Disclaimer : Tout l'univers et les personnages de Twilight appartiennent à Stephenie Meyer !
Mardi 13 août 2008 !
Malgré les vapeurs de la douche, elle avait froid. S'habillant en vitesse, elle sortit de la salle de bain pour se rendre compte que ça venait bien du reste de la maison. Il faisait très froid, comme si toutes les fenêtres avaient été laissé ouvertes.
« Papa ? Maman ? Seth ? »
Elle n'obtint aucune réponse. Etrange ! Ils ne vivaient peut-être pas dans les tropiques, mais la maison était chauffée, du moins en temps normal. Les cheveux encore humides, elle les essora avec une serviette tout en partant en quête de sa famille. Il n'y avait personne, mais la porte d'entrée était grande ouverte, et il pleuvait à torrent. Elle se dépêcha d'aller refermer la porte, et quand elle poussa le verrou, un grognement se fit entendre derrière elle. Doucement, elle se retourna, et se figea. Elle était face à un loup au pelage étrange. Brun avec une teinte orange, ou rousse. Mais ce n'était pas important car le loup grognait, les babines retroussées. Il aboya…
Leah sursauta, le cœur battant la chamade. Elle leva la tête et la tourna de droite à gauche avant de se détendre. Elle était chez elle, où elle s'était assoupie sur le canapé. Quelqu'un avait étalé un plaid sur elle pour ne pas qu'elle attrape froid. Soulagée, elle quitta le canapé et plia le plaid avant d'aller dans sa chambre. Ce rêve avait l'air tellement réel. Un frisson la parcourut sans qu'elle ne se l'explique.
…
Onze jours ! Onze jours qu'il rongeait son frein, qu'il s'obligeait à se taire et remarquer les changements chez Bella. Il n'en pouvait plus, et quitte à déclencher une dispute, et bien tant pis. Il allait lui faire voir qu'il ne plaisantait pas. Paul s'efforçait de garder des pensées cohérentes, mais comment y arriver quand sa compagne l'avait réveillé avec sa bouche autour de sa queue ?
« Bébé, s'il te plaît il… il faut qu'on parle… » réussit-il à dire.
Elle le libéra dans un pop sonore, mais au lieu d'en rester là, Bella le chevaucha, l'empoigna et le guida sur sa féminité. Quand Paul sentit à quel point elle était trempée, c'en était trop. Elle le fit taire en l'emprisonnant entre ses plis humides, et bougea sur lui, rejetant la tête en arrière sous le coup du plaisir. Cette vue était à la fois insoutenable et bandante. Insoutenable parce que sa Bella ne se serait jamais permise une telle audace un mois plus tôt. Et bandante parce que… eh bien il n'était qu'un pauvre type fou amoureux de sa femme. Quelque chose clochait, et il fallait qu'il reprenne le contrôle de la situation pour lui faire entendre raison. Donc, il lui agrippa les hanches, lui donna un coup de rein qui la fit gémir très fort puis, inversa leur place et la renversa sur le dos pour la dominer de sa haute stature. Il lui bloqua les mains au-dessus de sa tête, et lui donna un baiser fulgurant tout en continuant de la pénétrer jusqu'à ce qu'ils jouissent tous les deux. Le visage dans le creux de son cou, les lèvres effleurant son oreille, il chuchota en employant un ton ferme :
« Ecoute-moi bébé, tu changes. »
« Arrête avec ça ! » couina-t-elle.
