Hello les poto :)

Comment sa va ?

ANNECDOCTE : Ce chapitre risque de connaître quelques corrections d'ici le mois prochains.


/!/ PETIT JEU /!/

Je voudrais changer le nom du gang des renards de la brume ^^ des idées ou je laisse tel qu'elle ?


AVERTISSEMENT : Ce chapitre peut heurter les âmes sensibles ! Séance de torture même si elle est décrite de façon sommaire !


« Si je suis née sous une étoile ou un destin bien cruelle.

Il m'appartient de me battre pour changer les choses.

De sortes à n'avoir aucun regret ! »

KAZUYA HIIRAGI, Ancien chef du gang.


Chapitre 22 : A la recherche d'Alubarna !

- « Aie ! Aie ! … Aie ! AIE ! »

- « Arrête de faire l'enfant. »

Freed aurait pu être honnête et avouer qu'il était plus dure en recousant les blessures de la voleuse qu'à son habitude. Certaines personnes avec trop d'imagination iront même jusqu'à l'accuser de se servir de cette occasion pour se venger du sale coup qu'elle lui avait fait lors de leur mission à l'académie.

De toute façon, elle se plaignait tout le temps, alors autant prendre un peu de plaisir ! Qui pouvait lui en vouloir ?

- « Aie ! Prends pitié de moi ! J'ai passé une dure journée ! »

- « Moi aussi ». Il appuya plus fort que nécessaire sur une des blessures de la fillette qui lança un nouveau cri de douleur.

- « Silence ! J'essaye de me concentrer ! » Cria Ran alors qu'elle était au volant de la camionnette qui les conduisait vers l'aéroport.

Pour éviter les foudres de l'aînée, la fillette se contenta de grimacer pendant tout le processus de soins. Elle était encore plus invivable que d'habitude depuis la disparition de Kai. Alone avait toujours eu des doutes concernant les sentiments de Ran pour le garçon mais la réaction de la jeune fille lui confirma ses soupçons.

Ironique sachant que Ran est connu dans le monde criminel pour être une des plus grandes tueuses à gage de sa génération. Une femme fatale de 18 ans seulement, se servant de ses atouts physique pour s'approcher de ses cibles et les liquider. Bonne chance Kai pour ne pas finir comme les autres victimes. Tous nos vœux sont avec toi !

- « On a tout ce qu'il faut pour aller directement à l'aéroport plutôt que retourner à la base ? »

- « Yes. J'avais préparé les passeports avant notre départ. C'est moi qui les ai fait personnellement donc ils sont parfait et sans défaut. Nous passerons la douane sans problème. » Se venta la voleuse. « Par contre, je n'ai pas encore fini de décoder le livre pour trouver la localisation précise d'Alubarna. »

- « Alors qu'est-ce que tu fais à parler pour ne rien dire ? Travail ! »

Oui, Ran était vraiment insupportable mais la fillette s'était assez fait tabasser pour la journée. Alors elle se tut et se remis au travail.

Pourquoi la localisation de tous les lieux hyper-méga-giga secret doivent obligatoirement prendre la forme d'énigme et de code tous plus compliqué les uns que les autres ? Ils pourraient pas simplement dire clairement la réponse ? Pensa très fort Alone.

Le livre prenait la forme d'un recueil de poème ancien. Ils racontaient l'histoire d'une princesse arabe. Fille unique du sultan d'Alubarna, elle ne rêvait que de succéder à son père dans le but de faire prospérer son pays. Malheureusement, son destin est tout autre : épouser un noble dans le but de donner un héritier mâle à son royaume. La princesse décide de s'enfuir de son destin pour partir à la découverte du monde. Son voyage l'amène à trouver l'immortalité.

