Merci à tous les reviewers qui m'ont vraiment encouragée.
Je tiens à m'excuser pour le retard, mais j'ai repris les cours à la fac, et c'est pas toujours évident d'écrire quand on a les cours à côté. J'espère que vous me pardonnez.
Concernant le fait que le site va peut-être supprimer la section comme l'a dit Mymye-Potter, j'ignore si c'est vrai, mais il est vrai qu'ils l'ont annoncé au début du mois de septembre. Quoi qu'il en soit, si vous voulez la suite, vous pouvez me demander de vous l'envoyer par mail, il suffit de m'écrire, mon adresse est minhou@club-internet.fr
Quelques réponses aux questions :
Luffynette : l'Héritier n'est pas le fils de Voldemort, mais je ne t'en dis pas plus sinon y'a plus de suspense.
Valérie : merci pour tes reviews successives, mais tu me flattes vraiment. Il doit avoir d'autres fics bien plus intéressants que la mienne. Si tu lis l'anglais, tu comprendras ce que je veux dire. Il y en a certaines qui sont époustouflantes. Je te conseille même d'aller voir dans la liste de mes auteurs favoris.
Et merci aussi à Molianne, Zigmo et Mymye-Potter.
Place au chapitre 9 !
Chapitre 9 : Inquiétudes
Le Collège semblait pris de panique. A l'annonce de la mort de Dumbledore, Gryffondor, Serdaigle et Pouffsouffle paniquèrent, tandis que les Serpentards souriaient, triomphants. La directrice les calma tant bien que mal, puis Harry prit la parole.
- Vous n'avez rien à craindre. Poudlard est l'endroit le mieux protégé en Angleterre. Cet Héritier, qui que ce soit, sera arrêté très vite.
Les élèves furent priés de se rendre en cours, mais les septième année de Gryffondor et Serpentard en furent dispensés car Hermione n'était pas encore réveillée. Ginny rejoignit Harry, Ron et Sirius. Elle se blottit instantanément dans les bras de Harry.
- C'est terrible ce qui arrive.
Harry acquiesça en caressant les doux cheveux de la jeune fille.
- J'ai tellement peur pour vous deux. . . Mais où est Hermione ?
Ron et Harry échangèrent un regard.
- Elle se repose, répondit son frère. Elle a eu énormément d'émotions cette nuit.
- Vous me cachez quelque chose tous les deux, reprocha Ginny.
- L'Héritier a tué ses parents, avoua Ron.
Ginny émit une exclamation étouffée.
- Seigneur. . . Allons la voir.
- Non, s'opposa Harry. Laissons-la se reposer. Elle est épuisée.
Ginny soupira. Harry avait raison. Mais elle avait terriblement envie de voir Hermione. Toutes deux étaient devenues étonnament proches depuis qu'Hermione était devenue préfète en cinquième année.
A ce moment, Hermione parut dans la Salle Commune de Gryffondor. Presque instantanément, elle fut entourée de ses trois amis.
- Seigneur, Hermione, comment vas-tu ? demanda Ginny.
- Ginny, voyons, quelle question ! murmura Ron.
- Laisse Ron, intervint Hermione. Je vais bien, merci. Tu sais sans doute ce qu'il s'est passé cette nuit.
Ginny acquiesça.
- Je suis désolée pour tes parents.
- C'est gentil de ta part.
Soudain, Hermione fronça les sourcils.
- Quelle heure est-il ? Pourquoi n'es-tu pas en cours ?
- Eh bien. . . il est neuf heures. . . et comme tu n'étais pas en état de faire cours. . .
- Mais bien sûr que je suis en état. Ginny va prévenir tes camarades et les Serpentards. Je veux tous vous voir dans ma classe dans dix minutes.
- D'accord, j'y vais.
Elle embrassa Harry et sortit de la Salle Commune en courant. Les deux jeunes hommes fixèrent gravement Hermione.
- Ne faites pas cette tête ! J'ai besoin de penser à quelque chose d'autre que. . .
- Nous comprenons Hermione, assura Harry. Mais. . .
