Bon, voilà le chapitre 12…. ! Maintenant, j'suis en "vacances"
d'avant-bac… ! Donc j'en profite (je sais, j'suis pas sérieuse… !) Mais
j'suis vraiment pas motivée pour réviser mon SVT et mon français… J'préfère
avancer mon Harry Potter
Alors, comme, d'habitude, merci à…. Sailor Digitale, Clem, Hermione 359, dumbledore, kpu…
Disclaimer : Comme toujours, les personnages ne sont pas à moi… mais à JKR… !
Titre : Harry Potter et ses Anges gardiens
Auteur : Cécilia
Résumé du chapitre précédent : Un rêve des plus "démoralisant", la découverte que Krum et Hermione ont cassés, tout cela sur fond de stage de Quidditch… !
Résumé de ce chapitre : Harry démoralise toujours, mais plus pour très longtemps… ! La fin du stage et du mois d'août, en TRES abrégé… !
Allez, bonne lecture… ! (enfin, j'espère…)
Chapitre 12 : Derniers jours de vacances
«- NON !!! Non, non, non !!!!
- Harry… ! Harry, réveille-toi bon sang… !Tu fais un cauchemar… ! »
L'adolescent retrouva ses esprit violemment. Il avait gardé ses lunettes et il mit un peu de temps avant de réalisé où il se trouvait…
En effet, la veille il était resté dans la Salle Commune, avec l'ensemble de ses livres de classe, afin de s'occuper suffisamment pour ne pas s'endormir… Malheureusement, il semblait bien qu'il ait, quand même, plongé dans le sommeil car il avait refait, de nouveau, le cauchemar qui le poursuivait depuis quasiment un mois, à présent…
Jetant un regard autour de lui, il aperçu le visage inquiet de Hermione, penchée au dessus de lui.
«- Ron est partit cherché Dumbledore.. ! lança-t-elle.
- C'est pas la peine, je vais… ! rétorqua-t-il.
- Non, Harry ! Tu ne vas pas bien… ! riposta-t-elle. Dire ça serait un mensonge… ! Tu as beau prétendre le contraire, ça se voit que tu as des soucis… ! Tu fais tout ce que tu peux pour ne pas dormir, visiblement pour ne pas faire de cauchemars, et tu as une mine épouvantable… ! On a tous fait semblant d'ignorer ça, mais, je ne supporte plus de te voir dans cette état, Harry !
- J'ai juste fait un cauchemar… ! Rien de plus… ! grogna Harry. Et puis, tu… ! »
Le tableau pivota, l'interrompant, et Ron, Dumbledore et Sirius pénétrèrent dans la Salle Commune. Ces derniers semblaient s'être habillés précipitamment.
« C'est pas vrai… ! » marmonna Harry, en se disant que tout le monde semblait s'être donné le mot… !
Ce n'était pas la première fois qu'il faisait des cauchemar, alors ce n'était pas la peine d'en faire une "affaire d'Etat"… Et puis, pour une fois, ça n'avait pas de rapport, direct du moins, avec les projets de Voldemort… !
Un bref regard à l'adresse de l'adolescent suffit à Dumbledore pour avoir une idée de ce qui c'était passé…
«- Miss Granger, Mr Weasley… ! lança-t-il. Vous feriez bien de regagner vos dortoirs… !
- Mais… ?
- Et ne vous en faites pas de souci pour Harry… ! Allez, dépêchez- vous d'aller vous coucher… !
- Oui, professeur ! » céda Ron, croisant momentanément le regard de son ami, avant de partir vers les dortoirs, en compagnie de Hermione.
Harry avait la tête entre les mains, assis dans le fauteuil où il s'était endormi.
«- J'en peux plus… ! murmura-t-il. C'est au-delà de la limite du supportable… !
- Qu'est-ce qui c'est passé, Harry ? demanda, d'une voix douce, Dumbledore. Si tu veux en parler, tu… !
- En parler… ? rétorqua Harry. C'est facile à dire… ! Personne ne peut comprendre, personne… !