La solution devaient être dans les éléments de description des poèmes. Il devait avoir un détail qui permettait de savoir où l'histoire se déroulait. Elle savait déjà qu'Alubarna se trouvait au Moyen-Orient. Elle devait répertorié tous les pays qui avaient eu ne serait-ce qu'une fois dans leur histoire un sultan comme leader. De plus, le livre décrivait un paysage montagneux à l'arrière d'Alubarna. Lors de son voyage, la princesse se dirigea d'abord vers un pays frontalier en passant justement par les montagnes. Là-bas, elle rencontre son premier ami : Dawa, un moine bouddhiste vivant dans un temple reculé. Conclusion : un pays d'orient ayant pour frontière un pays bouddhiste (asiatique) en frontière. Elle était sur internet en train de chercher les montagnes et les frontières qui correspondaient aux critères.

Attendez ! En prenant la première lettre de chaque ligne du dernier poème, on obtient : « Pāriyātra Parvata ». Une recherche google traduction lui apprends que c'est du sanskrit aussi appelé sanscrit. Cette langue appartient à la famille des langues indo-européennes, dans la branche indo-iranienne, qui inclut la sous-branche indo-aryenne. Pourtant le prénom de Dawa est purement Tibétain.

C'est ça : « Pāriyātra Parvata » est le nom d'origine de l'Hindou Kouch, une chaîne de montagne énorme situé au Tibet. De plus, « pāri » se traduit par « faire traverser ») et « yātrā » par voyage et expédition. Cela concorde avec l'histoire de la princesse qui traverse une montagne dans un voyage / une expédition.

Il lui faut maintenant trouver une localisation plus précise car cette maudite montagne traverse plusieurs pays.

Le Jazeristan 1 ! Situé au Moyen-Orient, c'est un pays qui fut un jour gouverné par un Sultan et qui a une frontière commune avec le Tibet justement séparé par la chaîne de montagne de l'Hindou Kouch.

BAM ! Elle était toujours aussi géniale !

Attends, problème en vue ! Jazeristan ! Pays en guerre avec un dictateur à sa tête ! Conclusion : pas n'importe qui y va ! C'est pas un lieu touristique ! Franchement, All Might aurait pas pu réglé le problème ? A quoi il sert déjà cet abruti ?

Tout cela pour dire que les passeports qu'elle avait créé n'allait pas suffire à avoir une place d'avion pour ce pays puisque qu'aucun avion non-militaire n'y allait.

- « STOP ! PROBLEME ! »

La belle rousse de tout juste 18 ans appuya sur le frein et la voiture s'arrêta d'un coup au milieu de la route.

- « Quoi ? »

- « Changement de plan. On a un problème. »

- « Quoi ? »

- « Attends, non en faîte continue. Go à l'aéroport ! » Dit la voleuse toujours dans ses pensées préparant de multiples plans dans sa tête.

Ran lui lança un regard noir et redémarra la voiture. Alone devait être vraiment fatigué pour ne pas avoir pensé qu'une frontière était la délimitation de deux pays. Si elle ne pouvait pas passé par le Jazeristan. Rien ne l'empêchait d'entrer par le Tibet.

- « Tu resteras au Japon Freed. » Dit Alone.

- « Quoi ! Hors de question de vous laisser y aller seul ! Tu crois que je suis pas à la hauteur ? Ton discours de tout à l'heure était du flan ? »

- « Ecoute, ce n'ai pas une question d'être à la hauteur ou de ne pas l'être. C'est une question d'entraînement et d'endurance. De réalisme. On va devoir passer une frontière en douce et emprunter un parcours montagneux pour entrer dans un pays où les bombardements sont encore plus présent que dans mes rêves les plus fou. En somme, marcher pendant des jours sans s'arrêter avec un risque de croiser des soldats qui n'auront qu'une seule envie : nous buter. Sans oublier que le Jazeristan à la base, c'est pas un camps de vacances. Puis on ne sait même pas sur quoi on va tomber là-bas, la ligue des assassins ne s'appellent pas comme ça par hasard. On doit être pragmatique. Tu as pleins de qualités mais tu n'es pas un athlète. »

Le garçon baissa les yeux en grimaçant.

