Auteur : Ladonna

Spoiler : Les quatre premiers tomes parus ( au fait, j'ai été en Angleterre cet été et on m'a dit que le 5ème sortirait en février ou en mars 2003, en Anglais bien sûr, mais c'est déjà ça)

Disclaimer : Aucun perso de la merveilleuse J.K ne m'appartient, je ne gagne rien en écrivant cette fic. Petite rectification, j'ai quand même les idées à moi et le nouveaux persos( bon, il y a juste Nissa pour l'instant, mais y'en aura d'autres.

Notes : Plusieurs personnes m'ont faits remarquer que les revieweurs anonymes ne pouvaient pas laisser de review, alors j'ai arrangé ce petit problème. Mais je tiens à préciser que ça a jamais été mon intention d'interdire au reviweurs anonymes de s'exprimer. Je sais pas pourquoi, mais sur ma fiche, ça c'était automatiquement bloqué sur " cet auteur n'accepte pas de reviews anonymes. Donc voilà, normalement, il devrait pus y avoir de problèmes de ce côté. Je m'excuse pour ce petit problème, enfin, si ça continue à afficher que je veux pas de reviews anonymes, dites le moi, et dites moi comment faire pour arranger ça, parce que si ça se trouve je m'y suis mal prise.

Pis, je tiens à remercier le revieweurs, ça m'a fait très plaisir, en plus je m'attendais pas à recevoir des reviews dès la premier chapitre. Bon, ben voilà le deuxième chapitre, il est plus court que le premier, mais j'espère qu'il vous plaira. Le troisième devrait arriver assez vite, au pir à la fin de la semaine prochaine. Bonne lecture à tous et envoyez-moi plein de reviews s'il vous plaît( sur ce que vous voulez sur ce qui van ce qui va pas)

Chapitre 2

Mrs. Figg

Dans le quartier, Mrs Figg passait pour une vieille folle, il n'était pas rare de la voir se parler à elle même ou à l'un des ses chats. Mais Harry l'avait toujours bien-aimé, sans doute parce qu'elle détonnait dans Privet Drive où tout était si propre et si ordonné. La seule chose qu'il avait à lui reprocher était son obsession pour les chats. A chaque fois qu'il allait chez elle, c'était son seul sujet de conversation.

Harry frappa à la porte de la maison du 5 Privet Drive, celle de Mrs Figg. Après quelques minutes, la porte s'ouvrit sur une vieille femme d'environ soixante-dix ans, grande, mince, avec des cheveux blancs relevés en un chignon légèrement défait elle possédait deux magnifiques yeux bleus qui pétillaient de joie de vivre et d'intelligence. Elle se tenait légèrement voûtée sur une canne. La vieille femme portait une vieille robe bleue pervenche légèrement fripée, recouverte de poils de chats et qui sentait le chou. Quand elle le vit, sa bouche s'ouvrit en un sourire chaleureux et sincère. Mrs Figg faisait partie de ces gens qui savent tout de suite vous mettre à l'aise et qui dégagent une aura de bonté et de générosité.

-Bonjour, mon chéri ! s'exclama t-elle, les Dursley veulent que je te garde aujourd'hui ?

Non, non, ce n'est pas ça, j'ai juste besoin de passer un coup de téléphone. répondit-il.

Oh ! Oui, pas de problème, mon trésor ! J'imagine que tu n'aurais pas pu le faire là-bas.

Harry avait parfois la sensation que la vieille femme savait de quelle façon le traitaient les Dursley. En tout cas, il avait constaté qu'elle ne les aimait pas beaucoup.