- Je sais Harry que, dans ton cas, personne ne peut seulement prétendre pouvoir comprendre ce que tu éprouves… ! l'interrompit le directeur. Mais, tu peux, au moins, te confier à nous… ! Ca pourrait te permettre d'éclaircir certains de tes problèmes… ! »
Harry ne répondit pas, mais releva les yeux et rencontra le regard inquiet du vieil homme. Il était hors de question qu'il se confie, jamais, à quelqu'un… Même si, de tout son entourage, Dumbledore était la personne la plus à même de le comprendre, enfin, en partie… !
« Ca à un rapport avec ce que Sirius t'as montré, n'est-ce pas… ? » continua le directeur, calmement.
Harry acquiesça d'un signe de tête, se demandant toujours comment Dumbledore pouvait le cerner aussi bien.
Sirius échangea un regard avec le directeur.
« Depuis… ! commença, dans un murmure, l'adolescent, au bout d'un moment, la tête, à nouveau, entre les mains. Depuis…, tous les soirs…, je… ! Je revois… ce qui c'est passé… le soir…où Voldemort a…tué mes parents… ! »
Ni Sirius ni le directeur ne prononça un mot. Tous deux échangèrent un regard attristé puis Sirius vint s'asseoir près de son filleul et posa la main sur son épaule.
«- Harry, je suis désolé… ! Je n'aurai jamais dû te montrer tout ça… !
- Tu as fait ce qu'il fallait, Sirius ! » assura l'adolescent.
Sur ce, il se leva et partit vers son dortoir, après un vague "désolé de vous avoir dérangé pour des trucs sans importances… ! Bonne nuit… !". Sirius voulut dire quelque chose, mais Dumbledore l'interrompit d'un geste.
« Laissons-le… ! » lança-t-il.
Sirius hésita puis céda et tous deux quittèrent la Tour des Gryffondor, alors que trois heures sonnaient, quelque part dans le château.
Pendant ce temps, Harry était remonté dans son dortoir. Là, il alla s'installer sur le rebord de la fenêtre et l'ouvrit, profitant de l'air frais de la nuit qui, pour une fois, ne lui apporta aucun réconfort. Machinalement, il enleva la chaîne qu'il portait et observa, distraitement, à la pâle lueur qu'offrait la lune, la médaille qui brillait entre ses doigts.
S'il n'avait pas été le dernier héritier de Gryffondor, jamais il n'aurait été en première place sur la "liste des bêtes noires" de Voldemort… ! Jamais rien de tout ça ne lui serait arrivé… ! Dans un mouvement de colère, il jeta la médaille par la fenêtre, espérant, inutilement, se débarrasser, ainsi de la cause de ses problèmes.
« Bon débarras ! marmonna-t-il. J'en ai plus qu'assez de toutes ces histoires dont je ne sais rien, de tous ces secrets qu'on me fait… ! J'en ai ras le bol… ! »
Sur ce, il regagna son lit où il resta un long moment à fixer le plafond.
* * * * *
Une ombre silencieuse passa au dessus du Parc. Un éclat doré attira l'attention du volatile qui, en deux coups d'ailes, avait atteint l'endroit où une petite pierre dorée reflétait, la pâle lueur de la nouvelle lune. Le rapace se posa dans l'herbe, après s'être assuré que la voie était libre, ébouriffa ses plumes et sautilla jusqu'à la pierre qu'il prit, précautionneusement, dans son bec. Reprenant son vol, l'animal partit en direction de la Tour des Gryffondor, ses yeux brillants étrangement dans l'obscurité.
* * * * *
La première chose que vit Harry, en ce matin du 31 août, à son réveil (il s'était finalement endormi, malgré tous ses efforts pour ne pas le faire, mais n'avait fait aucun cauchemar cette fois…), une fois qu'il eut remis ses lunettes, fut la pierre doré qui brillait dans son écrin, sur sa table de chevet.
