Chapitre 6 : La première amulette.
Nous posâmes le pied sur une seconde planète. Nous volions en cherchant de droite à gauche au cas où l'amulette serait là. Les deux enfants dormaient toujours, j'étais donc seul avec Bardock... Enfin, un village fut en vue : Toutes les maisons étaient en bois comme certain endroit sur terre... Tout les habitants nous regardaient avec des yeux rond parce qu'ils n'avaient certainement jamais vu personne voler... Bardock s'arrêta. Un homme se mit à cavaler à côté de lui, il l'attrapa par le col et le souleva pour qu'ils soient bien les yeux dans les yeux. " Y'a pas un machin qui s'est écrasé sur cette planète ? " l'habitant était plus que terrorisé par ces yeux ombrageux. " Eh ! J'aime bien qu'on me réponde quand je parle ! "
" Bardock lâche-le ! ! ! " m'énervai-je déjà. Il le lâcha en grognant.
" On a même plus le droit de demander un renseignement avec toi, t'es vraiment cinglé ! "
" Non ! On a le droit de demander un renseignement mais pas de traumatiser les habitants ! C'est toi le cinglé, pas moi ! Fais un peu preuve d'un peu de diplomatie pour une fois ! "
" Traumatisé ? Mais non ! Il va très bien ! Pas vrai, couillon ? ! " L'habitant tremblait de tout ses membres.
" Tu rigoles ou quoi ? ! Il tremble comme une feuille et il est blanc comme un cachet d'aspirine ! "
" C'est sa couleur naturelle... " L'homme vira soudainement au vert puis s'étala de tout son long d'un coup. " Qu'est-ce qu'il me fait, l'autre ? "
" Il est mort, imbécile ! " lançai-je. Ça se voyait, rien qu'à la couleur de sa peau. Je lançai un regard accusateur au saiyen qui recula d'un pas.
" Ne me regarde pas comme ça ! Il est mort sans que je ne le veuille ! Comme dirait Miiky, il est mort sans le faire exprès !... " fit-il en levant ses avant-bras. " Je ne suis pas un imbécile ! Je n'en peux rien si simplement mon regard tue ! " fit-il ensuite.
Je soupirai.
" J'espère que ce ne sera pas comme ça pendant tout le voyage... "
" J'sais pas... Mais ça, je l'ai vraiment pas fait exprès !... Pour une fois... "
Je m'approchai d'une porte. Je frappai deux coups dessus. Au bout de quelques instants, une femme m'ouvrit. " Bonjour madame, excusez-moi de vous déranger, mais... " elle me claqua la porte au nez. " Ouii... Merci de nous avoir renseigner, vous nous avez apporter une grande aide... "
" Tu vois, toi aussi tu fais peur... Bien jouer le diplomate ! " me lança Bardock.
J'eus un rictus, toujours en face de la porte, on ne me l'avait encore jamais ce coup-là... " Salope... " finis-je par marmonner.
" Eh ! Y'a quelque chose là-bas. " je regardai dans la direction pointée. Je me mis à courir, après avoir pensé à l'éventualité que ça pourrait être une des amulettes. Mais tout à coup, à quelques mètres du machin qui brillait, je me pétai la tête contre un mur invisible et je tombai sur le derrière en marmonnant...
" T'es vraiment distrait !... " me reprocha bien évidemment Bardock en se posant à côté de moi.
Je me levai en lui lançant un regard meurtrier, puis je longeai le mur pour connaître ses limites. " Est-ce que je t'ai demandai la couleur de ton caleçon ? ! " lançai-je au saiyen, qui me regardait.
" Est-ce que j'ai dit quelques chose ? !... " répondit-il, plus sérieux. " Bon, tu récupères cette amulette oui ou merde ? ! "
" Je fais ce que je peux ! Et puis si t'es si malin, fais-le ! "
" Ben non !... C'est pas mon problème !... J'en ai rien à battre que la planète Terre existe ou pas !... "
" Je sais bien Bardock... Ta solidarité surpasse toutes les épreuves !... "
" Envers mon peuple et ma planète, oui. Envers toi et la Terre, non. Tu aiderais la planète Végéta à survivre si tu en aurais eu l'occasion ? "
" Bien sur ! C'est le peuple de mon père ! "
" Le peuple de ton grand-père. Ton père est un prince déchu je te l'ai déjà dit ! Et puis si tu nous connaissais comme on est... Tu dirais pas ça... "
" Je connais très bien votre rythme de vie qui est : manger, vous battre, manger, vous battre, manger, vous battre, manger, vous battre, et ainsi de suite... "
" Tu nous connais bien... "
" Et toi, ce serait : manger, te battre, dans le caisson, manger, te battre, dans le caisson... " j'ai pas pus m'empêcher de la faire celle-là. Un bruit de fers s'entrechoquant attira notre attention... Sans ça, il aurait certainement répliquer d'une manière aussi péjorative que moi. Nous étions maintenant entourer de soldats munis de lance... " Mains en l'air ! " firent-ils. Bien entendu Bardock ne fit rien. Il regardait les gens avec un œil méprisant.