« Ecoute-moi ! » gronda-t-il, la faisant taire. Bien, elle était attentive maintenant. « Ton corps change, et toi aussi. Crois-moi quand je te dis que je le connais absolument par cœur, et il se passe quelque chose en toi. »
Son alter-ego grogna, parce qu'il avait senti ce changement plus en profondeur, et en prononçant les mots il se passe quelque chose en toi, Paul il vit plus clair. Mais quel con ! C'était évident, merde ! Se redressant, il l'observant plus attentivement. Son ventre était toujours le même, mais pas ses seins. S'il ajoutait à cela son humeur exécrable, sa manie de se lever en pleine nuit pour faire fondre du chocolat sur des fruits…
« Merde ! »
« Quoi ? » Agacée, Bella se redressa sur les genoux. « Je vais très bien. »
« Depuis quand t'as pas eu tes règles ? Réfléchis pas et réponds-moi. »
Elle était sur le point de lui dire qu'elle les avait eus le mois dernier, comme d'habitude, mais elle se rendit compte que ce n'était pas le cas. Ça allait faire un mois qu'elle n'avait pas eu ses règles.
« Ça ne veut rien dire. »
« Bébé, ton corps change, et je suis trop con pour ne pas avoir compris plus tôt. Tu te lèves au beau milieu de la nuit pour bouffer toujours la même chose, t'es d'une humeur de chien chaque fois que je te dis un truc qui te fait chier, et t'es une vraie bête au pieu. Plus que d'habitude. »
« Merci, je ne sais pas du tout comment je dois le prendre. » grogna-t-elle en serrant les poings.
« Bella, ça fait une semaine que tu me réveilles en me suçant avant de me chevaucher à m'en faire perdre la tête. Tu ne faisais pas ça il y a un mois. »
« Et alors ? Je croyais que tu étais content que… que ça te plaisait que je devienne plus libérée… »
« Et j'adore ça ! » Il prit son visage entre ses mains et l'embrassa, quand il sentit une goutte salée sur ses lèvres. « Ne pleure pas, bébé, je ne te fais aucun reproche. Tu es une femme et je viens de capter avant toi ce qui t'arrive. T'es enceinte ! »
« Qu… quoi ? Mais… »
Il la coupa d'un baiser avant de sortir du lit en la portant dans ses bras jusqu'à la salle de bain. Il s'occupa d'elle sous la douche, la sécha avec délicatesse une fois terminée, et l'enveloppa dans une serviette avant de lui sécher ses cheveux qui avaient repoussés jusqu'à ses épaules. Bella était dans un état d'hébétement tel qu'il l'habilla sans qu'elle ne réagisse vraiment. Il l'emmena dans le salon, la fit asseoir sur le canapé et s'agenouilla devant elle en attendant qu'elle émerge de ses pensées. Il la connaissait assez pour savoir qu'elle était en train de cogiter à tout ce qu'il venait de lui annoncer. Et il le sentait à travers leur lien. En tout cas, il se sentait soulagé. Son animal intérieur aussi s'était calmé.
Enceinte… Même si elle était dans un état second, elle n'en demeurait pas moins éveillée mentalement. Wow, comment n'avait-elle pas remarqué que, effectivement, quelque chose changé chez elle ? En elle. Les fringales nocturnes, le fait qu'elle n'ait pas eu ses règles le mois dernier, son humeur de merde chaque fois que son compagnon lui faisait une simple remarque. Et le sexe… Bon sang il avait raison ! Elle n'a jamais été aussi entreprenante et libérée. Reprenant enfin ses esprits, elle secoua la tête et tomba sur le regard plein de chaleur et d'amour de Paul.
« Je te demande pardon ! » fut tout ce qui sortit de sa bouche.
« Pourquoi tu t'excuses ? » voulut-il savoir.
« Je me suis comportée comme une conne avec toi et… »
« Hey, non, tu n'as pas à t'excuser. » Il se redressa pour l'embrasser avant de prendre place sur le canapé et de l'attirer sur lui. « J'aurais dû me montrer plus subtil avec toi. »
« Subtil, toi ? » le taquina-t-elle.