- « Bien »

Ce n'ai pas la première fois que son manque d'expérience sur le terrain le mettait à l'écart. Pourtant, ça le frustrait toujours autant à chaque fois.

- « J'ai pris deux billets d'avions. »

- « Je vais aussi laisser ma place sur ce coup. » Sortit d'un coup Ran.

- « Quoi ? » Alone tourna la tête aussi vite que possible sur la rousse. C'est un miracle qu'il ne soit pas brisée.

- « Ma manicure. Je viens juste de la refaire et hors de question de l'abimer. Puis l'humidité de la forêt n'est pas du tout bon pour la peau ou les cheveux. On ne peut pas être tous des ploucs comme toi Alone. »

- « Donc je vais me trouver dans l'une des zones les plus dangereuses du monde tout de seule ? »

Les deux autres hochèrent la tête.

- « Je suis sûre que Kai peut se débrouiller finalement. Il est plein de ressource. Il va s'en sortir ! » Tenta la voleuse pour tenter de se sauver…


Deux jours plus tard … Montagne de l'Hindou Kouch …

- « Je les détestes ! Je les hais ! Mes amis ! La blague ! Comment j'ai pu être aussi naïf ? Je le savais pourtant que je ne devais compter que sur moi-même ! Si je survis, je vais les massacrer, les dépecer, les éventrer, les étrangler, les brûler, les décapiter, les atomiser, les éviscérer ! Je m'assurerais qu'il soit en vie tout le long et quand ils seront tous sur le point de mourir, je les soignerais pour avoir le plaisir de recommencer encore et encore. Leurs cerveaux devra se déconnecter pour avoir ne serait-ce qu'une seconde de répits ! »

La jeune fille était tellement occupé à divaguer qu'elle ne remarqua pas la flaque de boue au sol et se retama dessus.

Super ! Manquait plus que ça !

Puis vu l'odeur, ce ne devait pas être seulement de la boue …

Il lui arrivait de plus en plus souvent de se demander où était passé le super futur génie du crime de l'époque de l'académie ?

La jeune criminel avait été pleine de promesse à une époque !

Le tas de boue qu'elle était devenue maintenant ne trouva pas la réponse. Elle se releva.

Avait-elle déjà précisé que les entraînements de survie n'était pas vraiment sa spécialité ? Elle détestait ce type d'exercice en pleine nature. Air frais ? Ecologie ? Profiter d'une belle vue ? Allez tous vous faire voir ! Les forêts et les déserts était naze ! Pas de produits chimiques, pas de déguisement, pas d'armes ! NADA ! Et le pire …. Pas d'ARGENT à voler ! Pour quelqu'un qui improvisait ses petits tours à l'aide des objets du quotidien comme elle, il n'y avait rien de pire qu'un trou paumé au milieu de nulle part !

En faîte, c'était même la seule matière où elle avait tout juste eu la moyenne. Comment pouvait-elle créer une bombe à partir de feuille et de boue ?

De toute façon, tout est de la faute de Kai ! C'était quoi le but de ce crétin à se laisser kidnapper ? Puis, c'était un grand garçon, il ne pouvait pas trouver un truc pour s'enfuir ? Mais non ! Il est tellement naze qu'il est incapable de s'en sortir seul !

Franchement, personne ne pourra plus jamais dire qu'elle a tort lorsqu'elle le traite d'abruti !

Alone arriva dans un village reculé se situant quelque part dans la chaîne de montagne de l'Hindou Kouch après plusieurs jours de marche. Selon ses informations, la guerre n'avait pas encore atteint ce territoire.

La population locale regarda bizarrement le monstre de boue qui était apparu à leurs portes.

La chose se rapprocha du centre du village avant de jeter son sac à terre pour en sortir un genre de cône.

