Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas !
Hello,
Cet O.S aurait dû être posté le 22.08, mais malheureusement ça n'a pas pu se faire. Mais voilà, il est enfin là !
Bonne lecture !
10 octobre 2011 !
« Maman, mais c'est une folie ! »
Caroline s'extasia devant ce sac à main rose qui valait une fortune, et que sa mère venait de lui offrir.
« Il a dû te coûter une fortune. Il t'a coûté une fortune. »
« Ne t'occupe pas du prix et contente-toi de me dire merci. »
« Merci ! »
Posant le sac sur le canapé, Caroline prit sa mère dans ses bras.
« Il est magnifique. » dit-elle.
« Ma fille fête ses dix-neuf ans, il fallait bien marquer le coup. » sourit Elizabeth, vêtue de son uniforme de shérif. « Tu ne m'en veux pas de devoir travailler jusqu'à demain ? »
« Maman, je n'ai plus cinq ans, tu sais ? » la rassura Caroline. « Du moment que je peux avoir un énorme gâteau au chocolat au petit-déjeuner demain matin. »
« Je t'achèterais le plus gros de la pâtisserie. » lui dit sa mère. « Bon, je dois y aller. Tu sais où me trouver si tu as besoin de quoi que ce soit. »
« Promis ! »
« Bon anniversaire, ma chérie ! »
Après une dernière étreinte mère / fille, le shérif Forbes s'en alla.
Son tout nouveau sac en main, Caroline vagabondait en ville en début d'après-midi. Matt l'avait appelé pour lui souhaiter son anniversaire, et pour s'excuser de devoir travailler.
« C'est bon Matt, tout va bien. Merci d'avoir appelé. »
Ils avaient discuté quelques minutes avant de raccrocher. Matt était en couple avec Rebekah Mikaelson, vampire originel âgée de plus d'un millénaire pour qui le jeune homme avait enfin admis ses sentiments.
Les événements des six derniers mois n'avaient pas été de tout repos, mais le calme était de nouveau revenu à Mystic Falls. Alaric était mort, et même si ça avait été fait par la mort temporaire d'Elena avant sa transformation en vampire, la paix régnait de nouveau. Les frères Salvatore étaient tellement préoccupés par l'entraînement d'Elena que personne n'avait envie de reprendre cette petite guéguerre pathétique pour essayer de tuer un certain hybride indestructible. De l'eau avait coulé sous les ponts, et chacun menait sa petite vie – humaine ou surnaturelle – de son côté.
Sortant son téléphone, elle soupira devant l'absence d'appels ou de messages. En dehors de Matt et de sa mère, il semblerait que ses amis aient oublié que ce jour était important pour elle. Elle ne s'attendait pas à une fête surprise ni quoi que ce soit, mais un message aurait fait plaisir. Laisse tomber, Caroline. Ils sont trop occupés avec Elena pour penser à toi. Quant à Tyler, il était trop occupé avec sa nouvelle copine. Malgré la fin des affrontements, il avait décidé de retourner dans les Appalaches. Il était tombé sous le charme d'une louve, et il était retourné auprès d'elle après avoir rompu avec Caroline. Rester en ville devenait soudain trop étouffant pour elle, alors elle s'infiltra dans une ruelle déserte avant de s'éclipser.
Elle avait besoin de solitude, alors elle s'isola sur les falaises qui surplombaient une cascade. Assise sur le rebord, les jambes pendantes dans le vide, son regard se perdit au loin. Qu'allait-elle bien pouvoir faire du reste de sa journée ? Pas question pour elle d'aller voir ses amis en espérant qu'il se souvienne de la signification de ce jour. Caroline avait sa fierté. Tant pis, elle allait rentrer chez elle et passer des heures devant l'intégrale de sa série préférée.
« Bonjour, Trésor ! »
Un frisson délicieux parcourut le long de son échine à l'entente de cette voix.
« Bonjour, Klaus ! »
Maintenant qu'elle savait qu'il était là, elle le sentit s'assoir à sa droite.
« Qu'est-ce que tu fais là ? » demanda-t-elle.
« Je suis allé me promener sous mon autre forme, quand j'ai senti ton odeur. »
Il s'était baladé dans les bois sous la forme lupine, et pourtant il était impeccable. Pas un seul froissement sur ses vêtements.
« Alors, que fais-tu ici toute seule ? » demanda-t-il à son tour. « Ne devrais-tu pas être avec tes amis, à faire les boutiques pour ton anniversaire ? Ou quoi que ce soit que font les jeunes de ton âge ? »
Les yeux écarquillés, Caroline tourna la tête vers lui.
« Tu… tu sais que c'est mon anniversaire ? »
« Bien sûr. Aurais-tu oublié qu'il y a un an, je t'ai offert un cadeau ? »
« Non mais, c'était il y a un an, et j'étais mourante par ta faute mais ça c'est du passé, et je t'ai pardonné. » Il sourit. « Klaus… »
« Je n'oublie jamais les choses importantes. Et j'ai même un cadeau pour toi, mais il est chez moi. »
« Ah oui ? »
Elle s'efforça de rester stoïque, mais intérieurement elle sautillait de bonheur.
