Notes de l'auteur :

je tiens a m'excuser pour le niveau de plus en plus navrant de cet UA et pour la perversion de plus en plus flagrante qui s'y fait jour (je sais, ça dérange pas grand monde.^^!) juste pour signaler, que ce coup si, on atteint des sommets voir le fonds.En attendant le suite bien sur.Question scénario...heu..Y a quelqu'un qu'a la définition de ce terme ?

Pardon pour l'impossibilité scénaristique, mais me fallait deux mecs potables, j'ai donc réssucité Adel et importé Vincent de FF7.

Kin ! rien que pour toi, ce chapitre

Servant

7ème partie



Squall eut un sale sourire en tirant d'un coup sec sur la laisse de cuir noir qu'il tenait négligement, une paire de gant de cuir couvrant ses mains glacées d'anticipation.

Seifer sera les dents sur le mors d'acier recouvert d'épais cuir lui maintenant ouverte les machoires. Il trébucha mais se repris rapidement lorsque la cravache, fine et cinglante, lui cingla les cotes. Un foulard de soie rouge, jurant avec ses mèches blondes collées sur ses tempes par la sueur l'aveuglait tout a fait.

Frémissant, il sentit sa laisse changer de main et suivit en rechignant quelque peu son Maitre de la soirée.

Il inspira lourdement, tendant sur sa poitrine l'epaisse chaine d'acier, d'un froid acéré, partant de son collier vers un lourd anneau tombant au milieu de sa poitrine puis meurtrissait ses flancs avant de se rejoindre dans son dos ou s'attachaient les menottes qui le forcait a bomber le torse et a creuser les reins.

Si la position était douloureuse, les murmure éxité et admiratif de la foule ne laissait aucun doute sur la qualité de la vue qu'il offrait.

Seifer réprima un frisson d'exitation. Un petit boxer de cuir et de hautes bottes monttant a mis cuisse pour seul vetement, il passa au milieu de la foule attablé , suivant docilement l'homme le conduisant derrière lui.

Une main sur son bras le prevint et il leva le pied sur la première marche, montant peniblement mais avec élégance les degrés de marbre vers la petite scène, les maisn des serveurs l'effleurant sans complexe au passage.

Squall hocha la tête, satisfait, pendant que son père et kyros s'asseyaient à sa table pour assister au spectacle.

"- Tu ne le dresse pas toi même ?

"- Il a besoin d'être un peu maté par quelqu'un d'un peu moins concilliant que moi..

Adel [1] détacha les mains de seifer et les attacha aux chaines pendant du plafond.

Tournant une roue, il tendit les fers, amenant un petit gémissement douloureux au jeune homme, a moitié écartelé sur la scène, ses pieds touchant a peine le sol.

Une barre vint completer la panoplie, le forcant a garder les jambes grandes écartées.

La lumière dans la salle s'étengnit, laissant les petites tables juste éclairées par les faibles bougies et les chandeliers disséminés dans la pièce et sur les murs

Squall s'accouda a la table, le bar était chaud et les respirations de la petite centaines d'hommes assemblés, dévorantle corps offert a leur yeux de seifer n'était point pour faire redescendre de facon significatife la fièvre le dévorant.

Laguna eut un petit rictus méprisant.

Son fils pouvait s'en défendre autant qu'il voulait, il l'aimait son collier blond. Suffisament pour se sentir aussi jaloux qu'excité de le voir ainsi exposé et a la merci de tous.

Discrétement, il fit signe a Adel de commencer.

Irrité par le flegme de son géniteur, Squall jeta sa veste sur la table, près de lui, revelant son torse nu ou brillait les deux petits diamants de ses tetins.

Adel arracha le foular rouge couvrant le visage de Seifer.

Un frisson parcourus le jeune homme, peur et plaisir anticipatoire mélé, en voyant le sorcier appuyé non challement sur le mur a quelque centimètres de lui, un fouet à la main.

Adel sourit.