Le monstre de boue cria dedans. Un son gigantesque en sortie : « LA LIGUE DES ASSASSINS EST SOMMÉ DE RENDRE LE PETIT KAI ! JE REPETE, LA LIGUE DES ASSASSINS EST SOMMÉ DE RENDRE LE PETIT KAI ! PS : LA LIGUE DES ASSASSINS EXISTE ! »


POV ALONE :

Vous vous demandez comment trouvez une des organisations les plus sécrètes du monde ?

Pas de panique, je vais vous donnez le mode d'emploi !

Deux méthodes. La première consiste à chercher discrètement pour éviter de se faire repérer et tuer bêtement.

J'aurais pu prendre celle-ci mais de qui se moque-t-on ? Ai-je un instinct de survie assez développer pour choisir la méthode longue et ennuyeuse ?

Non !

J'espère que vous l'avez enfin compris mais cette histoire ne raconte pas les aventures d'un héros prévenant mais celle d'une pyromane mentalement instable cherchant sa place dans le monde.

Alors quoi de mieux que de crier au monde l'existence d'une organisation qui ne vit que pour le secret pour les faire sortir de leurs trous ?

Quoi, est-ce que je n'ai pas peur que les assassins les plus puissants du monde tente de me buter dans mon sommeil pour justement me faire taire ?

Une chose à la fois. Comme vous l'avez remarqué, je gère la majorité de mes problèmes en fessant comme s'il n'existait pas.

FIN POV ALONE.


Le monstre de boue continua son chemin et traversa le village avant de repartir comme s'il n'avait été qu'une illusion.

Pourquoi fallait-il toujours qu'elle finisse dans le coin paumé d'un coin paumé ?

Deux heures de marche et elle n'avait pas l'impression de s'être réellement rapprocher de la frontière du Jazeristan.

Le chemin était montagneux.

Non ? Un chemin montagneux, dans une montagne, ? Jure !

Laisse-moi continuer à raconter l'histoire débile !

Donc le chemin était montagneux avec beaucoup de végétation. Alone mis 10 jours à traverser l'Hindou Kouch. Elle sut qu'elle commençait à arriver vers la frontière lorsqu'elle vit des fils barbelés et des hommes armés gardés la frontière.

Yes !

Maintenant il fallait qu'elle comprenne comment elle allait pouvoir rentré au Jazeristan sans finir en passoir ambulante.

De là où elle se cachait, elle pouvait observer une dizaine de soldats armés.

Pas bon ça !

Kai lui paiera au prix fort !

La voleuse les observa à l'aide de jumelle. Sa patience déjà délicate avait été mise à rude épreuve par son voyage compliqué.

Elle n'avait pas envie d'attendre la nuit pour tenter une infiltration mais elle n'aurait pas le choix. Le pays était bouclé pour empêcher le peuple de fuir.

Concentré dans ses plans tous plus tordu les uns que les autres, elle ne vit pas le soldat s'approcher d'elle par derrière.

- « Les mains en l'air » Dit-il en arabe alors que son arme était pointé sur elle.

- « Salem »

Au moins elle avait trouvé son moyen d'entrée.

Elle se laissa guider vers la base militaire sous la menace d'une mitraillette M4-177. Alone était presque sûre que l'arme lui fessait de l'œil.

Une journée normal quoi.

Elle fut conduite dans une salle d'interrogatoire. Les soldats la jetèrent violemment sur la chaise au centre de la pièce avant de l'attacher. La voleuse était heureuse d'être vacciné en voyant l'état de la chose sur lequel elle se trouvait. Elle devait avoir attrapé au moins 13 maladies rien qu'en étant assis ici.

- « Qui es-tu ? Comment t'es-tu introduite ici ? »

Alone jeta un regard aux sangs séchés présent un peu partout dans la pièce. Oui, les anciens prisonniers avaient passés de joyeux moments.

