Bonjour, tout le monde!

Voici une nouvelle histoire. C'est une première pour moi car elle a pour personnages principaux Hermione et Severus et elle se passe dans un monde sans magie, au 18ème - 19ème siècle.

Je précise que je n'ai pas fait de recherches. Donc, s'il y a des anachronismes ou des choses étranges, sachez que mon but n'est pas l'exactitude historique donc mea culpa, ne me jugez pas trop sévèrement^^

Je vous remets un petit résumé :

Hermione Granger vient d'être embauchée comme servante par Lady Prince suite à la démission de la précédente qui a préféré fuir plutôt que de continuer de supporter les ordres et les remarques désobligeantes de cette horrible femme. Comment va-t-elle s'en sortir là-bas ? Sera-t-elle assez forte pour tenir ? Mais surtout, sera-t-elle suffisamment courageuse pour tenir tête à Lord Prince, le maître des lieux ? (UA sans magie)

Excellente lecture!


Granger et le manoir de Lord Prince

Chapitre 1

« Sarah ! appela Lord Prince de sa voix profonde et basse en rentrant dans son manoir et en se dirigeant vers son salon tout en ôtant ses gants de cuir. Sarah ! » répéta-t-il, agacé par son manque de réactivité, en se laissant tomber dans un fauteuil moelleux, épuisé.

Cela faisait un mois qu'il était parti de chez lui pour régler des affaires personnelles à Londres et il n'était pas particulièrement ravi de revenir, alors, que sa servante Sarah le fasse attendre l'irritait au plus haut point.

Alors qu'il s'apprêtait à crier une fois de plus le prénom de sa domestique, il vit arriver précipitamment dans la pièce une jeune fille qui ne devait pas avoir plus de dix-huit ans, aux yeux noisette et aux cheveux bruns légèrement bouclés et ébouriffés, qu'elle avait essayé tant bien que mal de faire tenir dans une sorte de chignon.

« Veuillez me pardonner, Lord Prince, j'ignorais que vous deviez rentrer aujourd'hui », déclara-t-elle en venant se placer devant lui, mains croisées sur sa longue jupe grise, en l'observant bien droit dans les yeux.

L'homme haussa un sourcil noir et broussailleux en examinant la jeune fille qui se tenait devant lui, impassible, avant de dire de sa voix froide et sarcastique :

« Vous n'êtes pas Sarah.

- Non, Monsieur, je suis Hermione Granger, votre nouvelle servante, répondit-elle alors.

- Depuis combien de temps êtes-vous ici ? demanda-t-il ensuite en continuant de la scruter de ses yeux noirs.

- Depuis que Sarah est partie. Cela fait déjà quinze jours, Monsieur.

- Et c'est mon épouse qui vous a engagée ?

- Oui, Monsieur, acquiesça-t-elle simplement.

- Bon. J'espère que vous tiendrez plus longtemps que la précédente. Elle n'est restée que six mois. J'ai à peine eu le temps de retenir son prénom, rétorqua-t-il en soupirant. Rappelez-moi le vôtre.

- Hermione, Monsieur.

- Très bien. Hermione, veuillez m'aider à ôter mes bottes d'équitation, je vous prie.

- Tout de suite, Monsieur », approuva-t-elle en s'agenouillant devant lui.

Lord Prince lui présenta sa jambe droite qu'elle déchaussa après avoir tiré assez fortement sur la botte puis la gauche qu'elle gratifia du même traitement, tandis qu'il l'observait en silence. Elle se redressa après avoir disposé la paire de bottes sur le sol et attendit la suite.

« Veuillez les nettoyer, ordonna-t-il en désignant ses chaussures du menton. Et préparez-moi aussi un bain. Je suis fatigué et je souhaiterais me laver après ce long voyage.

- Bien, Monsieur. J'y vais », répondit-elle en hochant la tête avant de partir avec la paire de bottes.

