Smoker observait le satané chiot devant lui dans la ruelle, un Grand Giffon, un chien de chasse, la même race de son compagnon d'enfance. Il avait été un bon chien loyal et robuste, au pelage réconfortant pendant les nuits d'orage. S'il ne savait pas mieux, le Logia l'aurait caressé ; quelqu'un d'inattentif se serait mis à son niveau et passer sa main sur sa tête, pensant toucher de la fourrure amicale, la personne aurait rencontré du sable mortel.

Ce chien n'était nullement sentient. Une bonne imitation pour les passants mais il était juste un prolongement d'un pirate. Un simple messager sans vie qui pouvait les voler pour un oui ou pour un non.

Smoker dégaina son jitte, la destruction par Granit Marin de la chose réglerait son problème. Jamais il ne suivrait cette parodie de chiot ; le Marine ne pouvait pas battre son créateur. Autant qu'il détestait ce pirate, il n'avait pas de souhait de mort, surtout dans une ruelle sombre.

Le sable fouetta sur le sol un peu trop près de ses pieds, un semblant d'attaque, une "menace". La bête n'avait même pas de lien physique avec son créateur ; elle n'avait pas plus de sable que ce qui la composait. Le pirate le prenait vraiment pour un con.

Ce n'était pas la première fois que cela lui arrivait, même si la dernière fois que cela s'était passé commençait à remonter assez loin dans le temps. Mais c'était toujours le même chiot de sable qui venait à sa rencontre. Tantôt le chien le laissait tranquille si Smoker avait son jitte en main, tantôt le chien le suivrait jusqu'à ce qu'il cède. Et il semblait qu'aujourd'hui était un des jours où le pirate avait réellement besoin de lui glisser quelques mots.

Le Marine ne voulait vraiment pas lui parler, il avait d'autres choses à faire. En tendant l'oreille, il pouvait entendre du sable frapper le sol au loin, tcha tcha tcha tcha, une seconde création de sable arriverait sous peu. Une plus lourde que le chiot. Le son devint plus léger, mais pas moins fort ; la créature ne courrait plus. Au coin de la ruelle sombre, un museau moustachu se tourna vers eux, crocs noirs découverts.

Une copie d'un Grand Griffon adulte, bien plus costaud que ses homologues vivants, bien plus dangereux. La seconde créature s'approcha de lui, ses griffes noires cliquantes contre le sol, gueule grande ouverte. Sa queue de sable trainait et rejoignait une bande en sable.

Envoyer un messager avec du Haki était nouveau, et celui-ci était directement relié à son créateur. Il n'y avait plus d'issus. Il ne rangea néanmoins pas son arme, Smoker n'était pas fou.

Qu'est-ce qu'il lui voulait ?

Le chiot fusionna avec l'autre création. Le grand chien le regarda, autant qu'un être sans yeux le pouvait, et montra du museau la ruelle. Bien. De toute façon, il n'avait pas le choix. La créature de sable marchait à ses côtés, surveillant chacun de ses pas. Ce n'était pas comme si Smoker pouvait fuir ; la fumée avait beau plus de facilité à voler que le sable, mais ce dernier était juste plus dangereux, des gens seraient intrigués par les deux éléments s'affrontant et ils pourraient y avoir des victimes collatérales à un combat entre eux deux.

Le pirate avait vraiment choisi une ruelle sombre, comme dans les contes du soir. Il avait toujours aimé avoir du panache. Smoker n'était même plus étonné par ses efforts donnés pour l'esthétique. La ruelle déboucha sur une maison abandonnée aux fenêtres masquées, entourée d'arbres plus ou moins morts. Qu'une seule porte grande ouverte, il y en avait certainement une autre derrière. Ou pire, il pourrait défoncer un mur s'il devait fuir.

Le chien de sable lui donna un coup de boule sur la jambe, le commandant de bouger et d'entrer dans la maison. Le Marine monta sur le porche et le bois craqua, il remarqua aussi qu'il y avait des trous un peu partout. Il rentra dans la demeure de l'étrange sans prendre la peine de toquer à la porte, le criminel qui s'y trouvait savait déjà qu'il était là.

