Bonjour! Tout d'abord, ne me jetez pas des tomates! JE SAIS!

Ce n'est pas une suite, mais pire, ce n'est pas un des crossovers que j'avais prévu et pour cela, je m'excuses! Mais, voyez vous, j'ai découvert ce super podcast Dans l'ombre des légendes pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un podcast d'horreur et je l'écoute pendant mon travail et oui j'ai un travail qui me permet d'écouter des podcasts tout le long.

Enfin bref, cela fait deux jours que j'écoute ce podcast et là, j'ai eu des idées sombres, froides, un dark Harry est apparu dans mon esprit et m'a carrément menacé si je n'écrivais pas son histoire.

Et bien voilà, quand vous avez un sombre Harry dans votre esprit qui vous menace, c'est terrifiant, alors je devais céder!

Et j'ai pris beaucoup de plaisirs à le faire! XD Donc, j'espère que vous aimerez ce prologue qui montre les couleurs de ce qui est à venir. Et là, promit, je m'attaque à Mon Alpha et ensuite je termine complètement L'Appel de la Forêt.

Sur ce, bonne lecture mes petits loups, laissez-moi vos reviews, j'adore vous lire!

Et surtout, ne faites pas de cauchemars.

Dark Method


Nightmare Death's

Prologue

Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore, un vieil homme au nom ridiculement long, ne pouvait pas avoir plus tord cette nuit du premier novembre, alors qu'il déposait le jeune Harry Potter devant la porte des Dursley. Un vieil homme aveuglé par sa gloire passée, qui croyait au foutu plus grand bien et n'hésitait pas à sacrifier tout le monde sauf lui-même, bien sûre, le monde sorcier avait besoin de lui et de ses conseils. Jamais il n'aurait pu savoir que l'horcruxe qu'il avait laissé à l'intérieur du jeune Harry serait entièrement absorbé par la magie de celui-ci, ni que la magie de ce petit sorcier allait garder la capacité fourchelangue et toutes les connaissances de l'âme, puis détruire la dite âme. Il croyait fermement qu'il allait élever une arme parfaite et malléable dans ce foyer qu'il savait être anti-magie et qui n'hésiterait pas à battre l'enfant lorsque les premiers signes de magies accidentelles apparaîtraient.

Il n'aurait pas pu non plus prévoir que les premiers jours d'Harry Potter dans ce foyer serait déterminant pour l'avenir de l'élu. Albus n'aurait jamais pu deviner qu'à peine une semaine après cette nuit fatidique, la maison des Dursley passerait au feu, piégeant ses habitants à l'intérieur, les tuant tous, à l'exception du neveu qui serait retrouvé par les pompiers dans le cabanon à côté de la maison, le petit Harry pleurant dans le froid, mais qui cessa dès l'instant où le pompier le trouva. La découverte laissa planer des rumeurs dans le quartier durant des semaines suivant le drame, la principale était que les Dursleys maltraitaient leur neveu et le faisait dormir dans le dit cabanon qui, finalement, l'avait sauvé. Alors que le directeur croyait avoir prit les bonnes décisions pour ses projets, il découvrirait des années plus tard avec effroi, que ses décisions avaient créé un être plus sombre, plus dangereux, plus sadique, mais surtout plus brillant que Voldemort et qu'il avait à lui seul condamné le monde magique britannique à un avenir remplit de ténèbres.

8 ans plus tard

Harry regardait par la fenêtre de sa chambre les enfants jouer dans la cour de l'orphelinat. Beaucoup croyait qu'il n'avait aucun souvenir des premières années de sa vie, mais en réalité, il se rappelait de tout, du jour où ses parents étaient mort, du visage de celui qui les avait tué, au vieux fou qui le déposa chez cette famille horrible qui l'avait battu à peine deux jours après son arrivé. Il se rappelait avoir souhaité que sa soi-disant famille meure dans la douleur, la même qu'il ressentait alors qu'il était abandonné, enfermé dans le placard sous l'escalier. Puis la maison avait prit feu et son corps avait transplané dans le cabanon à sa demande. Vous vous demandez sûrement comment il pouvait savoir le terme de ce qu'il avait fait, mais aussi la vérité qu'il était un sorcier? Tout simplement grâce aux connaissances de l'âme que sa magie avait assimilé. Il était devenu un adulte dans le corps d'un bambin et il n'avait qu'une hâte, grandir pour atteindre sa pleine capacité.