Merci Mrs Figg

De rien, de rien voyons, si on ne se rend même plus service entre voisinsAllons, entre mon petit, entreMais, Que fais-tu avec cette malle

EuhC'est à dire que

AH ! Ça y est, ça a fini par arriver, je le savais. s'exclama- elle en levant les bras au ciel. Je lui avais bien dit à Dumbledore que ce n'était pas un endroit pour toi chez ces moldus ! ! Mais non, comme d'habitude, Môssieur le plus grand sorcier du monde n'a rien voulu entendre ! Il avait ses raisons ! Bah tiens ! Tu serais en sécurité ! Ah oui ! Alors toi, bien sûr tu as fini par faire la seule chose sensée, tu leur as claqué la porte au nez ! J'espère que tu leur as bien dit leurs quatre vérité à ces trois affreux ! Ah, si j'avais pu, ça ferait longtemps que je leur aurais jeté un bon sortilège

Harry resta interdit devant la réaction de la vieille femme. Enfin, il risqua :

Vous êtesune sorcière ?

Oui, Harry. Pardonne-moi, j'avoue que ça a été assez soudain. Mais je suis tellement heureuse que tu sois enfin parti de chez ces trois harpies. Bon, maintenant, je pense que tu pourras rester chez moi quelque temps. Installe-toi dans la cuisine. Je vais monter tes affaires dans une chambre. Ensuite, je vais t'expliquer tout ça un peu mieux. Je pense que tu ne dois pas très bien comprendre.

Et sur ces mots, elle sortit de la pièce, laissant un Harry tout perplexe. Tout en essayant de remettre ses idées en place, le jeune garçon se dirigea vers la cuisine. Alors, Mrs Figg était une sorcière. Il ne l'aurait jamais soupçonné. C'était une femme tout à fait normale et qui se conduisait exactement comme les moldus. Il se demandait également pourquoi elle habitait dans sa rue et comment elle pouvait connaître tant de choses sur lui. Il avait également remarqué un fait étrange, d'habitude les sorciers parlaient de Dumbledore avec révérence et respect, elle, elle en parlait comme de quelqu'un qu'elle connaissait depuis longtemps et avec qui elle pouvait tout se permettre.

Harry regarda autour de lui : la cuisine de Mrs Figg n'avait pas changé depuis la dernière fois qu'il était venu. Les murs étaient recouverts d'une vieille tapisserie blanche légèrement moisie, le sol était un carrelage couleur brique, sur les murs, on voyait un tas de photos de chats, et il se dégageait du tout une forte odeur de chou. Il s'installa sur une chaise en bois légèrement branlante et attendit le retour de la vieille dame.

Installe-toi confortablement mon chéri , lui dit-elle à son entrée dans la pièce, je vais te servir un peu de thé. J'ai toujours pensé que le thé était la boisson idéale pour avoir une bonne conversation, pas toi ? Oh, Dezra, veux-tu bien cesser d'importuner Harry – un gros chat noir venait de s'installer sur les genoux de Harry- Le chat descendit aussitôt et sortit de la cuisine d'un air digne en lançant des miaulements courroucés à l'adresse de Mrs Figg- Et ne profère pas d'insanités, je te prie ! Ah ces jeunes, je vous jure, aucun respect