« J'avais l'intention de passer chez toi en fin de soirée pour te le donner. » dit-il. « Alors, pourquoi n'es-tu pas avec tes amis ? »
« Eh bien, Matt travaille mais on a discuté ce matin. En dehors de lui et ma mère, je n'ai reçu aucun appel ni message. »
« Pas un ? » s'étonna l'hybride.
Caroline sortit son téléphone, et montra son écran vide de toutes nouvelles notifications.
« Rien du tout ! » dit-elle avant de ranger son portable dans le sac.
« Et, Tyler ? » se hasarda-t-il à demander.
« Trop occupé avec sa greluche dans les Appalaches. » dit-elle. « On a rompu. Enfin, il a rompu avec moi. »
« Je suis désolé, Trésor. Tu ne mérites pas ça. » dit Klaus, qui ne la quittait pas des yeux. « Tu veux que je tue Tyler ? Je connais des tas de moyens très douloureux pour punir quelqu'un ? »
« Ça ira, merci. Bien que ce soit très tentant. »
Ils rirent avant de retomber dans le silence. Un silence que Klaus brisa.
« Tu veux venir chez moi ? » proposa-t-il. « J'ai de l'alcool, des réserves de sang, et de la musique. »
Elle n'avait rien de mieux à faire, et elle n'avait clairement pas envie de passer le reste de sa journée d'anniversaire toute seule. L'idée de se retrouver avec Klaus était excitante. Caroline était pratiquement certaine d'être amoureuse de lui, mais tout ce qui était arrivé jusqu'à la trêve était compliqué. Plus besoin de se prendre la tête, désormais. Elle était célibataire, et elle le désirait ardemment. Elle accepta donc son invitation.
« Avec plaisir ! »
…
Le Manoir était calme, serein. Caroline s'y sentait bien.
« Où sont tes hybrides ? »
« Je les ai laissé repartir chez eux. En contrepartie, ils doivent répondre à mes appels quand j'ai besoin d'eux. Seuls quelques-uns sont restés ici. » dit Klaus. « Tu veux monter ? Je te promets de bien me tenir. »
« Tu as d'autres dessins à me montrer ? »
« Ça se pourrait bien. »
Il lui tendit la main, qu'elle prit sans hésitation, et elle le suivit à l'étage. La chambre de Klaus était très grande, et il avait même aménagé un atelier et un salon.
« La dernière fois que je suis venue ici, je n'ai pas été très gentille avec toi. »
« Je t'ai pardonné, Trésor. Tu veux un verre ? »
« Oui ! »
Il était peut-être encore tôt pour boire, mais ils étaient des vampires. L'heure n'avait aucune importance pour boire de l'alcool. Pendant que Klaus alla vers son bar personnel, Caroline posa son sac et en sortit son téléphone. Toujours rien. Elle décida d'envoyer un message à Matt et à sa mère pour lui dire où elle était, mais que personne d'autre ne devait savoir. Ses amis avaient oublié cette journée, alors elle resterait injoignable. Une fois les réponses reçues, elle éteignit son téléphone et le remit dans son sac. Elle ne voulait pas devenir obsédée par l'idée que Bonnie et Elena finissent par se réveiller pour l'appeler. Tant pis !
« Toujours aucun message de tes amis ? » demanda Klaus, qui lui apporta un verre de bourbon.
« Non ! » Elle prit le verre et le remercia. « Mais ça ne fait rien. J'ai bien appris ma leçon quand il arrive quelque chose à Elena. Elle passe en priorité, et ce sera toujours le cas. »
Elle vida son verre d'une traite. L'alcool lui brûla la gorge mais elle s'en foutait.
« Pas avec moi, Trésor ! » dit Klaus. Son regard était si envoûtant que Caroline avait envie de se jeter sur lui. « Tu pourras toujours compter sur moi. »
Il but une gorgée sans la quitter des yeux.
« Je te ressers ? »
« Oh euh, peut-être plus tard ! » dit Caroline.
Klaus lui prit le verre et retourna au bar le déposer, ainsi que le sien.
« Je peux enlever mes chaussures ? »
« Oui bien sûr, fais comme chez toi. »
Elle s'assit sur un fauteuil et défit ses bottes. Elle était peut-être un vampire, mais ses chaussures neuves lui tuaient les pieds. J'aurais dû mettre des baskets. Heureusement que sa condition lui permettait de guérir la moindre blessure. De la musique se fit soudain entendre. Caroline reconnut les premières notes de la chanson, quand la voix de Etta James emplit la pièce.
« Tu m'accordes cette danse, Trésor ? »
Klaus devant elle, la main tendue, attendait patiemment sa réponse.
« Avec plaisir ! »
Elle glissa sa main dans la sienne et se redressa. Lorsque la main libre de Klaus se glissa sur sa taille, le corps tout entier de Caroline s'embrasa. Ils dansaient au milieu du salon, le corps blottit contre l'autre. Son regard rivé au sien, la jeune fille se sentit plus vivante que jamais. Klaus n'avait jamais caché son intérêt pour elle. Elle se demandait s'il avait des sentiments sérieux à son égard.
