Disclaimer: Je ne posséde rien.
les personnages appartiennent à J.K Rowling, cette histoire m'à été inspiré en lisant You're The One That I Want de babykelyse.
Comme pour mes traductions ces histoires me servent principalement à corriger mes problèmes de dyslexie, c'est donc volontairement que je n'ai pas de bêta.
par conséquent, il va sûrement y avoir des fautes que j'essaierai de corriger encore et encore et encore et encore et encore.
Je m'excuse d'avance et j'en appelle à votre bienveillance.
Chapitre 2
Toute la journée, Harry avait pensé à la façon dont Parkinson avait agi la nuit précédente.
Il voulait comparer son attitude à celle adoptée durant les cours et en effet, elle gardait la tête baissée, parlait peu si ce n'est pas, les seules personnes avec qui il l'avait vu interagir étaient des Serpentards particulièrement Zabini et Nott.
En définitive elle avait adopté le profil bas, il ne put que se dire, que c'était un moindre mal connaissant le caractère caustique de la jeune femme, malgré tout, du peu qu'il la connaissait, ça ne lui ressemblait pas et ne fit qu'accroître son envie de savoir pourquoi elle voulait faire croire qu'elle avait tant changé.
Il est vrai qu'après la guerre, il semblait normal que tout le monde change un peu mais là, on pourrait croire une personne complètement différente, pour ce qui est de son attitude méfiante, elle semblait ne s'apparenter à personne donc il était difficile d'émettre un jugement.
Il se dit qu'il pourrait prospecter un peu ce soir auprès d'elle durant sa retenue.
Une vague partie de lui se demandait pourquoi il était à ce point intéressé par elle mais il conclut rapidement que, si elle préparait quelque chose de louche, il était normal qu'il veille au grain. Après tout son instinct lui avait souvent permis de détecter ces choses, la preuve avec Malfoy.
Il se retrouva à la regarder dans le dos jusqu'à ce qu'elle ait finalement tourné au coin.
Une chose était certaine. Il avait hâte d'être en retenue ce soir avec elle, car si rien d'autre au moins elle brisait la monotonie qui l'avait envahi depuis la fin de la guerre.
''Harry ''
Harry fut si surpris dans ses pensées qu'il laissa tomber toutes ses affaires et gaspilla une bouteille d'encre sur ses robes. Une bouffée de nerfs monta rapidement en lui et redescendit tout aussi vite, quand Il se retourna pour voir Ginny Weasley le fixer avec un petit sourire sur le visage.
''Tu ne m'as pas entendu ? Je t'ai appelé environ un million de fois !'' elle a ri.
"Désolé, Ginny. Je suis juste perdu dans mes pensées aujourd'hui, c'est tout. Que se passe-t-il ?"
'' Pas grand-chose, vraiment. On m'a dit de te donner ça. Ça vient du professeur Slugorn donc je suppose qu'il commence à recruter pour son club.''
Ginny lui tendit un morceau de parchemin, et après plusieurs refus de sa part, pour de l'aide pour ramasser ses affaires, elle se retourna et traversa le couloir.
Après la guerre il avait eu une longue conversation avec Ginny, la jeune fille lui avait clairement dit qu'elle souhaitait reprendre sa relation, mais Harry ne se sentait pas prêt à s'investir dans quoi que ce soit pour l'instant. Il se sentait encore très instable, surtout émotionnellement parlant. C'était lâche, mais il était dans une sorte de pause. Il était parfaitement conscient que Ginny attendait juste qu'il se décide.
Lorsque Harry eut rassemblé ses affaires, il se dirigea vers la salle commune de Gryffondor pour partager un moment avec ses anciens colocataires.
Il fut déçu de trouver la salle commune vide, et s'assit sur l'une des chaises confortables devant le feu. Il se souvint alors de la note que Ginny lui avait donnée et la sortit.
Harry bouillonnait de colère après avoir lu son contenu.
Cher Monsieur Potter,
Je serai honoré de vous avoir comme invité d'honneur, pour ma réception de Noël qui aura lieu le vendredi 21 décembre à partir de 19h.
Sentez-vous libre d'amener un ou une escorte.
