Moi : Bien le bonjour à tous !
Chris : Oh, Fairy ! Ca fait une paye ! *tend le poing pour la check*
Moi : *check Chris* En effet ! Très contente de vous retrouver, surtout pour ce projet qui me tient très à cœur n_n
Kyoya : Même si tu l'as déjà recommencé deux fois.
Moi : Ton cynisme m'avait aussi manquée, Kyoya ! Certes, mais cette fois-ci j'ai préparé tout un plan, je suis certaine d'aller jusqu'au bout ~
Kyoya : Et merde...
Chris : Alors, cette fic ? Dis-nous tout !
Moi : En effet, c'est l'heure des explications de début de fic ! J'ai quelques points importants à traiter, donc même si ça peut être un peu long, je vous demanderai de bien lire avant de passer au prologue ^^
Ryuga : Tu parles trop, Fairy.
Moi : M'en branle ! Déjà, point numéro 1 ! Comme indiqué dans le résumé, cette histoire se passe sept ans après Némésis, plus précisément APRES Shogun Steel ! Tout le bazar avec Doji et la DNA est déjà passé donc.
Ryuga : Donc on va voir Zyro, Sakyo et compagnie ?
Moi : Tout à fait ! Même si la fic restera davantage concentrée sur les bladeurs légendaires, ceux de la nouvelle génération auront un rôle important à jouer aussi. Donc je recommande fortement d'avoir vu Shogun Steel pour lire cette fic, même si ça doit être le cas de tout le monde x)
Kyoya : Et tu nous expliques le Rated ?! Comme si on était pas déjà assez servis avec Wonderinn et Komachu et leurs foutus lemons...
Moi : J'y viens, j'y viens ! C'est mon point numéro 2. Cette fic va traiter de sujet qui peuvent être difficiles pour certaines personnes. Je ne préciserai pas lesquels pour pas spoiler, mais certains moments pourraient être durs à lire. Ne vous en faites pas, je mettrai un trigger warning dans mes notes quand le chapitre contiendra des scènes de ce genre !
Chris : C'est donc pour ça le rated ?
Moi : Oui ! Pour le sexe, je ne sais pas s'il y en aura ou pas, c'est l'un des rares éléments où j'irai totalement au feeling n_n
Kyoya : Ouf... Et c'est tout ?
Moi : Juste un dernier point ! Je tiens juste à remercier mes amies Wonderinn et Komachu, qui m'ont aidée à préparer quelques détails de cette fic, même si elles ne connaissent que le plot principal. Merci à vous les filles, je vous aime :3
Ryuga : T'es niaise.
Moi : M'en branle, j'ai dit ! BREF, sur ce, j'ai fini ! Je ne possède pas Métal Fight Beyblade, et je vous souhaite une bonne lecture de ce prologue n_n
Ce soir-là, le ciel était dégagé de tout nuage, et pourtant les étoiles ne brillaient pas. Peu importait où il se trouvait, il ne pouvait les apercevoir. N'importe qui d'autre aurait été surpris, voire inquiet, d'un phénomène si particulier. Lui le vit comme un présage positif : sa mission allait enfin réussir.
Sept ans. Il avait mis sept ans à retrouver ses pouvoirs. Si ces maudits bladeurs légendaires pensaient avoir provoqué sa mort lors de la chute du Royaume Perdu du Roi Hadès, ils se trompaient si lourdement qu'il en rirait avec plaisir, s'il en possédait encore la force. Ses capacités extraordinaires le maintenaient en vie au prix d'une faiblesse de corps qui lui donnait envie de hurler. Impossible de consulter le moindre homme de médecine : son identité ne lui permettait guère un tel luxe. Il allait devoir attendre que Lucina le soigne.
Pluto laissa échapper un gémissement de douleur quand il gravit la dernière marche de l'escalier. Ses muscles lui faisaient si mal que le moindre mouvement lui donnait l'impression qu'une épée à double tranchant s'enfonçait dans sa chair. Sans compter sa peau couverte de cicatrices, faute de pouvoir les traiter, sa tête si douloureuse qu'il pouvait s'évanouir à tout instant, ou encore ses jambes lourdes qui peinaient à soutenir son propre poids. Il ne devait qu'à son sang divin d'avoir pu survivre à de telles blessures : s'il n'avait pas été le descendant d'Hadès, il n'aurait bel et bien pas survécu à l'effondrement du Royaume Perdu.