" Qu'est-ce qu'ils me veulent ceux-là avec leurs cure-dents ? "
" Mains en l'air ! ! " répéta celui qui semblait être le chef.
" Je n'obéis à personne !... " il coinça une des lames entre deux de ses doigts et la cassa. Il se servit de la lame pour se nettoyer les dents, rien que pour les narguer.
" Bardock lève les bras ! ! Et surtout arrête tes conneries, bordel !" m'énèrvai-je une nouvelle fois.
" Eh ! J'ai pas d'ordres à recevoir de toi non plus ! " il eut une lance en plein sur la tempe. " D'accords... " il leva les bras. " J'ai les bras en l'air... " et il continua, après avoir prit un petit sourire " Mais il me reste encore les jambes... " il jeta son pied dans celui qui maintenait la lance à sa tempe. Il valsa quelques mètres plus loin. Le temps que les autres réagissent, le saiyen avait déjà sauter en l'air. Il forma deux boules de feu, une dans chaque main, sur les côtés de ses hanches et les envoya toutes les deux en même temps sur les gardes qui explosèrent tous d'un coup. Les autres s'enfuirent en courant de peur. Je lui lancer un regard noir... Il allait quand même pas me faire ce coup-là à chaque planète visitée... " C'est nul, ici... J'aimais encore mieux écrabouiller les lilliputiens... Et puis te voir faire la gueule tout le temps, ça me rend dingue ! "
" Tu veux rentrer au vaisseau... ? Je ne te retiens pas... Moi je vais aller voir le chef de cette planète... "
" Bon, alors salut ! " et il s'envola. J'étais révolté 'Bon, alors salut'... Et dire que je m'attendais à un truc un peu plus élaborer genre : 'Non, je vais faire un effort... Faudra bien...' non... Monsieur se barre... Je grognai et je commençai à chercher un moyen pour récupérer cette amulette ! J'ai dis que j'allais voir le chef... Mouais... Mais il est où, ce chef ? !... Je marchai dans la rue, quand soudain, un marchant me vit et partit en courant, je le rattrapai en le prenant par le bras.
" Attendez ! "
" Lâchez-moi ! ! Par pitié ! ! Je ne veux pas être transformer en monstre ! "
" Hein ? ! En monstre, mais pourquoi voulez-vous que je vous transforme en monstre ? "
" Vous... Vous n'êtes pas un sorcier... ? "
" Non. "
" Mais pourtant l'autre lançait des boules de lumière et de feu... "
" Oh, ce n'est rien, nous ne sommes pas des sorciers ! "
Il se détendit. " Ouf... Alors qui êtes-vous ? "
" Je suis un terrien. Je viens de la planète Terre et je voudrais voir votre chef, c'est très urgent... "
" Le maître ? Il habite... " il s'apprêta à pointer quelque chose du doigt. Quand... " Ouh... Que j'ai mal à la tête, je crois que je ne m'en souviens plus... " Oh... L'enfoiré... Il voulait un pot-de-vin, espèce de sale voleur... Mais je n'avais pas d'argent... Il tendit sa main tendue en face de moi, poussant des gémissement, tête détournée. J'eus soudainement une idée. Je m'abaissai et je ramassai une pierre.
" Eh ! J'ai de quoi vous redonner la mémoire ! "
" Oui ? " il pivota la tête vers moi, tout joyeux. Je lui montrai le caillou. Je le pris par les épaules.
" Savez-vous ce qu'est ceci... ? " je la tournai dans tout les sens pour qu'il la voir bien...
" C'est une pierre... "
" Mais pas n'importe quelle pierre... C'est LA pierre... A votre avis, elle vaut combien ? "
" Mais ce n'est qu'une pierre... "
" Non ! C'est une pierre de ma planète ! C'est de l'Or !... "
" De l'Or ? ! "
" Oui ! C'est un métal très précieux sur Terre !... Les hommes les plus riches se battent pour en avoir le dixième de celle-là ! "
" Le dixième... "
" Oh oui !... Il est énorme ! ! A votre avis, ça veut combien une grosse pierre d'or comme ça ? "
" Je ne sais pas... Mile... Dix miles... "
" DIX MILES ? ? ! " criai-je en refermant mon poing. " Mais vous êtes fou ! " je rouvris mon poing et le plaçai la pierre face au soleil pour montrer qu'elle brille bien. " N'est-ce pas splendide... Non... Cette pierre vaut au moins... Oh... On ne saurait pas compter... ça vaut trop cher... "
" Oh, à ce point ? "
Je hochai la tête. " Oh oui ! Même votre maître en personne, je parie que lui, n'est même pas assez riche pour se la procurer... "
" Oh... " il était de plus en plus émerveiller.
