Enterrement d'un être cher.
Disclaimer : Rien est à moi, tout est à JKR *mmph !!!*. Mais l'histoire, elle, est bien à moi.
Feed-back : YES !!!
Reviews : YES !!! C'est pareil mais c'est pas grave j'en veux quand même.
Pas de résumé, si je donne des détails, vous saurez tous avant les autres. ;-p
*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~
...
« Sans mon sang, il n'était rien. »
...
« Sans mon sang, il ne sera plus. »
...
Ces paroles bourdonnent encore dans le cerveau de Ron.
/Putain de cravate, je n'ai jamais su les mettre de toute façon.\
« Chéri, dépêche-toi, nous n'attendons plus que toi » crie sa mère.
/Pff. Comment peux-tu me dire que je dois me dépêcher, M'man ? Ne crois-tu pas que je souffre assez comme ça ? Mon meilleur ami me quitte et tu voudrais encore faire attention à ce genre de détails. N'as-tu donc rien compris à ce que l'on ressent dans ces cas-là ??\
*taptap*
Ginny ouvrit doucement la porte. D'habitude si guillerette, elle arborait un teint pâle. Du linge blanc aurait été plus gai que ça.
« Ron, il. il faut te préparer. Tu. tu vas. »
Déjà des petites étoiles coulaient sur ses joues. Et c'est son âme qui se découvrit et s'abandonna devant son frère aîné.
« Ginny. soeurette, s'il te plaît, ne... ne me rends pas la tâche plus dure, je t'en prie. A. Arrête. »
*snif*
/À deux, c'est plus simple à affronter, après tout.\
Dans les bras l'un et l'autre, ils pleuraient. En communion. Pas solennelle. Spontanée. Et c'était bien normal.
« Allez, viens maintenant, il faut y aller, sinon Papa et Maman vont se demander ce qu'on fabrique. »
Rien de plus dur de retenir et sécher ses larmes. Parce que l'émotion reste toujours quelque part en nous. Elle se cache en nous, attendant un moment qu'elle juge propice pour resplendir aux yeux des autres gens ou pour se peiner en solitaire.
Bill et Charlie sont revenus exprès d'Egypte et de Roumanie, on ne va quand même pas leur faire rater la cérémonie.
Il n'aurait jamais accepté qu'aucun des Weasley existant encore sur cette planète ne soit présent pour l'accompagner à son dernier foyer.
« Poudlard » annonça lourdement Arthur devant la cheminée, sa femme, Molly, fortement accrochée à son mari. Elle faisait partie de ceux qui avaient le plus souffert.
Mme Weasley.
L'attention maternelle que Harry n'a jamais eu chez les Dursley. Pouvait-il en être autrement chez eux ? Sûrement. Elle se souvient des nombreuses fois où elle l'avait aperçu à la gare de King's Cross, sur le quai 9¾, des nombreuses fois qu'il était venu au Terrier passer une partie des vacances avec la famille, des sempiternels « Mon chéri » qu'elle lui adressait toujours, même à 17 ans,. Un autre fils pour elle, un nouveau frère pour les enfants Weasley.
Elle pleurait au moins tout autant que Ron, mais elle le cachait plus subtilement.
*Pouf*
Le jardin de Poudlard. Immensité joyeuse et nature verdoyante en temps normal, l'atmosphère rendait le prestigieux collège anglais. Tous les élèves de toutes les maisons ainsi que ceux de Beauxbâtons et de Durmstrang sont déjà présents.
Tous.
Les présents comme les absents.
Il ne manquait plus que la famille Weasley. La plus importante de la cérémonie. Et toutes les connaissances des Weasley venaient alors les voir. Blessés également, compatissants aussi. Mais pas autant que Ron. Tous habillés en blanc, couleur de deuil chez les sorciers. Pas de robes traditionnelles, un costume taillé style "Uniforme de collège moldu", les frères Weasley se ressemblant tous comme des gouttes d'eau, de Charlie à Ron en passant par Percy. Ginny s'était contenté de la robe serrée et du tailleur, même couleur.
L'environnement alentour n'en était que peu silencieux. Sans un véritable brouhaha dans les couloirs des maisons, on pouvait alors facilement affirmer que la mort du Survivant avait affecté le monde entier de la magie, y compris ses anciens ennemis.
Dumbledore arrive alors : Robe de cérémonie blanche pour tous les professeurs de Poudlard. De McGonagall à Rogue en passant par Binns et Trelawney.
« Il ne manquait plus que vous, Arthur, Molly et votre petite famille. Ca ira, Monsieur Ronald Weasley ? »
/Vous savez professeur, perdre un ami remet pas mal de choses à sa place. Et je crois bien que j'en suis à ce stade à présent.\
« Oui professeur, je tiens le coup. »
« Doutez-vous bien que je compatis avant tout pour votre douleur. Venez donc avec moi dans mon bureau, les autres professeurs et des personnes qui vous sont chères vous y attendent. Arthur, Molly, pouvez-vous vous occuper de l'organisation immédiate et des préparatifs en compagnie de vos enfants, je vous prie. Ne laissez encore personne entrer dans la Grande Salle, c'est la seule chose que je vous demanderai. » conclut le vieil homme,
Visiblement, le directeur de Poudlard est atteint par ce qui est arrivé.
Ce qui est arrivé.
******************FLASHBACK*******************
.
..
« Avada Kedavra. »
...
La suite du flashback dans le chapitre suivant. Ca tombe bien, je les diffuse en même temps. Même si j'ai pas fini l'histoire.