« Qu'est-ce que… ? marmonna-t-il, perplexe, reconnaissant parfaitement la pierre, qui avait reprit son aspect d'origine, des Gryffondor. C'est pas possible… ! J'l'ai pourtant jeté, hier soir, par la fenêtre… ! »
Il commençait à se demander s'il ne rêvait pas lorsqu'il aperçut un parchemin, plié, qui dépassait de sous l'écrin. Encore plus stupéfait, il tendit la main et attrapa la feuille jaunie, qu'il déplia. Le mot n'était pas signé et l'écriture ne disait rien à Harry mais il parcourut, tout de même, les quelques mots qui y étaient inscrits.
« Harry,
Ce que tu as fait n'est pas très malin… Cette pierre est plus importante que tu ne peux, pour l'instant, l'imaginer… !
Je sais que ta vie est loin d'être facile mais tu ne peux pas fuir ton destin… ! Tu es né pour triompher de Voldemort et tu le feras… ! Toi seul peut le faire car seul un héritier de Gryffondor peut avoir les pouvoirs nécessaires… !
Garde la pierre sur toi, elle te sera utile, je peux te l'assurer… !
Autre chose, tu ne dois pas te laisser manipulé par le remord et la culpabilité que tu éprouves… ! Rien n'arrive par hasard… ! Et tu dois apprendre à ce que tes faiblesses deviennent tes forces et à mettre tes regrets de côté… ! Vis au présent, Harry…, ça ne sert à rien de repenser toujours au passé, même si c'est vrai que c'est ton passé qui revient constamment à la charge… ! Mais ces expériences ne peuvent que t'endurcir d'avantage… ! Tu dois reprendre le dessus, pour tes amis et pour tous ceux qui ont foi en toi… !
Fais attention à toi… ! »
Harry fronça les sourcils, songeur. Alors, il était le seul à pouvoir vaincre Voldemort ? Pourtant, il n'était pas le seul héritier de Gryffondor, vu que Dumbledore l'était également… ! Ce n'était pas logique… ! Il réfléchit pendant un long moment puis se décida. Il soupira, attrapa l'écrin et en sortit la pierre dorée qui étincela dans sa main.
« Metamorphis bullae ! »
( Nda : c'est qu'une approximation car mon dico de latin me donne que la traduction des mots latin, or comme moi je cherche la traduction du mot français en latin, ça m'avance pas… ! Donc j'ai pris "bulla-ae" qui est "une médaille dorée que les jeunes nobles romains portaient jusqu'à leur majorité"… ! Voilà c'est que du bla-bla inutile, mais je préférait préciser…)
La pierre reprit aussitôt sa forme de médaille et l'adolescent remit la chaînette à sa place.
* * * * *
Le stage s'achevait sur petit discours des joueurs qui, pendant quatre semaines, avaient encadrés les élèves. Ce jour-là, en cette fin du mois d'août, les joueurs de l'équipe Irlandaise avaient offert une "petite surprise" en défiant, tour à tour, l'équipe "officielle" des quatre maisons pour des petits matchs amicaux.
En début de soirée, après que les élèves eurent regagnés le château, ils s'étaient retrouvés confrontés à deux Cognards déchaînés que Peeves (l'esprit frappeur du château, un petit fantôme caquetant et à l'air sec qui adorait faire jouer des mauvais tours aux gens) et il avait fallut l'intervention de tous les professeurs présents et des neufs joueurs invités (surtout Verpey, Quigley et Connolly (qui, en tant que Batteurs, avaient une certaines expérience en la matière de calmer un Cognard en furie)), et deux heures de patience, pour ramener l'ordre dans l'école.
Mais, à présent, à l'heure du dîner, tout le monde était rassemblé dans la Grande Salle. Dumbledore prit la parole, imposant ainsi le silence parmi la foule des élèves, une fois que les plats eurent retrouvés leur éclat d'origine.