Après cet étrange dialogue, Harry mit quelques secondes à retrouver ses esprits

Maisil ne faisait rien de mal, avança-il timidement

Que tu crois mon garçon ! Dezra est un sacré coquin, crois-moi, si je l'avais laissé faire, il t'aurait utilisé comme moyen de transport toute la journée. Bon, alorsoù en étions-nous ? Ah ! Oui, j'allais te donner quelques éclaircissements. J'imagine que tu voudrais savoir pourquoi une sorcière habite dans ce quartier. - elle ne laissa pas le temps au jeune homme d'acquiescer, et enchaîna – Et bien, vois-tu, il y a quinze ans, quand Dumbledore a décidé de te confier à ces Dursley – Harry vit que son ton se faisait légèrement plus agressif lorsqu'elle prononçait le mot Dursley. Il ne put lui-même s'empêcher de grimacer à l'évocation de ce nom- Il a demandé à quelqu'un de venir habiter près de chez eux pour veiller sur toi au cas où il arriverait quelque chose. Bien sûr, j'ai protesté ! Pas parce qu'il fallait que je veille sur toi mon chéri, mais parce qu'il voulait te confier àces gens Ce cher vieil hibou, quand il a une idée dans la têteIl n'a même pas pris la peine de m'expliquer. Tss ! Et il m'avait interdit de te dire la vérité. S'il n'était pas mon ami depuis quarante ans et si je ne le connaissais pas, parfois je jurerais qu'il est fou. – Mrs Figg nota sans doute l'air ébahi d'Harry, car elle marqua une pause, et sourit d'un air malicieux- Ne t'étonne pas si je parle de lui avec autant de liberté. On se connaît depuis tellement longtemps lui et moi, qu'il ne s'offusque pas de la manière dont je parle. Mais ne vas pas t'imaginer que c'est un manque de respect. Albus est la personne que je respecte le plus au monde. Mais comme je lui dis souvent, il faut bien que quelqu'un l'aide à ne pas prendre la grosse tête ! Même si, sérieusement, je ne pense pas qu'il ait besoin de moi, pour ça. Tu sais, je crois même que ça lui plaît et que ça le rassure de voir qu'au moins une personne n'a pas oublié qu'il n'était qu'un homme. Vois-tu, Albus est tellement intelligent, doué, savant et tout ce que tu voudras, que la majorité des sorciers ont tendance à croire qu'il est Comment dirai-je oui, une sorte de divinité capable de résoudre tous leurs problèmes, et ils oublient qu'il n'est qu'un homme, et comme tous les hommes, il n'est pas infaillible. Ça lui pèse toute cette célébrité, tu saisAu fond de lui, je suis sûre que ça lui pèse tout ça. Le jour où il fera une erreur, les sorciers auront l'impression que le monde s'écroule autour d'eux et tout sera de sa faute. Vois-tu, Harry, le monde est ainsi fait, que les gens oublient bien vite tout ce qu'une personne a pu faire de bien pour eux quand ils doivent trouver un responsable de la situation où ils se trouvent. MaisEnfin, je suppose que tu as dû t'en rendre compte- Harry resta ébahi devant ce discours, jamais, il n'avait imaginé toute la tension dans laquelle devait vivre son directeur. Il l'en admira encore plus. Il l'admirait de pouvoir rester calme et attentif aux autres tout en ayant l'impression d'avoir le poids du monde sur ses épaules- MaisBon, passons, tu m'excuseras, je deviens vieille, je m'égare, j'espère que ce que je t'ai dit ne t'a pas trop barbé. En fait, je suis sûr que tu t'endormais pendant les longs discours que je faisais sur mes chats – Harry ouvrit la bouche pour protester- Allons, ne me regarde pas comme ça, je sais que c'était très ennuyant, mais je ne vois pas de quoi d'autre j'aurais pu te parler, je n'étais pas sensée re révéler que j'étais un sorcièreMaintenant, je vais envoyer un hibou à Albus, je lui expliquerai la situation, je suis sûre qu'il se montrera compréhensif. Après tout je ne vois pas de nécessité à ce que tu retourne là-bas, tu seras autant en sécurité ici, si ce n'est plus. Tu sais, j'ai été auror, et pas une des pires. Je suppose que ça ne t'ennuiera pas trop de rester quelques jours ici.

Oh non, pas du tout, Mrs Figg ! répondit le jeune homme exprimant le fond de sa pensée.

Très bien ! Ça me fera du bien d'avoir un peu de jeunesse à la maison ! Et appelle- moi Arabella, je te prie, c'est mon nom. Bon, je vais écrire, mange autant de biscuits que tu veux, trésor, ils sont excellents.

Ainsi, Harry s'installa chez Arabella Figg. Il ne se rappelait pas avoir été aussi heureux dans le monde des moldus. La vieille dame était charmante, si parfois elle paraissait un peu farfelue, elle n'en était pas moins adorable.

