Chapitre 14 : La mort d'une proche
Trois jours plus tard, chez les Dursley.
Harry devait faire toutes les tâches ménagères des Dursley. Mais Harry les faisait sans rien dire. Il ne faisait pas grand-chose de ses journées. Il lisait ses livres de cours des années précédentes, faisait les tâches ingrates des Dursley et lisait des livres moldus.
Il était 22 heures du soir quand il remonta dans sa chambre, épuisé. Il sauta sur son lit. Un éclair zébra le ciel. Harry avait un très mauvais pressentiment qui lui faisait des frissons dans le dos. Il se mit en pyjama et tomba de fatigue. Il fit un rêve étrange :
Une voix familière qui l'appelait à son secours, impossible de reconnaître la voix, de grands cris, trois éclairs verts, puis plus rien. Plus aucun bruit à part des bruits de pas et soudain un rire glacial à faire froid dans le dos. Et une explosion retentit, avec le rire qui ne s'arrête pas.
Harry se réveilla en sueur après son cauchemar. Il regarda l'heure sur son réveil : deux heures du matin. Il n'avait dormi que pendant quatre heures ! Plein de questions lui traversaient l'esprit. Si vite qu'il n'avait pas le temps de chercher une réponse qu'il s'en posait déjà une autre.
Qui était cette voix mystérieuse ? Il la connaissait, mais impossible de s'en rappeler. La voix était accompagnée d'autres voix. Plus vieilles. Affolées. Terrorisées serait plus juste. Et les éclairs verts. Sans aucun doute des Avada Kedavra. Trois. À la suite les unes des autres. Et ce rire. Reconnaissable entre mille. VOLDEMORT. Son pire ennemi. Son ennemi de toujours. Était-ce un cauchemar prémonitoire, un cauchemar dont l'action se passe en même temps, ou un simple cauchemar ?
Pendant qu'Harry cherchait des réponses à la foule de question qu'il avait : une demi-heure était passé. Il se leva et prit une pomme dans la cuisine. Il retourna dans sa chambre, s'habilla, prit un livre moldu se nommant « Les pilleurs de sarcophages » et le lit. Il aimait bien ce livre. Il était certain qu'un des personnages était un sorcier ! Quand il eut finit de le lire, il était cinq heures. Il lui restait à peu près une heure avant de devoir préparer le petit déjeuner des Dursley. Il eut l'idée de se faire un journal intime. Il se mit à chercher dans les vieilles affaires de Dudley. Il trouva enfin son bonheur : Un petit cahier avec une petite serrure et une petite clé pour que personne ne puisse l'ouvrir. Il savait qu'un Alohomora suffirait pour l'ouvrir sans se fatiguer, mais il s'arrangerait pour l'ensorceler. Ou il demanderait à son amie Hermione si elle ne connaissait pas un sortilège. Elle savait tout sur tout. Il eut un pincement au c?ur en pensant à elle. Quelque chose qu'il n'avait jamais ressentit auparavant ! Mais il chassa Hermione de son esprit avec beaucoup de mal et commença à écrire son rêve avec le plus de détails possible. Il repensa à un détail étrange : Après les deux premiers Avada Kedavra, il avait entendu des corps tomber ! Mais pas pour le troisième ! Il avait à peine fini que des coups furent frappés à la porte et que la tante Pétunia s'époumonait :
« Harry vient préparer le petit déjeuner !
-J'arrive » dit-il
Le jeune sorcier prépara tous les repas, fit toute la vaisselle à la main, lava le linge, l'étendit, le rentra, fit les courses et rangea le salon ! C'est épuisé à la fin de la journée qu'il remonta à sa chambre.
En rentrant, il aperçu un hibou sur son lit. Il avait une enveloppe attachée à sa patte. Il était passé par la fenêtre ouverte. Harry s'approcha, détacha l'enveloppe et le laissa aller dans la cage d'Hedwige. Celle-ci était déjà partie. Harry ouvrit l'enveloppe et vit que c'était la gazette du sorcier ! Mais il n'était pas abonné ! Mais il compromit bien vite pourquoi il l'avait reçu ! Le gros titre était :
LES GRANGERS ONT ÉTÉ ASSASSINÉS !!
La voix n'était nul autre que celle d'Hermione !