" Vous imaginez tout ce que vous allez pouvoir faire avec cet objet... "
L'homme tendit les bras pour prendre ma pierre, mais je m'écartai de lui en fourrant la pierre dans ma poche. " Mais ça ne vous intéresse pas, comme vous ne voulez pas me donner un petit renseignement en échanger... "
Trente secondes plus tard, il m'avait barré la route, mon plan avait marché à merveille...
" Si je vous conduit à mon maître, vous me donnerez la pierre ? "
" Naturellement ! Je n'ai qu'une parole ! "
" Bien, suivez-moi... "
Ce qui fut dit, fut fait. Il me conduisit au pied d'une montagne. Nous nous mîmes à la franchir et une fois en haut, une grand château nous fit face... Et là, je me sentis stupide... Ce château était la chose qu'on voyait dés qu'on posait le pied sur la planète... Enfin soit, au moins, maintenant, j'étais sur que leur chef était là. " Merci. "
" Il faut un mot de passe pour entrer qui est : 'Mary-judy dort dans son lit... Avec sa robe de nuit... Verte kaki...' " il avait dit ça comme si c'était un message ultra secret... " Bon, ma pierre, maintenant... "
Je sortis la pierre de ma poche, il l'a prit et partit. " C'est bon de faire des affaires avec vous... " ironisai-je. Il s'en alla, après avoir ranger minutieusement mon trésor...
La duplicité de mon père et l'intelligence de ma mère, mélanger ensemble... ça fait quoi... ? ça fait MOI ! Trêve de modestie... Je m'approchai de la barrière gardée par deux soldats. " Mary-judy dort dans son lit avec sa robe de nuit verte kaki " dis-je simplement. Ce code était vraiment ridicule... Mais ça marcha, sans un mot de plus, la barrière s'ouvrit. J'étais sidéré que cette phrase stupide était réellement le mot de passe. Je jetai un regard aux alentours pour être sur qu'il n'y avait aucun piège. Rien. Alors j'entrai, mais je sursautai quand la barrière claqua derrière moi.
Bardock rentra dans le vaisseau. " Coucou A.G.P. "
" Salut... " répliqua le saiyen en regardant Miiky, qui bailla, les cheveux détacher. " Elle est où l'autre ? "
" Ici ! " fit Zarina en sautant devant lui, en pleine forme. " Où vous étiez ? ! "
" C'était calme sans toi, marmotte qui hurle... ! "
" J'suis pas une marmotte qui hurle ! "
" Ah ouais ? ! T'es quoi alors ? "
Ma fille grogna. " Où vous étiez ? ! Pourquoi vous êtes partis, sans nous ? ! "
" Vous dormiez... "
" Et alors ? ! T'avais trop bon cœur pour nous réveiller ? ! " répliqua-t-elle, sarcastique.
" Oh... Tu t'améliore... "
" Va te faire ! "
" Mais tu es toujours très limitée niveau insulte... Ton père et ton grand-père sont meilleurs... T'as encore du boulot !... " Elle ne répondit pas, mais grogna de frustration. " Ne rivalise pas avec moi avec ce genre de jeu... "
" Où est mon père ? ! " sortit-elle, changeant de sujet.
" 'Sais pas... Il se fait bouffer sans doute... "
" IL EST OU ? ? ? "
" J'en sais rien ! Il a dit qu'il allait voir le chef ou un machin dans le genre. "
" Ok, j'y vais " elle ouvrit la porte et partit. Bardock s'assit dédaigneusement sur un siège et croisa ses pieds sur la console.
" Bon voyage... " répliqua-t-il, hypocrite.
" On aurait peut-être dus l'empêcher de partir, non ? " demanda Miiky.
Le saiyen haussa les épaules, tout ce qui pouvait arriver à ma fille lui était complètement égal.
" Je suis désolé, c'est impossible " je rouvris les yeux, déconcerté... il venait de refuser ma demande... La Terre était condamnée si il ne me donnait pas cette amulette... Elle contient quand même tout le feu, la chaleur, la lumière de ma planète !... Je m'étais agenouillai, je me redressai.