La première fois qu'elle vit Nissa, Arabella semble tout juste légèrement surprise. Puis, elle eut un sourire, le même genre que ceux de Dumbledore, un sourire qui semblait contenir tout le savoir du monde. Elle lui dit :

C'est une amie précieuse que tu as là mon garçon

Et tout fut dit, la vieille femme conseilla même à Harry d'installer la jeune serpent dans un panier, Nissa apprécia fort le changement.

Durant son séjour, le jeune homme put éclaircir un point qui l'intriguait depuis longtemps. Pourquoi la maison de Mrs Figg sentait-elle le chou ? En effet, une odeur persistante de chou flottait dans la maison, mais jamais le jeune home ne l'avait vue préparer le moindre plat à base de chou. Il eut sa réponse quand, un jour en entrant dans la cuisine, il la trouva penchée sur un chaudron , l'air très concentrée. Il flottait dans l'air une infecte odeur de chou.

Qu'est-ce que vous cuisinez ? s'enquit Harry. Ce n'était pas qu'il ait quoique ce soit contre le végétal communément appelé chou, mais l'odeur qui se répandait dans la cuisine était tellement infecte qu'il craignait le pire. Pourtant, il savait que la vieille femme était une excellente cuisinière.

Quoi ? – la vieille femme se retourna brusquement, l'air surpris, son regard passa alternativement du chaudron à Harry et d' Harry au chaudron, puis elle éclata de rire, un rire chaleureux– Oh, mon dieu, mon pauvre chéri, si tu avais vu ta tête ! ! Non ne t'inquiète pas, je n avais pas l'intention de te faire avaler ça ! C'est une potion de communication, c'est vrai que ça ne sent pas très bon, mais c'est très utile. Le principal ingrédient utilisé est le chou, de préférence pourri, malheureusement, je n'ai encore rien pu faire pour améliorer l'odeur, et je ne te parle pas du goût, c'est infect ! Mais bon ! Si les potions utiles avaient bon goût, ça se saurait !

Qu'est-ce que c'est qu'une potion de communication ? demanda Harry à qui le nom ne disait rien

Oh, par la grande Circée, tu ne sais pas ! Mais qu'est-ce qu'on t'apprend à Poudlard ! Oh, je sais ! C'est cette chauve-souris rabougrie de Rogue hein ! J'ai toujours dit qu'il faisait un professeur déplorable ! Je me suis toujours demandé comment il avait pu devenir professeur celui-là !– Harry fut enchanté de l'entendre parler ainsi de son professeur détesté, mais se demanda comment elle le connaissait. Rogue et lui se haïssaient cordialement depuis le premier cours de potions du jeune homme– Bon, je vais t'expliquer. La potion de communication, selon sa puissance, permet de parler n'importe quel langage sans l'avoir appris . On, l'a beaucoup utilisé pendant la période où Voldemort était au pouvoir- le jeune garçon nota qu'elle n'avait pas peur de prononcer le nom interdit- cela permettait de communiquer avec les alliés de pays et d'espèces différentes. J'étais spécialiste dans sa préparation. Mais je dois avouer que l'odeur est très persistante. Maintenant, je l'utilise seulement pour parler avec mes chats. Les chats sont mes animaux préférés, mais je suppose que tu avais remarqué. Je les trouve fascinants : ils sont beaux, indépendants, courageux, fiers, et en même temps, ils peuvent se montrer si tendres et si compréhensifs

Quelques jours plus tard, Harry téléphona à Ron juste avant de partir chez lui.

Allo ?

Allo, Ron, c'est Harry !

Harry ? Tes moldus t'ont laissé téléphoner ? demanda Ron d'un ton incrédule.

Le jeune homme s'empressa de lui raconter tout ce qui s'était passé depuis qu'il s'était échappé de chez les Dursley.

Quoi ? Tu plaisantes ?Mais c'est génial ! s'exclama Ron. Tu vis chez Arabella Figg !Quelle chance ! ça doit vraiment être passionnant ! On raconte qu'elle a été une très grande auror ! Il paraît même qu'elle fait spartie de l'ordre du Phénix !