Après les Dursley, il avait été envoyé dans un orphelinat. Il comprit rapidement que la loi du plus fort régnait sur les lieux. C'était chacun pour soi, tous les coups étaient permis. Si, pendant les quatre années suivantes, il avait été laissé tranquille, ce fut parce qu'il était trop jeune, mais dès qu'il entra dans ses cinq ans, les plus grands avaient décidés qu'il était maintenant une cible qu'ils pouvaient martyriser. Oh comme ils avaient eu tord. Ils avaient appris durement et avec souffrance, qu'il ne pouvait pas être approché sous peine de représailles. Les deux plus vieux, âgés respectivement de 12 et 14 ans, en avaient payé le prix avec leurs vies. Le gamin de 14 ans avait été retrouvé pendu dans le sous-sol, mais le plus horrible, était les orbites sombres et ensanglantées là où était supposé se trouver ses yeux. Celui de 12 ans passa à travers la fenêtre du deuxième étage et se retrouva embroché dans l'arbre plus bas, l'épaisse branche traversant sa poitrine de part en part.

Les gardiens n'avaient aucune preuve contre le jeune Harry, mais tous savaient qu'il était le coupable. C'était un enfant bizarre, il était froid, distant, sérieux et d'une intelligence terrifiante. Depuis ces jours sombres, plus aucun enfant ne l'approcha, il fut laissé seul par tous, jusqu'au jour où un nouveau gardien, aux tendances pédophiles, avait jeté son dévolu sur lui et voulait le goûter. Autant dire qu'il n'y arriva jamais, non seulement il n'approcha jamais Harry, mais il devint fou et fut retrouvé la gorge tranchée dans son appartement merdique à Londres, il s'était lui-même tué, un sourire fou imprégnant ses lèvres dans l'éternité. Tous les habitants de l'orphelinat était terrifié par lui et plus jamais il ne fut dérangé, pas même lorsqu'il revint un jour d'une promenade avec un serpent installé sur ses épaules. L'horreur peigna les traits des gardiens lorsqu'ils réalisèrent qu'il avait ramené un mamba noir, mais aucun ne tenta de lui interdire de le garder, de peur d'être la prochaine victime de cet enfant qui n'était rien d'autre que l'Antéchrist à leurs yeux.

Un sourire apparut sur les lèvres d'Harry lorsque l'un des adolescents s'éloigna des autres, le regard vitreux, alors qu'il se dirigeait vers le bois qui se trouvait à l'arrière de l'orphelinat. Ce gamin avait osé manger sa part de nourriture ce matin, croyant que, parce qu'il était le plus vieux du groupe, il avait droit de prendre sa part, simplement parce qu'Harry était arrivé cinq minutes en retard pour manger. Bien sûre, il était nouveau à l'orphelinat, à peine arrivé il y a quelques jours, âgé de 15 ans. Il ne connaissait pas les règles établis, les règles d'Harry. Il était ignorant du fait qu'Harry était celui qui décidait de ce qui ce passait dans cet endroit. Il aurait pu être miséricordieux et juste le punir pour lui apprendre la leçon, comme il l'avait fait avec les autres. Mais le problème, était qu'Harry n'était pas miséricordieux, il était froid et calculateur et il voyait l'adolescent comme un futur problème qu'il devait étouffer dans l'œuf. Il caressa la tête de son précieux serpent, il avait bien berné tous les autres en leur faisant croire, avec une illusion, qu'il avait ramené un mamba noir et non un bébé basilic qui pouvait changer à volonté de taille. À présent, sa taille réelle, était de 4 mètres et d'une circonférence de soixante centimètre. Et il avait faim.

«Ton repas est prêt Thanatos, tu peux aller le déguster.» siffla Harry en fourchelangue alors que le serpent frottait sa tête contre la joue de son maître, le seul sorcier à qui il avait voulu se lier.

