«Je vais sur le balcon, et tu appelles quand tu es prête.» Il sortie et laissa la trappe entrouverte.
Marinette attrapa sa tablette et son chargeur et se glissa sous les draps de son lit avec seulement sa culotte sur elle.
Par la trappe du toit, elle entendit ChatNoir se transformer. «Et quel est le programme pervers de ce soir?» demanda la voix nasillarde de Plagg.
«On regarde juste un film.» fit celle de ChatNoir et Marinette l'imagina rouler des yeux vers les étoiles. Ils étaient devenus vraiment très proches, réalisa-t-elle.
Le connaître en tant que Ladybug en même temps que de le connaître en tant que Marinette l'aidait à découvrir beaucoup de choses sur sa personnalité. C'était presque un avantage injuste et déloyal mais, du même coup, puisqu'ils ne pouvaient pas se révéler leurs identités, l'autre option aurait été de rester à distance l'un de l'autre et elle pensait que ChatNoir préférait ''Ne pas pouvoir être complètement honnête l'un envers l'autre mais tout de même savoir qu'ils peuvent se faire confiance'' comme il l'avait déjà mentionné à quelques reprises à sa partenaire.
«Mais, on passe la soirée en tête-à-tête. Alors, tu es prié de te faire discret.» précisa le joli blond.
«Tant que vous le restez aussi!» se moqua le kwami.
Son ami rejoint Marinette sur le lit.
Il retira tous ses vêtements sans pudeur à l'exception du masque, laissant la possibilité à Marinette de regarder ce qu'elle voulait.
Il se glissa ensuite sous les draps et sentit rapidement qu'elle avait garder son dessous. «Tu préfères que je remette mon caleçon?»
«Non. Je n'ai pas de malaise, si tu n'en a pas.» le rassura-t-elle.
Elle se rapprocha de lui avec l'écran et son corps s'éveilla au contact du siens. Des étincelles explosèrent dans le bout de ses doigts pendant que sa colonne vertébrale frissonnait.
Lui-même gémit et se concentra frénétiquement sur la page web.
«Tu veux un instant?» fronça Marinette.
«Non.» bougonna-t-il. «De manière générale, je souffre d'un manque de contact physique. Si ton corps s'est éveillé à cause de notre rapprochement peau à peau, le miens est probablement trois fois pire. C'est pas pour rien que j'adore les câlins et que j'ai choisis cette activité. Mais, mon désir envers toi n'est pas sexuel.» avoua-t-il avec malaise.
Avant même qu'elle ne s'apitoie sur son sort, il avait déjà lancé le film pour mettre fin à la discussion.
Elle se tourna vers l'écran avec curiosité et poussa une plainte en voyant le titre.: «Sérieusement? Sexe friends?»
«Ben quoi? C'est de circonstances et c'est plutôt drôle. Ça va nous distraire du reste.»
«Tu l'as déjà vu?» demanda-t-elle par hasard.
«En diagonale, il y a des années.» répondit-il en se rapprochant d'elle.
Et en effet, le film était drôle et léger. À un moment, il était tellement hilare qu'ils durent arrêter le film. Mais vers le ¾ du visionnement, dans un moment un peu émotif du scénario, la main d'Adrien s'aventura autour de sa taille et sur son ventre. «Est-ce que c'est correct?» s'inquiéta-t-il.
«Bien sûr.» l'assura-t-elle. «C'est moi qui ait proposé que tu testes tes limites côté femme avec moi. Je te dirai si je n'aime pas.»
Un instant, la main d'Adrien effleura ses mamelons mais il ramena sa tête contre son torse où elle s'abandonna et la main de son meilleur ami s'occupa surtout de caresser calmement son dos.
«Et bien, je serai prévenu.» commenta Adrien à la fin du film. «Même si je ne suis pas exactement comme lui.»