L'ordre du Phénix ? Qu'est-ce que c'est ?

Enfin Harry !Ne me dis pas que tu ne sais pas ce que c'est !L'ordre du Phénix a été crée par Dumbledore quand TU-Sais-Qui était au pouvoir. C'est un ordre qui regroupait tous les sorciers les plus puissants de l'époque. Mais personne ne sait exactement qui en faisait partie. Elle a dû te raconter ses aventurestermina Ron d'un ton rêveur

En faitnon. Harry était très surpris par les révélations que lui avait faites Ron. Il avait toujours vu Arabella comme une vieille femme à la vie tranquille et bien rangée, un peu extravagante parfois, mais tout à fait normale. Mais savoir qu'elle avait été Auror, qu'elle s'était battue contre Voldemort Il la voyait complètement différemment à présent , même s'il avait du mal à imaginer que derrière cette fragile vieille femme se cachait une des sorcières les plus puissantes du monde. Mais après tout, ce n'était pas si absurde, Dumbledore était vieux, pourtant, il était considéré comme le sorcier le plus puissant du monde .

Bon, en tout cas, à tout à l'heure.

Ouais, à tout à l'heure.

Quelques heures, plus tard, alors qu'il prenait un thé dans la cuisine, Harry entendit des bruits bizarres qui provenaient du salon. Il accourut immédiatement pour voir ce qui se passait. En entrant, il trouva Mrs Figg tranquillement assise dans un fauteuil et qui lisait la Gazette du sorcier. En le voyant débouler dans la pièce, la vieille femme releva la tête et lui dit :

Ne t'inquiètes pas mon petit chou ! C'est simplement Arthur Weasley qui arrive pour te chercher. Dumbledore lui a recommandé de passer par chez moi, il trouve que c'est plus sûr comme ça.

Harry ne put s'empêcher de se sentir légèrement stupide de s'être inquiété comme ça. Quelques minutes plus tard, Mr Weasley apparaissait dans la pièce, couvert de suie.

Bonjour Arabella ! Bonjour Harry ! Puis, il ôta ses lunettes couvertes de suie et les essuya avec un coin de sa chemise. Vous allez bien ? Tes valises sont prêtes Harry ?

Oui, je vais monter les chercher.

Très bien, je t'attends là, puis nous partirons.

En montant au premier étage, Harry sentit un sentiment de bien-être l'envahir. Il allait passer le reste des vacances chez les WeasleyIl allait revoir ses amis, retourner à Poudlard. En redescendant, il entendit une conversation entre Arabella et Mr Weasley :

Comment ? Vous aller venir enseigner à Poudlard cette année ! Mais c'est merveilleux !

Oui n'est-ce pas ! En attendant, vous avez intérêt à bien prendre soin de mon petit Harry pendant les vacances. Je me demande ce qu'il a pu voir, mais ça a vraiment du être affreux. Il n'a pas du tout l'air d'aller bien. J'espère que ça s'arrangera chez vous.

Le jeune homme prit quelques instants pour réfléchir avant de retourner au salon. Avait-il donc si mauvaise mine que ça ? En y réfléchissant bien, c'était vrai, qu'il avait toujours une impression de malaise et de dégoût qui lui tordait le ventre, mais il avait fini par s'y habituer et ne s'en apercevait presque plus. En tout cas, il ne pensait pas que c'était aussi visible Et il était ravi que Mrs Figg vienne enseigner à Poudlard, elle ferait certainement un très bon professeur !

Il rentra dans le salon, et sourit à Mrs Figg avant de lui dire au revoir. Elle lui répondit " à très bientôt " avec un sourire malicieux sur les lèvres. Puis, il saisit la poignée de poudre de Cheminette que lui tendait Mr Weasley et la jeta au feu avant de s'écrier :

-Au terrier.