« J'en ai ! » dit-il.
Mince, elle avait réfléchi à voix haute. Le sang afflua à ses joues.
« Joyeux anniversaire ! » susurra-t-il, caressant délicatement sa joue. « Ma belle Caroline. »
« Tu essayes de me séduire ? » demanda-t-elle en souriant.
« Est-ce que ça marche ? »
« Ça fait longtemps que je suis tombée sous ton charme. » admit-elle.
La chanson prit fin, et laissa place cette fois à la voix envoûtante de Billie Holiday, mais le couple s'arrêta de danser. Klaus remonta son autre main et prit le visage de Caroline entre elles. Il ne vit aucune appréhension dans son regard, aussi se pencha-t-il et déposa un doux baiser sur ses lèvres. Ils se sourirent, avant de s'embrasser de nouveau. Caroline crocheta ses mains derrière la nuque de l'hybride, et le baiser devint plus intense. Le désir qui la consumait était lourd. Elle avait besoin de plus que d'un baiser.
« Klaus, est-ce que… est-ce que tu veux plus qu'une relation physique avec moi ? » demanda-t-elle. « J'ai besoin de savoir. »
« Je veux absolument tout avec toi, Trésor. Tu es devenu le centre de mon immortalité à l'instant même où j'ai posé les yeux sur toi. » lui dit-il. « Je ne te laisserais jamais tomber. »
« T'as plutôt intérêt. » dit-elle avant de fondre sur sa bouche.
Le baiser devint plus urgent, et très vite, Caroline tira les plans du pull fin de Klaus pour le lui retirer. Il lui infligea le même traitement, et elle se retrouva en soutien-gorge tandis que lui, était torse nu. La seconde suivante, elle était dans ses bras, et il l'emmenait au lit. Elle pensait qu'il se montrerait plus passionné, plus brut, mais ça ne la dérangeait pas du tout qu'il se montre plus tendre pour leur première fois avec l'autre. Debout au pied du lit, il lui vola un baiser.
« J'ai tellement attendu ce moment que j'ai envie de le prolonger le plus longtemps possible. » dit-il.
Elle défit les boutons de son jean, le baissa sur ses hanches et s'en débarrassa sans quitter Klaus des yeux. Elle était désormais en sous-vêtement devant lui. Un ensemble en dentelle marine. Dieu qu'il adorait voir cette couleur sur elle. Envoyant son jean sur le côté avec son pied, Caroline s'allongea sur le lit avec sa vitesse, gloussant comme une ado.
« Tu comptes rester planter là ? » lui demanda-t-elle.
Un sourire en coin, Klaus se débarrassa de son propre pantalon. A la grande surprise de Caroline, qui se mordit la lèvre devant le spectacle, il n'avait pas le moindre caleçon. Il était… waouh ! En un battement de cil, il fut sur elle.
« Je vais prendre mon temps avec toi, Trésor. »
« D'accord ! »
Un léger baiser sur ses lèvres, il bascula dans son cou puis entre ses seins. Il lui mordilla un sein après l'autre avant de les englober de ses mains. Il voulait les toucher à même la peau. Caroline le vit dans ses yeux, alors elle passa les mains dans son dos et défit son soutien-gorge. Sa poitrine dénudée à la vue de Klaus. Il se pencha et aspira un de ses tétons entre ses lèvres, et le suçota longuement avant de passer à l'autre, ses mains prenant le relais chaque fois pour les malaxer.
Le dos cambré, Caroline se laissa aller entièrement. Elle n'avait pas fait l'amour depuis trop longtemps, et personne ne l'avait touché ainsi. La façon dont son corps répondait aux caresses de Klaus était si nouvelle, si enivrante. Quand il libéra ses seins, ses hanches se relevèrent en demande de plus. La bouche de son amant sur son ventre, puis entre ses cuisses, la rendit haletante. Elle se savait trempée. Sentant sa culotte effleurer ses cuisses, elle sourit. Peu importe la façon dont il allait la faire jouir la première fois, car tout ce qu'elle voulait était qu'il la touche à cet endroit précis.
Klaus n'avait jamais vu de féminité aussi humide et attirante. Il salivait de la goûter, de la posséder de toutes les manières, et il le ferait. Il la convaincrait de le laisser faire. Embrassant l'intérieur de ses cuisses, il se rapprocha de sa féminité et embrassa le côté de ses lèvres. Le couinement qu'il arracha à Caroline le fit sourire. Il avait tellement hâte de l'entendre gémir, de la sentir se refermer autour de son sexe au moment de l'orgasme. Il voulait la faire languir, mais son propre corps réclamait l'assouvissement de son envie d'elle. Il reviendrait à sa féminité plus tard. Il remonta le long de son corps, laissant ses lèvres effleurer sa peau douce jusqu'à ce qu'il puisse l'embrasser pleinement.
