de choses à raconter, et il ne faut pas oublier que Jake et Quil vont rejoindre la meute, tout comme Leah et Claire rejoindront le clan des imprégnées.

A très bientôt, mes fidèles !

Bises, et prenez bien soins de vous !

Aurélie !