Après une longue hésitation, Marinette elle aussi, se mit à caresser son partenaire. Elle découvrit les muscles de son torse un à un et la douceur de sa peau. D'un travail mutuel, elle se retrouva aussi de face sur lui.
«Je commence à penser que ce n'est pas une mauvaise idée. Je me vois bien passer ce genre de soirée avec une conjointe. J'aimerais bien avoir ton avis aussi. Maintenant, ou plus tard.» souffla-t-il. Il était si mélangé face à ce qu'il voulait.
«Jusqu'à maintenant, je vais bien. » le rassura-t-elle. «Je ne suis pas mal à l'aise à ton contact. C'est très naturel.»
Pour le rassurer davantage, elle retira son dernier bout de tissus et se sentit tout de suite plus à l'aise dans son corps. Les caresses de ChatNoir remontèrent vers son cou, sa chevelure. Elles devenaient un massage léger et agréable.
Elle-même s'enhardit encore plus et plaça ses paumes sur l'extérieur de ses cuisses avant de remonter lentement sur son bassin.
Il frissonna et s'interrompit alors, elle en fit de même.
Mais, il recommença bientôt et les mains de Marinette reprirent leur chemin jusqu'à se refermer sur son membre encore endormit.
À ce contact, son ami se tendit et elle pouvait dire qu'il était mal à l'aise. Elle remonta ses paumes vers son cou et scruta son expression.
«J'aimerais savoir ce qui se passe dans ta tête?» souffla-t-elle.
«Ça ne marchera pas Marinette.» fit-il avec regret. «Je n'aurai pas d'érection simplement en te regardant ou en te touchant. Je te trouve magnifique et merveilleuse mais plus cette expérience progresse et tout ce que je vois, c'est une confirmation du fait que je suis vraiment gay. Je suis désolé.» s'excusa-t-il.
«Non! Ne le sois pas! Tu as tout à fait le droit d'être toi-même.» l'assura-t-elle avec une caresse sur sa joue.
Il attrapa son poignet et déposa un baiser sur sa paume. Entre ses jambes, elle sentait distinctement le sexe de ChatNoir au repos.
Elle se sentit elle-même un peu humide et s'en voulu. Il tenta de la serrer contre son cœur dans un geste de réconfort pour elle mais, aussi pour lui. Son espoir était déçu.
Seulement, elle utilisa son torse pour se repousser et planta plutôt son regard dans le siens.
«Tu sais, après ton aveu de l'autre jour, j'ai fait quelques recherches. Spécifiquement sur les témoignages de gens qui sont attirés par deux types de personnes selon le type de relation et de sentiments. Et j'ai trouvé quelque chose d'intéressant dans une perspective un peu plus large. Ce n'est bien sûr qu'un avis individuel et pas celui d'un expert qui a réunis plusieurs informations mais, cette femme disait que de son point de vue, la sexualité, comme beaucoup de chose dans notre corps, varie d'un individu à un autre.
Personne n'est complètement droitier ou gaucher. Personne n'est 100% auditif ou kinesthésique. Et à son avis, personne n'est entièrement gay ou hétéro. Je pense à toutes ces histoires de personne qui ont quelques tendances insoupçonnées qui ressortent avec de l'alcool alors qu'ils sont encore au début de l'âge adulte. Tu sais, les trucs du style: 'Dans les dortoirs de l'Université, ma coloc et moi'...»
«Ouais...» soupira-t-il «Je suis un peu attiré par toi physiquement et toute cette histoire m'excite mais, je trouve qu'il manque quelque chose à notre relation.»
«Est-ce que tu as envie de le faire anal avec moi?» questionna-t-elle de façon neutre.
«Tu serais prête à aller jusque là?» s'étonna-t-il très touché.
«Je suis vierge.» rappela-t-elle. «Je sais que j'aurai mal la première fois et que je dois apprendre à utiliser mon sexe. Il ne doit pas y avoir une énorme différence entre les deux côtés. En plus, la crainte de tomber enceinte avant d'être prête me pèserait beaucoup moins.»