«Merci maître je sais que je vais me régaler.» siffla en retour Thanatos avant de quitter les épaules de son maître et quitter la chambre pour aller dans la forêt. Normalement, il mangerait un animal, souvent un cerf ou même un sanglier lorsqu'il en avait la chance, mais il préférait les humains, ils étaient tellement plus savoureux.

Avec les souvenirs de l'âme, il avait pu recoller un peu les morceaux de son passé avant la mort de ses parents. Ce qu'il avait comprit, était que ses parents avaient été assez stupides pour mettre leurs vies entre les mains d'un vieux fou qui était connu pour sacrifier ses pions si s'était nécessaire et avaient cru à son beau discours du plus grand bien. Harry trouvait cela risible, il n'était pas mécontent de la mort de ses parents, s'ils avaient vécus, il aurait été élevé par des idiots. Il aurait été un gamin égocentrique, bavard et inutile sans une once d'intelligence, avec une passion pour le Quidditch et être un gryffondor. La simple pensée de cela lui causait des frissons de dégoûts. Non, il ne serait jamais comme ses autres parasites sans ambition et plus important encore, il ne commettrait pas les mêmes erreurs de son prédécesseur. Il devrait perfectionner son masque en dehors de la maison où il allait être répartie, celui d'un enfant comme les autres, tout en innocence et facilement manipulable. Il avait encore deux ans pour y travailler et berner cette vieille chouette.

2 ans plus tard, 1 août

Albus Dumbledore planifiait l'année à venir, l'année où Harry Potter ferait son grand retour dans le monde sorcier, après avoir vécu la misère dans sa famille moldue. Il serait émerveillé et accorderait sa confiance à quiconque lui donnerait une attention avec gentillesse. Il enverrait d'abord Hagrid pour lui apprendre ses origines et l'emmené acheter ses fournitures. Ensuite, il devait s'assurer que la famille Weasley serait là au moment où le gamin chercherait le quai 9 ¾. Pour pouvoir le guider vers le bon genre de personne pour le terrifier à l'idée d'entrer dans la maison Serpentard, croire que tous les sorciers noirs venaient de cette maison et ainsi, le jeune Harry irait à Gryffondor comme ses parents avant lui. Après tout, c'était tout ce que le monde sorcier attendait de leur héros. Mais lorsque Minerva débarqua avec panique dans son bureau, il sut que les choses n'iraient pas aussi bien.

«Albus, je viens de recevoir la liste des étudiants de cette année et l'endroit où ils vivent. Regardez!» s'exclama Minerva paniquée après qu'elle vit la liste. Le directeur la prit se demandant ce qui pouvait l'inquiéter, jusqu'à ce que ses yeux tombent sur un nom particulier. Son visage blanchit à la lecture.

Harry Potter
Orphelinat Wool
Chambre numéro 13, deuxième étage

Cela ne pouvait pas! Non, il hallucinait, ce n'étais pas possible. Mais il avait beau se pincer pour se réveiller de ce cauchemar, rien n'y faisait, la terrible vérité restait la même. Harry Potter vivait dans le même orphelinat qui avait accueillit bien des années avant le petit Thomas Riddle alias Voldemort. Et pas seulement, il dormait dans la même chambre qu'avait eut le seigneur des ténèbres. Rien n'allait comme il l'avait prévu. Il savait que cet orphelinat était le pire d'entre tous, il avait après tout forgé le mage noir qui avait terrifié la Grande-Bretagne magique. Il espérait que la même chose n'était pas arrivée au jeune Harry. Le vieux glucosé au citron prit une grande respiration avant de regarder son adjointe.

«Nous allons y aller tous les deux pour le rencontrer avec sa lettre et lui expliquer. Espérons que l'orphelinat est changé depuis l'époque de Voldemort et qu'il est comme ses parents.» dit le directeur.

«J'espère que vous avez raison Albus, je vous avais dis de ne pas le laisser chez ses gens, ils l'ont sûrement envoyé à l'orphelinat dès qu'ils l'ont découvert à leur porte.» s'exclama Minerva alors qu'elle reprochait à son mentor les résultats. Elle l'avait prévenu, lui avait dit de ne pas le faire, mais l'avait-il écouté? Nonnnnnn!