Elle se rendit dans la cuisine afin d'y faire chauffer de l'eau pour le bain de son maître et, pendant ce temps, elle en profita pour débarrasser ses bottes de la boue dont elles étaient maculées et pour les faire briller. Ensuite, quand elle eut rempli plusieurs seaux d'eau bien chaude, elle les monta dans la chambre de l'homme afin de les verser dans sa baignoire personnelle. Elle dut faire de nombreux allers-retours puis, après avoir vérifié si la température était correcte, elle retourna dans le salon pour avertir son maître.

« Votre bain est prêt, Monsieur, déclara-t-elle seulement.

- Et mes bottes ? demanda-t-il aussitôt.

- Elles sont propres. Je les ai rangées dans la buanderie », répliqua-t-elle en faisant un geste vers la pièce.

Il l'observa des pieds à la tête, comme s'il la jaugeait, et Hermione, un peu mal à l'aise, demanda alors :

« Vous… Désirez-vous que je vous les montre ?

- Non, je vous crois, répondit-il en se levant du canapé. Pourriez-vous me dire où est ma femme ? Je m'étonne qu'elle ne soit pas encore venue me casser les oreilles, ajouta-t-il, sarcastique.

- Heu… Lady Prince est sortie il y a environ deux heures, Monsieur. Elle désirait aller essayer de nouvelles toilettes, lui apprit-elle, surprise par sa façon de parler de son épouse.

- Ah, bien. Je suis encore tranquille pour quelques heures, dans ce cas », approuva-t-il en esquissant un sourire en coin et en passant devant elle pour sortir de la pièce.

Hermione ne répondit pas, étonnée, et demeura dans le salon jusqu'à ce que Lord Prince ne réapparaisse en l'interrogeant sèchement :

« Combien de temps allez-vous rester plantée là ?

- Je vous demande pardon, Monsieur ? répliqua-t-elle, ne sachant pas ce qu'il voulait qu'elle fasse.

- Eh bien, suivez-moi. C'est vous qui allez me laver, décréta-t-il, comme si cela était naturel.

- Heu… Mais je… balbutia-t-elle, incertaine, les joues roses.

- Qu'y a-t-il ? interrogea-t-il, excédé. Vous aidez bien ma femme à prendre son bain, non ?

- Oui, Monsieur, acquiesça-t-elle immédiatement.

- Vous allez donc faire de même pour moi, décréta-t-il alors. C'est pour cela que je vous paie après tout », ajouta-t-il ensuite en ressortant de la pièce.

Hermione secoua la tête afin de se ressaisir et courut un peu pour le rattraper avant de le suivre dans les escaliers qui menaient à l'étage.

À vrai dire, elle ne savait pas ce qui se faisait ou non en matière de tâches qui incombaient à une servante. C'était la première fois qu'elle travaillait dans un manoir pour un couple d'aristocrates fortunés. Avant cela, elle avait été bonne à tout faire pour certains habitants de son village, qui avaient les moyens de la payer quelques heures, afin de les aider mais c'était tout.

Arrivé dans sa chambre, Lord Prince se tourna vers elle et ordonna :

« Fermez la porte, Hermione. »

Comme elle semblait hésiter en le regardant de ses grands yeux noisette, incertaine, il ajouta de sa voix doucereuse en haussant un sourcil noir dans sa direction :

« Vous ne voudriez tout de même pas que votre maître attrape froid par votre faute ?

- N… Non, Monsieur, répondit-elle avant de refermer la porte.

- Allons, venez m'aider à me déshabiller. Je suis las, décréta-t-il en ôtant sa veste noire et en la laissant tomber à terre.

- Oui, Monsieur », acquiesça-t-elle en prenant son courage à deux mains, apparemment résolue.

Elle se dirigea vers lui et dénoua sa lavallière tandis qu'il déboutonnait ses manches en l'observant du coin de l'œil. Le visage de cette jeune fille lui semblait désormais déterminé malgré le rose qui colorait encore ses pommettes et ses gestes se voulaient précis et rigoureux.