Quoique, bien qu'il ne l'admettrait jamais à voix haute, il avait eu une chance démentielle. Une chance que son maître n'avait pas eu.
S'il avait survécu, Rago, lui, mourut bel et bien lors de ce combat funeste. La barrière de Zeus avait affecté la nature profonde de ses pouvoirs ; ceux contenus dans sa toupie l'avaient submergé si violemment qu'il n'y avait pas résisté. S'il avait été humain, ou bien simple descendant d'une lignée divine comme Pluto, il serait toujours en vie, lui aussi.
Pluto jura tout bas.
– Ils nous le paieront.
Cette promesse, prononcée pour lui-même, lui donna la force de se dresser face au temple en ruines en face de lui. Au bout de sept ans, il avait recouvré l'énergie nécessaire pour localiser le sceau qui retenait Destra, enfermée dans un coin reculé de l'Inde. S'il concentrait assez de pouvoir sur l'enchantement divin, peut-être qu'il serait capable de le briser.
Ses pas se firent vengeur tandis qu'il pénétrait en ce lieu. Sans prendre garde aux décorations anciennes abîmées par le temps, Pluto poursuivit son chemin, mû par une sensation furieuse en lui qui grandissait au fur et à mesure qu'il s'approchait de sa source.
Depuis le temps, les bladeurs légendaires s'imaginaient avoir gagné, il l'aurait juré. Ils pensaient que tuer Rago et sceller Némésis avait suffi. Parce qu'il fut le premier ange noir à être libéré. Parce qu'il avait voulu préparer le terrain pour les desseins qu'il partageait avec son frère et sa sœur avant de les défaire de leurs chaînes. Eh bien, ils se trompaient. Comment pourraient-ils savoir que la partie était loin d'être terminée ?
Les cordes vocales de Pluto émirent un rire moqueur. Ce qu'il avait hâte. Une haine féroce hurlait dans ses entrailles, une colère démentielle qui appelait à la vengeance. Ils l'avaient humilié. Ils avaient tué son maître. Ils avaient brisé leurs aspirations, parce qu'ils jugeaient que les leurs les surpassaient, car ils étaient les « gentils ». De stupides gentils qui ne comprenaient pas que pour reconstruire un monde, il fallait d'abord détruire celui qui existait.
Le serment de voir leurs visages désespérés contempler le futur que son camp allait créer lui avait permis d'attendre sept longues années. A présent, son heure allait à nouveau sonner, tout comme le glas du destin, une épée de Damoclès au dessus de leurs têtes. Et le meilleur dans tout cela, c'était qu'ils ne pourraient absolument rien voir venir.
Pluto s'aventura au milieu des décombres de longues minutes, son état physique l'empêchait d'accélérer la cadence comme il le souhaiterait. Le descendant d'Hadès prit son mal en patience, et cette qualité fut récompensée quand il se retrouva devant ce qu'il cherchait.
Le sceau qui la retenait.
Pour un œil ordinaire, il ne faisait face qu'à une porte classique. Les plus vifs d'esprit remarqueraient l'étrangeté de trouver une telle paroi de métal au milieu d'un ancien temple, sans capter l'énergie qui en émanait. Pluto, lui, jubilait. Il n'avait même pas besoin de malaxer ses pouvoirs pour sentir ceux qui attendaient leur heure derrière ce sceau. Inutile de perdre davantage de temps. Le descendant d'Hadès joignit les mains et se concentra. Ses jambes tremblaient sous l'effort ; l'adrénaline d'enfin parvenir à son objectif neutralisa cependant toute douleur qui l'empêcherait de la libérer. Très vite, un halo d'énergie violette entoura ses yeux, un halo qui lui permit de voir celui qui se dégageait du métal. La marque de Zeus, un éclair stylisé et illuminé d'une aura céruléenne, se détachait sur la barrière. Pluto remarqua aussitôt les irrégularités du dessin, les petites fêlures qui le zébraient, et un immense sourire carnassier étira ses lèvres. Sa théorie était correcte : la proximité de ce temple avec le Royaume Perdu du Roi Hadès avait bel et bien fragilisé le sceau, à cause de l'énergie de Némésis déployée avant sa mort. La prison de Lance était trop loin pour que cette chance la frappe également, mais celle-ci suffisait amplement pour relancer leurs plans.