Disclaimer : Rien est à moi, tout est à JKR *mmph !!!*. Mais l'histoire, elle, est bien à moi.
Feed-back : YES !!!
Reviews : YES !!! C'est pareil mais c'est pas grave j'en veux quand même.
Pas de résumé, si je donne des détails, vous saurez tous avant les autres. ;-p
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« Sans mon sang, il n'était rien. »
...
« Sans mon sang, il ne sera plus. »
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Ces paroles bourdonnent encore dans le cerveau de Ron.
/Putain de cravate, je n'ai jamais su les mettre de toute façon.\
« Chéri, dépêche-toi, nous n'attendons plus que toi » crie sa mère.
/Pff. Comment peux-tu me dire que je dois me dépêcher, M'man ? Ne crois-tu pas que je souffre assez comme ça ? Mon meilleur ami me quitte et tu voudrais encore faire attention à ce genre de détails. N'as-tu donc rien compris à ce que l'on ressent dans ces cas-là ??\
*taptap*
Ginny ouvrit doucement la porte. D'habitude si guillerette, elle arborait un teint pâle. Du linge blanc aurait été plus gai que ça.
« Ron, il. il faut te préparer. Tu. tu vas. »
Déjà des petites étoiles coulaient sur ses joues. Et c'est son âme qui se découvrit et s'abandonna devant son frère aîné.
« Ginny. soeurette, s'il te plaît, ne... ne me rends pas la tâche plus dure, je t'en prie. A. Arrête. »
*snif*
/À deux, c'est plus simple à affronter, après tout.\
Dans les bras l'un et l'autre, ils pleuraient. En communion. Pas solennelle. Spontanée. Et c'était bien normal.
« Allez, viens maintenant, il faut y aller, sinon Papa et Maman vont se demander ce qu'on fabrique. »
Rien de plus dur de retenir et sécher ses larmes. Parce que l'émotion reste toujours quelque part en nous. Elle se cache en nous, attendant un moment qu'elle juge propice pour resplendir aux yeux des autres gens ou pour se peiner en solitaire.
Bill et Charlie sont revenus exprès d'Egypte et de Roumanie, on ne va quand même pas leur faire rater la cérémonie.
Il n'aurait jamais accepté qu'aucun des Weasley existant encore sur cette planète ne soit présent pour l'accompagner à son dernier foyer.
« Poudlard » annonça lourdement Arthur devant la cheminée, sa femme, Molly, fortement accrochée à son mari. Elle faisait partie de ceux qui avaient le plus souffert.
Mme Weasley.
L'attention maternelle que Harry n'a jamais eu chez les Dursley. Pouvait-il en être autrement chez eux ? Sûrement. Elle se souvient des nombreuses fois où elle l'avait aperçu à la gare de King's Cross, sur le quai 9¾, des nombreuses fois qu'il était venu au Terrier passer une partie des vacances avec la famille, des sempiternels « Mon chéri » qu'elle lui adressait toujours, même à 17 ans,. Un autre fils pour elle, un nouveau frère pour les enfants Weasley.
Elle pleurait au moins tout autant que Ron, mais elle le cachait plus subtilement.
*Pouf*
Le jardin de Poudlard. Immensité joyeuse et nature verdoyante en temps normal, l'atmosphère rendait le prestigieux collège anglais. Tous les élèves de toutes les maisons ainsi que ceux de Beauxbâtons et de Durmstrang sont déjà présents.
Tous.
Les présents comme les absents.
Il ne manquait plus que la famille Weasley. La plus importante de la cérémonie. Et toutes les connaissances des Weasley venaient alors les voir. Blessés également, compatissants aussi. Mais pas autant que Ron. Tous habillés en blanc, couleur de deuil chez les sorciers. Pas de robes traditionnelles, un costume taillé style "Uniforme de collège moldu", les frères Weasley se ressemblant tous comme des gouttes d'eau, de Charlie à Ron en passant par Percy. Ginny s'était contenté de la robe serrée et du tailleur, même couleur.
L'environnement alentour n'en était que peu silencieux. Sans un véritable brouhaha dans les couloirs des maisons, on pouvait alors facilement affirmer que la mort du Survivant avait affecté le monde entier de la magie, y compris ses anciens ennemis.
Dumbledore arrive alors : Robe de cérémonie blanche pour tous les professeurs de Poudlard. De McGonagall à Rogue en passant par Binns et Trelawney.
« Il ne manquait plus que vous, Arthur, Molly et votre petite famille. Ca ira, Monsieur Ronald Weasley ? »
/Vous savez professeur, perdre un ami remet pas mal de choses à sa place. Et je crois bien que j'en suis à ce stade à présent.\
« Oui professeur, je tiens le coup. »
« Doutez-vous bien que je compatis avant tout pour votre douleur. Venez donc avec moi dans mon bureau, les autres professeurs et des personnes qui vous sont chères vous y attendent. Arthur, Molly, pouvez-vous vous occuper de l'organisation immédiate et des préparatifs en compagnie de vos enfants, je vous prie. Ne laissez encore personne entrer dans la Grande Salle, c'est la seule chose que je vous demanderai. » conclut le vieil homme,
Visiblement, le directeur de Poudlard est atteint par ce qui est arrivé.
Ce qui est arrivé.
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« Avada Kedavra. »
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La suite du flashback dans le chapitre suivant. Ca tombe bien, je les diffuse en même temps. Même si j'ai pas fini l'histoire.