«Je sais ma chère, mais à l'époque, c'était le seul endroit où il était parfaitement en sécurité et j'aurai des mots avec eux une fois que nous aurons été le voir. Les protections de sang sont sa seule chance de sécurité. Ils restent toujours des mangemorts qui voudront sa mort pour avoir tué leur maître. Je vais devoir les convaincre de le prendre avec eux pour les prochains étés jusqu'à ses dix-sept ans.» ajouta le vieil homme sous le regard courroucé de son adjointe qui ne pouvait pas croire ce que son mentor disait. Mais elle ne pu rien ajouté lorsqu'il empoigna sa main et les transplana non loin de l'orphelinat en question.

En voyant une fois de plus ce bâtiment, qui n'avait pas changé depuis la dernière fois qu'il y avait mit les pieds, du plomb tomba dans son estomac face à l'appréhension de ce qui l'attendait. Aurait-il droit à un Riddle junior? À un enfant terrorisé? Il ne savait pas. Tous ses plans, qu'il avait mit des années à planifier pour le jeune garçon, chaque épreuve qu'il avait prévu, dont la pierre philosophale cette année, pour qu'il y ait un affrontement entre Voldemort et le jeune Harry, comme il se le devait. Tout cela dépendait de cette rencontre avec le garçon et ce qu'il était devenu dans cet endroit. Ils entrèrent et cherchèrent les responsables des lieux, ils trouvèrent une femme aux allures sévères, avec un trousseau de clés à la taille. Ce devait être elle. Ils s'approchèrent de la femme.

«Pardonnez-moi madame, je me présente, mon nom est Albus Dumbledore et voici ma collègue Minerva McGonagall, nous venons d'une école pour les enfants surdoués et le jeune Harry Potter y a été inscrit par ses parents depuis sa naissance, nous sommes ici pour discuter avec lui de l'année à venir. Pourriez-vous nous conduire à lui?» demanda le directeur en espérant avoir des indices de la part de la femme sur la personnalité du jeune garçon.

«Oh comme c'est merveilleux! Je ne suis pas étonnée, c'est un garçon si brillant et tellement gentil. Il n'hésite pas à nous aider et à aider les plus jeunes ici lorsqu'ils arrivent à l'orphelinat. C'est un bon garçon qui a eu de terribles tuteurs. Une horrible histoire que celle-là! Le pauvre a été retrouvé enfermé dans le cabanon de ses tuteurs, battus et affamés, à peine âgés d'un an. Mais cet abus à été bon à la fin, car cela lui a sauvé à la vie quand un feu s'est déclaré dans la maison et a tué sa famille du même coup. Les pompiers ont dis que c'était à cause du panneau électrique qui avait sauté. J'ai trouvé si triste que personne ne veuille l'adopter, si j'avais pu, je l'aurais fait moi-même. Je vais vous amener à lui, il doit être dans sa chambre, entrain de lire.» s'exclama la gouvernante avec entrain alors qu'elle les entraînait vers le garçon. La nouvelle glaça le sang du directeur, les Dursley étaient morts, peu de temps après qu'il l'eut déposé chez eux semblait-il. Bon sang, le jeune Harry n'avait pas vécu l'horrible enfance qu'il avait prévu pour lui, il n'allait sûrement pas être aussi manipulable que prévu. Lorsqu'ils arrivèrent devant la porte, la gouvernante cogna à la porte.

«Harry, chéri? Il y a des gens qui veulent te voir, ils viennent d'une école pour surdoués à laquelle tu es inscrit.» dit la femme alors qu'elle ouvrait la porte et donna la vue sur un petit garçon bien habillé, sans lunette, des cheveux noirs en batailles, ses yeux vert émeraudes brillants comme des pierres précieuses avec un regard doux et innocent. Le jeune garçon regarda la gouvernante pour avoir la sécurité qu'ils étaient de bonnes personnes, une certaine inquiétude et timidité qui traversaient ses traits.

«Bonjour, je m'appelle Harry Potter, comment puis-je être inscrit dans votre école?» demanda le petit garçon avec innocence après le départ de la femme.