- « Sniff … »

Les fausses larmes sur commande était la plus grande fierté de la mythomane. Ne la jugez pas. Si vous aussi, vous aviez grandis avec la Matrone, vous seriez les pleurnichards les plus convaincant du monde.

- « Je veux ma maman … Maman ! » Elle fit semblant de renifler tout en laissant les larmes continuer de couler.

Celui qui paraissait être le commandement de base s'approcha calmement d'elle. Avant de le savoir, Alone ressenti une grande douleur sur sa joue. L'abruti venait de lui coller une droite. L'abruti était un abruti mort !

Elle s'arrêta de pleurer pour lui lancer un regard noir.

- « Tu montres enfin ton vrai visage fillette. »

Elle continua de le fixer sans faiblir.

Le chef attrapa violemment ses cheveux.

- « Où est la résistance ? Où vous cachez vous ?! »

Son regard était de plus en plus intense. Elle ne gémit même pas de douleur alors qu'il continuait à tirer sur sa chevelure.

D'un coup, elle senti une grande douleur puis une odeur de viande grillé envahi l'endroit. L'abruti avait un alter électrique. Super, manquait plus que cela.

- « C'est fou. Je suis en train de me demander si c'est vous ou si c'est le miroir qui ne peux pas voir ta face de plouc ! »

Autre électrocution.

- « Quoi ? C'est une question capital ! Je veux dire, regardez votre tête ! On dirait un ananas en décomposition fusionné avec les fesses d'un chimpanzé ! »

Nouvelle électrocution.

- « Tu peux pas faire mieux. Ta mère doit se dire qu'elle a donné naissance à un bel abruti ! Là je sens rien ! »

Electrocution.

- « Elle doit être tellement déçu de toi ! »

Electrocution…

Ce que l'abruti n'avait pas remarqué était qu'ils avaient attaché Alone fermement avec des cordes. Tous ces volts les avaient fragilisés. Assez pour qu'Alone réussisse à s'y extirper.

La première chose qu'elle fit fut de donner un coup de tête sur le nez de l'abruti pour le lui casser. Les trois soldats restant pointèrent leurs armes sur elle.

- « Je me rends. » dit-elle en levant ses mains en l'air. « Mais avant » Elle donna à l'abruti un coup de pied entre les jambes. « Là, je me rends pour de vrai. »

Elle fut assommée à l'aide de la cross d'une mitraillette par l'un des soldats.


Alone se réveilla dans une cellule crasseuse. Elle n'était pas seule.

- « Bonjour » Dit-elle alors qu'elle fessait une grimace dû à l'immense migraine qu'elle ressentait.

Le gamin et l'adulte la regardèrent avec une tête qu'elle qualifierait d'idiot si tous les os de son corps ne lui fessait pas si mal.

ATTENDEZ ! Alone reconnaissait l'homme. C'était un héros du Japon nommé Ingenium. Elle avait tout un dossier sur lui dans sa chambre regroupant les articles de journaux l'évoquant.

Qu'est-ce qu'il foutait là ?

- « Gamine, ça va ? »

Malgré le faîte qu'il était enchaîné aux niveaux des chevilles, il réussit à s'approcher d'elle pour vérifier ses blessures. Elles prenaient la forme de multiples brûlures sur tout son corps.

- « Ne t'inquiète pas. Tout vas bien se passer. » Tenta-t-il de la rassurer.

Ah …

Il la prenait pour une civile faîte prisonnière par les soldats du dictateur.

- « Petite ? Comment tu t'appelles ? »

Aie. Il avait dit le mot interdit. Alone connaissait déjà sa taille. Pourquoi tout le monde était obligé de lui rappeler qu'elle n'avait toujours pas eu sa pousser de croissance ?

Elle arracha sa main qu'il tenait et lui lança un regard noir avant de demander :

- « Non mais c'est une bague ! Qu'est-ce que Ingenium fou ici ? J'ai jamais entendu dire que les héros se souciait des guerres des bleds paumé ! »

- « Tu me connais ? »

La jeune fille soupira fortement pour tenter de se calmer.