" Ecouter, je vous répète que c'est VRAIMENT important ! ça m'appartient ! "
" C'est impossible, cette amulette nous a été envoyer par le ciel, c'est un don de Dieu ! "
" Mais non ! "
Le roi me coupa. " Et qui me dit que vous raconter la vérité ? ! Vous êtes peut-être un de ces sorciers qui cherche à me voler mon trésor... "
" Je ne suis pas un sorcier... Je suis un terrien ! Je viens de la planète Terre ! Et cette planète est en danger ! Je vous en prie, il faut que vous m'aidiez ! "
" C'est un don de Dieu... Cette amulette nous protège... "
" Vous protéger de quoi ? ! "
" De la brute à poils noirs... " il venait de dire cette phrase comme si il craignait cette 'brute à poils noirs'
" Qu'est-ce que c'est ? "
" Un terrible monstre ! On a réussi à le renfermer dans sa prison, mais il va bientôt sortir, tout les jours, nous tremblons de peur que la porte cède... Et cette amulette nous protége de ce désastre... "
" Juste ça... ? "
" Oui "
" Si je vous débarrasse de ce monstre, vous me donnerez ce que je veux ? "
Il fut étonné. " Toi ? Tu es tellement petit... " Je fis la moue, évidemment... Dés qu'on ne fait pas deux mètres et deux cent kilos, on est forcément faible... " Tous nos plus grands chevaliers y sont passés, le monstre leur a arracher leurs armures, puis les a manger sans retenue ! "
" Je vais vous en débarrasser, mais en échange, promettez-moi que vous me donnerez l'amulette ! "
" Je vous donne ma parole ! " il se leva. " Vous voulez une armure ? "
" Non, ça ira, merci "
" Vous êtes courageux, bonne chance ! " une trappe s'ouvrit en face de nous. " Entrez... Il est en bas... "
Je descendis après lui avoir souri. C'était vraiment lugubre... Une immense pièce emplie de noir, je ne voyais vraiment rien. Je m'avançai vers le milieu de la pièce. J'entendis un espèce de miaulement puis je sentis un grande douleur. Je passai ma main dans le dos. Mes doigts étaient couverts de sang... La douleur me parcourait de haut en bas, La bête m'avait griffé du creux de mes omoplates au bas dos et moi, je n'avais rien sentis... Je me retournai et un espèce de chat énorme et noir me faisait face. Pourtant, la bête hurla à la mort sans que je ne fasse rien. Zarina venait de lui envoyer un rayon d'énergie en plein dedans. Le monstre était tombé raide mort.
" Pourquoi tu m'as pas réveillée ? ! " demanda-t-elle. C'était la seule chose qui l'inquiétait...
" Parce que tu dormais... Et je croyais que ça n'allait pas prendre autant de temps... " répondis-je en fixant la bête étendue.
" C'est pas une raison... " et elle partit, fâchée. Avait-elle remarqué que j'étais blessé ? Avait-elle remarqué qu'elle venait de terrasser un espèce de chat noir mutant ?... Même mon père ne me l'a jamais fait ce coup-là... Elle était certainement entrer de force dans le château.
" La fille de Satan ! ! ! " s'exclama le roi en pointant Zarina, une fois que nous sommes remontés.
" Hein ? " fis-je à mon tour.
" Oh toi qui a vaincu la bête à poil noir, détruit la fille de Satan je t'en supplie, et tu auras tout ce que tu voudras !... "
" Quoi ? ! Tuer ma fille ? "
" C'est ta fille ? " répéta le roi, pétrifié. Je répondis que oui. " Comment un envoyé de Dieu peut-il être le géniteur d'un démon ? "
" J'suis PAS un démon !... " rouspéta Zarina. Elle était vexée et elle se mit à pleurer. Elle sauta dans mes bras. " Papa, dis-leur que je suis pas un monstre... "
" Mon dieu... Même les démons pleurent... "
Mais ils sont dingues, c'est pas possible ! !... " Ce n'est pas un monstre ! Maintenant, donnez-moi mon bien !... " l'homme après grande hésitation, donna l'amulette.
" Merci de nous avoir débarrasser de ce monstre... Et repartez bien avec elle... "
En partant, Zarina lui fit une langue et nous rentrâmes au vaisseau. " Un quart de la mission est remplie ! " lançai-je.
" Cool ! " fit Miiky en sortant de la cuisine. Zarina lui montra l'amulette.
" Par qui tu t'es fait choper, Trunks ? " me demanda Bardock en voyant mon dos.
" Ah... Un chaton m'a griffé... " ironisai-je.
Nous reprîmes la route, j'avais espoir, bien vite, la Terre sera de nouveau sur pieds !