Le parquet grinçait sous ses pieds, et la poussière s'envolait par le mouvement de son corps. La créature l'amena dans ce qui aurait pu être un salon dans le temps ; des vieux canapés et une pauvre table basse qui avaient survécu aux longues années d'abandon s'y trouvait. Un simple rayon de lumière avait réussi à passer le barricadage des fenêtres, éclairant assez la salle pour divulguer le jaune froid du sable à ses pieds. Le chien s'affaissa pour disparaître dans le sol.

Sir Crocodile était assis sur le canapé central, sourire carnassier aux lèvres, Daz Bonez derrière lui. Le Marine ne se posa pas sur le fauteuil face au pirate.

« Notre dernière rencontre date. C'était quand la dernière fois ?

- Marineford, il y a un an. »

Ce n'était pas la réponse que le pirate voulait, et Smoker en était bien conscient. La colère passa sur le visage du second Logia avant de s'effacer pour un rictus. Smoker ne s'en souvenait plus, et tous les deux en étaient bien conscients. Le Marine savait qu'ils s'étaient retrouvés une fois à Logue Town, après qu'il avait été devenu Colonel, mais se rappeler de l'année ou même se remémorer si cela avait bien été la dernière fois, cela, il n'en était pas capable.

« Même plus capable de me parler sans un garde du corps ? »

Sir Crocodile grogna et envoya son subordonné surveiller la porte d'entrée. Smoker souffla la fumée de ses cigares pour former un nuage gris au-dessus de leur tête ; si le pirate refaisait le sol avec du sable, il valait mieux pour lui de faire la même avec le plafond.

« Tu ne veux toujours pas me rejoindre, je suppose.

- Tu fais bien de le supposer. » claqua le Marine. Pour rien au monde il deviendrait un vulgaire pirate comme lui.

Le criminel ria lugubrement.

« Juste parce qu'il était un pirate, tu nous détestes tous ?

- La place d'un criminel est en prison. Je n'ai pas besoin de détester un pirate pour savoir où est sa place. »

Il ne les haïssait pas. C'était simplement son devoir de les arrêter, mais certains pirates pouvaient faire le bien. Monkey D. Luffy en était la preuve et le Roi Roger n'avait jamais attaqué les civils.

« Pourquoi tu voulais me parler ?

- Je ne peux pas juste parler à mon bon vieux frère ?

- Je ne suis plus ton frère depuis bien longtemps. » cracha-t-il. Cependant il détestait de tout son cœur Sir Crocodile. « Tu ne me contacterais pas si ce n'est pas d'une importance majeure. »

Le pirate mordilla son cigare.

« Tu m'en veux encore pour ce que j'ai fait ? Elle le méritait pourtant.

- C'était notre mère.

- Twist était à peine notre mère, elle te tolérait tout juste. » Il souffla, sa voix gronda. « Elle voulait notre mort. On a déjà eu tant de fois cette conversation.

- Parce que tu refuses de croire qu'elle nous aimait.

- Parce que tu refuses de comprendre qu'elle nous détestait.

- Elle refusait de nous mettre à l'orphelinat.

- Elle faisait ça parce qu'il lui avait demandé. C'est la seule personne qu'elle a jamais aimé. »

Smoker savait qu'il devrait le croire, Crocodile était de dix ans son aîné, et il avait sûrement des souvenirs plus nets de cette époque. Mais leur mère avait été un bon parent, à contrario d'avoir été une bonne personne.

« Elle n'acceptait peut-être pas qui tu es, mais elle nous aimait.

- Mais tu t'écoutes quand tu parles ! » Crocodile claqua son crochet sur la table basse qui se brisa sous la force du coup. Sa poigne sur le jitte se resserra. Le pirate essaya de se calmer. « Elle faisait tout son possible pour me rappeler que je ne serais jamais un homme ! Merde, est-ce que tu sais même pourquoi j'ai cherché ton foutu fruit du démon ? J'en avais marre de devoir m'occuper d'un gamin aux portes de la mort à chaque fois que je revenais à la maison ! »

Smoker devait s'asseoir, il se dirigea vers le fauteuil. Non, il ne l'avait jamais su. Pas qu'il ait beaucoup de souvenirs de son enfance. Crocodile ne mentirait jamais sur cela.