«C'est encore une offre formidable de ta part qui me touche profondément Marinette.» la remercia-t-il «Sauf que... ce n'est pas le bon sens pour moi.»
Marinette haussa les sourcils en comprenant la difficulté technique et raya mentalement sa plus récente solution de sa liste. «De quoi as-tu envie alors? Tu disais que tu étais excité.»
«La, tout de suite, j'ai juste envie de regarder un porno très gay et très sale.» avoua-t-il avec des joues si rouges qu'elle pouvait les voir au travers des mèches qui cachait son visage baissé.
«Alors, fait-le!» suggéra-t-elle en haussant les épaules.
Avec hésitation, il rattrapa sa tablette et trouva un film 13 ans et plus avec un acteur vraiment craquant. Même Marinette devait admettre qu'il était à son goût. Même si Adrien restait son idéal de beauté masculine.
Toujours installée de part et d'autre sur ses cuisses, elle demanda : «J'aimerais te toucher. Est-ce que je peux?»
Il la regarda curieusement du coin de l'oeil et resta silencieux, essayant de sonder son esprit en profondeur.
Elle rougit et avoua : «Si tu n'éprouves pas de désir physique pour moi, moi j'en ai pour toi. J'ai envie de te faire une fellation.»
«Je ne veux pas t'utiliser, princesse.» objecta-t-il tendrement.
«Tu ne m'utilises pas si c'est un désir mutuel. J'aimerais vraiment essayer.» avoua-t-elle avec gêne mais la luxure prenant le dessus.
ChatNoir resta silencieux un instant. Dans sa tête, se bousculaient tous les souvenirs des occasions où les fans, Chloé, Lila ou Kagami avaient dépassé ses limites. Mais, il ne voulait pas resté bloqué par ses mauvaises expériences et ses craintes.
Il aurait aimé être normal, que sa vie soit moins alourdie par tant de complications. Il était forcé de porter un masque et de garder leur relation secrète. Il n'avait pas envie d'être en froid avec elle. Il ne voulait pas renoncer à la possibilité d'avoir un lien charnel avec elle par peur.
«Je n'éprouve pas de malaise à ce que tu me touches. Fais-toi plaisir autant que tu veux mais, mon corps ne répondra peut-être pas comme tu le souhaites dès ce soir. En plus de mes préférences sexuelle envers les hommes, il m'est aussi arrivé que des filles me mettes mal à l'aise en suggérant... tu vois. Et donc, si tu décides d'essayer de me faire jouir, il est possible que tu sois obligé de travailler plus que tu le crois.» plaisanta-t-il.
«Si tu penses que le travail manuel m'effraie!» répondit-elle de même en se positionnant pour prendre le sexe de ChatNoir dans sa bouche.
Il était encore très mou et minuscule mais, il s'allongea peu à peu lorsque le garçon sursauta à son premier coup de langue.
«Essai en fermant les yeux.» murmura-t-elle. Il frémit au ton assuré de sa voix.
Non seulement il ferma les paupières mais, il se laissa aussi retomber sur l'oreiller, lui offrant plus de place pour accéder au bas de son torse.
Il soupira et reporta son regard sur la tablette. Il la laissa s'amuser avec lui, redoutant qu'un malaise insurmontable s'installe entre eux.
Il ne craignait pas Marinette comme les autres filles. Il était confortable avec elle même alors qu'il lui dévoilait toute son intimité parce qu'elle était sa meilleure amie.
Avec les minutes qui s'écoulaient, il se détendit et finit par bander véritablement.
La tablette était oubliée depuis longtemps et la trame sonore du film muselé par les draps. Dans le quasi-silence de la pièce, le garçon poussa un gémissement.
Marinette s'était bien débrouillée et perdu dans ses pensées, il n'avait pas remarqué qu'elle avait su l'amener si loin.
Aussi, même si Marinette avait dû y mettre un temps honteusement long, l'excitation avait-elle finit par monter en lui.