« Hum, pourquoi tu n'as pas… »
« Tout à l'heure. » dit-il avant d'entrer en elle. « J'ai trop envie de toi. »
Il était si large qu'il l'écartelait délicieusement. Sa tête bascula en arrière, et elle laissa échapper un râle de bonheur. Son sourire radieux se transforma vite en une dévorante passion. Refermant les jambes autour de Klaus, elle redressa la tête pour l'embrasser. A la première poussée, un véritable brasier intérieur enflamma les deux vampires. Klaus la caressait, l'embrassait et la possédait avec une telle faim que Caroline jouit en très peu de temps. Mais il ne s'arrêta pas pour autant, pour le plus grand bonheur de la jeune fille.
A bout de souffle mais comblée après… elle ne saurait dire combien d'orgasmes, Caroline roula sur le côté pour faire face à Klaus. Il avait l'air tout aussi rassasié qu'elle ne l'était.
« Des regrets, Trésor ? » demanda-t-il, en copiant sa position.
« Pas le moins du monde. » répondit-elle, souriante et se rapprochant pour rajouter contre sa bouche : « On devrait recommencer. »
« Entièrement d'accord ! »
…
Vêtue uniquement d'un t-shirt qu'elle avait piqué à son amant sexy, Caroline regardait la nuit recouvrir Mystic Falls depuis la large fenêtre. Elle se sentait tellement bien. Apaisée, comblée, mais surtout au comble du bonheur. Klaus s'était montré si attentionné avec elle, et si passionné. Désormais elle en était certaine à cent pour cent, elle était amoureuse de lui. C'était terminé le temps où elle servait d'appât parce que les frères Salvatore avaient un plan, qui foirait toujours au final. Aujourd'hui, elle ne serait plus l'appât de personne. Elle sourit quand Klaus vint l'encercler et l'embrasser dans le cou.
« Ta mère m'en voudrait si je t'enlevais avant que tu n'aies ton diplôme ? »
« Probablement ! » dit-elle avant de se retourner dans ses bras. « Aurais-tu une idée derrière la tête, par hasard ? »
« Je voulais juste t'emmener faire le tour du monde. »
« J'adorerais faire le tour du monde avec toi. » lui dit-elle. « Mais après le lycée. J'ai toute l'éternité pour suivre des études supérieures, si j'en ai envie. »
« Tu pourras même intégrer la fac que tu voudras. Je serai ton mécène. »
« Tu viendrais avec moi ? »
« Oui, mais pas pour étudier. »
Elle rit.
« J'aime t'entendre rire. » dit-il en l'embrassant. « Et j'adore t'embrasser. »
Il la souleva, et elle s'enroula autour de lui. Il l'emmena dans le coin salon, où il avait allumé un feu de cheminée pour donner une ambiance plus romantique.
« Hum… » fit-elle contre sa bouche, assise à califourchon sur lui. « J'ai cru comprendre que j'avais un cadeau ici ? »
« J'ai dit ça, moi ? » Klaus fit mine de réfléchir avant de hausser les épaules. « Je ne me souviens pas. »
Caroline lui lança un regard qui voulait dire mais oui je vais te croire. Klaus sourit et lui vola un baiser.
« En fait, j'ai revu mes plans pendant que tu avais le dos tourné, et tout a été mis en place pendant qu'on s'amusait tous les deux. »
Quand il avait rapporté les verres au bar, il avait sorti son téléphone et envoyé tout un tas de consignes au groupe de cinq hybrides qui étaient restés à Mystic Falls. Et tout était prêt.
« Il faut qu'on s'habille et qu'on descende à la salle à manger. »
« Et, il faut y aller genre, tout de suite ? » demanda Caroline, dont la voix suave envoya des ondes électriques dans le corps de Klaus. « Ne pourrait-on pas attendre… » Elle lui lécha la bouche tout en caressant son torse jusqu'à la naissance de son pelvis. « … quelques minutes de plus ? »
Elle glissa sa main dans le caleçon qu'il avait mis et l'empoigna.
« Je… je pense que ça peut se faire. » dit Klaus, la respiration hachée.
Il souleva son bassin pour baisser son vêtement et libérer sa turgescence qui ne cessait de grossir entre la main de Caroline. Lui empoignant les fesses, il la souleva pour qu'elle se glisse sur lui, et il put sentir sa moiteur le recouvrir en même temps que sa chaude caverne. Le t-shirt enlevé de Caroline, ils n'étaient plus que mains, dents et lèvres sur l'autre tandis qu'elle se hissait sur lui avec frénésie. Klaus lui palpait les fesses, soutenant son chevauchement jusqu'à l'orgasme. Caroline jouit dans un grand cri, rejetant la tête en arrière. L'hybride éclata en elle juste après.
Elle était vraiment accro. Son corps ne demandait qu'à être assouvi encore et encore par son amant. Alors qu'elle passait ses doigts dans ses cheveux dans la salle de bain, une serviette autour de la taille, Caroline ressentit une paix intérieure comme elle n'en avait jamais connu de toute sa jeune vie. Klaus était fait pour elle, et il n'était pas question qu'elle passe à côté de cette opportunité. Elle allait terminer le lycée, et elle allait le suivre où il voulait. Elle allait surtout lui déclarer ses sentiments ce soir même. Pourquoi attendre davantage ? Elle sortit de la salle de bain, et ce qu'elle vit sur le lit la statufia. Une magnifique robe bleue marine l'y attendait. Elle était à sa taille, en plus.