« Le stage de Quidditch s'achève, en même temps que vos vacances… ! commença-t-il, à l'adresse des élèves. Je tiens à vous remercier pour avoir accepter, en si grand nombre, de passer un mois de vos vacances à Poudlard et pour avoir jouer le jeu dans la bonne humeur… ! J'espère que ce stage vous aura été des plus profitables à tous… et que ce que vous y avez appris vous sera utile cette année… ! Mais je tiens à remercier également à nos invités qui ont eut la gentillesse d'accepter de se joindre à nous car le bon déroulement du stage n'aurait pû, vous vous en doutez bien, se passer dans de bonne conditions… ! Alors, je vous prierai de vouloir applaudir comme ils se doit messieurs Verpey, Troy, Morane, Lynch, Connolly, Ryan, Quigley, Mullet et Krum… ! »
Un tonnerre d'applaudissements et d'acclamations s'éleva dans la Grande Salle, en réponse à la demande de Dumbledore. Les joueurs, à la table des professeurs affichaient un large sourire, excepté Krum (qui paraissait toujours aussi bougon…).
Finalement, Dumbledore instaura, à nouveau le silence.
«- Merci… ! Bon, à présent, je laisse la parole à Ludovic Verpey… ! ajouta-t-il, en se tournant vers l'intéressé.
- Mes collègues et moi-même avons beaucoup apprécié passer ces quelques semaines avec vous… ! Vous vous êtes tous donnés à fond et ça a été une joie de vous apprendre tout ce que nous savons… ! Certains d'entre vous sont voués à un grand avenir dans le Quidditch, cela ne fait aucun doute… ! Au nom de mes collègues, je remercie donc tous les élèves, pour leur dynamisme et leur spontanéité durant ce stage, et le professeur Dumbledore pour nous avoir invités à y prendre part… ! Alors, je le répète, merci à vous tous…. ! »
De nouveau applaudissements retentirent parmi les élèves, jusqu'à ce que l'un d'eux. La soirée se termina dans la joie et la bonne humeur, la majorité des élèves allant demandés aux joueur des dédicaces, ce qu'ils firent avec plaisir.
Vers minuit, les élèves se rassemblèrent dans le Parc, pour le départ des neuf joueurs, avant de regagner leur dortoir respectif, où tous (Harry inclus) s'endormirent rapidement.
Bon, franchement, ce chapitre est vraiment pas génial… ! D'abord il fait que cinq pages et puis il est nul mais j'avais pas envie de me lancer dans des descriptions de matchs, pour l'instant… ! Mais vous découvrirez rapidement la raison d'être de ce stage… !
Chapitre suivant : Une rentrée surprenante, avec une petite "mise en bouche" qui, j'espère, vous plaira… :
" Tout le monde observait le groupe des nouveaux élèves qui, s'avançaient, timidement, en suivant le professeur McGonagall, jusqu'à la table des professeurs, devant laquelle ils s'alignèrent, sous les regards des autres élèves.
«- Eh, regarde ! s'exclama soudain Ron, en désignant une fille brune aux yeux bleus sombres qui dénotait du groupe des nouveaux. Ca m'étonnerait qu'elle ait onze ans… !
- Elle doit avoir notre âge… ! confirma Hermione, en observant la jeune fille avec attention. Elle doit sûrement venir d'une autre école… ! Je dirai l'Institut de Salem, l'école des Etats-Unis… ! suggéra-t-elle.
- En tout cas, elle est plutôt mignonne… ! commenta distraitement Ron.
- Ron… ! s'indigna son amie. Tu ne la connais même pas… ! Harry, ça ne va pas… ? s'inquiéta-t-elle en réalisant que son camarade, jetant un regard à la nouvelle, avait esquissé un geste en direction de son front.
- C'est rien… ! C'est simplement ma cicatrice qui… !
- Justement, Harry… ! Le fait qu'elle te fasse mal, ce n'est pas "rien" comme tu le dis… ! Et… !
- Eh, la Répartition va commencer… ! » s'exclama Ginny qui assise un peu plus loin, mis ainsi fin à leur conversation."
Voilà, alors, j'espère que ça vous dit… !
Bon, pour les petits mots…
Sailor Digitale… : EN effet, c à cause de Ron… ! Pour l'oiseau, c un animagus mais, pour comrendre, il faudrait que tu lise HP et le mystère de la chouette effraie et tu auras la réponse
Clem… ! Tiens, toi aussi t'as le bac… ? Eh bien, tu vas être servie
Hermione 359 : Non, c'est pas Elsa… !