Au plaisir.
Professeur Slugorn.
En colère, Harry jeta le parchemin dans le feu et regarda les flammes le lécher avec plaisir.
Quelle culot! invité d'honneur, certainement pas! il refusait catégoriquement d'être exposé comme un petit singe savant.
La bataille de Poudlard avait eu lieu il y avait à peine six mois et déjà, il avait été largement sollicité un peu partout et pour tout et n'importe quoi.
Le manque de décence des gents autour de lui le rendait malade, voir agressif. Les filles de tout horizons, lui jetaient maintenant des regards incandescents, au point où sa frisait le ridicule et les gents de manière générale le traitaient comme si il était Merlin réincarné.
Heureusement il avait un noyau d'ami fidèles comme Hermione, Ron ou encore Neville pour ne citer qu'eux qui lui permettait de relâcher la pression et de garder les pieds sur terre. Malgré tout, cette situation lui pesait et il se sentait, à dire vrai, souvent très seul et à fleur de peau.
Il en était là dans ses réflexions déjà pensées mille fois quand la porte donnant sur le portrait de la grosse dame s'ouvrit sur Neville et Seamus.
...
Cette nuit-là, Harry se tenait avec Slugorn attendant que Parkinson fasse son arrivée, il avait informé le professeur qu'il ne souhaitait pas participer à ce bal, ce qui semblait profondément le peiner. '' Prenez le temps de la réflexion jeune monsieur Potter, la vie doit reprendre son cours, cela pourrait vous faire du bien.''
Les deux dernières heures avant de venir faire la supervision lui avait semblé particulièrement longues et il avait élaboré plusieurs scénarios sur leur prochaine interaction.
Quand elle arriva, Harry faillit gémir à haute voix. Sa tenue vestimentaire était semblable à la nuit dernière, sauf qu'elle était entièrement vêtue de noir et que son visage ne montrait aucune trace de maquillage si ce n'est un peu sur ses cils car personne ne pouvait avoir les cils si long naturellement.
Ses cheveux noir était légèrement ondulés contrairement à hier et relevés en une queue de cheval haute qui descendait dans le bas de sa nuque.
Comme la dernière fois, ils écoutèrent le professeur expliquer ses tâches à accomplir pour la soirée. Finalement Slugorn récupéra sa baguette et sortit tranquillement de la pièce.
Sans épargner un regard à Harry, elle sortit les produits de nettoyage du sceau et se dirigea vers la table la plus éloignée de lui. Rapidement, elle a commencé à frotter et à essuyer les dessus de tables en prenant bien soin d'être le plus éloigné.
Bien, il avait prévu cette possibilité, le traitement silencieux. Il s'installa à l'une des tables et sorti son devoir de potion.
Malheureusement pour lui, comme elle lui tournait le dos, il avait une vue parfaite sur son petit corps délectable, avec un risque minimum d'être surpris à la reluquer, donc à intervalles réguliers ses yeux se perdaient sur son corps.
Peut-être l'avait elle fait exprès pour le tourmenter.
Il devait avouer qu'il aimait beaucoup ce qu'il voyait. Il était le premier surpris que ses courbes féminines et charnues l'attirent autant, normalement c'était plutôt Ron qui était tenté par ce type de femmes, lui jusqu'à maintenant entre Cho et Ginny n' avais montré un intérêt que pour des filles avec peu de formes voir atlètiques.
C'était peut-être ça la différence, il était maintenant un homme et aimait les corps de femmes, il faut dire que son parcours de vie jusqu'à maintenant, ne lui avait pas laissé beaucoup de possibilités si ce n'est aucune, pour ce genres de pensées.
Il allait apparemment apprendre sur le tard ce qu'était la libido. Elles venaient donc maintenant lui lacérer la tête à cause du sacré spécimen de corps pulpeux qui s'agitait devant lui depuis maintenant près de 45 minutes.
Il sentait son cœur battre un peu trop fort dans ses tempes en réaction et n'aimait pas ça.
Oui ça ressemblait bien à un acte conscient de Serpentard pour le tourmenter.
Néanmoins les deux ont travaillé en silence, jusqu'à ce que finalement Harry prenne la parole.
