Salut, ben mon histoire est bientôt finie plus qu'un chapitre.
Désolée d'avoir mis si long pour celui-ci mais j'essaierais de faire plus vite pour le dernier.
Si j'ai pris plus de temps que d'habitude c'est que je commence à traduire une fic de l'anglais.
D'ailleurs, vous devrez bientôt la voir sur le site mais je ferais tout de même une suite à celle-ci.
Enfin si vous le souhaiter.
Alors si vous voulez savoir ce qu'il va se passer ensuite pour Harry et ses amis, vous savez ce qu'il vous reste à faire.
Envoyez-moi des review…
Note au revieweur…
Pam phenixia Potter : Et bien, je suis contente que tu aimes ma fic. Sinon, il ne reste plus qu'un chapitre que je devrais poster d'ici peu…
Sarah : 1. ta question sure Charmed. Et ben en résumé, Phoebe convainc les jurés de l'innocence de l'accusé en faisant revenir l'esprit de la victime qui dit qui est son assassin. Ensuite, il est libérer et puis Léo utilise une poudre pour effacer la mémoire des jurés. 2. Sinon, tu as tout compris au sujet de ma fic…
Chapitre 30
Les deux adolescents étaient assis par terre, se tenant toujours aussi fermement la main, et ils jetèrent un coup d'œil circulaire sur l'ensemble de la pièce.
Ils purent alors constater, qu'ils étaient apparemment les seuls sur qui le sortilège avait eu de l'effet.
Les autres vinrent les rejoindre au centre de la salle et leur demandèrent s'ils allaient bien.
Heureusement pour eux, leur chute n'avait été que de un mètre, ce qui fait qu'ils ne s'étaient pas blessé et donc, ils purent répondre à leurs amis par l'affirmative.
Harry et Hermione se relevèrent et époussetèrent brièvement leurs vêtements.
- Euh… ça a marché ? Questionna Drago.
- Je crois que oui… répondit Harry. On a eu chaud… ajouta-t-il à l'adresse de sa petite amie.
Celle-ci hocha la tête, visiblement encore sous le choc de ce qui avait failli leur arriver à elle et Harry.
L'endroit où ils avaient envoyé Voldemort avait vraiment l'air épouvantable.
Il devait y faire plus chaud que dans un four, utilisé au maximum de sa puissance et tout ce qui les séparait de cet enfer, c'était un minuscule nuage doré !
- On devrait peut-être y aller ? suggéra Ginny, avec raison.
Les autres approuvèrent en silence et Rémus lança le « mobilicorpus » sur le corps inanimé de Pettigrow puis avança vers la sortie, immédiatement suvit de ses deux contemporains puis, de Drago et Ginny.
Hermione s'apprêtait à les rejoindre lorsqu'elle vit Harry prendre la direction opposée et se rendre vers l'endroit où se tenait encore le seigneur des ténèbres quelques minutes plus tôt.
Il semblait fixé un objet sur le sol, mais pour en avoir le cœur net, la jeune fille le suivit et arriva à sa hauteur au moment où il ramassait quelque chose sur le plancher.
En y regardant de plus près, elle s'aperçut qu'il s'agissait d'une baguette magique.
Sûrement celle de Lord Voldemort !
- Harry, est-ce que c'est bien ce que je crois ? demanda-t-elle.
- Oui, c'est bien la baguette de Voldemort… répondit-il en fourrant sa trouvaille dans la sacoche qu'il portait toujours.
- Tu ne vas tout de même pas la garder ? s'étonna-t-elle, mi-effrayée, mi-dégoûtée ?
- Si, pour prouver à Dumbledore et a Fudge qu'on a réellement réussis à se débarrassé de Voldemort.
- Je ne pense pas que Fudge va nous croire, même si on lui montre cette baguette. Il dira simplement qu'elle appartient à quelqu'un d'autre.