« Wow ! »
D'accord, il fallait qu'elle l'essaye. Détachant la serviette qui cachait sa nudité, elle se glissa dans la robe et le tissu contre sa peau fut comme une caresse. Dos-nu, l'échancrure arrière retombait souplement sur ses reins, et la jupe moulait divinement ses hanches et ses cuisses. Le décolleté était sage. Elle gloussa, car elle s'attendait à ce qu'il soit tout le contraire.
« Absolument parfaite ! »
Toute souriante, elle se retourna vers Klaus. Il s'était habillé également. Un costume de rigueur, mais sans cravate ou nœud papillon. La veste sans bouton noire recouvrait un t-shirt blanc. Il était canon dans tout et n'importe quoi.
« Tu n'es pas mal non plus. »
« Dis-moi, Trésor… » Il s'approcha vers elle d'un pas lent et sauvage avant de l'attirer contre lui d'un bras par la taille. « Y aurait-il des sous-vêtements sous cette divine robe ? »
« Tu veux dire que tu ne m'as pas regardé m'habiller ? »
« Malheureusement, j'ai raté le show. Mais je ne regrette pas parce que le résultat final est splendide. »
« D'où sort cette robe ? » demanda Caroline. « Ne me dis pas que tu as prévu tout ça avant qu'on… »
« J'ai tout planifié quand t'as accepté de me suivre. » dit-il. « Avant que je ne t'invite à danser, j'ai envoyé un message à Rebekah, qui est d'une efficacité redoutable. Et, dois-je te rappeler qu'on a passé des heures au lit ? Elle a largement eu le temps de tout organiser. »
« Est-ce que j'ai le temps de me maquiller un peu ? J'ai tout ce qu'il faut dans mon sac. »
« Oui, tu as le temps, mais tu ne le feras pas. » Il la souleva dans ses bras comme une mariée. « Tu es magnifique au naturel, tu n'as pas besoin d'artifice. »
« Attention Monsieur Mikaelson, ce genre de discours pourrait te valoir de très belles choses plus tard. »
« Oh, alors je continuerais de te flatter. »
Il l'embrassa tout en s'éclipsant jusqu'au rez-de-chaussée. Une bonne odeur que Caroline reconnut comme étant de la nourriture italienne flottait dans l'air. Elle avait beau être vampire et ne pas être obligé de manger, elle adorait conserver cette part d'humanité en elle. La table de la cuisine avait été dressé pour un vrai dîner aux chandelles.
« Les plats viennent d'un restaurant mais… »
« C'est parfait. » le rassura Caroline en posant un doigt sur sa bouche. « J'espère que t'as du sang en réserve. Je n'ai rien pris depuis ce matin. »
« Il y a ce qu'il faut, ne t'en fais pas. »
Il la reposa sur ses pieds et tira une chaise.
« Mademoiselle Forbes ! »
Le dîner fut parfait. Klaus raconta quelques anecdotes de sa longue vie, en gardant pour lui les détails trop sordides. Il ne voulait pas lui faire peur par sa psychose, bien qu'elle soit déjà au fait de ce côté de sa personnalité.
« J'aurais adoré vivre à certaines époques. Je crois que ma préférée c'est les années 20. Les tenues, la musique… ça devait être génial. »
« Ouais, quand tu ne passes pas ton temps à fuir un père qui a juré de te tuer. » dit Klaus.
« J'aimerais bien te voir porter une tenue de cette époque. » dit Caroline.
« Je dois avoir ça en réserve, ainsi qu'une robe pour toi. »
Il se leva et fit le tour de la table pour l'embrasser avant de débarrasser. Sirotant son verre de vin blanc, Caroline observa Klaus s'afférer avec minutie.
« Je sors le gâteau maintenant ? »
« Parce qu'il y a un gâteau ? »
« Bien sûr ! » dit-il. « On ne peut pas célébrer un anniversaire sans manger du gâteau. »
« Je reprendrais bien des forces avant. »
Klaus comprit le message.
« Pas la peine de me le servir dans une tasse. » lui dit-elle.
Il lui apporta une poche de sang et retourna s'occuper du gâteau. Quand il revint pour le poser sur la table, il avait disposé et allumé une bougie au centre de la pâtisserie.
« Hum, un gâteau au chocolat. Mon préféré ! » sourit-elle. « Tu me connais plus que je ne le pensais. »
« Je suis toujours attentif quand il est question des gens que j'aime. » dit Klaus, en se rasseyant en face d'elle. « Euh, il faut que tu fasses vœu, je crois. »
« Tu viens juste de le réaliser. »
Il fronça les sourcils face à cette réponse. Caroline souffla la bougie.