« T'as pas honte de ta loyauté ? Bien sûr que non que tu le ferais pas. T'adores les chiens pour leur loyauté. »

Smoker se laissa s'enfoncer dans le fauteuil. Il ne se souvenait pas que sa mère ne lui ait jamais fait mal. Crocodile n'irait jamais calomnier leur mère, il comprenait juste mal les intentions derrière ses actions.

« La seule chose qu'il faut dans la vie, c'est être puissant. Si tu es puissant, tu n'as pas besoin d'être loyal à quiconque. Tu as choisi la servitude, j'ai choisi la force. »

Il les avait abandonnés à leur mère. Même s'il était un enfoiré, qu'il n'avait jamais été réellement présent dans sa vie, il n'aurait jamais laissé des enfants à une personne violente.

« J'ai choisi d'être une bonne personne, tu as choisi d'être une raclure.

- Être une raclure paye bien. »

Crocodile était un homme sans honneur, capable de tuer sa propre famille pour une quelconque offense. Il n'était loyal à rien. Smoker le savait bien.

« M'enfin, pas que je n'aime pas parler de nos enfances, mais ce n'est pas pour ça que je voulais te parler. »

Le pirate tourna le doigt, regardant le sable tourbillonnait dans sa main avant de le laisser tomber.

« J'ai un fils. »

Le Marine regarda le nuage de fumée qu'ils avaient créé. Il le modula en la forme d'un chien et d'un alligator. Le reptile était approximatif ; ils avaient toujours été difficiles à reproduire pour lui. Il tapota un doigt sur son arme.

« J'en ai rien à foutre.

- J'ai failli le tuer. Plusieurs fois. »

Des remords ? De sa part ? Smoker fronça des sourcils, ce mystérieux neveu l'intéressait. Crocodile avait sauvagement assassiné leur mère et il en était fier.

« Je suis sûr que tu l'as déjà rencontré. C'est Monkey D. Luffy. Son père est Dragon. »

Encore un pirate dans sa famille.

« Il a la même gueule de con que toi. Tu le savais et tu as pourtant essayé de le buter. Bravo.

- Je l'ai appris à Marineford. Je n'irai pas tuer mon fils, je ne suis pas comme elle. »

Ils étaient tous plus chiants que les autres, dans cette famille de fous. Il n'allait pas devenir l'oncle cool du Chapeau de Pailles.

« Pourquoi tu me dis tout ça ? C'est pas comme si ça allait m'arrêter de le traquer. »

Crocodile fredonna un vieux chant marin. Smoker prit du temps à le reconnaître, il l'avait beaucoup moins entendu que son aîné. C'était un chant qu'il chantait parfois le soir, les rares fois qu'il était à la maison.

« Je crois que la seule personne qui le sait, en dehors d'Ivankov, Dragon et maintenant toi, c'est Garp le Poing. Et je n'en suis même pas sûr. Je n'allais pas parler de ma misère à un vieux Marine fou. »

Son sourire carnassier était de retour.

« Je préfère en parler à un Marine fou qui se trouve être mon frère. »

Crocodile était de retour à manipuler le sable dans la pièce. Ce n'était pas une menace ou quoique ce soit du genre, juste une habitude qu'ils avaient tous les deux. C'était grâce à lui que Smoker savait se servir de son fruit du démon. Jouer avec leur élément était une façon ludique d'apprendre avant d'être juste une manière de passer le temps.

« Tu n'as pas de question à me poser ? Ma situation est bien singulière, tu ne trouves pas ?

- C'est évident que tu ne connais pas ton enfant. Même pas capable de reconnaître un nom de famille.