Pluto inspira profondément et son esprit se ferma au monde qui l'entourait. Bientôt, il ne percevait plus que le pouvoir dégoûtant de Zeus qui bloquait la sortie. Lorsqu'il fut certain que ses propres capacités étaient assez catalysées pour y parvenir, il passa à l'action. Son énergie agrippa celle du Roi des Dieux et tira d'un coup sec en sa direction. Il recommença à plusieurs reprises, jusqu'à sentir que le sceau cédait peu à peu. De la sueur perlant sur son front, Pluto y mit davantage de puissance, et bientôt tout explosa, le faisant tomber à la renverse.
Il retint de justesse un cri de douleur face à la protestation hurlante de ses muscles soumis à cette maltraitance. Il se redressa le plus vite possible, sans prêter attention à son corps à l'agonie. Dépenser une telle quantité de pouvoir l'avait plongé dans un état plus pathétique encore, mais à l'heure actuelle, Pluto s'en moquait. Son regard demeurait fixé sur la porte à présent ouverte.
L'aura le frappa de plein fouet au visage ; une aura qu'il reconnaissait et qui l'emplit d'une fierté incommensurable. Il avait réussi.
– Enfin libre !
Des bruits de talons qu'il identifierait entre mille se firent entendre et se rapprochaient. Le descendant d'Hadès voulut se relever, mais ses jambes ne le lui permirent pas. Il était cependant trop heureux pour se préoccuper d'apparaître dans un tel état devant elle.
Enfin, sa silhouette se dessina tandis qu'elle sortait de sa cage. Une émotion étrange envahit le serviteur en apercevant des traits aussi familiers, quelque chose qui ressemblait à de la nostalgie… douloureuse. Il choisit cependant de repousser cette sensation inappropriée et leva la tête vers elle. Son sourire étincelait, hurlait « Victoire ! » sans qu'elle ait besoin d'articuler le moindre mot. Ses cheveux plus sombres qu'une nuit sans lumière s'arrêtaient au dessus de sa nuque et contrastait avec sa peau d'une pâleur extrême. Elle se pencha pour épousseter les plis de sa robe noire, dont la jupe à plusieurs rubans écarlates s'arrêtait au dessus des genoux pour laisser pâle à un collant transparent, mais teinté de la même couleur abyssale. Le bruit de talons venait de ses bottes à lacets, qui se plaisaient à claquer contre le sol.
Pluto ne s'était jamais vraiment habitué à cette apparence gothique si différence de celle, plus traditionnelle, de son maître. Même s'ils étaient frère et sœur, les deux divinités partageaient des goûts vestimentaires très différents.
Elle posa son regard rouge sang vers lui, et aussitôt son sourire se fit en coin.
– Oh, Pluto ! C'est donc toi qui m'as libérée. Je ne pensais pas que tu en serais capable tout seul.
Elle parut soudain remarquer l'état dans lequel il se trouvait, car elle secoua la tête.
– Tu es dans un état bien pitoyable, mon jeune ami. Lucina ! apostropha t-elle en se retournant vers sa prison.
Aussitôt, une jeune femme apparut à son tour. Pluto reconnut aussitôt ces longues boucles rousses, ces yeux aussi violets que ses propres cheveux, et cette courte blouse ouverte sur une combinaison noire.
– Oui, Dame Destra ? fit la nouvelle venue en inclinant la tête.
– Je pense que Pluto aurait besoin de tes talents.
Lucina écarquilla les yeux en apercevant le concerné. Ni une, ni deux, elle s'agenouillait près de lui et une aura violette illuminait ses mains.
