Disclaimer : Nan, a y'est toujours pas moi. Y'a n'est à JKR.
**************************FLASHBACK**************************
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..
...
« Avada Kedavra. »
Deux mots qui font trembler n'importe qui. À juste titre, malheureusement.
Et a fortiori quand il s'agit de Lord Voldemort, Maître des Ténèbres, qui prononce la fatale sentence.
Harry était déjà faible compte tenu de l'énergie magique dépensée pour tenir son ennemi en respect. Ron, Hermione, Rogue, Rémus et Sirius avaient activé un sortilège de protection multiple autour de lui. Eux aussi ressentaient lourdement en eux la magie qui protégeait le Survivant. Mais ils restaient cachés afin que Voldemort ne puisse les neutraliser.
Cette aura protectrice était restée efficace, jusqu'à ce que...
Ron avait gémi sa douleur dans sa cachette, et Voldemort l'avait alors entendu. Il décida alors de tromper Harry en lui faisant croire que peu à peu, ses forces l'abandonnaient.
Harry s'était alors approché de lui avant de lui asséner un Doloris mortem anteriori, qui achève la victime après d'atroces douleurs. Ces mêmes dernières qui firent hurler de douleur le Seigneur des Ténèbres. Les amis de Harry avaient rejoint ce dernier, Ron y compris, et s'étaient placés à ses côtés.
« C'en est fini de toi. » avait alors lancé Ron d'un air triomphant.
« Pas encore, Weasley, pas encore. » avait soufflé Voldemort dans un dernier souffle avant de lancer la formule maudite.
Sur Ron.
Harry avait senti le coup et se déporta d'un pas chassé devant Ron.
L'éclair vert avait atteint en plein c?ur le jeune Potter, et la lueur de la sentence aveuglait ses amis.
Quand Ron avait ouvert les yeux, il voyait Harry, allongé. Encore un peu conscient. Mais juste un peu.
Il saignait abondamment, ouvert dans son corps et dans son âme.
Mais il semblait paisible, et même heureux.
« Je l'ai enfin eu. 7 ans pour battre un ennemi. Même un match de Quiddtch dure moins longtemps que ça » ironisait-il en toussant.
Tous étaient réunis autour de lui, tristes mais quelque part satisfaits. « Hermione. La petite fille intelligente a laissé place à une belle jeune femme. intelligente aussi. » lui concéda t-il.
Elle commencer à laisser sortir quelques perles brillantes de ses yeux.
« Grand idiot, va ! Tu es en train de mourir et tu n'as que ça à dire. » souriait-elle. « Harry, tu seras heureux, je le sais. »
« Toi aussi ma belle. Et à mon avis, je peux en dire autant de vous, Sirius et Rémus. Maintenant que le zombie est enfin mort, vous devriez être disculpés. ou alors Cornelius Fudge aura trop abusé des Bièraubeurres. »
Harry voulait résolument éviter le mélodrame autour de lui. Il savait depuis la renaissance de Voldemort que sa mort n'était autre que son destin.
« Ne t'en fais pas pour nous, va. Passe le bonjour à tes parents et connais enfin le bonheur dont on t'a privé trop longtemps. » rétorqua Sirius, de l'émotion dans sa voix.
« Et bien, Professeur Rogue, pas un mot gentil pour votre élève détesté ? » ironisa t-il encore, son corps se vidant peu à peu de son sang.
« Vous me connaissez, Potter. Je n'ai rien d'autre à vous dire que ma désolation quant au fait que vous nous quitt. »
« Si vous continuez comme ça, Professeur, je ne vous haïrais plus autant qu'avant. Dommage, nos disputes quotidiennes vont me manquer. »
Severus avait souri. Tout le monde en était surpris. Pour Harry, ça suffisait, parce que ça voulait tout dire.
Ron était au bord des larmes.
Il s'en voulait tant.
« Harry, je... Pardonne-moi, je n'aurais jamais dû le provoquer, c'est... c'est ma faute, pardon. »
« Ron, tu es mon ami, mon pendant, et ça je ne l'oublierai jamais. Tu n'y es pour rien, sois plutôt fier de m'avoir aidé à le tuer. »
« Mais, et ton sort... ? »
« Il fait souffrir jusqu'à la mort, mais il ne l'achève pas pour toujours. Ron, tu sais que ce n'est pas ta faute. Kôf kôf. »
« Harry ! »
« Alors tu vas me rester collé sur le dos à t'excuser alors que je vais mourir dans 30 secondes ? »
Le groupe riait de bon c?ur. Et l'humour caustique et contagieux qu'il arborait venait probablement des longues soirées passées avec son parrain.
" Pardon encore, Harry."
" Ron, souviens-toi d'une chose :...
Sans mon sang, il n'était rien.
Sans mon sang, il ne sera plus.
Vous tous, embrassez ceux que je connais de près ou de loin. Et n'oubliez pas de passer à la volière.
Au revoir. »
Sirius le fixait de ses grands yeux avant d'écraser une larme discrètement.
Ses yeux s'étaient alors refermés. Il s'était endormi à tout jamais, sans plus aucun cauchemar et un sourire au coin des lèvres. Heureux.
Une lueur dorée refermait sa cicatrice en forme d'éclair, celle-ci disparut.
Ron avait ramené son corps à Poudlard, hurlant sa douleur dans le bureau de Dumbledore et seule une messe serait prononcée en public, l'enterrement réunirait ses plus proches amis.
Nous étions le 31 juillet 1999.
**********************FIN DU FLASHBACK***********************
« Quelle ironie. Expirer le jour de ses 18 ans. Que la vie est bien injuste. » pense Dumbledore sur le chemin.