Ensuite, il se pencha un peu vers elle pour qu'elle puisse attraper l'arrière de sa chemise et la faire passer par-dessus sa tête. Une fois torse nu, il la vit détourner un peu les yeux, troublée, avant de les reposer sur lui.

« Dois-je vous aider aussi pour le pantalon, Monsieur ? demanda-t-elle avec tout le courage et le sang-froid dont elle pouvait faire preuve.

- Quel âge avez-vous, Hermione ? interrogea-t-il sans répondre à sa question.

- J'ai dix-huit ans, Monsieur, répliqua-t-elle, étonnée.

- Et, à votre âge, vous n'avez encore jamais vu d'hommes nus ? poursuivit-il en arquant un sourcil noir.

- Non, jamais, Monsieur, répondit-elle en secouant légèrement la tête, la rougeur de ses pommettes s'accentuant assez spectaculairement.

- Jamais de rendez-vous secrets dans les granges, de promenades dans la forêt au clair de lune ou de petits jeux dans les bottes de foin avec les garçons du village ? » s'étonna-t-il encore, amusé de la voir rougir de plus en plus.

La jeune fille ouvrit la bouche pour répondre puis elle la referma sans avoir prononcé le moindre mot avant de relever ses yeux noisette vers lui et de déclarer avec aplomb :

« Je suis vierge, si c'est bien le sens de toutes vos questions.

- Ça, je l'avais bien compris, rétorqua-t-il, moqueur. Vous pouvez vous tourner, si vous le souhaitez, dans ce cas. Je ne voudrais pas vous offusquer ni choquer vos petits yeux innocents. »

Hermione fronça les sourcils, stupéfaite et blessée dans son orgueil par sa remarqua moqueuse, elle prit sur elle et l'observa fixement pour lui prouver qu'elle n'était pas la petite chose fragile et naïve qu'il pensait.

L'homme haussa encore un sourcil, étonné par sa réaction, il esquissa un sourire en coin et se débarrassa donc de son pantalon devant elle avant d'enjamber le bord de sa baignoire et de s'installer dans l'eau.

La jeune servante n'avait pas détourné les yeux mais elle avait dû faire un effort pour camoufler sa surprise lorsqu'elle avait vu les attributs virils de son maître. Elle n'avait jamais rien vu de pareil de toute sa vie… Qu'est-ce que c'était laid et bizarre ce qui pendait entre ses jambes, là où, chez elle, il n'y avait strictement rien de la sorte qui dépassait…

« Prenez l'éponge et le savon, ordonna-t-il en la faisant sortir de ses pensées et en mouillant le haut de son corps ainsi que son visage.

- Oui, Monsieur », acquiesça-t-elle en allant chercher ce qu'il demandait.

Elle revint vers lui, se posta devant la baignoire et lui présenta les deux objets.

L'homme releva alors ses yeux sombres vers elle et il demanda, ironique :

« Mon épouse, fait-elle sa toilette elle-même ?

- Cela dépend des fois, Monsieur, répliqua-t-elle simplement.

- Eh bien, moi aussi, mais, cette fois, je suis fatigué. C'est vous qui allez le faire, décréta-t-il fermement.

- Très bien », approuva-t-elle en s'agenouillant à côté de la baignoire avant de déposer l'éponge et le savon par terre et de retrousser ses manches.

Elle plongea le savon dans l'eau et en appliqua sur le torse, le cou, les bras et les mains de l'homme, qui, elle le soupçonnait, devait fortement s'amuser de la regarder accomplir cette tâche, si l'on en croyait son léger sourire en coin. Elle reposa le savon à côté d'elle, s'empara de l'éponge, l'humidifia puis repassa partout où elle avait mis du savon afin de l'enlever en frottant doucement sa peau pour ne pas l'irriter, extrêmement concentrée sur sa tâche.