Nous posâmes le pied sur une seconde planète. Nous volions en cherchant de droite à gauche au cas où l'amulette serait là. Les deux enfants dormaient toujours, j'étais donc seul avec Bardock... Enfin, un village fut en vue : Toutes les maisons étaient en bois comme certain endroit sur terre... Tout les habitants nous regardaient avec des yeux rond parce qu'ils n'avaient certainement jamais vu personne voler... Bardock s'arrêta. Un homme se mit à cavaler à côté de lui, il l'attrapa par le col et le souleva pour qu'ils soient bien les yeux dans les yeux. " Y'a pas un machin qui s'est écrasé sur cette planète ? " l'habitant était plus que terrorisé par ces yeux ombrageux. " Eh ! J'aime bien qu'on me réponde quand je parle ! "
" Bardock lâche-le ! ! ! " m'énervai-je déjà. Il le lâcha en grognant.
" On a même plus le droit de demander un renseignement avec toi, t'es vraiment cinglé ! "
" Non ! On a le droit de demander un renseignement mais pas de traumatiser les habitants ! C'est toi le cinglé, pas moi ! Fais un peu preuve d'un peu de diplomatie pour une fois ! "
" Traumatisé ? Mais non ! Il va très bien ! Pas vrai, couillon ? ! " L'habitant tremblait de tout ses membres.
" Tu rigoles ou quoi ? ! Il tremble comme une feuille et il est blanc comme un cachet d'aspirine ! "
" C'est sa couleur naturelle... " L'homme vira soudainement au vert puis s'étala de tout son long d'un coup. " Qu'est-ce qu'il me fait, l'autre ? "
" Il est mort, imbécile ! " lançai-je. Ça se voyait, rien qu'à la couleur de sa peau. Je lançai un regard accusateur au saiyen qui recula d'un pas.
" Ne me regarde pas comme ça ! Il est mort sans que je ne le veuille ! Comme dirait Miiky, il est mort sans le faire exprès !... " fit-il en levant ses avant-bras. " Je ne suis pas un imbécile ! Je n'en peux rien si simplement mon regard tue ! " fit-il ensuite.
Je soupirai.
" J'espère que ce ne sera pas comme ça pendant tout le voyage... "
" J'sais pas... Mais ça, je l'ai vraiment pas fait exprès !... Pour une fois... "
Je m'approchai d'une porte. Je frappai deux coups dessus. Au bout de quelques instants, une femme m'ouvrit. " Bonjour madame, excusez-moi de vous déranger, mais... " elle me claqua la porte au nez. " Ouii... Merci de nous avoir renseigner, vous nous avez apporter une grande aide... "
" Tu vois, toi aussi tu fais peur... Bien jouer le diplomate ! " me lança Bardock.
J'eus un rictus, toujours en face de la porte, on ne me l'avait encore jamais ce coup-là... " Salope... " finis-je par marmonner.
" Eh ! Y'a quelque chose là-bas. " je regardai dans la direction pointée. Je me mis à courir, après avoir pensé à l'éventualité que ça pourrait être une des amulettes. Mais tout à coup, à quelques mètres du machin qui brillait, je me pétai la tête contre un mur invisible et je tombai sur le derrière en marmonnant...
" T'es vraiment distrait !... " me reprocha bien évidemment Bardock en se posant à côté de moi.
Je me levai en lui lançant un regard meurtrier, puis je longeai le mur pour connaître ses limites. " Est-ce que je t'ai demandai la couleur de ton caleçon ? ! " lançai-je au saiyen, qui me regardait.
" Est-ce que j'ai dit quelques chose ? !... " répondit-il, plus sérieux. " Bon, tu récupères cette amulette oui ou merde ? ! "
" Je fais ce que je peux ! Et puis si t'es si malin, fais-le ! "
" Ben non !... C'est pas mon problème !... J'en ai rien à battre que la planète Terre existe ou pas !... "
" Je sais bien Bardock... Ta solidarité surpasse toutes les épreuves !... "
" Envers mon peuple et ma planète, oui. Envers toi et la Terre, non. Tu aiderais la planète Végéta à survivre si tu en aurais eu l'occasion ? "
" Bien sur ! C'est le peuple de mon père ! "
" Le peuple de ton grand-père. Ton père est un prince déchu je te l'ai déjà dit ! Et puis si tu nous connaissais comme on est... Tu dirais pas ça... "
" Je connais très bien votre rythme de vie qui est : manger, vous battre, manger, vous battre, manger, vous battre, manger, vous battre, et ainsi de suite... "
" Tu nous connais bien... "
" Et toi, ce serait : manger, te battre, dans le caisson, manger, te battre, dans le caisson... " j'ai pas pus m'empêcher de la faire celle-là. Un bruit de fers s'entrechoquant attira notre attention... Sans ça, il aurait certainement répliquer d'une manière aussi péjorative que moi. Nous étions maintenant entourer de soldats munis de lance... " Mains en l'air ! " firent-ils. Bien entendu Bardock ne fit rien. Il regardait les gens avec un œil méprisant.