- « Ingenium ! Me voilà rassurer maintenant qu'un héros est là … Et bla, bla, bla … et tout le patatra … Maintenant, tu peux me dire ce que tu fous là ? Et puis, c'est qui le morveux derrière toi ? »

- « Morveux ! Je suis pas un gosse ! J'ai 10 ans ! Aussi, on dirait que ta le même âge que moi ! Donc t'es qui pour parler ? »

Elle balaya les arguments du gosse de la mains avant de répondre :

- « Quelqu'un qui se vexe aussi facilement est forcément un gosse, MORVEUX ! » Elle articula particulièrement le dernier mot de sa phrase.

Alors que le gosse s'apprêtait à lui sauter dessus, Ingenium essaya de désamorcer la situation :

- « Je suis en mission de renseignement pour les héros. Nous avons organisé un groupe d'élite qui as pour objectif de venir en aide à la population de ce pays. »

- « Des héros qui se bougent les fesses… C'est nouveau ça… » Marmonna-t-elle dans sa barbe.

- « Et toi, petite ? »

Alone lui lança à nouveau un regard noir à l'énonciation du mot interdit.

- « Je m'appelle FOX. Mais les morveux doivent m'appeler Madame FOX. » Elle regarda le gosse qui se refrogna. « Je te dirais bien ce que je fais là mais je suis trop parano pour ne pas penser que cette cellule est sur écoute. »

Elle se leva du sol et ignora la douleur pour s'approcher des barreaux pour les observer.

Toc Toc. Elle toqua sur les barreaux comme si elle toquait à une porte.

- « La cellule a une superficie d'environ à 15 m². De première vue, je dirais que les barreaux sont faits à base d'acier allié à du manganèse. Impossible à limer donc. De quoi prévenir les tentatives d'évasion. L'acier est un alliage métallique, composé principalement de fer et de carbone. Le système de verrouillage de la cellule est mécanique. »

Elle vit leur yeux rond.

- « C'est-à-dire bande d'abruti que la cellule s'ouvre manuellement… »

- « Il faut une clé pour sortir d'ici ! »

- « Ah. »

- « Gamin, tu t'appelles comment ? » Questionna la voleuse.

- « Salim. Et je suis pas un gamin ! » Se refrogna le gosse.

Elle regarda les lourdes chaînes qui attachait les jambes d'Ingenium. Il était liée au mur du fond mais il pouvait quand même se déplacer dans la cellule.

- « GARDE ! JE VAIS PARLER ! RAMENEZ-VOUS ! » Cria-t-elle de tous ses poumons. Elle avait dû briser les tympans des deux garçons.

- « GARDE ! ALLEZ, ON SE BOUGE ! JE VEUX NEGOCIER ! »

- « GENRE, MAINTENANT ! »

Toujours personne. Alone s'en doutait. A ce qu'elle a observé, cette base possédait peu de personnels par rapport à sa taille. Les soldats devaient être en train de ratisser la zone pour vérifier qu'il n'y avait pas d'autre intru. Ils les pensaient trop briser par la torture pour tenter une évasion.

Aussi, dans ce pays, les informations et la presse étaient particulièrement contrôler. Donc les soldats ne devaient pas savoir qu'Ingenium était un héros si celui-ci avait fermé sa bouche. D'où les vêtements civils qu'il portait.

La jeune fille sortie de ses poches les balles qu'elle avait piqué avant de se faire assommer. Il n'avait pas pensé à la fouiller de nouveau après l'interrogatoire. Elle prit ensuite le couteau qu'elle avait voler au boss et glisser dans sa botte alors qu'elle lui cassait le nez.

Cleptomane un jour, cleptomane toujours. Elle se dirigea vers les cadenas des chaînes de Ingenium pour les crocheter à l'aide de la lame.

30 secondes chronos. Elle était toujours aussi doué.