Le laissant se débattre dans ses chaines, il s'approcha lentement, lui caressant la joue détachant le mors lui ouvrant la bouche, puis ses doigts s'atardèrent sur le cou et le sein, laissant de petites traces d'ongles sur la peau pale et déjà couverte de sueur, une délicate rougeur colorant les pomettes du chevalier tandis que ses lèvres, ouvertes et humides, secouées de son souffle rapide, se gonflaient sous le coup des sensations qui l'assaillaient.

Les lèvres d'adel se rapprochèrent de son oreilles, lui en mordillant un instant le lobe a faire perler une goutte de sang rouge avant de lui murmurer quelque chose.

Une authentique panique passa sur les traits de l'ancien chevalier.

Une porte lattérale s'ouvrit sur une jeune femme assise sur les épaules solides d'un esclave nu.

Seifer avala péniblement sa salive en voyant la haine pure briller dans ses yeux lorsqu'elle saisit le fouet qu'Adel lui abandonna nonchalament. Elle le prit avec un plaisir non dissimulé, jouant de sentir son poids entre ses doigts et la morsure de la mèche taillé en biseau.

Armant son bras, elle frappa de toutes ses forces.

Arquant les reins en une futile tentative d'échapper à la douleur, Seifer ferma les yeux, se mordant les lèvres, refusant d elacher le moindre cri.

Dans le public, un silence respectueux et attentif suivait chaque geste de Linoa, chaque coup marquant les fesse,s le dos et les cuisses du jeune homme de nouvelles marbrures rougeatres.

Seifer baissa la tête.

Tous les muscles douloureux, tremblant de douleur et de fureur contenue, dressé sur la pointe des pieds et le sexe douloureusement comprimé par le cuir, il haletta un instant avant de relever les yeux vers Squall, le suppliant du regard.

Epuisée, Lino se redressa un peu, satisfaite.

Un rictus froid sur les lèvres, elle s'approcha de lui.

Ses doigts coururent sur les plaies ouvertes sur le dos du jeune homme, étalant le sang et le melant de sueur, le faisant gémir sous la morsure inattendue du sel.

Les mains de la jeune femme descendirent sur ses flancs, incendiant davantage ses meurtrisures et ses contusion.

Le mèche du fouet s'enroula autours de son membre, le comprimant douloureusement lorsqu'il se gonfla davantage sous la torture nouvelle.

Le rictus de Linoa s'affermit. Avec brutalité, elle tira sur la lanière de cuir, arrachant au jeune homme un cri de douleur réelle.

Le manche du fouet appuya cruellement sur le membre meurtri tandis qu'elle resserrait le collier de cuir a lui couper la respiration.

Elle arma son bras.

Squall se tendit, les jointure blanchies sur les bras du fauteuil.

Adel arracha le fouet des mains de la jeune femme et la repoussa vers l'esclave nu qui la rechargea, crachante et sifflante comme une chatte irritée, sur ses épaules.

Seifer la regarda partir avec un soulagement palpable.

Adel se colla contre lui, sa peau fraiche irritant davantage les marques de fouet sur son dos.

Seifer grogna lorsque le mors de cuir repris possession de sa bouche.

Ses dents s'enfoncèrent dans le cuir, le tranchant presque; lorsque une chaine nouvelle, liant ses pieds au morceau de métal fut attaché à la poulie au dessus de sa tête.

Impuissant, les bras de nouveau douloureusement noués dans le dos, il ne put que se laisser faire lorsque le sorcier fit jouer la roue, le soulevant, jambe écartées et la tête en bas, présentant son ventre au public frémissant.

Adel assujettit la roue pour qu'elle ne bouge pas et revint au jeune homme.

Lentement, il détacha les boucle retenant son seul vetement puis jeta le cuir a terre. Gentiment, il passa ses mains sur les cuisses ouvertes, sur les fesses agitées de spasmes puis l'abandonna momentanément de nouveau.