Next au chapitre suivant.
**************************FLASHBACK**************************
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« Avada Kedavra. »
Deux mots qui font trembler n'importe qui. À juste titre, malheureusement.
Et a fortiori quand il s'agit de Lord Voldemort, Maître des Ténèbres, qui prononce la fatale sentence.
Harry était déjà faible compte tenu de l'énergie magique dépensée pour tenir son ennemi en respect. Ron, Hermione, Rogue, Rémus et Sirius avaient activé un sortilège de protection multiple autour de lui. Eux aussi ressentaient lourdement en eux la magie qui protégeait le Survivant. Mais ils restaient cachés afin que Voldemort ne puisse les neutraliser.
Cette aura protectrice était restée efficace, jusqu'à ce que...
Ron avait gémi sa douleur dans sa cachette, et Voldemort l'avait alors entendu. Il décida alors de tromper Harry en lui faisant croire que peu à peu, ses forces l'abandonnaient.
Harry s'était alors approché de lui avant de lui asséner un Doloris mortem anteriori, qui achève la victime après d'atroces douleurs. Ces mêmes dernières qui firent hurler de douleur le Seigneur des Ténèbres. Les amis de Harry avaient rejoint ce dernier, Ron y compris, et s'étaient placés à ses côtés.
« C'en est fini de toi. » avait alors lancé Ron d'un air triomphant.
« Pas encore, Weasley, pas encore. » avait soufflé Voldemort dans un dernier souffle avant de lancer la formule maudite.
Sur Ron.
Harry avait senti le coup et se déporta d'un pas chassé devant Ron.
L'éclair vert avait atteint en plein c?ur le jeune Potter, et la lueur de la sentence aveuglait ses amis.
Quand Ron avait ouvert les yeux, il voyait Harry, allongé. Encore un peu conscient. Mais juste un peu.
Il saignait abondamment, ouvert dans son corps et dans son âme.
Mais il semblait paisible, et même heureux.
« Je l'ai enfin eu. 7 ans pour battre un ennemi. Même un match de Quiddtch dure moins longtemps que ça » ironisait-il en toussant.
Tous étaient réunis autour de lui, tristes mais quelque part satisfaits. « Hermione. La petite fille intelligente a laissé place à une belle jeune femme. intelligente aussi. » lui concéda t-il.
Elle commencer à laisser sortir quelques perles brillantes de ses yeux.
« Grand idiot, va ! Tu es en train de mourir et tu n'as que ça à dire. » souriait-elle. « Harry, tu seras heureux, je le sais. »
« Toi aussi ma belle. Et à mon avis, je peux en dire autant de vous, Sirius et Rémus. Maintenant que le zombie est enfin mort, vous devriez être disculpés. ou alors Cornelius Fudge aura trop abusé des Bièraubeurres. »
Harry voulait résolument éviter le mélodrame autour de lui. Il savait depuis la renaissance de Voldemort que sa mort n'était autre que son destin.
« Ne t'en fais pas pour nous, va. Passe le bonjour à tes parents et connais enfin le bonheur dont on t'a privé trop longtemps. » rétorqua Sirius, de l'émotion dans sa voix.
« Et bien, Professeur Rogue, pas un mot gentil pour votre élève détesté ? » ironisa t-il encore, son corps se vidant peu à peu de son sang.
« Vous me connaissez, Potter. Je n'ai rien d'autre à vous dire que ma désolation quant au fait que vous nous quitt. »
« Si vous continuez comme ça, Professeur, je ne vous haïrais plus autant qu'avant. Dommage, nos disputes quotidiennes vont me manquer. »
Severus avait souri. Tout le monde en était surpris. Pour Harry, ça suffisait, parce que ça voulait tout dire.
Ron était au bord des larmes.
Il s'en voulait tant.
« Harry, je... Pardonne-moi, je n'aurais jamais dû le provoquer, c'est... c'est ma faute, pardon. »
« Ron, tu es mon ami, mon pendant, et ça je ne l'oublierai jamais. Tu n'y es pour rien, sois plutôt fier de m'avoir aidé à le tuer. »
« Mais, et ton sort... ? »
« Il fait souffrir jusqu'à la mort, mais il ne l'achève pas pour toujours. Ron, tu sais que ce n'est pas ta faute. Kôf kôf. »
« Harry ! »
« Alors tu vas me rester collé sur le dos à t'excuser alors que je vais mourir dans 30 secondes ? »
Le groupe riait de bon c?ur. Et l'humour caustique et contagieux qu'il arborait venait probablement des longues soirées passées avec son parrain.
" Pardon encore, Harry."
" Ron, souviens-toi d'une chose :...
Sans mon sang, il n'était rien.
Sans mon sang, il ne sera plus.
Vous tous, embrassez ceux que je connais de près ou de loin. Et n'oubliez pas de passer à la volière.
Au revoir. »
Sirius le fixait de ses grands yeux avant d'écraser une larme discrètement.
Ses yeux s'étaient alors refermés. Il s'était endormi à tout jamais, sans plus aucun cauchemar et un sourire au coin des lèvres. Heureux.
Une lueur dorée refermait sa cicatrice en forme d'éclair, celle-ci disparut.
Ron avait ramené son corps à Poudlard, hurlant sa douleur dans le bureau de Dumbledore et seule une messe serait prononcée en public, l'enterrement réunirait ses plus proches amis.
Nous étions le 31 juillet 1999.
**********************FIN DU FLASHBACK***********************
« Quelle ironie. Expirer le jour de ses 18 ans. Que la vie est bien injuste. » pense Dumbledore sur le chemin.
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