«Parce que tu es inscrit depuis ta naissance. Vois-tu Harry, tu n'es pas comme les autres enfants. As-tu remarqué des choses étranges qui se passaient depuis ton enfance?» demanda avec douceur Minerva qui était rassuré de voir qu'il n'avait pas été maltraité ici ou qu'il était malheureux. Il était aussi doux et gentil que ses parents l'étaient à son âge.

«Pas vraiment, oh, attendez, une fois, la cravate de Mr. Redfield a soudainement changé de couleur pour passer de verte olive à orange avec des pois violets! Bizarre comme ça?» demanda Harry avec joie et un sourire brillant, se souvenant sûrement de ce moment particulier, ce qui fit rire les deux adultes.

«Oui, comme ça. En faite Harry, tes parents étaient des sorciers et tu en ais un aussi. Tu as été inscrit à Poudlard depuis ta naissance quand la magie du château a reconnu que tu avais assez de magie en toi pour pouvoir y étudier. Voici la lettre que nous donnons à tous les premières années.» dit Dumbledore qui souffla de soulagement dans sa tête en ne voyant pas une copie conforme de Tom Riddle. Harry prit la lettre avec un enthousiasme enfantin et l'ouvrit rapidement pour la lire.

COLLÈGE DE POUDLARD, ÉCOLE DE SORCELLERIE
Directeur : Albus Dumbledore
Commandeur du Grand-Ordre de Merlin
Docteur ès Sorcellerie, Enchanteur-en-chef, Manitou suprême de la Confédération internationale des Mages et Sorciers
Cher Mr Potter,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1
er septembre, nous attendrons votre hibou le 13 août au plus tard.
Veuillez croire, cher Mr Potter, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall
Directrice-adjointe

COLLÈGE DE POUDLARD - ÉCOLE DE SORCELLERIE
Uniforme
Liste des vêtements dont les élèves de première année devront obligatoirement être équipés :
1) Trois robes de travail (noires), modèle normal
2) Un chapeau pointu (noir)
3) Une paire de gants protecteurs (en cuir de dragon ou autre matière semblable)
4) Une cape d'hiver (noire avec attaches d'argent)
Chaque vêtement devra porter une étiquette indiquant le nom de l'élève.

Livres et manuels
Chaque élève devra se procurer un exemplaire des ouvrages suivants :
Le Livre des sorts et enchantements (niveau 1), de Miranda Fauconnette
Histoire de la magie, de Bathilda Tourdesac
Magie théorique, de Adalbert Lasornette
Manuel de métamorphose à l'usage des débutants, de Emeric G. Changé
Mille herbes et champignons magiques, de Phyllida Augirolle
Potions magiques, de Arsenius Beaulitron
Vie et habitat des animaux fantastiques, de Norbert Dragonneau
Forces obscures : comment s'en protéger, de Quentin Jentremble.

Fournitures
1 baguette magique
1 chaudron (modèle standard en étain, taille 2)
1 boîte de fioles en verre ou cristal
1 télescope
1 balance en cuivre
Les élèves peuvent également emporter un hibou OU un chat OU un crapaud.

IL EST RAPPELÉ AUX PARENTS QUE LES ÉLÈVES DE PREMIÈRE ANNÉE NE SONT PAS AUTORISÉS À POSSÉDER LEUR PROPRE BALAI.

Harry fit un grand sourire enjoué après sa lecture, regardant les deux adultes comme s'il voulait s'assurer que ce n'était pas une mauvaise blague.

«Alors, je suis vraiment un sorcier et je vais apprendre la magie?» demanda impatiemment le jeune garçon qui provoqua un sourire plus grand à la directrice adjointe.

«Oui et je viendrai avec toi pour acheter tes fournitures d'école demain si cela te va. Je dois accompagnée une jeune fille de ton âge qui commence en septembre comme toi, mais elle est ce qu'on appelle une née-moldue, donc, comme toi, elle n'a aucune connaissance du monde magique. La différence est que tes parents étaient tous les deux des sorciers et que les siens sont deux moldus, des personnes sans magie.» expliqua la femme qui retrouvait le même enthousiasme qu'avait le jeune James Potter à son âge.