Alors, comme, d'habitude, merci à…. Sailor Digitale, Clem, Hermione 359, dumbledore, kpu…
Disclaimer : Comme toujours, les personnages ne sont pas à moi… mais à JKR… !
Titre : Harry Potter et ses Anges gardiens
Auteur : Cécilia
Résumé du chapitre précédent : Un rêve des plus "démoralisant", la découverte que Krum et Hermione ont cassés, tout cela sur fond de stage de Quidditch… !
Résumé de ce chapitre : Harry démoralise toujours, mais plus pour très longtemps… ! La fin du stage et du mois d'août, en TRES abrégé… !
Allez, bonne lecture… ! (enfin, j'espère…)
Chapitre 12 : Derniers jours de vacances
«- NON !!! Non, non, non !!!!
- Harry… ! Harry, réveille-toi bon sang… !Tu fais un cauchemar… ! »
L'adolescent retrouva ses esprit violemment. Il avait gardé ses lunettes et il mit un peu de temps avant de réalisé où il se trouvait…
En effet, la veille il était resté dans la Salle Commune, avec l'ensemble de ses livres de classe, afin de s'occuper suffisamment pour ne pas s'endormir… Malheureusement, il semblait bien qu'il ait, quand même, plongé dans le sommeil car il avait refait, de nouveau, le cauchemar qui le poursuivait depuis quasiment un mois, à présent…
Jetant un regard autour de lui, il aperçu le visage inquiet de Hermione, penchée au dessus de lui.
«- Ron est partit cherché Dumbledore.. ! lança-t-elle.
- C'est pas la peine, je vais… ! rétorqua-t-il.
- Non, Harry ! Tu ne vas pas bien… ! riposta-t-elle. Dire ça serait un mensonge… ! Tu as beau prétendre le contraire, ça se voit que tu as des soucis… ! Tu fais tout ce que tu peux pour ne pas dormir, visiblement pour ne pas faire de cauchemars, et tu as une mine épouvantable… ! On a tous fait semblant d'ignorer ça, mais, je ne supporte plus de te voir dans cette état, Harry !
- J'ai juste fait un cauchemar… ! Rien de plus… ! grogna Harry. Et puis, tu… ! »
Le tableau pivota, l'interrompant, et Ron, Dumbledore et Sirius pénétrèrent dans la Salle Commune. Ces derniers semblaient s'être habillés précipitamment.
« C'est pas vrai… ! » marmonna Harry, en se disant que tout le monde semblait s'être donné le mot… !
Ce n'était pas la première fois qu'il faisait des cauchemar, alors ce n'était pas la peine d'en faire une "affaire d'Etat"… Et puis, pour une fois, ça n'avait pas de rapport, direct du moins, avec les projets de Voldemort… !
Un bref regard à l'adresse de l'adolescent suffit à Dumbledore pour avoir une idée de ce qui c'était passé…
«- Miss Granger, Mr Weasley… ! lança-t-il. Vous feriez bien de regagner vos dortoirs… !
- Mais… ?
- Et ne vous en faites pas de souci pour Harry… ! Allez, dépêchez- vous d'aller vous coucher… !
- Oui, professeur ! » céda Ron, croisant momentanément le regard de son ami, avant de partir vers les dortoirs, en compagnie de Hermione.
Harry avait la tête entre les mains, assis dans le fauteuil où il s'était endormi.
«- J'en peux plus… ! murmura-t-il. C'est au-delà de la limite du supportable… !
- Qu'est-ce qui c'est passé, Harry ? demanda, d'une voix douce, Dumbledore. Si tu veux en parler, tu… !
- En parler… ? rétorqua Harry. C'est facile à dire… ! Personne ne peut comprendre, personne… !