- Ne fais pas comme si tu connaissais le nom de Dragon avant Marineford. J'ai tout simplement cru qu'il n'en avait juste pas. »

Ce n'était pas rare de pas en avoir. C'était donc inhabituel de ne pas le porter avec fierté. Se différencier des gens était important, ne pas être juste un prénom que quelqu'un pouvait méprendre avec un autre. Être unique grâce à son nom était précieux. Il avait un nom de famille, et les deux frères avaient refusé catégoriquement de le porter. Une des rares choses sur laquelle ils étaient en accord.

« Mais non, je n'ai pas vraiment de question. Je ne serai jamais fier de mon neveu, je n'irai pas chercher l'aide chez mon "beau-frère". Est-ce qu'il sait même que tu es son père ?

- Non. Je ne sais pas si un jour je lui dirais. Il semble heureux sans savoir qui est son deuxième parent. Il a un beau sourire. On aurait dit le Roi de son vivant.

- Il a failli être exécuté à Logue Town. » informa Smoker. Crocodile ne semblait pas connaître cette histoire « Il croyait qu'il allait mourir, et il a souri.

- Comme le Roi ?

- Comme le Roi. »

Pour la première fois depuis très longtemps, Crocodile regardait dans le vide avec de la douceur dans les yeux.

« Je l'ai laissé à Dragon pour éviter qu'il devienne un pirate. Parce que j'aurai pu le tuer un jour et ne jamais le savoir. Je n'ai pas voulu le nommer, pour me détacher complètement de lui, pour qu'on ne puisse pas nous relier. J'aurais pu connaître son nom, mais j'avais refusé de le savoir. Il va devenir le prochain Roi, tu sais ? » Il passa sa main sur son visage, le sable chantait sur le sol. « J'ai failli le tuer. Juste parce que je voulais éviter de le tuer, j'ai failli le tuer. »

Le pirate ria, mais aucune trace d'humour n'aurait pu être trouvée. Smoker savait qu'il ne pouvait pas pleurer, son aîné ne l'avait plus jamais fait depuis leur jeunesse.

« Tu es capable de tuer toute ta famille sans remord, et pourtant tu refuses de tuer un simple gamin. Tout ça pour ne pas être comme notre mère. »

Crocodile grimaça, ce dernier n'aimait pas ce qu'il disait. Était-ce à cause du non-meurtre de son enfant ou à cause de l'utilisation du "notre mère" ? Il ne le saurait jamais.

« Si jamais tu captures Luffy, je voudrais pouvoir lui parler.

- Tu as perdu le droit de me demander ce genre de chose quand tu es devenu un criminel. Je ne laisserai pas un pirate libre sur mon vaisseau.

- Bien. Je ferai attention à ne pas te tuer quand je le libérerai de tes griffes. » Il se leva du vieux canapé. « Je sais que tu as envie de le voir devenir le Roi.

- Tu comprends tout de travers. C'est le moins pire des pirates qui veulent le devenir.

- Garder la face en tant que Marine même devant moi ? » Il se pencha sur lui. « Petit conseil de ton grand frère adoré, arrête de parler du Roi. Tu as cette lueur dans tes yeux à chaque fois. Cela ne sied pas à un Marine loyal de ton calibre. Tu ne sais pas mentir. »

Smoker balaya du dos de sa main la tête du pirate, mais ne toucha que du sable. Crocodile avait était trop près de lui, il se redressa, permettant au Marine de se lever du fauteuil. Il bouscula par la même occasion son aîné, peu importe que cela ajouta plus de sable qu'il avait déjà sur lui. Cet élément était bien trop chiant à enlever comme cela, mais il détestait toujours l'autre connard.

« Il se fait tard. Mes hommes ne doivent pas comprendre pourquoi je ne suis toujours pas revenu. »

C'était faux, il était au G5, ses hommes étaient à peine ses subordonnés, mais ce n'était qu'une question de temps avant qu'ils acceptent ses ordres. Il était le Chasseur Blanc, et ils étaient des chiens sauvages. Ils obéiront à ses commandes, il les protégerait contre les trop grandes menaces. Il lâcha son contrôle sur la fumée de leurs cigares.