" Qu'est-ce qu'ils me veulent ceux-là avec leurs cure-dents ? "
" Mains en l'air ! ! " répéta celui qui semblait être le chef.
" Je n'obéis à personne !... " il coinça une des lames entre deux de ses doigts et la cassa. Il se servit de la lame pour se nettoyer les dents, rien que pour les narguer.
" Bardock lève les bras ! ! Et surtout arrête tes conneries, bordel !" m'énèrvai-je une nouvelle fois.
" Eh ! J'ai pas d'ordres à recevoir de toi non plus ! " il eut une lance en plein sur la tempe. " D'accords... " il leva les bras. " J'ai les bras en l'air... " et il continua, après avoir prit un petit sourire " Mais il me reste encore les jambes... " il jeta son pied dans celui qui maintenait la lance à sa tempe. Il valsa quelques mètres plus loin. Le temps que les autres réagissent, le saiyen avait déjà sauter en l'air. Il forma deux boules de feu, une dans chaque main, sur les côtés de ses hanches et les envoya toutes les deux en même temps sur les gardes qui explosèrent tous d'un coup. Les autres s'enfuirent en courant de peur. Je lui lancer un regard noir... Il allait quand même pas me faire ce coup-là à chaque planète visitée... " C'est nul, ici... J'aimais encore mieux écrabouiller les lilliputiens... Et puis te voir faire la gueule tout le temps, ça me rend dingue ! "
" Tu veux rentrer au vaisseau... ? Je ne te retiens pas... Moi je vais aller voir le chef de cette planète... "
" Bon, alors salut ! " et il s'envola. J'étais révolté 'Bon, alors salut'... Et dire que je m'attendais à un truc un peu plus élaborer genre : 'Non, je vais faire un effort... Faudra bien...' non... Monsieur se barre... Je grognai et je commençai à chercher un moyen pour récupérer cette amulette ! J'ai dis que j'allais voir le chef... Mouais... Mais il est où, ce chef ? !... Je marchai dans la rue, quand soudain, un marchant me vit et partit en courant, je le rattrapai en le prenant par le bras.
" Attendez ! "
" Lâchez-moi ! ! Par pitié ! ! Je ne veux pas être transformer en monstre ! "
" Hein ? ! En monstre, mais pourquoi voulez-vous que je vous transforme en monstre ? "
" Vous... Vous n'êtes pas un sorcier... ? "
" Non. "
" Mais pourtant l'autre lançait des boules de lumière et de feu... "
" Oh, ce n'est rien, nous ne sommes pas des sorciers ! "
Il se détendit. " Ouf... Alors qui êtes-vous ? "
" Je suis un terrien. Je viens de la planète Terre et je voudrais voir votre chef, c'est très urgent... "
" Le maître ? Il habite... " il s'apprêta à pointer quelque chose du doigt. Quand... " Ouh... Que j'ai mal à la tête, je crois que je ne m'en souviens plus... " Oh... L'enfoiré... Il voulait un pot-de-vin, espèce de sale voleur... Mais je n'avais pas d'argent... Il tendit sa main tendue en face de moi, poussant des gémissement, tête détournée. J'eus soudainement une idée. Je m'abaissai et je ramassai une pierre.
" Eh ! J'ai de quoi vous redonner la mémoire ! "
" Oui ? " il pivota la tête vers moi, tout joyeux. Je lui montrai le caillou. Je le pris par les épaules.
" Savez-vous ce qu'est ceci... ? " je la tournai dans tout les sens pour qu'il la voir bien...
" C'est une pierre... "
" Mais pas n'importe quelle pierre... C'est LA pierre... A votre avis, elle vaut combien ? "
" Mais ce n'est qu'une pierre... "
" Non ! C'est une pierre de ma planète ! C'est de l'Or !... "
" De l'Or ? ! "
" Oui ! C'est un métal très précieux sur Terre !... Les hommes les plus riches se battent pour en avoir le dixième de celle-là ! "
" Le dixième... "
" Oh oui !... Il est énorme ! ! A votre avis, ça veut combien une grosse pierre d'or comme ça ? "
" Je ne sais pas... Mile... Dix miles... "
" DIX MILES ? ? ! " criai-je en refermant mon poing. " Mais vous êtes fou ! " je rouvris mon poing et le plaçai la pierre face au soleil pour montrer qu'elle brille bien. " N'est-ce pas splendide... Non... Cette pierre vaut au moins... Oh... On ne saurait pas compter... ça vaut trop cher... "
" Oh, à ce point ? "
Je hochai la tête. " Oh oui ! Même votre maître en personne, je parie que lui, n'est même pas assez riche pour se la procurer... "
" Oh... " il était de plus en plus émerveiller.