- Je sais Harry que, dans ton cas, personne ne peut seulement prétendre pouvoir comprendre ce que tu éprouves… ! l'interrompit le directeur. Mais, tu peux, au moins, te confier à nous… ! Ca pourrait te permettre d'éclaircir certains de tes problèmes… ! »
Harry ne répondit pas, mais releva les yeux et rencontra le regard inquiet du vieil homme. Il était hors de question qu'il se confie, jamais, à quelqu'un… Même si, de tout son entourage, Dumbledore était la personne la plus à même de le comprendre, enfin, en partie… !
« Ca à un rapport avec ce que Sirius t'as montré, n'est-ce pas… ? » continua le directeur, calmement.
Harry acquiesça d'un signe de tête, se demandant toujours comment Dumbledore pouvait le cerner aussi bien.
Sirius échangea un regard avec le directeur.
« Depuis… ! commença, dans un murmure, l'adolescent, au bout d'un moment, la tête, à nouveau, entre les mains. Depuis…, tous les soirs…, je… ! Je revois… ce qui c'est passé… le soir…où Voldemort a…tué mes parents… ! »
Ni Sirius ni le directeur ne prononça un mot. Tous deux échangèrent un regard attristé puis Sirius vint s'asseoir près de son filleul et posa la main sur son épaule.
«- Harry, je suis désolé… ! Je n'aurai jamais dû te montrer tout ça… !
- Tu as fait ce qu'il fallait, Sirius ! » assura l'adolescent.
Sur ce, il se leva et partit vers son dortoir, après un vague "désolé de vous avoir dérangé pour des trucs sans importances… ! Bonne nuit… !". Sirius voulut dire quelque chose, mais Dumbledore l'interrompit d'un geste.
« Laissons-le… ! » lança-t-il.
Sirius hésita puis céda et tous deux quittèrent la Tour des Gryffondor, alors que trois heures sonnaient, quelque part dans le château.
Pendant ce temps, Harry était remonté dans son dortoir. Là, il alla s'installer sur le rebord de la fenêtre et l'ouvrit, profitant de l'air frais de la nuit qui, pour une fois, ne lui apporta aucun réconfort. Machinalement, il enleva la chaîne qu'il portait et observa, distraitement, à la pâle lueur qu'offrait la lune, la médaille qui brillait entre ses doigts.
S'il n'avait pas été le dernier héritier de Gryffondor, jamais il n'aurait été en première place sur la "liste des bêtes noires" de Voldemort… ! Jamais rien de tout ça ne lui serait arrivé… ! Dans un mouvement de colère, il jeta la médaille par la fenêtre, espérant, inutilement, se débarrasser, ainsi de la cause de ses problèmes.
« Bon débarras ! marmonna-t-il. J'en ai plus qu'assez de toutes ces histoires dont je ne sais rien, de tous ces secrets qu'on me fait… ! J'en ai ras le bol… ! »
Sur ce, il regagna son lit où il resta un long moment à fixer le plafond.
* * * * *
Une ombre silencieuse passa au dessus du Parc. Un éclat doré attira l'attention du volatile qui, en deux coups d'ailes, avait atteint l'endroit où une petite pierre dorée reflétait, la pâle lueur de la nouvelle lune. Le rapace se posa dans l'herbe, après s'être assuré que la voie était libre, ébouriffa ses plumes et sautilla jusqu'à la pierre qu'il prit, précautionneusement, dans son bec. Reprenant son vol, l'animal partit en direction de la Tour des Gryffondor, ses yeux brillants étrangement dans l'obscurité.
* * * * *
La première chose que vit Harry, en ce matin du 31 août, à son réveil (il s'était finalement endormi, malgré tous ses efforts pour ne pas le faire, mais n'avait fait aucun cauchemar cette fois…), une fois qu'il eut remis ses lunettes, fut la pierre doré qui brillait dans son écrin, sur sa table de chevet.
« Qu'est-ce que… ? marmonna-t-il, perplexe, reconnaissant parfaitement la pierre, qui avait reprit son aspect d'origine, des Gryffondor. C'est pas possible… ! J'l'ai pourtant jeté, hier soir, par la fenêtre… ! »
Il commençait à se demander s'il ne rêvait pas lorsqu'il aperçut un parchemin, plié, qui dépassait de sous l'écrin. Encore plus stupéfait, il tendit la main et attrapa la feuille jaunie, qu'il déplia. Le mot n'était pas signé et l'écriture ne disait rien à Harry mais il parcourut, tout de même, les quelques mots qui y étaient inscrits.