« Joyeux anniversaire, Trésor ! »
Sourire aux lèvres, elle se leva de sa chaise, fit le tour de la table et s'assit sur Klaus. Une jambe de chaque côté, qui fit remonter les pans de sa robe.
« On peut emmener le gâteau dans la chambre ? » susurra-t-elle.
« Tout ce que tu voudras. »
Le baiser qui s'ensuivit fut sensuel.
De retour dans la chambre, Caroline prit une fourchette que Klaus avait apporté, et la planta dans le gâteau. La première bouchée était si délicieuse qu'elle gémit de bonheur.
« Hum, c'est le meilleur gâteau de toute ma vie. »
« Ah oui ? » Klaus s'approcha. « Tu me fais goûter ? »
Caroline porta donc une portion aux lèvres de Klaus, qui les referma sur la fourchette. Si le gâteau n'était pas aussi bon, Caroline l'aurait laissé tomber par terre pour se jeter sur son homme.
« J'ai un autre cadeau pour toi. »
Curieuse, Caroline posa le gâteau sur la table du coin salon des appartements de Klaus, elle s'assit et continua à manger le temps que Klaus ne revienne. Heureusement qu'elle venait d'avaler sa bouchée quand il s'agenouilla devant elle.
« Qu'est-ce que tu fais ? »
« Donne-moi ta main. »
Elle reposa sa fourchette et tendit la main droite. Là, Klaus glissa autour du poignet un bijou qu'elle reconnut. Elle regrettera toujours de le lui avoir jeté à la figure le soir du bal.
« Le fermoir était cassé, alors je l'ai fait réparer. »
« Merci ! » dit-elle. « J'ai toujours voulu le récupérer, mais je n'ai jamais osé te le demander. »
Il lui baisa la main, l'intérieur du poignet et remonta le long de son bras. Caroline s'en délecta. Elle le surprit en inversant leur place. Klaus se retrouva assis sur la chaise, sa belle à califourchon sur lui.
« Tu veux bien m'entraîner ? » lui demanda-t-elle. « Je suis capable de me défendre mais, je veux pouvoir… hum. »
Il la coupa d'un baiser. Elle n'attendit pas de réponse et lui rendit le baiser, ondulant ses hanches sur lui, ce qui fit remonter le bas de sa robe. Les mains de Klaus l'empoignèrent et l'atmosphère se chargea. La faim qu'ils avaient l'un de l'autre était dévorante. Les vêtements volèrent ou furent arrachés. Sauf la robe de Caroline. Klaus prit un soin particulier à la lui enlever. Il les éclipsa jusqu'au tapis du salon et la pénétra d'un mouvement sec avant de s'assoir en la gardant sur lui. Ils bougeaient à l'unisson, le regard planté dans l'autre, les mains sur les corps de l'autre. Quand les yeux de Klaus devinrent noirs, Caroline comprit ce qu'il mourrait d'envie de faire, mais qu'il ne ferait pas sans son accord, car ses yeux redevinrent normaux.
« Fais-le ! » Elle se colla davantage contre lui, ne laissa aucun espace entre leur corps et bascula la tête en arrière. « Fais-le ! »
L'orgasme était tout proche. Klaus le sentait aussi. Il ne voulait pas la mordre pour s'abreuver de son sang, ça ne serait qu'un plus. Il voulait la mordre pour la marquer et qu'elle soit sienne pour l'éternité. La marque disparaitrait grâce à son propre sang, mais ça avait une signification particulière pour lui. En la mordant, il les liait l'un à l'autre. Jamais, il ne laisserait Caroline s'en aller. Il ferait tout pour qu'elle n'ait jamais envie de le faire. Quand elle se resserra violement autour de son sexe, il la mordit au cou.
Caroline jouit avec une force monumentale. La morsure la pinçait, mais elle s'en fichait et son cri n'était pas un cri de douleur, mais de délivrance. Elle savait que la morsure d'un loup-garou, et plus encore d'un hybride, était mortelle pour un vampire, mais Klaus était le remède, et lorsque son orgasme s'apaisa, et que les dents de son amant se retirèrent de sa peau, elle le mordit à son tour. Son sang était délicieux, et la semence de Klaus jaillit en elle.
« Ma douce et tendre Caroline… »
Plus de dix minutes étaient passés avant qu'il n'allonge sa compagne sur le tapis, et qu'il se lève pour allumer un feu de cheminer. Il la rejoignit et s'allongea sur son corps nu et magnifique.
« Oui, mon sexy et terrifiant hybride ? »
« Sexy et terrifiant, hein ? » Il sourit. « Je pourrais m'y faire. »
« Prends-moi encore, jusqu'à ce que je n'aie plus de force. »
« Ça peut durer toute la nuit, voire des jours. » lui fit-il remarquer.
Elle gloussa et haussa les épaules.
11 octobre 2011 !
Après la magnifique robe qu'elle avait porté toute la soirée de la veille, remettre ses vêtements de tous les jours la rendait moins enthousiaste. Debout devant le miroir de la salle de bain, Caroline arrangea ses cheveux emmêlés avec ses doigts. Il fallait qu'elle rentre chez elle et qu'elle se change.