« Oh tais-toi ! » grogna-t-il gentiment, lui volant un baiser. « J'aurais dû comprendre plus tôt. »
« Non, j'aurais dû comprendre. » rectifia Bella, qui gémit de honte. « Je me suis comportée comme une… une… » Elle grogna, ce qui amusa Paul. « Je t'ai sauté dessus sans vergogne. »
« Mais tu as le droit de faire de moi tout ce que tu veux. » la rassura-t-il en soulevant son regard vers le sien. « Ce qui me rendait dingue, c'était de ne pas comprendre ce qui t'arrivait. »
« Il faudrait que je fasse un test, ou qu'on voit un médecin pour confirmer, mais il suffira que j'aille à l'hôpital pour que toute la ville apprenne que la fille du shérif est en cloque. » dit-elle d'un ton désolé.
« Ou alors, je peux appeler un certain vampire médecin, et lui demander s'il peut te voir en toute discrétion. » suggéra Paul.
« Ouais, d'accord ! » souffla-t-elle. « Et qu'est-ce qui se passera, si je suis vraiment enceinte ? »
« Bah, on deviendra parents à dix-huit ans. » dit-il, comme une évidence. « N'oublie pas que si tu es effectivement enceinte comme je le pense, ça veut dire que tu es prête. Ça ne se passe pas comme les couples normaux, pour nous. »
Non ! Elle devait se sentir prête au niveau psychique et physique. Son cœur, son corps et son âme devaient être connectés, et Bella ne pouvait nier le fait qu'elle n'avait rien contre le fait de passer sa vie dans cet endroit que sa mère avait fui quand elle était bébé. Sa mère était volage et avait besoin de bien plus que ce qu'avait à lui offrir la petite bourgade de Forks. Bella, elle, était tout le contraire. Il était vrai que sa cohabitation avec son père aurait dû être temporaire, mais c'était avant de rencontrer Paul, et que le destin ne les lie à jamais.
« Ça va ? » lui demanda Paul.
« Oui, je réfléchissais c'est tout. » le rassura-t-il.
« A quoi ? »
« Au fait que ma vie est ici, et que ma mère va péter un câble. »
Enceinte à presque dix-huit ans, et ses études n'étaient pas encore finie.
« On va prendre un problème à la fois à régler. » dit Paul. « On va aller manger, ce dont tu as envie, ensuite j'appelle Carlisle et je nous prends un rendez-vous à l'hôpital. D'abord on s'occupe de toi et on s'assure que tout va bien là-dedans… » dit-il en posant une main sur son ventre encore plat. « Pour le reste, on avisera. »
« D'accord ! Tu veux des pancakes ? »
« Seulement si tu en as envie. » dit-il en l'embrassant. « Il faut que tu manges. »
Il la souleva et alla dans la cuisine. Il la déposa délicatement sur la table, et voulut s'éloigner mais elle le retint entre ses jambes.
« Bébé, plus tard les câlins ! »
« Tu sais que, si je suis bien enceinte, il ne faudra rien me refuser. » Elle se lécha les lèvres. « Et ça vaut surtout pour les câlins. »
« Mais, je ne te refuse rien. Il faut d'abord que tu manges, et moi aussi parce que j'ai vraiment les crocs. »
Elle gloussa et abandonna, pour l'instant, l'idée de câlins.
« D'accord, alors j'ai envie de manger des gaufres. »
« Ok, je sors l'appareil. » dit-il.
« Et je prépare la pâte. »
Elle descendit de la table et alla ouvrir le frigo pour prendre une partie de ce dont elle avait besoin, mais l'odeur de fromage – même sous cloche – lui monta au nez et elle fut prise d'une furieuse envie de vomir. Une main devant la bouche, elle se rua jusqu'à la salle de bain, et vomit ce qu'elle avait dans l'estomac dans la cuvette des toilettes. Ouais, ok, je suis bien enceinte ! Elle n'avait jamais eu de problème avec le fromage avant…
« Bébé, ça va mieux ? »
Bella leva la main pour qu'il l'aide à se relever.
« C'était une nausée ! » dit-elle. « Fais-moi plaisir et débarrasse-toi du fromage qu'on a dans le frigo. »
« J'irais le donner à ton père, mais en attendant tu restes loin du frigo. Je me chargerais de te sortir ce dont t'as besoin. »
« Ewe, là j'ai surtout besoin de me brosser les dents. »
Elle prit cinq bonnes minutes pour se débarrasser de cet arrière-goût horrible avant de laisser Paul la prendre dans ses bras.