«Tu te sens toujours à ton aise?» s'inquiéta-t-elle. «Je ne voudrais pas te bousculer. Tu n'as qu'à me le dire si tu préfères ralentir.»
«On pourrait terminer le travail en équipe?» suggéra-t-il. Il était déjà très dur, son sexe était presque douloureux mais, la jouissance ne s'annonçait pas.
Avec quelques tâtonnements, ils décidèrent que ChatNoir se branlerait en utilisant la main de Marinette serrée autour de son membre.
Adrien se concentra sur la douceur de cette paume chaude et moins familière sur sa peau délicate. Faisant le vide de son esprit, il ne pensa qu'à cette main et à la sensation de sécurité que lui apportait la présence de Marinette à ses côtés.
Il bascula finalement vers le premier orgasme qu'il partageait avec quelqu'un d'autre et ouvrit ensuite les yeux pour découvrir que Marinette avait en fait tout avaler et grogna parce que c'était juste trop... trop... est-ce que quelque chose pouvait être à la fois attendrissant, mignon et sexy voir vulgaire (mais néanmoins excitant)?
Marinette pouvait certainement être tout ça si elle le voulait.
Mais, alors qu'il se calmait, il commença à se sentir affreusement mal. Lorsqu'il avait laissé Marinette explorer son corps, il n'avait pas cru que ça irait aussi loin. Il était sans doute plus fatigué et plus détendu qu'il le pensait.
Il ne regrettait pas ce qu'il avait fait. Il se sentait simplement incroyablement égoïste.
Elle l'avait aidé avec ses idées (pour lesquels il ne l'avait même pas remercié, comme le grand ingrat qu'il était) venait de lui offrir sa première fellation/hand job, ils avaient aussi passé une agréable soirée et tout ce qu'elle lui avait demandé en retour c'était de l'aider à perdre sa virginité et il se sentait incapable de faire ça pour elle.
Il aurait bien voulu rendre la pareille à son amie. Elle méritait qu'il se fende en quatre pour elle. Mais, l'idée d'enfoncer son sexe dans un vagin. Ça ne pouvait pas être si terrible ou si différent de sa main mais, il n'en avait pas exactement envie.
Avec détermination, il glissa son bras autour de sa taille pour la rapprocher de lui. Il emmêla aussi les doigts de leurs mains comme s'il voulait l'inviter à danser.
Inclinant leurs corps dans une position aussi romantique que clichée, il lui murmura langoureusement : «Puis-je avoir l'honneur de vous combler à mon tour, charmante demoiselle?»
Elle rigola de ses manières trop pompeuses puis grimaça en réfléchissant à l'idée. «C'est possible d'en arriver à un compromis avec la lumière éteinte? J'adorerais que tu me touches mais, je ne suis toujours pas à l'aise à ce que tu me regarde.»
Il accepta avec empressement et alla même jusqu'à fermer les yeux pour qu'elle soit plus à son aise malgré le clair de lune qui baignait le lit.
Voyant le côté positif de la situation, il réalisa qu'il la découvrait ainsi sous un autre aspect en se concentrant sur autre chose que ce que voyait ses yeux.
La texture de sa peau, son odeur. Elle lui paraissait même plus petite de cette façon.
Il passa un long moment à la découvrir encouragé par ses réactions. Tant qu'il s'attardait sur son ventre ou dans son cou, ça allait encore. Mais au fond, il ne faisait que retarder le moment qu'elle attendait et qu'il appréhendait.
Serait-il capable de toucher son sexe? C'était l'endroit de son corps le plus intime et personnel, il ne se sentait pas le droit de la toucher là, malgré sa permission et son désir évident.
Puis, il se rappela qu'il était avec elle dans son lit pour faire des tests et découvrir ses propres limites. En fait, il n'aurait vraiment le cœur net sur son ressentit que lorsqu'il essaierait réellement.