Ensuite, elle se releva et se déplaça afin de faire son dos puis, quand ce fut fait, elle bougea encore pour aller s'occuper de ses jambes. Lord Prince décida d'en profiter et il ferma les paupières en s'enfonçant dans l'eau chaude et en la laissant faire puisqu'apparemment elle se débrouillait fort bien.

En effet, Severus Rogue, héritier du titre de Lord Prince par sa mère ainsi que du manoir de sa famille, avait rarement l'occasion de s'amuser et de se détendre. À vingt ans à peine, on lui avait collé dans les pattes une épouse frigide et limite acariâtre qui ne faisait que se plaindre et il avait hérité de sa demeure et de son titre cinq ans plus tard à la mort de sa mère.

Il s'était alors retrouvé avec d'énormes responsabilités, un domaine et des affaires familiales à gérer, et il n'avait jamais été heureux en ménage. Son épouse, qui n'éprouvait rien pour lui mis à part peut-être de la répulsion, le laissait à peine l'approcher et, en presque vingt ans de mariage, elle ne lui avait donné aucune descendance…

L'homme s'était donc peu à peu renfermé sur lui-même et avait commencé à tirer satisfaction de se montrer cynique et sarcastique et d'embêter les domestiques qui travaillaient pour lui.

Selon son avis, cette petite Hermione allait certainement être très facile à taquiner et ses réactions face à ses sollicitations allaient sans doute être absolument exquises…

Il étira ses fines lèvres en un sourire ironique malgré lui puis releva les paupières en se rendant compte qu'elle ne le lavait plus et qu'elle s'était redressée.

« Que faites-vous ? demanda-t-il alors en haussant un sourcil noir.

- Eh bien, je… voulut-elle répondre.

- Vous croyez que vous avez terminé ? l'interrompit-il.

- Heu… réfléchit-elle en plongeant dans ses yeux noirs comme l'ébène.

- Je crains que vous n'ayez oublié une partie essentielle de mon anatomie… déclara-t-il de sa voix soyeuse.

- C'est que… je ne sais pas si… je ne sais pas comment… bredouilla-t-elle, prise au dépourvu, cette subtile nuance de rouge revenant rapidement colorer ses joues et le haut de sa poitrine.

- Mais encore ? demanda-t-il, amusé par son embarras.

- Je n'ai jamais fait cela, Monsieur. Je n'ai jamais aidé que des dames à prendre leur bain et, en général, elles nettoyaient elles-mêmes cette partie, expliqua-t-elle après avoir soufflé un peu.

- Vous n'avez qu'à y aller tout en douceur, comme pour la poitrine de ces dames ou votre propre intimité, puisque vous n'avez jamais lavé celle des autres », rétorqua-t-il en haussant les épaules.

Il la vit rougir plus encore, si cela était possible, et se mordre l'intérieur de la joue.

Jamais elle ne ferait cela, pensa-t-il, amusé de la tourmenter de cette façon. Mais il fut bien surpris lorsqu'il la vit revenir vers lui, se remettre à genoux à côté de la baignoire et plonger son éponge humide au niveau de son torse avant de commencer à descendre vers sa virilité.

Il posa alors sa main sur la sienne pour l'arrêter, ne voulant pas pousser la blague aussi loin, et il se mit à rire sous son regard choqué avant de déclarer en lui prenant l'éponge :

« Je plaisantais. Laissez-moi faire.

- Ce n'est vraiment pas drôle, Monsieur, répliqua-t-elle spontanément en se relevant, le visage fermé.

- Ce n'était qu'une simple farce. Détendez-vous, Hermione, conseilla-t-il en posant ses yeux noirs sur elle, surpris par sa réaction.

- Je n'aime pas que l'on se moque de moi ni que l'on me prenne pour une idiote, dit-elle encore, ses poings serrés pendant au niveau de sa jupe, en colère.

- Et moi je n'apprécie pas qu'une servante me parle sur ce ton. Au cas où vous l'auriez oublié, je suis votre employeur », rétorqua-t-il, sa voix polaire claquant comme un fouet dans la pièce, le regard dur.