- J'ai récupéré mes forces Harry. J'ai une faveur à vous demander à tous les deux.
- Tout ce que tu voudras.
- Etant donné que je ne peux pas retourner à Londres. . . Est-ce que vous pourriez vous occuper des funérailles de mes parents ?
- Bien entendu, accepta Ron. Londres est devenue dangereuse, puisque tu es la prochaine victime. Tu seras en sécurité ici avec les professeurs de Poudlard. Jamais il n'osera s'attaquer à toi avec tous les puissants sorciers qui t'entourent.
Hermione hocha la tête.
- Merci vous deux. Dès que tout danger sera écarté, j'irai me recueillir sur la tombe de mes parents. Bien. Je dois aller en cours maintenant.
Harry et Ron la regardèrent quitter la salle. Elle essayait de se montrer forte, mais on devinait sa tristesse dans ses grands yeux noisette. Ron secoua sa tête.
- Elle ne mérite pas ce qu'il lui arrive.
Hermione fut accueillie par les regards emplis de sympathie des Gryffondors et les sourires méprisants des Serpentards. Il fallait qu'elle impose son autorité de toute urgence.
- Bonjour à tous. Personne n'ignore sans doute les événements graves qui sont survenus la nuit dernière.
- Ouais, il semblerait que deux moldus ont été tués, annonça un Serpentard. Tu les connais peut-être, Granger.
Hermione le fusilla du regard.
- Dorénavant, ce sera Professeur Granger pour vous tous, déclara-t-elle en lançant un bref regard à Ginny. Et pour votre information, Parker, ces moldus qui ont été sauvagement assassinés étaient mes parents. A présent, je n'attends plus que le moment où cet Héritier va être arrêté et envoyé à Azkaban pour y subir la peine capitale : le baiser du Détraqueur. Et le sujet est clos. Je ne veux plus entendre une allusion à cet imposteur. Est- ce clair ?
Tous acquiescèrent. Même les Serpentards étaient impressionnés par la lueur glaciale dans le regard de leur professeur. Ginny n'avait jamais vu Hermione dans un tel état de fureur. Elle commença son cours dans un silence teinté de respect.
Tous les étudiants virent arriver la fin du cours avec soulagement. Ginny s'approcha timidement d'Hermione.
- Ne t'inquiète pas Ginny. Je n'ai rien après toi.
- Tu avais l'air tellement en colère tout à l'heure.
- Les Serpentards vont profiter de la situation et si nous n'y mettons pas un frein, ce sera l'anarchie totale.
- Je comprends. Dois-je aussi t'appeler Professeur Granger ?
- Seulement en présence des autres. Maintenant dépêche-toi d'aller en Potions.
Ginny partit.
Lorsqu'Hermione parut dans la Grande Salle à l'heure du déjeuner, toutes les têtes se tournèrent vers elle. Elle ne s'en soucia pas et alla s'asseoir entre Sirius et Minerva. Sirius engagea aussitôt la conversation.
- Comment te sens-tu ?
- Bien. . . Enfin, aussi bien que possible après la nuit dernière. Harry et Ron sont partis ?
- Oui. Ils sont retournés à Londres. A ta demande, paraît-il.
- Oui. Je leur ai demandé de s'occuper des funérailles étant donné que je ne peux m'y rendre.
- Tu as eu raison. Tu es la prochaine victime de ce fou furieux.
- Je le sais. Mais j'aimerai tant le combattre. Cela ne me ressemble pas de me cacher ainsi.
- En effet, sourit Sirius. Harry, Ron et toi avez toujours été entraînés dans les histoires les plus abracadabrantes.
- Disons que nous avons l'art de nous attirer les ennuis en permanence. Quoi qu'il en soit, je n'ai pas l'intention de me laisser abattre. J'assumerai mon rôle de professeur jusqu'au bout.
- Voilà qui est bien parlé, Mlle Granger, intervint Minerva Mc Gonagall.
- Merci Minerva. La seule chose qui m'inquiète à présent serait qu'il s'en prenne à des innocents.