« Harry,
Ce que tu as fait n'est pas très malin… Cette pierre est plus importante que tu ne peux, pour l'instant, l'imaginer… !
Je sais que ta vie est loin d'être facile mais tu ne peux pas fuir ton destin… ! Tu es né pour triompher de Voldemort et tu le feras… ! Toi seul peut le faire car seul un héritier de Gryffondor peut avoir les pouvoirs nécessaires… !
Garde la pierre sur toi, elle te sera utile, je peux te l'assurer… !
Autre chose, tu ne dois pas te laisser manipulé par le remord et la culpabilité que tu éprouves… ! Rien n'arrive par hasard… ! Et tu dois apprendre à ce que tes faiblesses deviennent tes forces et à mettre tes regrets de côté… ! Vis au présent, Harry…, ça ne sert à rien de repenser toujours au passé, même si c'est vrai que c'est ton passé qui revient constamment à la charge… ! Mais ces expériences ne peuvent que t'endurcir d'avantage… ! Tu dois reprendre le dessus, pour tes amis et pour tous ceux qui ont foi en toi… !
Fais attention à toi… ! »
Harry fronça les sourcils, songeur. Alors, il était le seul à pouvoir vaincre Voldemort ? Pourtant, il n'était pas le seul héritier de Gryffondor, vu que Dumbledore l'était également… ! Ce n'était pas logique… ! Il réfléchit pendant un long moment puis se décida. Il soupira, attrapa l'écrin et en sortit la pierre dorée qui étincela dans sa main.
« Metamorphis bullae ! »
( Nda : c'est qu'une approximation car mon dico de latin me donne que la traduction des mots latin, or comme moi je cherche la traduction du mot français en latin, ça m'avance pas… ! Donc j'ai pris "bulla-ae" qui est "une médaille dorée que les jeunes nobles romains portaient jusqu'à leur majorité"… ! Voilà c'est que du bla-bla inutile, mais je préférait préciser…)
La pierre reprit aussitôt sa forme de médaille et l'adolescent remit la chaînette à sa place.
* * * * *
Le stage s'achevait sur petit discours des joueurs qui, pendant quatre semaines, avaient encadrés les élèves. Ce jour-là, en cette fin du mois d'août, les joueurs de l'équipe Irlandaise avaient offert une "petite surprise" en défiant, tour à tour, l'équipe "officielle" des quatre maisons pour des petits matchs amicaux.
En début de soirée, après que les élèves eurent regagnés le château, ils s'étaient retrouvés confrontés à deux Cognards déchaînés que Peeves (l'esprit frappeur du château, un petit fantôme caquetant et à l'air sec qui adorait faire jouer des mauvais tours aux gens) et il avait fallut l'intervention de tous les professeurs présents et des neufs joueurs invités (surtout Verpey, Quigley et Connolly (qui, en tant que Batteurs, avaient une certaines expérience en la matière de calmer un Cognard en furie)), et deux heures de patience, pour ramener l'ordre dans l'école.
Mais, à présent, à l'heure du dîner, tout le monde était rassemblé dans la Grande Salle. Dumbledore prit la parole, imposant ainsi le silence parmi la foule des élèves, une fois que les plats eurent retrouvés leur éclat d'origine.
