Suite et fin de la partie avec le père de Beckett

Jim Beckett

(seconde partie)

Jim posa en soupirant les documents qu'il était en train d'étudier, pour attraper son téléphone, quand il vit que s'était sa fille, il décida de prendre l'appel.

- Salut ma ma chérie, comment vas tu ?

- Bien papa, mais faut que je te parle, est ce qu'on peut ce voir maintenant

- J'ai pas beaucoup de temps, est ce que cela peut attendre quelques jours, est ce que c'est grave a ce point ?

- Je préférerais le faire aujourd'hui, c'est important mais rien de grave, ne n'inquiète pas.

- Ok, passe à mon bureau à l'heure du déjeuner, et apporte nous de quoi faire un pique-nique dans mon bureau.

- Cela me convient. A tout à l'heure.

- A tout à l'heure

Jim raccrocha, mais il eut du mal a se concentrer sur les divers documents devant lui, cet empressement a vouloir lui parler, l'inquiétait malgré ce que lui avait dit sa fille. Il avertit sa secrétaire que sa fille viendrait pour le déjeuner, mais qu'il ne voulait aucune autre interruption, puis il alla se servir un café, et après l'avoir bu, il réussi a se concentrer suffisamment pour avancer dans son travail. Il était d'ailleurs tellement absorber qu'il sursauta quand la ligne intérieur sonna, et que sa secrétaire lui annonça l'arrivée de Kate.

Il se leva pour accueillir sa fille à la porte de son bureau.

-Papa, bonjour, me voila avec le ravitaillement

- Je vois cela, dit il en souriant devant l'énorme sac de nourriture que sa fille avait amener.

C'est bien un truc qu'il n'avait jamais compris chez sa fille, elle était gourmande, avait un bon appétit, savait cuisiner, et pourtant son frigo et ses placards étaient toujours vide ou presque, ou ce qu'ils contenaient n'avaient plus vraiment l'air comestible.

Ils s'installèrent dans le coin du bureau aménager avec 2 grands fauteuils confortables, et une table basse. Kate sortit un assortiment de cuisine thaïe, et 2 bouteilles de thé glacé.

Jim ne saurait dire pourquoi, mais sa fille lui semblait différente, même s'il n'arrivait pas a trouver qu'est ce qui avait changer. Il ne l'avait pas vue ainsi depuis des années.

- Bien alors que me vaut cette réunion en urgence

- Plusieurs choses, une mauvaise nouvelle, et une bonne nouvelle, et une troisième qui est les 2 à la fois.

- Tu m'intrigues là, commence par la mauvaise

- J'ai été mise à pied.

- C'est la mauvaise ? Pour moi elle serait plutôt bonne, cela m'évitera de m'inquiéter pour toi. Mais pourquoi ?

- Et oui papa, c'est la mauvaise nouvelle. Pourquoi, je te le dirais quand je t'aurais annoncer les autres nouvelles car elles sont toutes liées. Mais justement la bonne nouvelle, te permettra de moins t'inquiéter. Mon tireur a été identifié et il est mort.

- Ton tireur, tu veux parler de celui qui t'as tirer dessus aux …

- Oui papa,

- Dis m'a dis que tout était lié, c'est pas toi qui lui as tiré dessus au moins ?

- Non, il s'est fait sauté tout seul comme un grand.

- Je peux avoir des détails, ou tu m'annonces la troisième d'abord, celle bonne et mauvaise.

- Je connais l'identité de l'homme qui a fait tué maman, mais je ne peux rien contre lui, pour le moment, j'ai pas de preuves et il est trop puissant pour agir sans preuves solides, et même ultra solides.

- Pour moi c'est plutôt deux mauvaises nouvelles, car je te connais, tu ne vas pas lâcher, et si il est aussi puissant, il engagera un autre tueur.

- Non je ne vais pas chercher pour le moment, et non il n'engagera pas d'autres tueurs.

Jim faillit avaler de travers sa bouchée, décidément sa fille avait quelque chose de changer, elle avait un air apaisé, une lueur dans le regard qu'il n'avait jamais vu, et elle avait décider de ne pas poursuivre coûte que coûte son désir de justice.

- Comment peut tu le savoir ?

- Tu le sauras quand je t'aurais tout expliquer

- Alors maintenant les détails parce que là, je suis un peu perdu.

- Il y a quelques jours, on a eut un meurtre, un jeune homme Orlando Costas, il avait deux blessures par balles, de deux armes différentes. La première non mortelle, a été faite par la femme de Montgomery quand cet homme a cambriolé son domicile. Pour la seconde blessure, celle mortelle, un ADN a été découvert, et il était déjà dans notre base de données, il a été relié avec mon affaire. Notre victime avait été engagé par le tueur pour cambrioler la maison des Montgomery. Et sûrement tuer pour ne pas qu'il parle. Grace aux informations de la compagne de la victime, on a réussit a avoir une image de l'homme, une identité Carl Maddox et à trouver ou il était.