À cet instant, la jeune fille se rendit compte de ce qu'elle venait de dire, elle regarda à gauche et à droite, mal à l'aise, avant de reposer ses yeux noisette sur lui pour tenter de s'excuser :

« Je vous prie de bien vouloir m'excuser, Lord Prince, je…

- Il suffit, la coupa-t-il aussitôt. Allez-vous-en, ordonna-t-il ensuite.

- Mais, Monsieur, je…

- Dehors ! » répéta-t-il, plus menaçant, en la transperçant de son terrible regard noir.

Hermione recula, apeurée, puis elle gagna rapidement la porte de la chambre avant de dévaler les escaliers pour aller se réfugier dans la cuisine, honteuse d'avoir répondu de cette façon à son maître et de s'être fait réprimander de la sorte.

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« Eh bien alors ? Que vous arrive-t-il, ma petite ? On dirait que vous avez le Diable aux trousses, s'exclama la cuisinière, surprise de la voir débouler de cette manière dans la pièce.

- Heu… Je… Je… Enfin, je pense… balbutia Hermione, désemparée et à bout de souffle.

- Allons, allons, calmez-vous, conseilla gentiment la femme après avoir abandonné la préparation de son repas en posant ses mains sur ses épaules et en les frottant légèrement.

- Je crois que je vais être congédiée, Madame Chourave, déclara alors la jeune fille en posant ses yeux noisette embués larmes sur le visage rond et bienveillant de la cuisinière.

- Ah… Vous, vous avez rencontré le Maître, déclara-t-elle seulement.

- Oui… acquiesça-t-elle. Je… Il…

- Il a déjà réussi à vous faire peur, je vois ça, formula-t-elle à sa place, étant donné qu'elle avait momentanément perdu l'usage de la parole. Mais, rassurez-vous, il n'est pas méchant.

- Que ferai-je si jamais il me renvoie ? J'ai vraiment besoin de cette place, dit-elle, inquiète.

- Rassurez-vous, ça n'arrivera pas, affirma-t-elle, confiante. Recruter du personnel et le former est tout aussi pénible pour eux que chercher un emploi pour nous. Ni Monsieur ni Madame ne vous renverront à moins que vous n'ayez commis une très grosse faute, tenta-t-elle de la rassurer.

- Oh, mais, Madame Chourave, je… je ne sais pas ce qui m'a pris, je lui ai parlé d'une façon inappropriée… Il était véritablement furieux, expliqua-t-elle, angoissée, avant de mordre sa lèvre inférieure.

- Allons, je suis certaine que c'est déjà oublié. Son passe-temps préféré est de faire sortir de leurs gonds ses servantes et ses domestiques, il est donc habitué à certains débordements, expliqua-t-elle brièvement en se remettant à la confection de son souper.

- Vous auriez dû voir son regard noir et entendre sa voix glaciale… J'en ai encore des frissons, répondit Hermione en se frottant les bras.

- Comme on dit toujours : « Chien qui aboie ne mord pas. » Rassurez-vous. Vous n'allez pas être renvoyée et le Maître ne vous fera jamais aucun mal. Il est impressionnant de froideur et de cynisme mais il est vraiment très loin d'être méchant. Croyez-moi.

- Vous en êtes sûre ? demanda la jeune fille, hésitante.

- Certaine », répliqua-t-elle aussitôt avant de lui sourire.

Hermione lui rendit son sourire, rassurée par les paroles de son aînée, puis elle l'entendit interroger :

« Pourrais-je abuser de votre gentillesse et vous demander un peu d'aide afin d'avancer dans la préparation du repas de ce soir ?

- Bien sûr, approuva-t-elle aussitôt en approchant du plan de travail. Que dois-je faire ? »


Merci à toutes et à tous d'avoir lu!

J'espère que ce premier chapitre vous a plu et vous a donné envie de découvrir le reste de l'histoire.

A la prochaine!

Bisous