« On dirait que tu as affronté un lion dans un combat sauvage, Trésor ! » dit Klaus, accoudé contre l'encadrement de la pièce.
« En l'occurrence, c'était un hybride indestructible. » dit-elle en souriant.
Un sourire qu'il lui rendit avant de se faufiler derrière elle. Il joignit les deux mains devant elle et les remonta jusqu'à sa gorge… où il attacha un magnifique collier en or, dont le pendentif était un cœur sur lequel était gravé Trésor.
« Klaus… »
« Je t'avais dit que j'avais un cadeau pour toi. »
« Mais, tu as déjà tant fait pour moi hier. Le dîner, la robe, le gâteau. »
« Et je ne cesserais jamais de vouloir faire de toi ma reine, et de t'offrir tout ce que tu mérites. » dit-il en posant ses mains sur ses épaules. « Je t'aime, Caroline Forbes, et avec moi tu passeras toujours en priorité. Pour l'éternité. »
Les yeux brillants d'émotions, elle se retourna pour lui faire face et l'embrassa.
« Je t'aime aussi, Klaus Mikaelson. »
« J'espère bien, mais je continuerais de te faire la cour chaque jour, Trésor. »
Et c'est une promesse qu'il avait bien l'intention de tenir.
Mystic Grill !
Après être rentré chez elle pour se changer, et passer une heure en compagnie de sa mère pour lui raconter ce que Klaus avait fait pour elle, Caroline alla retrouver son meilleur ami et ex petit-ami. Elle avait été surprise de voir que sa mère ne la mettait pas en garde contre Klaus. Non, le Shérif Forbes était heureux que sa fille puisse compter sur quelqu'un tel que l'hybride. Il était puissant, et dangereux certes, mais avec lui à ses côtés, elle ne risquait pas de se faire tuer. Vêtue d'un jean, d'une tunique rose qui allait très bien avec son nouveau sac, et d'une paire de bottes, Caroline entra dans le restaurant. Ses cheveux étaient désormais bien coiffés et sans nœuds, lissés à la perfection. A son poignet droit, le bracelet que Klaus avait fait réparer pour elle. A son cou, le magnifique collier qu'il lui avait offert. Elle croisa Matt derrière le comptoir, quand elle entendit son prénom d'une voix familière. Plus loin, à une table, se trouvaient Elena avec ses deux chiens de gardes, ainsi que Bonnie et Jeremy, qui lui faisaient signe. Un sourire de façade au visage, elle alla vers eux pour les saluer. Quand elle avait rallumé son téléphone ce matin, la déception avait été totale. Aucun message d'anniversaire, mais un appel manqué et un message de Bonnie, disant que tout le monde se réunissait à la pension pour un dîner en l'honneur d'Elena. Pfff !
« Salut ! » dit-elle avec le sourire.
« Où t'étais passé hier ? » demanda Damon.
Si seulement il savait...
« De quoi tu parles ? »
« Bonnie t'a envoyé un message mais t'as pas répondu. Les filles s'inquiétaient. » dit Stefan.
Les deux frères étaient assis de part et d'autre d'Elena. Ça en devenait vraiment risible de voir à quel point ils étaient à ses pieds. Ça l'était d'autant plus de voir qu'Elena les laissait faire.
« Comme vous le voyez, je vais bien. » dit Caroline.
« Pourquoi tu n'es pas venu au dîner ? » demanda Bonnie, toute sourire.
« C'est une blague, c'est ça ? »
« Euh, non » dit Elena, qui ne comprenait pas pourquoi son amie semblait aussi sur la défensive.
« Vous n'avez pas une petite idée de quel jour on était hier ? »
« Le 10 octobre. » dit Damon en roulant des yeux. « Où tu veux en venir ? »
Avant que Caroline ait pu leur répondre d'aller se faire voir, Rebekah l'interpella et vint vers elle en souriant, et à la surprise de tous, la prit dans ses bras. Quand elle s'écarta, l'Originelle lui tendit un sac de taille moyenne venant d'une boutique de luxe qui était située à Richmond. Caroline reconnut la marque sur le sac.
« Je sais que c'était hier mais tu étais occupé avec mon frère. » dit Rebekah, taquine. « Mais joyeux anniversaire ! »
« Merci, c'est gentil. » dit Caroline, qui ignora les hoquets de stupeur qui se levèrent derrière elle.
Ouais, ils avaient bel et bien oublié son anniversaire. Oubliant ses soi-disant amis, elle troqua son sac à main avec son cadeau, le temps de l'ouvrir.
« Ce sac est sublime, où tu l'as eu ? » demanda Rebekah.
« Cadeau de ma mère. »
Caroline sortit du sac de shopping une magnifique veste en jean rose.
« J'ai flashé quand je l'ai vu, et j'étais sûre qu'elle te plairait. »
« Elle est superbe. Merci Rebekah, mais tu n'étais pas obligé d'aller jusqu'à Richmond pour m'offrir un cadeau. »
« Oh tu parles, ça fait deux semaines que je l'ai acheté. On est allé là-bas avec Matt un week-end et on en a profité pour trouver quoi t'offrir. » dit Rebekah, en balayant l'air de la main comme si ce n'était qu'une broutille.