- Dumbledore sait très bien que ma baguette et celle de Voldemort ont le même « ingrédient » à l'intérieur. Une plume de Fumseck. Et comme les baguettes qui sont sœurs ne peuvent pas agir l'une contre l'autre, il suffira de les faire s'attaquer l'une, l'autre et on aura la preuve que c'est bien celle de Voldemort.
L'expression de Hermione se changea alors en un magnifique sourire.
Elle n'avait plus pensé que si les deux baguettes agissaient l'une contre l'autre, il y aurait inévitablement le priori Incantatem, ce qui serait une preuve indéniable que c'est la baguette de Voldemort.
Et comme le seigneur des ténèbres n'auraient quand même pas laissé son arme à la portée de Harry, cela signifierait sans doute possible, qu'il n'est plus de ce monde.
- Eh ! Vous venez… les appela soudainement Sirius, du pas de la porte.
- On arrive !!!
Les deux amoureux rejoignirent alors les autres et ils sortirent du château des Jedusor à toute vitesse..
Une fois qu'ils furent dehors, le professeur Rogue fronça les sourcils.
- Comment est-ce qu'on va rentrer ?
- Ben, en transplanant… le renseigna Sirius sur un ton qui mettait bien en avant l'évidence de la chose.
- En transplanant ? Vous êtes venus comme ça ? demanda-t-il en se retournant vers Rémus.
Celui-ci hocha la tête en signe d'acquiescement é
- Tu as pu les transporter les quatre avec toi ? s'étonna Sévérus.
- Non ! mais tout le monde ici sait transplaner… renseigna Rémus.
Voyant que si ça continuait comme ça, la discussion s'éterniserait le pourquoi du comment, Harry interrompit ses aînés.
- On vous expliquera pourquoi plus tard. Il faudrait qu'on y aille maintenant…
- Tu es si pressé que ça qu'on se fasse tuer ? Questionna ironiquement Drago.
- Que vous vous fassiez tuer ? reprirent en chœur Sirius et Sévérus.
- Ah c'est vrai, on avait peut-être oublié de vous précisez que le professeur Dumbledore nous avait strictement interdit de faire quoi que ce soit pour tenter de vous libérer ? Questionna Harry, en faisant semblant d'avoir oublier qu'ils avaient omis ce détail.
Les deux adultes regardèrent le jeune garçon qui leur fit un grand sourire on ne peut plus forcé.
Puis, ils se retournèrent vers Rémus, étonné, pour avoir quelques explications…
- C'est effectivement ce qui nous avait demandé, mais on allait tout de même pas attendre à rien faire ? répondit innocemment celui-ci.
- Il aura peut-être pas remarqué notre absence ? suggéra Hermione.
- Peut-être, concéda Rémus. Mais il nous verra certainement arriver… Ou du moins Hagrid puisqu'on devra traverser le par cet que ça m'étonnerais beaucoup qu'il ne soit pas dans la forêt Interdite en ce moment…
Les cinq sauveteurs soupirèrent…
Ils allaient avoir droit à une morale d'enfer…
- Alors, on y va ! les pressa Harry.
- Ouais, allons-y ! renchérit Sirius. Mais on passe par la forêt ou la cabane hurlante ?
- La cabane hurlante ! s'exclamèrent en chœur tous les autres.
- C'est bon, pas besoin de crier…
Harry leva les yeux aux ciel alors que son parrain, de toute évidence, peinait à ne pas éclater de rire.
- Bon, on se retrouve dans la cabane hurlante… décréta le jeune adolescent.
Les autres approuvèrent d'un hochement de tête et, tous, transplanèrent à l'intérieur de la petite maison.
Rémus emporta Queudvert avec lui et ils remontèrent tous à la surface en empruntant le long tunnel qui débouchait juste au-dessous du saule cogneur, en plein milieu du parc qui entourait l'immense château.
