Ch. 10 « Vol. tu -sais -qui »
Harry regardait la surface du lac où se reflétait la lune et les étoiles. Il sentait un léger picotement à sa cicatrice depuis le début de la journée et là une grande douleur le frappa soudainement. Devant lui se tenait une sombre silhouette noire, à la peau blanche et aux yeux rouges.
-Voldemort !dit-il avec peine tellement la douleur était insupportable.
-Tu aurais dû te méfier, je t'avais prévenu , je te l'avait dit Potter, je vais te tuer.
Il leva sa baguette vers Harry et lança le sortilège Doloris sur Harry. Il s'effondra à terre, prit de douloureuses convulsions. Il criait dans l'espoir de voir une aide arriver. La douleur partie et Harry put se relever. Tous ses membres tremblaient, mais il resta debout. Il avait sorti sa baguette et la pointait sur Voldemort . Il sourit et un rayon vert fusa sur Harry. Voyant l'éclair vert foncer sur lui, Harry se jeta sur le côté pour esquiver. Il n'eut pas le temps de se relever qu'il fut frappé par une autre lumière verte. Il se sentit partir puis une douleur au front et plus rien. C'était le noir total, mais non , le blanc prenait place petit à petit.
Il se trouvait dans un lit recouvert de blanc. Ce n'était pas l'infirmerie, c'était. un cercueil. La salle avait été préparée pour son exposition. Il se leva tant bien que mal. Il avait sa baguette avec lui, mais il ne savait pas où il se trouvait. Il s'assit et attendit l'arrivée de quelqu'un. Peu de temps après, il entendit de la musique. Oui, il s'agissait de musique funèbre. Quelqu'un déverrouilla la porte et le directeur entra dans la pièce. Son regard se posa sur le cercueil vide, puis sur Harry. Un regard de stupeur passa sur son visage, bien vite remplacé par un sourire.
-Professeur, demanda Harry, qu'est-ce que je fais ici?
-Viens, suis moi ,Harry, je t'expliquerai une fois arrivés à mon bureau.
Il vint se placer derrière Harry et posa ses mains sur ses épaules. Dehors le ciel était nuageux et tous les élèves attendaient à l'extérieur. Les premiers qui le virent furent Ron et Hermione. Hermione poussa un petit cri en le voyant et Ron était sans voix. Harry et Dumbledore se frayèrent un chemin jusqu'à son bureau. Il fit asseoir Harry et le regarda longuement.
-Que s'est-il passé, professeur?
-Et bien, il y a deux jours, il semblerait que tu sois sorti au bord du lac. Toute l'école t'a entendu pousser d'horribles cris. Plusieurs élèves disent avoir vu une grande lumière verte pendant quelques secondes. Lorsque nous sommes allés voir ce qu'il en était, nous t'avons trouvé là, mort. Maintenant Harry, je voudrais que tu me dises ce qui est arrivé.
Harry lui raconta en détail ce qui lui est arrivé.
-Tu sais Harry, j'ai vraiment cru que tu nous avait quitté, mais je suis heureux que tu ailles bien.
-Professeur, comment ça se fait que le sort ne m'aie pas tué?
-Ça , je l'ignore Harry, lui répondit son professeur avec un air étrange.
Harry fut alors persuadé que son professeur mentais.
-Bon je vais t'accompagné jusqu'à l'infirmerie, car pour le moment ce dont tu as besoin est du calme et du repos.
Ils ne rencontrèrent personne en chemin et ils arrivèrent bien vite devant la porte de l'infirmerie. À l'intérieur, ils y trouvèrent madame Pomfresh, Ron et Hermione. Celle-ci se jeta sur lui et éclata en sanglots. Ron quand à lui tentait tant bien que mal de refouler ses larmes. Harry revêtit un pyjama et se coucha dans un lit. Hermione et Ron s'assirent près de lui. Madame Pomfresh lui donna à boire l'une de ses potions qui permettent de dormir d'un sommeil sans rêve. Le lendemain, Harry put reprendre ses cours.
Harry marchait en direction de la tour de Gryffondor , complètement crevé. Il lui avait fallut un bon moment pour faire comprendre au 2e années, à qui il enseignait la DCFM, qu'il pas un fantôme et qu'il était bien vivant. À cette heure, la salle commune était presque vide. Je dis presque , car deux jeunes gens et une gros chien noir semblait l'attendre.
-Alors tu vas bien , Harry?
-Oui, je vais bien, Sirius.
-Je vous conseille d'aller vous coucher tous les trois, demain vous aurez une dure journée, car vous vous entraînez avec moi à devenir animagus.
Ils montèrent les marches menant à leur dortoir et tous les trois s'endormirent bien vite.