Une fois le héros libéré de ses chaînes, elle se dirigea vers les charnières des grilles et essaya tant bien que mal de faire tenir les balles.

Elle regarda Ingenium avec un sourire éclatant. Elle arracha un morceau de la manche de son pull avant de le positionner près des moteurs du héros.

- « Allume tes moteurs pour mettre le feu aux tissus. Si tu me crames les mains, je t'arrache les tiennes avec mes dents. »

- « Attends, si on s'enfuit maintenant, tous les soldats vont nous tomber dessus. On devrait attendre les renforts. » Tenta Ingenium.

- « Quels renforts ? »

Le gamin et le héros baissèrent les yeux. Ils cachaient définitivement quelque chose. Elle vit Ingenium se mordre légèrement la lèvre.

- « La résistance … Tout à l'heure les soldats pensaient que j'en faisais partie… Je me suis demander pourquoi ils ont direct penser ça … Mais ils pensaient que j'étais vos renforts. Voilà pourquoi personne ne nous surveilles. Ils s'attendent à ce que la menace vienne de l'extérieur. Pas de l'intérieur. C'est pour cela qu'on doit absolument s'enfuir avant l'arrivé des renforts. Car ils les attendent et sont en embuscade. Les renforts ne viendront pas car ils vont se faire massacrer. »

- « Alors que proposes-tu ? »

- « Tu as un alter de vitesse ? Alors on va casser la gueule de tout ce qui se trouve entre nous et la sortie ! »

- « Casser la … »

- « Ah, oui, j'ai oublié pendant un moment que t'es oreilles étaient celle d'un innocent héros… Excuse-moi, je recommence : Toi faire rencontrer à vitesse grand V ta main sur le visage des gars pas gentil. Mieux ? »

- « Je veux me battre aussi ! » S'exclama d'un coup Salim.

- « Si tu veux. » Alone haussa les épaules.

- « Hors de question Salim ! » S'exclama quant à lui Ingenium. « Je suis venu te sauver parce que tu t'es précipités sans prendre la peine de réfléchir. Je ne te laisserais pas commettre deux fois la même erreur ! »

- « Super sauvetage enfaîte » Ricana la voleuse. Le héros l'ignora.

- « Je n'ai aucun regret. Je le referais ! Ils nous faut savoir ce qu'ils préparent ! On doit prendre des risque ! Sinon, on ne pourra jamais gagné la guerre sinon ! » Argumenta le gamin.

- « Ok. Intéressante votre querelle mais j'en ai rien à faire et pour rappel, on est pressé ! Au cas où vos cellules grises ne l'auraient pas enregistrer : ils prévoient de nous torturer pour avoir ce qui as dans nos têtes ! Alors soit on se bouge maintenant, soit on meurt ! »


Prochain chapitre : Alone et la résistance !


1) Jazeristan : Pays fictif créer pour les besoins de cette histoire.


BONUS 1 :

OS 1 : Comment je démissionne ?

Première semaine de Freed au gang de la brume !

Où est-ce que j'ai atterris ? Se demanda Freed alors qu'il débutait sa première mission avec le gang des renards de la brume.

Il vit une femme blonde aux formes généreuses jeter un homme à travers le mur comme si c'était seulement une limace sur son chemin.

IRINA PETROVA

Une seconde plus tard, d'autres hommes de mains déboulèrent. Freed se demanda si c'était sa dernière heure ? Comment vont-ils pouvoir tous s'en sortir en vie ?

C'est trop tard pour changer d'avis ?

Les projectiles devenaient de plus en plus nombreux. Il essaya de se cacher derrière une voiture.

Des bulles apparaissaient dans son champs de vision. Attends des bulles !? C'est quoi ce … ? Qu'est-ce qu'il foutait là déjà ?

Les bulles explosèrent une fois près des ennemis. Ils furent projetés au loin. Freed se pris de plein fouet la poussière et le souffle de l'explosion.