Le sorcier enfilla un gant de cuir aux doigts réhaussés de minuscules vibreurs.

Avec un sourire presque tendre, il fit courir l'appareil sur l'entre jambe du SeeD, s'attardant sur les testicules gonflées, descendant le long du membre humide de désir, remontant sur l'aine puis s'attradant longuement sur l'entrée brulante avant de la posseder avec cruauté.

Sous la main experte du son ainé, Seifer ferma les yeux, incapable de supporter la vue du public le devisageant avec impatience et une faim qui le faisait gémir de peur. Sans plus de volonté, tout entier possedé par les caresses humiliantes, il mit a se tordre et a agiter les hanches, suppliant pour en avoir plus, qu'on ne le laisse pas sur ce desir inassouvit qui s'eveilait dans ses reins

Un jeune homme a la longue crinière noire et au long manteau de gueule se leva dans le fond de la salle.

Tranquillement, il traversa toute la salle et monta sur l'estrade sous le regard irrité d'Adel.

Le siorcier cessa ses agaceries sur la virilité de l'ancien chevalier puis jeta son gant à l'un des Colliers attendant près de la scène.

"- Beau modèle. Dommage que vous ne sachiez pas l'utiliser."

Piqué au vif, le sorcier se redressa.

"- Croyez vous ?

Laguna se redressa sur son siège, les sourcils froncés.

Vincent eut un sourire calme.

"- Certain.

Sa main courut sur le ventre de seifer, remonta lentement avant qu'il ne referme ses doigts sur le bout du sexe, empourpré de desir.

Le SeeD blond gémit, s'agitant violement dans ses liens alors que la caresse le prenait tout entier.

"- Voyez."

Adel fronca les sourcils puis renifla en jetant un regard de dédain au chevalier tremblant, son membre bougeant presque de son plein gré.

Vincent s'appuya contre le mur alors qu'Adel etreignait le jeune homme a plein bras, lechant sa cuisse le faisait gémit derechef et se tortiller sous lui.

Vincent se redressa.

"- Je vous propose quelque chose

tendrement, il saisit le membre et le redressa vers Adel.

"- Que diriez vous d'un petit concours ?

Adel s'appuya sur la cuisse zébrée de meurtrissures et de sang, le caressant distraitement.

"- Messieurs."

les deux homme se retournèrent, surpris.

Laguna s'avanca, la main sur la hanche.

"- Que signifie ?"

Vincent se fendit d'un grand sourire.

"- Juste un petit jeu ."

Laguna lanca un regard discret vers son fils fulminant, camouflant un petit sourire.

"- De quel ordre ?

Adel caressa les fesses couvertes de sueur.

"- Du genre. Qui de nous deux le fera jouir le plus vite..

Laguna renifla.

"- Certes. Très bien.

Il claqua des doigts et un jeune Collier lui apporta un sablier.

Sans se soucier du brouhaha que leur petit jeu créait dans la salle, les deux hommes se sourirent.

"- Et que subira le perdant ?"

Laguna répondit a leur place avant de regagner la sienne dans la salle

"- Il prendra le collier pour une semaine.

Les deux hommes approuvèrent.

Adel ota la sécurité de la roue qui se mit a tourner librement, jetant Seifer a terre.

Il s'assit sur une des marches menant à la scène et retourna le sablier

Vicent prit gentiment le visage de Seifer entre ses mains, s'attirant un regard noir.

Ses doigts seglissèrent dans la courte chevelure blé mur, jouant avec les mèches collées par la sueur. Il dégagea son front, souriant de voir Seifer rougir et detourner la tête.

Le brun détacha sa ceinture et arma son bras.

Le cuir claqua juste sous la machoire, jetant le SeeD a terre.

Guère adoucit par le coup, le SeeD

----------------------- [1] désolée, me fallait un mec et ni raijin, ni ward, n'avait l'heur d'appeler les suffrages. kin, un lemon avec ton mamour, c'est rien que pour toi !