Harry regardait la surface du lac où se reflétait la lune et les étoiles. Il sentait un léger picotement à sa cicatrice depuis le début de la journée et là une grande douleur le frappa soudainement. Devant lui se tenait une sombre silhouette noire, à la peau blanche et aux yeux rouges.
-Voldemort !dit-il avec peine tellement la douleur était insupportable.
-Tu aurais dû te méfier, je t'avais prévenu , je te l'avait dit Potter, je vais te tuer.
Il leva sa baguette vers Harry et lança le sortilège Doloris sur Harry. Il s'effondra à terre, prit de douloureuses convulsions. Il criait dans l'espoir de voir une aide arriver. La douleur partie et Harry put se relever. Tous ses membres tremblaient, mais il resta debout. Il avait sorti sa baguette et la pointait sur Voldemort . Il sourit et un rayon vert fusa sur Harry. Voyant l'éclair vert foncer sur lui, Harry se jeta sur le côté pour esquiver. Il n'eut pas le temps de se relever qu'il fut frappé par une autre lumière verte. Il se sentit partir puis une douleur au front et plus rien. C'était le noir total, mais non , le blanc prenait place petit à petit.
Il se trouvait dans un lit recouvert de blanc. Ce n'était pas l'infirmerie, c'était. un cercueil. La salle avait été préparée pour son exposition. Il se leva tant bien que mal. Il avait sa baguette avec lui, mais il ne savait pas où il se trouvait. Il s'assit et attendit l'arrivée de quelqu'un. Peu de temps après, il entendit de la musique. Oui, il s'agissait de musique funèbre. Quelqu'un déverrouilla la porte et le directeur entra dans la pièce. Son regard se posa sur le cercueil vide, puis sur Harry. Un regard de stupeur passa sur son visage, bien vite remplacé par un sourire.
-Professeur, demanda Harry, qu'est-ce que je fais ici?
-Viens, suis moi ,Harry, je t'expliquerai une fois arrivés à mon bureau.
Il vint se placer derrière Harry et posa ses mains sur ses épaules. Dehors le ciel était nuageux et tous les élèves attendaient à l'extérieur. Les premiers qui le virent furent Ron et Hermione. Hermione poussa un petit cri en le voyant et Ron était sans voix. Harry et Dumbledore se frayèrent un chemin jusqu'à son bureau. Il fit asseoir Harry et le regarda longuement.
-Que s'est-il passé, professeur?
-Et bien, il y a deux jours, il semblerait que tu sois sorti au bord du lac. Toute l'école t'a entendu pousser d'horribles cris. Plusieurs élèves disent avoir vu une grande lumière verte pendant quelques secondes. Lorsque nous sommes allés voir ce qu'il en était, nous t'avons trouvé là, mort. Maintenant Harry, je voudrais que tu me dises ce qui est arrivé.
Harry lui raconta en détail ce qui lui est arrivé.
-Tu sais Harry, j'ai vraiment cru que tu nous avait quitté, mais je suis heureux que tu ailles bien.
-Professeur, comment ça se fait que le sort ne m'aie pas tué?
-Ça , je l'ignore Harry, lui répondit son professeur avec un air étrange.
Harry fut alors persuadé que son professeur mentais.
-Bon je vais t'accompagné jusqu'à l'infirmerie, car pour le moment ce dont tu as besoin est du calme et du repos.
Ils ne rencontrèrent personne en chemin et ils arrivèrent bien vite devant la porte de l'infirmerie. À l'intérieur, ils y trouvèrent madame Pomfresh, Ron et Hermione. Celle-ci se jeta sur lui et éclata en sanglots. Ron quand à lui tentait tant bien que mal de refouler ses larmes. Harry revêtit un pyjama et se coucha dans un lit. Hermione et Ron s'assirent près de lui. Madame Pomfresh lui donna à boire l'une de ses potions qui permettent de dormir d'un sommeil sans rêve. Le lendemain, Harry put reprendre ses cours.
Harry marchait en direction de la tour de Gryffondor , complètement crevé. Il lui avait fallut un bon moment pour faire comprendre au 2e années, à qui il enseignait la DCFM, qu'il pas un fantôme et qu'il était bien vivant. À cette heure, la salle commune était presque vide. Je dis presque , car deux jeunes gens et une gros chien noir semblait l'attendre.
-Alors tu vas bien , Harry?
-Oui, je vais bien, Sirius.
-Je vous conseille d'aller vous coucher tous les trois, demain vous aurez une dure journée, car vous vous entraînez avec moi à devenir animagus.
Ils montèrent les marches menant à leur dortoir et tous les trois s'endormirent bien vite.