- En effet. Espérons que les Auros l'arrêteront vite.
Je tiens à m'excuser pour le retard, mais j'ai repris les cours à la fac, et c'est pas toujours évident d'écrire quand on a les cours à côté. J'espère que vous me pardonnez.
Concernant le fait que le site va peut-être supprimer la section comme l'a dit Mymye-Potter, j'ignore si c'est vrai, mais il est vrai qu'ils l'ont annoncé au début du mois de septembre. Quoi qu'il en soit, si vous voulez la suite, vous pouvez me demander de vous l'envoyer par mail, il suffit de m'écrire, mon adresse est minhou@club-internet.fr
Quelques réponses aux questions :
Luffynette : l'Héritier n'est pas le fils de Voldemort, mais je ne t'en dis pas plus sinon y'a plus de suspense.
Valérie : merci pour tes reviews successives, mais tu me flattes vraiment. Il doit avoir d'autres fics bien plus intéressants que la mienne. Si tu lis l'anglais, tu comprendras ce que je veux dire. Il y en a certaines qui sont époustouflantes. Je te conseille même d'aller voir dans la liste de mes auteurs favoris.
Et merci aussi à Molianne, Zigmo et Mymye-Potter.
Place au chapitre 9 !
Chapitre 9 : Inquiétudes
Le Collège semblait pris de panique. A l'annonce de la mort de Dumbledore, Gryffondor, Serdaigle et Pouffsouffle paniquèrent, tandis que les Serpentards souriaient, triomphants. La directrice les calma tant bien que mal, puis Harry prit la parole.
- Vous n'avez rien à craindre. Poudlard est l'endroit le mieux protégé en Angleterre. Cet Héritier, qui que ce soit, sera arrêté très vite.
Les élèves furent priés de se rendre en cours, mais les septième année de Gryffondor et Serpentard en furent dispensés car Hermione n'était pas encore réveillée. Ginny rejoignit Harry, Ron et Sirius. Elle se blottit instantanément dans les bras de Harry.
- C'est terrible ce qui arrive.
Harry acquiesça en caressant les doux cheveux de la jeune fille.
- J'ai tellement peur pour vous deux. . . Mais où est Hermione ?
Ron et Harry échangèrent un regard.
- Elle se repose, répondit son frère. Elle a eu énormément d'émotions cette nuit.
- Vous me cachez quelque chose tous les deux, reprocha Ginny.
- L'Héritier a tué ses parents, avoua Ron.
Ginny émit une exclamation étouffée.
- Seigneur. . . Allons la voir.
- Non, s'opposa Harry. Laissons-la se reposer. Elle est épuisée.
Ginny soupira. Harry avait raison. Mais elle avait terriblement envie de voir Hermione. Toutes deux étaient devenues étonnament proches depuis qu'Hermione était devenue préfète en cinquième année.
A ce moment, Hermione parut dans la Salle Commune de Gryffondor. Presque instantanément, elle fut entourée de ses trois amis.
- Seigneur, Hermione, comment vas-tu ? demanda Ginny.
- Ginny, voyons, quelle question ! murmura Ron.
- Laisse Ron, intervint Hermione. Je vais bien, merci. Tu sais sans doute ce qu'il s'est passé cette nuit.
Ginny acquiesça.
- Je suis désolée pour tes parents.
- C'est gentil de ta part.
Soudain, Hermione fronça les sourcils.
- Quelle heure est-il ? Pourquoi n'es-tu pas en cours ?
- Eh bien. . . il est neuf heures. . . et comme tu n'étais pas en état de faire cours. . .
- Mais bien sûr que je suis en état. Ginny va prévenir tes camarades et les Serpentards. Je veux tous vous voir dans ma classe dans dix minutes.
- D'accord, j'y vais.
Elle embrassa Harry et sortit de la Salle Commune en courant. Les deux jeunes hommes fixèrent gravement Hermione.
- Ne faites pas cette tête ! J'ai besoin de penser à quelque chose d'autre que. . .
- Nous comprenons Hermione, assura Harry. Mais. . .