''C'était un travail spectaculaire que tu as fait en métamorphose sur cette pauvre Poufsouffle hier, Parkinson.''
Pas de réponse, elle ne fit même pas mine de le reconnaître.
"Ohhhh, mais ça n'a servi à rien, madame Pomfresh a déjà fait repousser ses sourcils.''
Toujours rien, ça commençait à l'énerve, ce qui n'était pas le but ici.
''C'était plutôt consternant ton pauvre sort de première année, j'avais pensé qu'après une année à t'exercer sur des sorts de magie noire tu pourrais faire mieux.''
Elle tressaillit légèrement mais ne répondait toujours pas, doucement mais sûrement Harry commencé à monter en pression.'' Putain même quand elle se tait elle m'énerve'' pensa-t-il.
'' Quoi le serpent à avaler ta langue ! as-tu déjà grillé les derniers neurones qu'il te restait, pour ne plus être capable de répondre.''
Toujours rien! non mais elle se fichait de lui, elle lui pourrit la vie pendant six ans, l'offre comme un agneau en sacrifice à son cher maître, et maintenant se permet de ne même pas lui répondre et de l'ignorer !
En colère Harry claqua sa plume sur la table et se dirigea vers elle.
''Est-ce que tu penses me répondre à la fin.''
Elle leva les yeux vers lui, mais aucune trace de peur n'était évidente dans ses yeux. Elle mordit sa lèvre de façon peu séduisante et et finit par dire ''non'' puis se tourna pour épousseter le dernier placard.
Furieux il la saisit brutalement par le bras l'attirant vers lui. Ses yeux s'écarquillèrent de surprise lorsqu'elle butta contre son torse.
"Ne pose pas tes sales mains sur moi, Potter, qui sait ou elle ont traînées."
Harry n'était pas préparé pour le coup de poing qui se présentait à lui. Juste à temps, il a réussi à esquiver le poing de Parkinson et à le saisir fermement dans ses propres mains.
Il la recula jusqu'à ce qu'il la pousse sans trop de ménagement contre le mur. Il baissa les yeux pour voir ses yeux noir en colère s'assombrissant encore pour se fondre avec son iris.
La colère c'est bien, la colère venant d'elle s'était normal, la vraie Pansy Parkinson n'allait pas tarder à ressortir, son petit jeu n'aura pas duré longtemps.
Il lui sourit avec complaisance quand il remarqua qu'elle luttait pour le repousser. Mais fit claquer sa langue quand son pied essaya de percuter ses parties intimes et il captura son pied entre ses jambes, la bloqua facilement en laissant peser une partie de son poids sur elle. C''était ridiculement facile, comme beaucoup de sangs purs élitistes, enlèvez-leurs leurs baguettes et ils ne servent plus à rien.
"Ce n'est pas si bon, n'est-ce pas ? D'être capturé et de ne rien pouvoir y faire. C'est désagréable de se sentir faible. Je commence à comprendre ton petit jeu, Parkinson. Et je vais te le dire maintenant. Ça ne marchera pas. Pas sur moi. "
''Potter, ce que tu dis n'a aucun sens, l'agresseur pour l'instant c'est toi. Je te demande de me lâcher tout de suite et de me laisser tranquille, je ne joue à rien, je ne t'ai rien fait et là tu vas trop loin, juste laisse-moi.'' Sa voie trambla légèrement sur les dernières mots.
Étrangement plutôt que de l'apaiser, cela envoya Harry dans un état de fureur qu'il n'avait pas ressenti depuis la 5e année, c'était une sensation bien étrange comparé à l'apathie qu'il ressentait depuis la fin de la guerre. Mais c'était aussi si prenant, qu'il a ressenti comme une bouffée de rage partir de son ventre et se disperser jusqu'à la pointe de ses cheveux.
Sans prévenir il se baissa légèrement sur ses genoux, posa ses deux mains sur sa taille puis avec la force de ses cuisses d'une poussée rapide la souleva pour la poser sans trop de douceur sur la commode près d'eux. Il a gagné un glapissement de surprise de la jeune femme.