Le pirate ne crut pas une seule seconde à son mensonge à en voir son grand sourire. Il ouvrit la marche pour le raccompagner à l'entrée, bien que Smoker ne puisse se perdre dans la maison abandonnée.

Il allait partir sans demander son reste quand une pointe métallique dans sa clavicule l'empêcha tout juste de sortir.

« Attends, j'ai quelque chose à te donner. »

Smoker se retourna et son aîné utilisa son crochet pour soulever un pan de sa veste et avoir accès à une poche intérieure. Il fouilla dans la poche de son pantalon avec sa main et y récupéra deux papiers qu'il déposa dans sa veste. D'un mouvement de la main, le sable qui s'était infiltré partout sur lui vola en direction d'une pièce, certainement le salon. Le pirate tapota doucement son habit blanc pour le remettre en place.

« Vivre Card et numéro d'Escargophone. Au cas où tu voudrais enfin me rejoindre. »

Le Marine grogna, comme si cela n'allait jamais arriver. Crocodile le laissa enfin partir, se retirant dans le vieux salon, le parquet grinçant d'un son presque sympathique.

« Tu aurais pu être un bon père dans un autre univers. » susurra Smoker dans un souffle silencieux.

Sur le porche, appuyé contre la rambarde, Daz Bonez l'observait d'un mauvais œil.

« Le Boss n'offre pas à n'importe qui une place à ses côtés. Encore moins le pouvoir de le retrouver. »

Smoker ne s'arrêta pas. Parler à Crocodile avait le pouvoir de drainer toute sa sociabilité.

« Le Boss s'est donné du mal pour te traquer. Tu l'as énervé et tu en es sorti vivant. Qui es-tu pour lui ? »

Smoker s'arrêta cette fois-là. Il ne le savait pas ? Le Paramécia devait bien avoir quelques idées, mais ne pouvait être sûr de rien. Pas que Smoker savait ce qu'il était pour Crocodile, sûr, l'homme le considérait encore comme son frère, et un potentiel informateur ou allié, mais sinon ? Le Marine n'avait pas conscience de ses réels sentiments, quels qu'ils soient. Un jour il voulait l'assassiner, l'autre jour il était amical et le lendemain encore il l'ignorerait. Une vraie girouette.

« Un Marine fou. »

Smoker se retourna et sourit. Il découvrit ses dents dans un rictus méchant, et laissa échapper un filet de fumée dans un rire sans bruit. Elle se déposa près de ses pieds. Diaz Bonez faillit bouger, comme s'il se retenait de faire un pas en arrière.

« Un Marine fou qui en sait trop. »

Puis il partit sans demander son reste. Que des apparences ; mais il avait appris du meilleur. Il laissa sa fumée le suivre ses pas comme une ombre menaçante.

Dès que Smoker rejoignit la rue principale, il laissa tomber ce masque que de longs enseignements avaient créé. Il était épuisé. Alors quand il rembarra Tashigi, il se promit d'aller s'excuser le lendemain. Pour l'instant, équilibrer ses cailloux les uns sur les autres était l'activité de ce soir. Il avait fait assez de social pour aujourd'hui.


Quand Smoker revit Monkey D. Luffy un an plus tard sur Punk Hasard, après toute la débâcle, il hésita un instant à lui révéler les identités du reste de sa famille. Le Marine s'en empêcha ; il avait beau être son oncle, ce n'était pas son histoire à raconter.

Peut-être. Mais il ne râlerait plus quand l'enfant l'appelait "Smokey". Peut-être.


Merci d'avoir lu ! :)

A été xpossed sur AO3, même pseudo qu'ici

En tant que personne aimant bien la dadodile theory, les derniers chapitres (1059 à 1062 le jour où je poste tout ça) m'ont poussé à publier cette fic au plus vite.

Ce petit Oneshot aurait dû faire partie d'une fanfic' beaucoup plus grande que j'écris (et que je vais certainement abandonner sans rien publier.). À ce moment-là, j'avais décidé de les rendre frères parce que ça me faisait bien rire et que leur père était un pirate blond.