- J'ai récupéré mes forces Harry. J'ai une faveur à vous demander à tous les deux.
- Tout ce que tu voudras.
- Etant donné que je ne peux pas retourner à Londres. . . Est-ce que vous pourriez vous occuper des funérailles de mes parents ?
- Bien entendu, accepta Ron. Londres est devenue dangereuse, puisque tu es la prochaine victime. Tu seras en sécurité ici avec les professeurs de Poudlard. Jamais il n'osera s'attaquer à toi avec tous les puissants sorciers qui t'entourent.
Hermione hocha la tête.
- Merci vous deux. Dès que tout danger sera écarté, j'irai me recueillir sur la tombe de mes parents. Bien. Je dois aller en cours maintenant.
Harry et Ron la regardèrent quitter la salle. Elle essayait de se montrer forte, mais on devinait sa tristesse dans ses grands yeux noisette. Ron secoua sa tête.
- Elle ne mérite pas ce qu'il lui arrive.
Hermione fut accueillie par les regards emplis de sympathie des Gryffondors et les sourires méprisants des Serpentards. Il fallait qu'elle impose son autorité de toute urgence.
- Bonjour à tous. Personne n'ignore sans doute les événements graves qui sont survenus la nuit dernière.
- Ouais, il semblerait que deux moldus ont été tués, annonça un Serpentard. Tu les connais peut-être, Granger.
Hermione le fusilla du regard.
- Dorénavant, ce sera Professeur Granger pour vous tous, déclara-t-elle en lançant un bref regard à Ginny. Et pour votre information, Parker, ces moldus qui ont été sauvagement assassinés étaient mes parents. A présent, je n'attends plus que le moment où cet Héritier va être arrêté et envoyé à Azkaban pour y subir la peine capitale : le baiser du Détraqueur. Et le sujet est clos. Je ne veux plus entendre une allusion à cet imposteur. Est- ce clair ?
Tous acquiescèrent. Même les Serpentards étaient impressionnés par la lueur glaciale dans le regard de leur professeur. Ginny n'avait jamais vu Hermione dans un tel état de fureur. Elle commença son cours dans un silence teinté de respect.
Tous les étudiants virent arriver la fin du cours avec soulagement. Ginny s'approcha timidement d'Hermione.
- Ne t'inquiète pas Ginny. Je n'ai rien après toi.
- Tu avais l'air tellement en colère tout à l'heure.
- Les Serpentards vont profiter de la situation et si nous n'y mettons pas un frein, ce sera l'anarchie totale.
- Je comprends. Dois-je aussi t'appeler Professeur Granger ?
- Seulement en présence des autres. Maintenant dépêche-toi d'aller en Potions.
Ginny partit.
Lorsqu'Hermione parut dans la Grande Salle à l'heure du déjeuner, toutes les têtes se tournèrent vers elle. Elle ne s'en soucia pas et alla s'asseoir entre Sirius et Minerva. Sirius engagea aussitôt la conversation.
- Comment te sens-tu ?
- Bien. . . Enfin, aussi bien que possible après la nuit dernière. Harry et Ron sont partis ?
- Oui. Ils sont retournés à Londres. A ta demande, paraît-il.
- Oui. Je leur ai demandé de s'occuper des funérailles étant donné que je ne peux m'y rendre.
- Tu as eu raison. Tu es la prochaine victime de ce fou furieux.
- Je le sais. Mais j'aimerai tant le combattre. Cela ne me ressemble pas de me cacher ainsi.
- En effet, sourit Sirius. Harry, Ron et toi avez toujours été entraînés dans les histoires les plus abracadabrantes.
- Disons que nous avons l'art de nous attirer les ennuis en permanence. Quoi qu'il en soit, je n'ai pas l'intention de me laisser abattre. J'assumerai mon rôle de professeur jusqu'au bout.
- Voilà qui est bien parlé, Mlle Granger, intervint Minerva Mc Gonagall.
- Merci Minerva. La seule chose qui m'inquiète à présent serait qu'il s'en prenne à des innocents.
- En effet. Espérons que les Auros l'arrêteront vite.