Dès qu'il l'a posé, il se força entre ses jambes et attrapa ses deux mains efficacement avec une seule des siennes, de son côté elle a commence à se débattre plutôt férocement, enfin, elle a essayer du moins,'' pathétique''. Il l'immobilisa plus efficacement en utilisant son poids nettement supérieur à elle avec le bas de son corps puis força ses mains derrière son dos, les tenant d'une poigne ferme.
La torsion de ses bras dans son dos, força sa poitrine à se plaquer contre son torse, immédiatement une montée de désir pur l'envahi. De sa main toujours libre, il attrapa sa mâchoire la forçant à lever la tête pour la regarder droit dans les yeux, il y en avait marre de son regard fuyant, elle allait arrêter immédiatement de jouer les demoiselles en détresse.
''Arrête ton jeu de pauvre victime, arrêt de faire la jeune femme effrayé qui ne comprends pas pourquoi ont la hait.'' Étrangement dès qu'il a attrapé et serrer sa mâchoire, elle a complètement arrêté de se débattre.
Non maintenant elle tremblait juste. Elle se moquait de lui ou quoi! elle voulait le faire passer pour le méchant, c'était ça son plan stupide, comme si quelqu'un accorderait la moindre considération à sa parole.
Elle ouvrit la bouche mais rien ne sortie.
''Alors c'est ça? c'est ça ton plan? jouer la pauvre fille harcelé et me faire passer pour le méchant, tu crois vraiment que quelqu'un aurait la moindre considération pour quoi que ce soit qui sortirait de ta bouche perfide, tu perds ton temps alors je te le dis une dernière fois, arrête tout de suite.'' Il grogna les derniers mots, son visage a un cheveu du sien.
Il pouvait sentir les petites bouffées d'air qu'elle expirait qui lui rentraient directement dans la bouche, pour peu il pouvait la goûter sur le bout de sa langue. Ça aurait été facile, elle était complètement à sa merci, c'était lui qui avait le contrôle ici.
Il avait envie de la secouer pour qu'elle se réveille et qu'elle rétorque enfin, plus elle semblait effrayée plus il avait envie de lui faire mal, de la retourner et de la penché sur cette putain de commode, qu'elle souffre et ses doigts s'enfoncèrent un peu plus dans sa mâchoire.
Une infime partie de lui dans le fond de sa tête essayait de lui dire que là, c'était lui qui perdait la raison et qu'il devait vite se calmer, qu'elle n'avait rien fait, mais la rage continuait de bouillonner.
La rage devant cette fille, non, cette allumeuse, qui était le symbole de tout ce qui lui avait pourri la vie jusqu'à aujourd'hui.
Par chance la douche froide arriva dans la seconde qui suivit ses pensées violentes. Elle avait dû comprendre cette violence dans ses yeux car d'un seul coup, elle se mit à trembler violemment en même temps de grosses larmes tombaient de ses yeux et sa respiration devint laborieuse, néanmoins elle essaya de parler.
'' S'il te plaît lâche-moi, tu me fait mal, je n'ai pas de baguette, je ne peux pas me protéger, juste laisse-moi partir, je ne dirai rien car, comme tu l'a si bien mentionné, personne ne m'ecoutera''.
Les mots étaient difficiles à comprendre tant elle tremblait, son petit corps pressé contre le sien hurlait sa peur, il était tétanisé.
Il avait fait ça.
Pourtant il n'avait toujours pas bougé et ne l'avait pas lâchée mais il desserra sa prise de fer sur sa mâchoire.
Ce geste sembla la rassurer légèrement et elle poursuivit ''Potter, je ne joue à rien, j'en ai fini de ces bêtises, je veux juste faire profil bas, prendre mes ASPIC et partir, je ne prépare aucun plan machiavélique. S'il te plaît, lâche-moi, laisse moi partir.''
Lentement il lâcha son visage puis ses mains toujours plaqué dans son dos et enfin se recula de quelques pas. Il put voir les marques rouges qu'il avait laissé sur le bas de sa mâchoire, il remarqua aussi que sa jupe s'était fendue sur le côté gauche presque jusqu'à sa taille, probablement quand il s'était forcé entre ses hanches. Sa chemise auparavant impeccable était maintenant ébouriffé, un pend sortait au niveau de sa taille, son souffle était toujours alletant et elle avait de nouveau les yeux baissés. Il se fit une nouvelle fois la réflexion, parfaitement malvenu, quelle était magnifique.