" Vous imaginez tout ce que vous allez pouvoir faire avec cet objet... "
L'homme tendit les bras pour prendre ma pierre, mais je m'écartai de lui en fourrant la pierre dans ma poche. " Mais ça ne vous intéresse pas, comme vous ne voulez pas me donner un petit renseignement en échanger... "
Trente secondes plus tard, il m'avait barré la route, mon plan avait marché à merveille...
" Si je vous conduit à mon maître, vous me donnerez la pierre ? "
" Naturellement ! Je n'ai qu'une parole ! "
" Bien, suivez-moi... "
Ce qui fut dit, fut fait. Il me conduisit au pied d'une montagne. Nous nous mîmes à la franchir et une fois en haut, une grand château nous fit face... Et là, je me sentis stupide... Ce château était la chose qu'on voyait dés qu'on posait le pied sur la planète... Enfin soit, au moins, maintenant, j'étais sur que leur chef était là. " Merci. "
" Il faut un mot de passe pour entrer qui est : 'Mary-judy dort dans son lit... Avec sa robe de nuit... Verte kaki...' " il avait dit ça comme si c'était un message ultra secret... " Bon, ma pierre, maintenant... "
Je sortis la pierre de ma poche, il l'a prit et partit. " C'est bon de faire des affaires avec vous... " ironisai-je. Il s'en alla, après avoir ranger minutieusement mon trésor...
La duplicité de mon père et l'intelligence de ma mère, mélanger ensemble... ça fait quoi... ? ça fait MOI ! Trêve de modestie... Je m'approchai de la barrière gardée par deux soldats. " Mary-judy dort dans son lit avec sa robe de nuit verte kaki " dis-je simplement. Ce code était vraiment ridicule... Mais ça marcha, sans un mot de plus, la barrière s'ouvrit. J'étais sidéré que cette phrase stupide était réellement le mot de passe. Je jetai un regard aux alentours pour être sur qu'il n'y avait aucun piège. Rien. Alors j'entrai, mais je sursautai quand la barrière claqua derrière moi.
Bardock rentra dans le vaisseau. " Coucou A.G.P. "
" Salut... " répliqua le saiyen en regardant Miiky, qui bailla, les cheveux détacher. " Elle est où l'autre ? "
" Ici ! " fit Zarina en sautant devant lui, en pleine forme. " Où vous étiez ? ! "
" C'était calme sans toi, marmotte qui hurle... ! "
" J'suis pas une marmotte qui hurle ! "
" Ah ouais ? ! T'es quoi alors ? "
Ma fille grogna. " Où vous étiez ? ! Pourquoi vous êtes partis, sans nous ? ! "
" Vous dormiez... "
" Et alors ? ! T'avais trop bon cœur pour nous réveiller ? ! " répliqua-t-elle, sarcastique.
" Oh... Tu t'améliore... "
" Va te faire ! "
" Mais tu es toujours très limitée niveau insulte... Ton père et ton grand-père sont meilleurs... T'as encore du boulot !... " Elle ne répondit pas, mais grogna de frustration. " Ne rivalise pas avec moi avec ce genre de jeu... "
" Où est mon père ? ! " sortit-elle, changeant de sujet.
" 'Sais pas... Il se fait bouffer sans doute... "
" IL EST OU ? ? ? "
" J'en sais rien ! Il a dit qu'il allait voir le chef ou un machin dans le genre. "
" Ok, j'y vais " elle ouvrit la porte et partit. Bardock s'assit dédaigneusement sur un siège et croisa ses pieds sur la console.
" Bon voyage... " répliqua-t-il, hypocrite.
" On aurait peut-être dus l'empêcher de partir, non ? " demanda Miiky.
Le saiyen haussa les épaules, tout ce qui pouvait arriver à ma fille lui était complètement égal.
" Je suis désolé, c'est impossible " je rouvris les yeux, déconcerté... il venait de refuser ma demande... La Terre était condamnée si il ne me donnait pas cette amulette... Elle contient quand même tout le feu, la chaleur, la lumière de ma planète !... Je m'étais agenouillai, je me redressai.