SOJIRO OSAMU

A peine eut-il de nouveau ouvert les yeux, qu'il vit des explosifs sous forme de dynamites tomber à ses pieds.

Les mèches étaient allumés …

Freed écarquilla les yeux avant de se mettre à courir. Il n'eut pas le temps de s'éloigné assez car le souffle de l'explosion l'envoya voler contre un mur.

Qu'est-ce qu'il foutait là !

- « Désolé, ça m'a glissé des mains. » Entendit-il alors qu'il était encore à terre.

ALONE FORGET

Il regarda vers la fillette aux taches de rousseurs qui venait de parler. Elle lui fit un sourire qui aurait fait pleurer un dictateur. Oui, il vivait avec elle maintenant. Qu'est-ce qu'il foutait là ?

Il la perdit de vue lorsque des hommes de mains s'approchèrent de lui.

Et merde …

Il essaya de se relever pour commencer à courir mais les hommes furent plus rapide. D'un coup, son groupe d'attaquant perdit connaissance.

- « Tout vas bien ? »

KAZUYA HIIRAGI, le chef du gang.

Il hocha la tête. Il n'arrivait même plus à formuler un mot. Il baissa les yeux vers les hommes à terre et vit des fléchettes sur leur cou …

QU'EST-CE QU'IL FOUTAIT LÁ BORDEL ?

- « MORVEU, DEBOUT ! »

Il se leva à peine à temps pour esquiver des éclairs qui fonçait droits sur lui.

- « SI TU BOUGES PAS, JE TE BUTE MOI-MEME ! »

FRANKY

La femme qui venait de tenter de le tué était censé être une allié. Elle portait une veste en cuir noir qui lui donnait un style comparable aux motards qu'il avait aperçu dans un film.

Il n'eut pas le temps de continuer à réfléchir avant qu'elle voiture déchire le mur à pleine vitesse et s'arrête au milieu de l'entrepôt. Autre le trou géant qui lui permettait maintenant une vue sur l'extérieur, un gars sortie du véhicule.

KOMUI, L'inventeur fou.

- « Les gars, les renforts sont là ! »

- « Alone ! RALENTIE AU NIVEAU DE LA DYNAMITE ! TU VEUX NOTRE MORT À TOUS ! » Cria le chef au milieu du champ de bataille.

- « RABAJOIE ! » Lui répondit-elle en ignorant son ordre.

- « Ralentis. » Repris Franky.

- « Oui. Madame. » La voleuse rangea ce qui lui restait d'explosif pour sortir deux pistolets tranquillisants.

Qu'est-ce qu'il foutait là ? Freed commençait réellement à regretter son choix. Pouvait-il faire marche arrière et retourner à une vie civile ?


Non … Après ce qu'il avait vécu… Rien ne pourrait jamais être comme avant. Alors autant accepté sa nouvelle vie !

Il n'eut pas le temps de finir sa pensé avant de se faire assommer par un projectile qui vola comme par hasard sur lui.

Sa vie était vraiment génial !


BONUS 2 :

ANNUAIRES DES

ANCIENS MEMBRES DU GANG DES RENARDS DE LA BRUME :

IRINA PETROVA

ALTER : Renforcement.

Il lui permet de renforcer ses capacités, sa force, son endurance et ses sens.


SOJIRO OSAMU

ALTER : BULLE DE SAVON

SOJIRO utilise une pipe à bulles pour créer des bulles très polyvalentes, qui peuvent être utilisées pour effectuer diverses techniques.


KAZUYA HIIRAGI, le chef du gang.

ALTER : INCONNU


FRANKY

ALTER : CARTE DE LA DESTINÉE

Elle invoque des cartes magiques qui peuvent produire plusieurs effets distincts.

Les cartes invoquer sont aléatoires.


KOMUI, L'inventeur fou.

ALTER : TECHNOBADE.

Parler et contrôler la technologie.