« Notre bébé n'aime pas le fromage. » dit Paul, en souriant.
Un sourire que Bella ne vit pas mais devina sans mal. Sans quitter ses bras, elle recula la tête pour regarder son homme.
« Je n'aurais jamais cru devenir mère avant d'avoir fini mes études, mais je sais que je pourrais compter sur toi. »
« Toujours. » dit-il avec une fermeté qui la traversa. Il sourit. « Je voulais faire des travaux dans la maison, c'est l'occasion rêvée. Mais on en parlera plus tard. Allons manger. »
Heureusement pour elle, l'odeur du fromage ne l'atteignit pas quand elle garda ses distances et que Paul ouvrait lui-même le frigo. Une heure plus tard, ils montaient dans la voiture et firent route jusqu'à Forks, avec leur stock de fromage dans une glacière dans le coffre.
Carlisle avait accepté de les recevoir sans rendez-vous. Il les attendait sur le parking, et les conduisit à une salle d'auscultation pour plus de tranquillité.
« Merci de nous recevoir. » dit Paul.
« Je vous en prie. » répondit le médecin. « Alors, en quoi puis-je vous aider ? »
« Eh bien, il semblerait que je sois enceinte. » dit Bella.
Au léger sourire du vampire, Paul demanda :
« Vous le savez ? »
« Eh bien, je l'ai deviné. J'entends trois battements de cœur. Le vôtre… » dit Carlisle en désignant tour à tour Paul et Bella, puis, il baissa l'index vers le ventre de la jeune fille. « … et le sien. Pour que j'entende le cœur battre, tu dois en être au moins à six semaines. Parle-moi de tes symptômes ! »
« Oh, ça doit faire deux semaines qu'elle se lève au milieu de la nuit pour manger toujours la même chose, et je lui ai fait remarquer que je trouvais ça bizarre. »
« Toutes les femmes qui se lèvent en pleine nuit pour manger ne sont pas forcément enceinte. » répliqua Bella.
« Mais c'est un symptôme courant. » affirma Carlisle. « Des nausées ? »
« Seulement une, depuis ce matin. » dit Bella, avant de grommeler : « Merci le fromage ! »
« Allonge-toi, je vais te faire une échographie pour confirmer la grossesse, et je te ferais une prise de sang pour faire un bilan. »
Bella frissonna quand il étala le gel froid sur son ventre. Paul lui tenait la main, le regard fixé sur l'écran de l'échographe. Faisant courir la sonde sur le ventre de Bella, Carlisle pointa son index sur l'écran et désigna l'embryon.
« Juste-là ! » dit-il, avant de chercher le battement du cœur, qui résonna en quelques secondes. « Et ça, c'est le cœur de votre bébé. »
Ni Paul ni Bella ne pouvait détourner le regard de l'écran. Elle était bien enceinte. Ils allaient avoir un bébé à seulement dix-sept ans. Bon, d'ici à ce qu'elle accouche, elle en aurait dix-huit, et Paul dix-neuf, mais qu'importe.
« Est-ce qu'il va bien ? » demanda-t-elle.
Les futurs parents dardèrent leurs yeux sur le médecin, qui imprima un cliché avant de tendre un mouchoir à Bella pour qu'elle s'essuie.
« Je n'ai rien vu d'anormal, mais il faudra rester prudent. » Il prépara un kit pour lui prélever du sang tandis qu'elle se relevait après avoir essuyé le gel de son ventre et remonté la manche de sa tunique. « Je peux vous suggérer une gynécologue… »
« Euh, en fait, j'espérais que ce soit vous. » dit Bella. « Je sais ce n'est pas votre domaine mais, vous savez tout sur, eh bien sur Paul et ce qu'il est, et… »
« On veut que vous soyez son médecin. » dit Paul, une main dans le dos de sa compagne.