– Nom de Zeus, comment tu t'es retrouvé dans un tel état ? Désolée si mon traitement pique un peu, tes muscles sont salement amochés, mon pauvre !
Même s'il n'appréciait guère d'être appelé « mon pauvre », Pluto ne protesta pas. Une douce chaleur envahissait bientôt ses membres et soulagea aussitôt sa douleur atroce. Le picotement dont la nymphe parlait ne valait rien face au bien-être qui l'envahit. Il s'autorisa un léger soupir de reconnaissance.
– Ne jure pas ainsi, je te prie, la réprimanda Destra en fronçant les sourcils.
– Oh ! Pardonnez-moi, maîtresse, fit la soigneuse en se rendant compte de ce qu'elle venait de dire. Je ne recommencerai plus.
Destra balaya l'air, comme si cette promesse n'avait aucune importance. Son attention se focalisa à nouveau sur Pluto.
– Vous en avez mis, du temps ! Ca doit faire plusieurs siècles, voire des millénaires, que je suis enfermée là-dedans. Et ne t'en déplaise, Lucina, mais ta seule compagnie ne suffit pas à tuer tout ce temps.
– J'en suis bien désolée, répondit l'interpellée sans cesser ses soins.
– N'en parlons plus, je suis libre à présent, c'est tout ce qui compte ! Dis-moi Pluto, tu es venu seul ? Où est Rago ?
Le descendant d'Hadès sentit sa mâchoire se crisper. Voilà le moment qu'il redoutait. Il fallait qu'il lui apprenne la vérité ; il priait juste pour que la colère de la déesse ne soit pas dirigée contre lui. Sinon, tous les soins de Lucina ne pourraient l'empêcher de finir en morceaux.
– Je suis désolé, Dame Destra. Votre frère… n'est plus de ce monde.
Destra ne réagit pas tout de suite. Pendant un instant qui lui en parut mille, elle se contenta de fixer Pluto d'un regard parfaitement neutre. Cependant, quand sa voix s'éleva à nouveau, elle n'avait rien de monotone : la sourde colère qui s'entendait fit frissonner le serviteur.
– Mon frère… est mort ?
Il préféra répondre par un silence. Il craignait que la phrase de trop soit prononcée et ne signe sa fin. La déesse ferma les yeux et leva la tête vers le plafond, dans un silence parfait. Ses ongles s'enfoncèrent dans ses paumes quand elle sera les poings, si fort que les muscles de ses bras se contractèrent de manière visible malgré les manches longues qui les couvraient.
– C'est de la faute des bladeurs légendaires ?
– Oui, Dame Destra.
Il choisit de se contenter de répondre à ses questions ; ainsi, il éviterait probablement la charpie…
– Comment ça se fait ? Je croyais que la Barrière de Zeus ne faisait que sceller nos pouvoirs ?
– Ils ont essayé de s'en servir, Dame Destra. Mais un éclat de Darkhelm a ébréché la barrière et lui a permis de s'en échapper. Cependant…
Pluto déglutit : la déesse n'allait pas apprécier la suite.
– Quand maître Rago s'est à nouveau dressé face à eux, le bladeur légendaire de l'automne a reçu les pouvoirs de tous les bladeurs du monde. Il l'a alors vaincu, il y a sept ans de cela. J'y serais également passé, si j'avais été aussi lié aux pouvoirs de Némésis que maître Rago.
Se sentant le besoin de justifier, il s'empressa d'ajouter :
– J'ai attendu tout ce temps pour vous libérer car je devais attendre que mes pouvoirs reviennent. Comme vous le voyez, j'ai été blessé lors du combat, ça a donc pris du temps. Je vous présente toutes mes excuses.
Il ne se souvenait pas d'avoir un jour parlé ainsi à son propre maître ; pour cause, il n'avait jamais eu à le faire. En termes de puissance, Rago dépassait son frère et sa sœur, mais ces derniers se présentaient par d'autres caractéristiques. Ladite sœur, elle, possédait en elle une capacité à la colère si violente que tous la craignait, y compris les autres dieux. Quand Destra s'abandonnait à cette émotion, elle devenait capable d'absolument tout détruire sur son passage. Le sang sur ses mains en témoignait. Comparé au calme parfois effrayant que Rago conservait en toutes circonstances, Pluto ne savait sur quel pied danser face à un caractère aussi différent.