- Et il a été tué pendant l'assaut des forces de l'ordre

- Non, étant donné que cette affaire a commencer avec des flics ripoux, je ne voulais pas prendre de risque, donc j'y suis allée seule avec Esposito.

- Et ton autre collègue Ryan, et Castle.

- Ryan est resté au poste pour pourvoir suivre le signal GPS de sa voiture, mais il était en désaccord avec nous. Et Castle, on s'est disputé violemment la veille quand il a essayer de me convaincre de laisser tomber cette enquête, et il a jeter l'éponge car il ne voulait pas me voir me faire tuer.

Jim fut déçu d'entendre cela, il appréciait cet homme, mais il le comprenait, et il lui donnait raison, lui aussi voulait que sa fille arrête cette enquête de malheur.

- Donc tu es partie seule pour l'arrêter

- Pas seule avec Esposito

- Joue pas sur les mots, c'est avec des renforts sérieux que vous deviez y aller

- Tu as raison, parce qu'il a pu s'enfuir, après avoir assommer Esposito, et m'avoir mis hors service. Ryan qui était inquiet, avait prévenu Gates, ils sont arrivés en renfort mais trop tard. C'est la raison pour laquelle Espo et moi, on est mis a pied, parce qu'on a pas suivit les règles.

A cet instant, Jim eut la nette impression que sa fille lui avait cacher quelque chose d'important, qu'elle avait omis certains éventements.

- Le lendemain Ryan est venu me voir, il voulait me parler de ce que Maddox voulait récupérer, il cherchait des informations sur un ami de Montgomery.

- Pourquoi ?

- Roy avait un dossier compromettant sur l'affaire

- Comment le sais tu ?

- Castle me l'as dis.

- Vous vous êtes réconciliés ? Et comment lui l'avait il appris.

- L'homme lui avait téléphoner, et il l'avait rencontré il lui avait parler du dossier. On a réussit a l'identifier mais trop tard. Quand Castle et moi, on est arrivé chez lui, il avait été torturé, et des documents brûlaient dans la cheminée. Mais il a réussit a dire quelques mots a Castle avant que les secours ne l'emmène. Et Castle a compris qu'il y avait une copie.

Il avait remarqué que sa fille n'avait pas répondu a la première partie de sa question concernant Castle, et aussi une différence de ton, dans son regard quand elle en parlait. Quelque chose avait changé.

- En fouillant dans les papiers, on a trouvé une adresse, quand on est arrivés, Maddox nous a surpris, et fait prisonnier. Heureusement pour nous Esposito a lui aussi continuer son enquête, et est arrivé a ce moment là. Il nous a libérer. On est arrivé dans la pièce au moment ou Maddox ouvrait le coffre, mais il était piéger quand il a ouvert, cela a exploser. Réduisant en morceaux le dossier.

- Ok mais si le dossier et la copie de ce dossier ont été détruits, comment avez vous eut l'identité du commendataire.

- Et bien grâce aux morceaux du dossier récupérer après l'explosion, les gars, Castle et moi, on a essayer de reconstituer des informations.

- Et vous avez réussi

- Oui un numéro de compte, il est fermé, mais on a quand même eut l'identité du détenteur.

- L'homme derrière tout cela ?

- Oui, et je le ait fait croire grâce a cette toute petite info, que j'avais le dossier, et j'ai passé un accord avec lui, si il arrive quoique ce soit à moi, ou mes proches le dossier sort

- Dossier que tu n'as pas

- Mais avec le numéro de compte que j'ai, il le croit donc c'est bon.

- Et qui est ce ?

- Le sénateur William Bracken

- Tu peux répéter

- L'ancien procureur, le sénateur William Bracken.

- Quand tu dis que c'est un type puissant c'est pas une blagu en ce mec est presque intouchable.

A ce moment là, le téléphone de sa fille sonna, et il vit son visage s'illuminer, un sourire radieux s'afficher sur son visage.

- Il faut que je réponde.

Il la vit s'éloigner, et il sourit, il avait aperçu le nom de l'appelant, et tout prenait un sens, sa fille était amoureuse, elle avait enfin décider d'ouvrir son cœur. Et c'était encore une meilleure nouvelle que tout ce qu'elle lui avait raconté. Il voulait plus que tout qu'elle soit heureuse, et cette fois cela semblait être enfin possible.