«C'est d'accord pour demain, j'ai hâte! Je crois que j'aurai un chat, non un hibou, mais un chat serait bien aussi.» s'enthousiasma le garçon qui marmonna les derniers mots indécis.

«Tu pourras choisir demain en allant à la ménagerie magique, parfois c'est l'animal qui nous choisi.» dit Albus de façon cryptique. Il était complètement rassuré, il avait regardé dans l'esprit du jeune garçon et il n'avait vu que des souvenirs heureux ici et des pensées enfantins comme tout enfant de son âge aurait. Tout allait bien, il pourrait encore le manipuler à sa guise.

«Nous devons partir maintenant, mais je viendrai te chercher demain à 9h50, d'accord? Assures-toi d'être prêt à partir car nous devons rejoindre les Granger à 10h00 pour aller au chemin de traverse.» dit McGonagall.

«Oui, je serai prêt, je vous le promets!» s'exclama le garçon avec un grand sourire. Les deux adultes quittèrent les lieux, le cœur en paix et transplanèrent à l'école pour parler de leur rencontre avec le jeune Potter. Dès qu'ils disparurent de la vue du garçon qui leur faisait de grands signes avec son bras d'au revoir. Un sourire narquois apparut sur ses lèvres et son regard enfantin devint froid.

«Tu as bien joué ton rôle Martha, aucun gamin n'aura à mourir aujourd'hui. Continue ton rôle à chaque fois que cela est nécessaire et tu garderas tout le monde ici en sécurité, failli à ta tâche et à chaque erreur, quelqu'un mourra.» dit froidement le garçon qui plongea son regard de la couleur du sort mortel dans celui de la gouvernante qui tremblait de peur.

«Ou…ou…oui Mr. Potter.» bégaya la femme transit de terreur en sentant l'aura froid qui l'enveloppait. Elle s'enfuit rapidement lorsqu'il lui fit signe de partir.

Harry porta à nouveau un regarda vers la fenêtre, un sourire ornant ses lèvres à la pensée du vieux fou qui fouillait ses faux souvenirs qu'il lui projetait, ainsi que les fausses pensées. Il l'avait berné si bien, l'endormant dans ses inquiétudes. Harry avait profité de la connexion temporaire entre eux, forcé par le directeur, pour fouiller tous les souvenirs de celui-ci et découvrir ce qu'il avait prévu pour lui, mais aussi ce qui avait pu pousser ses parents à faire confiance au vieil homme. Une prophétie entre lui et Voldemort? C'était risible, il était bien pire que ce mage noir du dimanche, il avait déjà plusieurs pas d'avances sur lui et sur le directeur. Maintenant qu'il connaissait tous les projets du directeur, il pourrait les déjouer finement les uns après les autres.

Et Voldemort ne serait bientôt plus que de l'histoire ancienne, puisqu'il savait déjà pour les horcruxes, grâce aux souvenirs de celui qui fut autrefois dans sa tête, mais fût détruite par sa magie. Il avait déjà, avec l'aide de son basilic, détruit celui existant dans Little Hangleton, la bague qui était en faite la pierre de résurrection du conte des trois frères. Harry regarda la bague à son doigt qu'il avait caché sous une illusion. Même lorsque Thanatos avait fait coulé du venin sur la pierre et qu'elle avait fissuré à la destruction de l'horcruxe, elle s'était réparée aussi rapidement, intacte et brillante comme jamais. Il était maintenant son maître, la cape était en possession des mains sales du directeur qui avait osé la sortir du coffre principal des Potter, au nez des gobelins, mais il allait récupérer son bien, il lui appartenait et ainsi il aurait une deuxième relique en sa possession. Il ne lui manquerait que la baguette de Sureau, qui était aussi en possession de Dumbledore. Harry ricana avec quelle facilité les reliques étaient à sa portée de main.

«Que les jeux commencent.» dit Harry dans la nuit alors que Thanatos reprenait sa place sur l'épaule de son maître, sifflant de bonheur lorsque celui-ci lui caressa la tête avec tendresse.


Oufff! Il me donne des frissons ce Harry! J'ai tellement hâte de voir ce qu'il va me murmurer ensuite d'écrire... moi Schizophrène? Pas aux dernières nouvelles... Je crois?