Et ce n'était pas dans sa nature d'hésiter à plonger. Il avait juste peur d'offenser à nouveau son amie.
Il se pencha finalement entre ses jambes. Ouvrant les yeux, il observa le sexe féminin juste sous son nez et fondit.
Le sexe de Marinette était plus mignon que ce à quoi il s'attendait. Entièrement épilé et tout rond, les petites lèvres étaient rouges et brillantes de plaisir anticipé.
L'adolescent ne pu faire autrement que de le toucher curieusement du bout des doigts.
Marinette avait été si excitée par ses caresses tendres, il ne pouvait qu'en être rassuré pour leur relation.
Enfin, il se décida à la goûter. Il attrapa la peau de son sexe entre ses lèvres pour l'embrasser.
Et ce n'était pas que le goût était désagréable mais, il ne pouvait concilier l'image qu'il se faisait de lui-même, de sa relation avec Marinette et ce geste. C'était si étrange. Et pas plus agréable ou moins ridicule que d'embrasser passionnément un fruit.
Cependant, quand elle réagit, ce fut avec le gémissement le plus gratifiant qu'il eut reçu de sa vie. Elle aimait qu'il fasse ce geste pour elle, qu'il la touche. C'était un cri du cœur désespéré et quelque chose qui manquait à sa vie. Être apprécié.
Des gémissements si féminins comme celui-là, il voulait en entendre d'autres mais si possible, sans avoir besoin d'utiliser sa bouche pour cela. Ses doigts devraient bien suffire, non? Et les expressions de son visage devraient être tout aussi fascinant à regarder. Quel dommage qu'elle ne veuille pas garder la lumière ouverte!
Le plaisir continua de monter en elle, surtout que ChatNoir s'était décidé à explorer la texture de la peau à l'intérieur de son sexe.
Elle se tortillait et soupirait mais s'irritait aussi. «Aide-moi à finir s'il-te-plaît. Il y a trop longtemps que je suis en manque pour en supporter davantage.» réclama-t-elle. Elle était si près.
«D'accord. Dis-moi juste comment.» souffla-t-il avec enthousiasme.
«La petite bosse qui est ici.» lui montra-t-elle, le regard brillant. «Touche-la avec plus de fermeté. Mord-la même. Mais, n'arrête pas ce que tu faisais non plus.»
Il reprit les caresses qui parcouraient sa partie la plus humide et hésita à faire ce qu'elle voulait. Il se mordit la lèvre songeusement et trouva finalement un compromis en pinçant son clitoris avec ses doigts.
Le long gémissement de Marinette le rassura enfin. Il la regarda avec adoration pendant que sa respiration se calmait et qu'elle bougeait de moins en moins.
Il réalisa qu'elle était sur le point de s'endormir et alla chercher l'un des énormes t-shirt qu'elle portait parfois la nuit. Il remonta le drap sur elle et se transforma après avoir retrouver Plagg.
«Ne pars pas!» s'affola-t-elle.
«Mais-» fit-il avec malaise. «Je vais devoir partir très tôt demain.»
«Reste. S'il-te-plaît.» insista-t-elle en attrapant sa main.
Il sourit et se rangea à son avis.
Lorsqu'il se réveilla, il réalisa avec horreur que même s'il s'était couché sur le dos pour qu'elle dorme sur son épaule, il avait roulé sur elle durant la nuit et se retrouvait couché entre ses jambes et il l'écrasait de son poids.
«Alors, le chat devient protecteur, hein?» se moqua Plagg en arrivant près de lui en ricanant de son regard catastrophé.
Adrien leva les yeux au ciel. Dans sa tête, il entendait Marinette lui rappeler qu'il devait combattre ses instincts de porteur et non y succomber.
'Oui, maman!' pensa-t-il comme il le faisait bien souvent sans lui répondre à haute voix.
Réalisant ce qui avait changé entre eux la veille, sa voix intérieure l'accusa distinctement d'être pervers et ridicule.