" Ecouter, je vous répète que c'est VRAIMENT important ! ça m'appartient ! "
" C'est impossible, cette amulette nous a été envoyer par le ciel, c'est un don de Dieu ! "
" Mais non ! "
Le roi me coupa. " Et qui me dit que vous raconter la vérité ? ! Vous êtes peut-être un de ces sorciers qui cherche à me voler mon trésor... "
" Je ne suis pas un sorcier... Je suis un terrien ! Je viens de la planète Terre ! Et cette planète est en danger ! Je vous en prie, il faut que vous m'aidiez ! "
" C'est un don de Dieu... Cette amulette nous protège... "
" Vous protéger de quoi ? ! "
" De la brute à poils noirs... " il venait de dire cette phrase comme si il craignait cette 'brute à poils noirs'
" Qu'est-ce que c'est ? "
" Un terrible monstre ! On a réussi à le renfermer dans sa prison, mais il va bientôt sortir, tout les jours, nous tremblons de peur que la porte cède... Et cette amulette nous protége de ce désastre... "
" Juste ça... ? "
" Oui "
" Si je vous débarrasse de ce monstre, vous me donnerez ce que je veux ? "
Il fut étonné. " Toi ? Tu es tellement petit... " Je fis la moue, évidemment... Dés qu'on ne fait pas deux mètres et deux cent kilos, on est forcément faible... " Tous nos plus grands chevaliers y sont passés, le monstre leur a arracher leurs armures, puis les a manger sans retenue ! "
" Je vais vous en débarrasser, mais en échange, promettez-moi que vous me donnerez l'amulette ! "
" Je vous donne ma parole ! " il se leva. " Vous voulez une armure ? "
" Non, ça ira, merci "
" Vous êtes courageux, bonne chance ! " une trappe s'ouvrit en face de nous. " Entrez... Il est en bas... "
Je descendis après lui avoir souri. C'était vraiment lugubre... Une immense pièce emplie de noir, je ne voyais vraiment rien. Je m'avançai vers le milieu de la pièce. J'entendis un espèce de miaulement puis je sentis un grande douleur. Je passai ma main dans le dos. Mes doigts étaient couverts de sang... La douleur me parcourait de haut en bas, La bête m'avait griffé du creux de mes omoplates au bas dos et moi, je n'avais rien sentis... Je me retournai et un espèce de chat énorme et noir me faisait face. Pourtant, la bête hurla à la mort sans que je ne fasse rien. Zarina venait de lui envoyer un rayon d'énergie en plein dedans. Le monstre était tombé raide mort.
" Pourquoi tu m'as pas réveillée ? ! " demanda-t-elle. C'était la seule chose qui l'inquiétait...
" Parce que tu dormais... Et je croyais que ça n'allait pas prendre autant de temps... " répondis-je en fixant la bête étendue.
" C'est pas une raison... " et elle partit, fâchée. Avait-elle remarqué que j'étais blessé ? Avait-elle remarqué qu'elle venait de terrasser un espèce de chat noir mutant ?... Même mon père ne me l'a jamais fait ce coup-là... Elle était certainement entrer de force dans le château.
" La fille de Satan ! ! ! " s'exclama le roi en pointant Zarina, une fois que nous sommes remontés.
" Hein ? " fis-je à mon tour.
" Oh toi qui a vaincu la bête à poil noir, détruit la fille de Satan je t'en supplie, et tu auras tout ce que tu voudras !... "
" Quoi ? ! Tuer ma fille ? "
" C'est ta fille ? " répéta le roi, pétrifié. Je répondis que oui. " Comment un envoyé de Dieu peut-il être le géniteur d'un démon ? "
" J'suis PAS un démon !... " rouspéta Zarina. Elle était vexée et elle se mit à pleurer. Elle sauta dans mes bras. " Papa, dis-leur que je suis pas un monstre... "
" Mon dieu... Même les démons pleurent... "
Mais ils sont dingues, c'est pas possible ! !... " Ce n'est pas un monstre ! Maintenant, donnez-moi mon bien !... " l'homme après grande hésitation, donna l'amulette.
" Merci de nous avoir débarrasser de ce monstre... Et repartez bien avec elle... "
En partant, Zarina lui fit une langue et nous rentrâmes au vaisseau. " Un quart de la mission est remplie ! " lançai-je.
" Cool ! " fit Miiky en sortant de la cuisine. Zarina lui montra l'amulette.
" Par qui tu t'es fait choper, Trunks ? " me demanda Bardock en voyant mon dos.
" Ah... Un chaton m'a griffé... " ironisai-je.
Nous reprîmes la route, j'avais espoir, bien vite, la Terre sera de nouveau sur pieds !