Trois jours plus tard, chez les Dursley.
Harry devait faire toutes les tâches ménagères des Dursley. Mais Harry les faisait sans rien dire. Il ne faisait pas grand-chose de ses journées. Il lisait ses livres de cours des années précédentes, faisait les tâches ingrates des Dursley et lisait des livres moldus.
Il était 22 heures du soir quand il remonta dans sa chambre, épuisé. Il sauta sur son lit. Un éclair zébra le ciel. Harry avait un très mauvais pressentiment qui lui faisait des frissons dans le dos. Il se mit en pyjama et tomba de fatigue. Il fit un rêve étrange :
Une voix familière qui l'appelait à son secours, impossible de reconnaître la voix, de grands cris, trois éclairs verts, puis plus rien. Plus aucun bruit à part des bruits de pas et soudain un rire glacial à faire froid dans le dos. Et une explosion retentit, avec le rire qui ne s'arrête pas.
Harry se réveilla en sueur après son cauchemar. Il regarda l'heure sur son réveil : deux heures du matin. Il n'avait dormi que pendant quatre heures ! Plein de questions lui traversaient l'esprit. Si vite qu'il n'avait pas le temps de chercher une réponse qu'il s'en posait déjà une autre.
Qui était cette voix mystérieuse ? Il la connaissait, mais impossible de s'en rappeler. La voix était accompagnée d'autres voix. Plus vieilles. Affolées. Terrorisées serait plus juste. Et les éclairs verts. Sans aucun doute des Avada Kedavra. Trois. À la suite les unes des autres. Et ce rire. Reconnaissable entre mille. VOLDEMORT. Son pire ennemi. Son ennemi de toujours. Était-ce un cauchemar prémonitoire, un cauchemar dont l'action se passe en même temps, ou un simple cauchemar ?
Pendant qu'Harry cherchait des réponses à la foule de question qu'il avait : une demi-heure était passé. Il se leva et prit une pomme dans la cuisine. Il retourna dans sa chambre, s'habilla, prit un livre moldu se nommant « Les pilleurs de sarcophages » et le lit. Il aimait bien ce livre. Il était certain qu'un des personnages était un sorcier ! Quand il eut finit de le lire, il était cinq heures. Il lui restait à peu près une heure avant de devoir préparer le petit déjeuner des Dursley. Il eut l'idée de se faire un journal intime. Il se mit à chercher dans les vieilles affaires de Dudley. Il trouva enfin son bonheur : Un petit cahier avec une petite serrure et une petite clé pour que personne ne puisse l'ouvrir. Il savait qu'un Alohomora suffirait pour l'ouvrir sans se fatiguer, mais il s'arrangerait pour l'ensorceler. Ou il demanderait à son amie Hermione si elle ne connaissait pas un sortilège. Elle savait tout sur tout. Il eut un pincement au c?ur en pensant à elle. Quelque chose qu'il n'avait jamais ressentit auparavant ! Mais il chassa Hermione de son esprit avec beaucoup de mal et commença à écrire son rêve avec le plus de détails possible. Il repensa à un détail étrange : Après les deux premiers Avada Kedavra, il avait entendu des corps tomber ! Mais pas pour le troisième ! Il avait à peine fini que des coups furent frappés à la porte et que la tante Pétunia s'époumonait :
« Harry vient préparer le petit déjeuner !
-J'arrive » dit-il
Le jeune sorcier prépara tous les repas, fit toute la vaisselle à la main, lava le linge, l'étendit, le rentra, fit les courses et rangea le salon ! C'est épuisé à la fin de la journée qu'il remonta à sa chambre.
En rentrant, il aperçu un hibou sur son lit. Il avait une enveloppe attachée à sa patte. Il était passé par la fenêtre ouverte. Harry s'approcha, détacha l'enveloppe et le laissa aller dans la cage d'Hedwige. Celle-ci était déjà partie. Harry ouvrit l'enveloppe et vit que c'était la gazette du sorcier ! Mais il n'était pas abonné ! Mais il compromit bien vite pourquoi il l'avait reçu ! Le gros titre était :
LES GRANGERS ONT ÉTÉ ASSASSINÉS !!
La voix n'était nul autre que celle d'Hermione !