Elle ne fit aucun mouvement pour descendre de la commode apparemment affolé de bouger.
Le silence entre eux était particulièrement lourd et sembla durer des heures.
Son cerveau était encore tétanisé de ce qu'il venait de faire, incapable d'analyser la décadence de son comportement, il se sentait froid à l'intérieur, il n'avait jamais été aussi agressif et encore moins avec une fille.
Doucement, elle commença à descendre de la commode exposants une cuisse ronde complètement nu qui brula ses yeux et fit monter la chaleur dans son ventre. Chaleur qui lui fit la sensation d'une pierre s'écrasant brutalement dans son cœur quand il vit les marques rouges à l'intérieur de la dit cuisse qui très probablement deviendraient des bleus prochainement.
Il sentait des larmes lui monter aux yeux et pris un souffle lent pour se recomposer, d'un sors informulé, il a réparé la jupe offensante et recula encore de quelque pas.
''Pansy, je suis... vraiment... désolé. Je ne comprends pas ce qui m'a pris, vraiment je...''
''Inutile Potter, je te demande juste de ne plus jamais t'approcher de moi.'' Elle gardait encore les yeux baissés et commença à arranger sa chemise. Pour ajouter à sa culpabilité le bout de ses doigts tremblaient, même si elle semblait faire de son mieux pour se recomposer feignant l'indifférence.
''Non vraiment Pansy, je...''
D'un mouvement brusque de la main elle le coupa et se retourna pour ouvrir le placard mural apparemment avec l'intention de le nettoyer ''Je répète inutile Potter,'' elle insista bien sur le Potter, '' Je vais juste finir ça, tu peux s'il te plaît appeler le professeur Slughorn afin qu'il me rende ma baguette et enfin partir d'ici, j'aimerais aller me coucher.'' Sa voix était tremblotante mais ferme.
'' Expecto patronus'' une simple brume argentée sortie de sa baguette et disparut.
Pour la première fois depuis longtemps, il se concentra un peu plus, il recommença ''Expecto patronum'' cette fois le cerf d'argent sortie. ''Professeur, mademoiselle Parkinson a terminé, nous vous attendons pour l'inspection et la restitution de sa baguette.''
Il lança aussi un rapide sors de nettoyage sur le dernier placard au même moment un pop retentit à quelques pas de lui faisant sursauter les deux élèves, un elfe de maison apparu avec une baguette dans les mains.
'' Maître Slughorn a envoyé Kali avec la baguette de Mademoiselle Parkinson, il m'a dit de dire au grand et noble Harry Potter qu'il lui faisait entièrement confiance pour juger de la qualité du travail de mademoiselle Parkinson.'' Puis l'elfe lui tendit avec révérence la baguette et après un dernier regard d'adoration pure, repartit dans un pop.
Parkinson ne s'était toujours pas retourné apparemment mal à l'aise de devoir lui faire face.
Ne sachant pas trop quoi dire, il se contenta de tendre la baguette vers elle. '' Tiens c'est pour toi.''
Lentement et avec réticence elle se retourna pour prendre rapidement la baguette et bougea précipitamment pour sortir de la pièce.
Avec quelques enjambées rapides, il se plaça face à elle, immédiatement elle recula de quelques pas et se tendit à juste titre effrayée.
'' Attend Pansy'' il vit ses sourcils se froncer '' Parkinson, je veux te dire une fois de plus que je suis désolé ça ne se reproduira pas.''
La trace de chacun de ses doigts, qu'il avait imprimé sur sa mâchoire étaient toujours bien visibles, il ne s'était pas rendu compte qu'il y était allé aussi fort.
Elle semblait encore très bouleversée par son comportement inqualifiable et il avait envie de faire un pas vers elle pour la réconforter, mais eu le bon esprit de ne pas le faire.
Tout ce qu'il obtient d'elle ce fut un hochement de tête bref puis elle se décala et sortit de la pièce, le laissant seul et misérable.