– Je vois.
Pluto sentait son énergie brûler autour d'elle telle le plus puissant des brasiers. Pourtant, à son plus grand soulagement, elle la retint et ne s'en servit pas contre lui.
– Au moins, ces imbéciles ont employé la barrière de Zeus. Dommage pour eux qu'elle ne soit utilisable que tous les mille ans. Je suis sûre qu'ils ne le savent même pas.
Sa voix transpirait tant le mépris qu'à côté, Pluto avait l'impression d'être sympathique à leur égard.
– Les mecs que t'avais engagés, reprit-elle. Ils sont devenus quoi ?
– Tous trois ont péri dans la chute du Royaume Perdu. J'avais recruté un autre serviteur, un humain, mais il a disparu depuis la chute de maître Rago. Je sais juste qu'il n'est pas mort.
Ses pouvoirs lui permettaient de sentir ces choses-là. Johannes avait préféré disparaître dans la nature plutôt qu'accomplir sa mission jusqu'au bout. Comment avait-il pu accorder sa confiance à un humain ? Ce n'était qu'une espèce d'incapables.
– Eh bien, on devra arranger ça, répondit Destra. S'il a été à ton service, il connaît certains de nos secrets. Dès que tu seras remis, je veux que tu le retrouves et que tu le tues. Compris ?
Pluto hocha la tête. Il n'aimait pas obéir à quelqu'un d'autre que son vrai maître, mais en attendant…
– Lucina, concentre-toi sur les soins de Pluto pour le moment. Quand il sera guéri, je veux que tu ailles affronter les bladeurs légendaires pour t'assurer de leur puissance. Nous aviserons ensuite. Ah, et renseigne-toi sur leurs proches. Ca nous sera utile.
– Entendu, maîtresse.
La nymphe tendit la main vers Pluto, qui s'en saisit, bon gré mal gré. Elle le laissa prendre appui sur elle, son énergie médicale déversée en continu dans son corps.
– Que comptez-vous faire, Dame Destra ? s'enquit-elle.
– N'est-ce pas évident ? ricana la déesse.
Une telle haine enflammait son regard, que si elle pouvait tuer ainsi, ses deux serviteurs seraient déjà morts.
– Je vais faire payer ces maudits bladeurs légendaires. D'abord, je vais libérer Lance. Ensuite, nous ressusciterons Rago. Et enfin, nous créerons le monde dont nous avons toujours voulu. Et croyez-moi, ces bladeurs et tous leurs alliés paieront très cher ce qu'ils ont fait à mon frère.
Elle se retourna vers eux, un terrifiant sourire aux lèvres.
– Et vous savez quoi ? Je sais déjà comment nous allons procéder, étape par étape. Mes amis, cette fois-ci, nous ne perdrons pas.
Moi : Et voilààà ^-^
Kyoya : Bah putain, ça promet d'être un sacré bordel cette histoire...
Moi : Ca vous changera pas de d'habitude, j'ai envie de dire.
Kyoya : ... Certes.
Moi : Dernier détail avant de partir, j'ai nommé : le rythme de publication ! Il n'y en aura pas de précis. En fait, quand je posterai un chapitre quand le suivant sera écrit !
Gingka : Gné ?
Moi : En gros, là vous lisez le prologue, ça veut dire que mon chapitre 1 est écrit. Chapitre que je posterai quand j'aurai écrit le 2, et ainsi de suite ^^
Gingka : Aaaaaah n_n
Ryuga : Plus qu'à prier pour que tu soies lente...
Moi : Rêve pas trop veux-tu ! Sur ce chers lecteurs et lectrices, merci d'avoir lu ! J'espère que ça vous a plu, et je vous souhaite une bonne fin de journée/soirée n_n
Chris : N'oubliez pas le commentaire, ça lui fera plaisir !
Moi : Ciao !