« Très bien ! » accepta le médecin-vampire.
Il lui préleva deux tubes de sang, avant de panser sa petite plaie.
« L'échographie montre que tu en es presque à ton deuxième mois de grossesse. »
Deux mois, donc…
« Je t'appellerais dès que j'aurais les résultats. En attendant, je te conseille de prendre des vitamines prénatales. »
Il lui exposa toutes les recommandations.
« Toute la ville va savoir que je suis enceinte. » geignit-elle.
« J'irais les acheter pour toi, mais j'irais à Port Angeles, si tu veux. »
Elle ne répondit que par une grimace.
Ils finirent par quitter l'hôpital, ayant fait un détour par une distributeur automatique pour que Bella puisse grignoter quelque chose de sucré.
« Je te dépose chez ton père, avec le stock de fromage que je rangerais moi dans le frigo. » Elle le frappa sur le torse, lui arrachant un rire. « Et ensuite j'irais acheter ce qu'il te faut. Tu n'auras qu'à te reposer en attendant que je revienne. »
« Mouais, si tu veux. »
« Hey ! » Avec une extrême douceur, il la ramena contre lui et prit sa joue en coupe. « Je suis là, bébé. Je suis là pour toi, et pour notre enfant. Je ne te laisserais pas tomber. »
« Ma mère ne va pas apprécier. Je crois même qu'elle pourrait essayer de me dissuader de le garder. » dit Bella, les yeux embués de larmes.
« Alors là il faudra qu'elle traite avec moi. » grogna-t-il. « Tu veux garder ce bébé, Bella ? »
« Oui ! » répondit-elle, la gorge nouée.
« Alors la question est réglée. On n'a pas fini nos études, et alors ? » dit-il en haussant les épaules. « On n'est pas tout seul. On a une famille qui sera prête à nous aider chaque fois qu'on en aura besoin. Les cours vont reprendre et Angela sera à tes côtés jusqu'à ce que tu me reviennes à la fin de la journée. Ton père te soutiendra parce qu'il connait les légendes, et qu'il sait que je préférerais m'arracher le cœur avant de te faire du mal. Tout va bien se passer, je te le promets ! »
Il scella cette promesse d'un baiser.
La voiture du shérif n'était pas garée devant la maison.
« Tu veux bien faire des courses, quand tu reviendras de la pharmacie ? » demanda-t-elle à son homme après avoir inspecté le frigo. « Je vais préparer de quoi dîner ici. »
« Ouais, bien sûr ! Note-moi ce dont t'as besoin. »
Elle fouilla dans le placard pour voir ce qu'il y avait ou ce qu'il manquait, avant de noter les ingrédients sur un bloc-notes, dont elle arracha ensuite la feuille pour la tendre à Paul. Elle résidait à La Push depuis son retour de Jacksonville, et bien évidement son père se nourrissait de pizzas de et sandwiches.
« Ça va aller, le temps que je revienne ? » demanda Paul.
« Ouais, je vais m'allonger sur le canapé et me reposer en t'attendant. »
Elle bâilla lourdement, et ses yeux se fermèrent dès que sa tête toucha l'un des coussins du canapé. Paul la couvrit d'un plaid, l'embrassa sur le front et quitta la maison de son beau-père, après avoir pris les clés de Bella pour pouvoir fermer derrière lui.
Il allait avoir un bébé. Sa Bella, sa compagne qu'il aimait plus que tout, était entrée en phase jusqu'au plus profond de son être en très peu de temps dans leur relation, et ça avait suffi pour que le destin décide de les bénir par un enfant. C'était incroyable !
Et voilà, vous avez votre confirmation pour Bella ^^ *Juste, qu'on garde pour soi les détails techniques des règles liées à la grossesse etc... Pitié, merci :)
Bon, je posterais le chapitre 41, qui sera le dernier avant la pause, dimanche prochain, et non mercredi !
Voilà, à dans une semaine !
Bises, Aurélie !