« T'es ma nouvelle meilleure amie. » plaisanta Caroline, qui la serra à son tour dans ses bras.
« Hum, je dirais plutôt qu'on est des sœurs, maintenant. »
« Pas faux ! »
Caroline essaya la veste, et elle lui allait à la perfection.
« J'en étais sûre, elle te va parfaitement. » dit l'Originelle.
« Caroline ! »
Levant les yeux au ciel, elle se tourna vers le groupe derrière elle. Sur les visages de Bonnie et Elena, la stupeur n'était pas la seule chose qui s'y lisait, mais aussi de la honte. Bien !
« On te demande pardon, on a complètement oublié. » s'excusa Bonnie.
« Comment vous avez pu oublier l'anniversaire de votre meilleure amie ? » demanda Rebekah.
« Mêle-toi de tes affaires, sale garce. » claqua Damon.
« C'est bon Bekah, je vais gérer. » dit Caroline en fixant ses "amies". « J'ai l'habitude de passer après Sainte Elena. »
« T'es injuste, Caroline. » dit la concernée.
« Ah vraiment ? Je ne me souviens pas avoir eu droit à un dîner en mon honneur quand j'ai appris à contrôler ma soif de sang. Mais Elena y arrive, et c'est la nouvelle du siècle, alors faut la célébrer, et comme par hasard le jour de mon anniversaire. »
« On est désolée ! » répéta Bonnie. « Tu aurais pu nous appeler... »
« Parce que c'était à moi de vous rappeler que je suis née le 10 octobre ? Écoutez, je me fiche que vous ne m'ayez pas organisé de fête, sincèrement je m'en remettrais, mais à part ma mère et Matt, Klaus est le seul qui s'en soit souvenu. » Elle se tourna vers Bekah. « C'était avant que je sache que tu savais. »
Rebekah lui sourit.
« Sans Klaus, j'aurais passé ma journée d'anniversaire seule. Un simple message ou un appel aurait suffi pour que je ne vous en veuille pas, mais vous avez oublié. Mais ça ne devrait pas m'étonner, depuis que Elena a été transformé, il n'y a qu'elle qui compte. »
« Caroline... »
« Laissez tomber, d'accord ? Je préfère passer du temps avec des gens qui tiennent vraiment à moi. »
Un frisson la parcourut. Un frisson délicieux. Une seule personne avait le don de provoquer cela en elle.
« Ton prince terrifiant est là. » chantonna Rebekah.
Ce qui fit rire Caroline. Terrifiant était le terme, mais aussi sexy, attentionné, dangereux, et pleins d'autres adjectifs.
« Tu ne vas quand même pas aller avec lui ? » grogna Damon. « Après tout ce qu'il a fait, ce qu'il a fait à Elena ? »
« Vous n'avez vraiment que son prénom à la bouche. » dit Rebekah. « Votre petite princesse n'est pas si parfaite. »
« Bekah, laisse tomber. Ils n'en valent vraiment pas la peine. » Elle leur jeta un dernier regard. « Faut croire que j'ai choisi d'aller vers la seule personne qui m'aime vraiment. »
En dehors de sa mère, bien évidement. Récupérant son sac, Caroline rejoignit Klaus, qui était allé au bar et qui discutait avec Matt. Il accueillit sa nouvelle compagne dans ses bras, et accueilli avec plaisir le baiser dont elle le gratifia.
5 ans plus tard !
Londres !
Après le lycée, Klaus avait tenu sa promesse. Il avait emmené Caroline faire le tour du monde pendant trois ans, avant de la demander en mariage au sommet de la Tour Eiffel. Il l'avait ensuite emmené à Londres, dans son Manoir de famille et ils se sont mariés avec pour témoin Matt et Rebekah.
À la grande surprise de tous, le jeune humain n'avait pas eu à se faire prier pour quitter Mystic Falls, et au bout de trois ans à sillonner le monde avec sa sublime chérie vampire, il avait demandé à être transformé.
Caroline avait convaincu sa mère de prendre sa retraite, et de laisser son étoile de shérif à quelqu'un d'autre. Liz avait abdiqué, et vivait aujourd'hui sa retraite à Londres, où elle avait été plus que la bienvenue.
10 octobre 2016 !
Ils étaient comblés. Enroulés dans les draps qui les couvraient à peine, s'abandonnant l'un à l'autre comme chaque jour depuis cinq ans. Caroline allongée sur Klaus, les cheveux en bataille suite à de nombreuses heures passées à faire l'amour.
« Joyeux anniversaire, ma femme ! »
« Merci, mon mari ! »
Elle gloussa et sourit en même temps. Klaus reprit sa bouche et leurs ébats. A leur doigt de mariage brillait un anneau doré pour lui, une bague en diamant rose pour elle, signe de leur amour qu'ils juraient de faire perdurer jusqu'à la fin des temps !
FIN !
J'espère que ça vous a plu *-*
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