« Le stage de Quidditch s'achève, en même temps que vos vacances… ! commença-t-il, à l'adresse des élèves. Je tiens à vous remercier pour avoir accepter, en si grand nombre, de passer un mois de vos vacances à Poudlard et pour avoir jouer le jeu dans la bonne humeur… ! J'espère que ce stage vous aura été des plus profitables à tous… et que ce que vous y avez appris vous sera utile cette année… ! Mais je tiens à remercier également à nos invités qui ont eut la gentillesse d'accepter de se joindre à nous car le bon déroulement du stage n'aurait pû, vous vous en doutez bien, se passer dans de bonne conditions… ! Alors, je vous prierai de vouloir applaudir comme ils se doit messieurs Verpey, Troy, Morane, Lynch, Connolly, Ryan, Quigley, Mullet et Krum… ! »
Un tonnerre d'applaudissements et d'acclamations s'éleva dans la Grande Salle, en réponse à la demande de Dumbledore. Les joueurs, à la table des professeurs affichaient un large sourire, excepté Krum (qui paraissait toujours aussi bougon…).
Finalement, Dumbledore instaura, à nouveau le silence.
«- Merci… ! Bon, à présent, je laisse la parole à Ludovic Verpey… ! ajouta-t-il, en se tournant vers l'intéressé.
- Mes collègues et moi-même avons beaucoup apprécié passer ces quelques semaines avec vous… ! Vous vous êtes tous donnés à fond et ça a été une joie de vous apprendre tout ce que nous savons… ! Certains d'entre vous sont voués à un grand avenir dans le Quidditch, cela ne fait aucun doute… ! Au nom de mes collègues, je remercie donc tous les élèves, pour leur dynamisme et leur spontanéité durant ce stage, et le professeur Dumbledore pour nous avoir invités à y prendre part… ! Alors, je le répète, merci à vous tous…. ! »
De nouveau applaudissements retentirent parmi les élèves, jusqu'à ce que l'un d'eux. La soirée se termina dans la joie et la bonne humeur, la majorité des élèves allant demandés aux joueur des dédicaces, ce qu'ils firent avec plaisir.
Vers minuit, les élèves se rassemblèrent dans le Parc, pour le départ des neuf joueurs, avant de regagner leur dortoir respectif, où tous (Harry inclus) s'endormirent rapidement.
Bon, franchement, ce chapitre est vraiment pas génial… ! D'abord il fait que cinq pages et puis il est nul mais j'avais pas envie de me lancer dans des descriptions de matchs, pour l'instant… ! Mais vous découvrirez rapidement la raison d'être de ce stage… !
Chapitre suivant : Une rentrée surprenante, avec une petite "mise en bouche" qui, j'espère, vous plaira… :
" Tout le monde observait le groupe des nouveaux élèves qui, s'avançaient, timidement, en suivant le professeur McGonagall, jusqu'à la table des professeurs, devant laquelle ils s'alignèrent, sous les regards des autres élèves.
«- Eh, regarde ! s'exclama soudain Ron, en désignant une fille brune aux yeux bleus sombres qui dénotait du groupe des nouveaux. Ca m'étonnerait qu'elle ait onze ans… !
- Elle doit avoir notre âge… ! confirma Hermione, en observant la jeune fille avec attention. Elle doit sûrement venir d'une autre école… ! Je dirai l'Institut de Salem, l'école des Etats-Unis… ! suggéra-t-elle.
- En tout cas, elle est plutôt mignonne… ! commenta distraitement Ron.
- Ron… ! s'indigna son amie. Tu ne la connais même pas… ! Harry, ça ne va pas… ? s'inquiéta-t-elle en réalisant que son camarade, jetant un regard à la nouvelle, avait esquissé un geste en direction de son front.
- C'est rien… ! C'est simplement ma cicatrice qui… !
- Justement, Harry… ! Le fait qu'elle te fasse mal, ce n'est pas "rien" comme tu le dis… ! Et… !
- Eh, la Répartition va commencer… ! » s'exclama Ginny qui assise un peu plus loin, mis ainsi fin à leur conversation."
Voilà, alors, j'espère que ça vous dit… !
Bon, pour les petits mots…
Sailor Digitale… : EN effet, c à cause de Ron… ! Pour l'oiseau, c un animagus mais, pour comrendre, il faudrait que tu lise HP et le mystère de la chouette effraie et tu auras la réponse
Clem… ! Tiens, toi aussi t'as le bac… ? Eh bien, tu vas être servie
Hermione 359 : Non, c'est pas Elsa… !