Ils le traversèrent tranquillement mais, apparemment, ils avaient du se tromper sur Hagrid car celui-ci ne semblait pas du tout être dehors…
Ils voulaient se rendre dans le bureau du directeur pour l'informer de la réussite du sauvetage des deux hommes et aussi de la « disparition » de Voldemort et décidèrent de passer par la grande salle, se disant que se serait certainement plus rapide mais ils ne s'attendaient pas du tout à voir ce qu'ils y trouvèrent.
En fait, ils ne faisaient pas du tout attention à ne pas faire de bruit, ils étaient plutôt entrain de discuter et de rire tous ensemble pendant que le corps de Peter flottait derrière eux dans les airs…
Mais lorsqu'ils arrivèrent sur le pas de la porte, ils se figèrent et stoppèrent toute conversation.
- Ça, c'était pas prévu… murmura Harry entre ses dents.
Les autres ne prirent pas la peine de répondre, mais n'en pensaient pas moins.
En effet, devant eux se trouvaient presque tout les professeurs de Poudlard, même Trawleney était, exceptionnellement, descendue de la tour où elle résidait habituellement de jour comme de nuit.
Ils avaient été tout aussi surpris que les nouveaux arrivants, si ce n'est plus.
Cela était surtout dû au fait que les deux premiers à être entré dans la pièce étaient Sirius et Harry qui marchaient côte à côte, ce dernier, pensant que personne ne serait debout dans le château à cette heure-là, n'ayant pas repris sa forme animagus…
Et comme seul Dumbledore et Arabella Figg savait que Sirius était innocent et que les autres enseignants n'avaient pas encore eut l'occasion de voir le corps stupéfixer de Pettigrow, celui-ci étant tout derrière, ils levèrent automatiquement leur baguette vers l'ancien détenu d'Azkaban et lancèrent chacun un sortilège de stupéfaxion sur lui.
Ils avaient été tellement rapide que même Dumbledore n'avait rien pu faire.
Heureusement, Harry était juste à côté et avait commencer à se concentrer au moment où les professeurs avaient empoigner leur baguette.
Il plaça sa main en avant et le même bouclier qu'il avait utilisé à plusieurs reprise avec ses amis se forma juste devant son parraine et empêcha les sortilège de l'atteindre en les déviant en direction du plafond.
Les enseignants furent tellement abasourdis par cette réaction que Dumbledore eut le temps de leur dire de ne plus attaquer pendant que, de son côté, Sirius remerciait son filleul pour son brillant réflexe.
Au bout de quelques secondes, quand tout le monde se fut calmé et que le choc de voir tout le monde réuni dans la même pièce fut passé, Dumbledore prit la parole.
- Bon, alors, venez tous vous asseoir… demanda-t-il tout d'abord à l'intention des sept aventuriers.
Il fit apparaître des chaises pour que tout le monde puisse prendre place et, lorsque Rémus vint à son tour, il apporta magiquement le corps de Queudvert au professeur Dumbledore sous le regard ébahi de ceux qui ne connaissaient pas la vérité.
Ils étaient tous assis autour d'une seule table et attendaient patiemment que le directeur reprenne son discours où ils l'avaient laissé.
Les quatre adolescents avaient soudainement trouvé la contemplation de leur pied très intéressante.
Ils savaient très bien qu'ils avaient désobéi aux directives de Dumbledore et n'en était pas fiers, et Rémus également puisque son rôle d'adulte aurait été de les empêcher de mettre ce plan a exécution et qu'au lieu de ça, il les avait aidé.
Le directeur daigna enfin reprendre la parole.
- Vous aimeriez sans doute savoir la raison d'une réunion générale de professeur au beau milieu de la nuit ? interrogea-t-il à l'intention des sept dernières personnes à être entrées.
Ceux-ci hochèrent bien évidemment la tête car c'était effectivement la question qu'ils se posaient en ce moment-même.
- Et bien, cela est du à la soudaine disparition de quatre élèves…
Les quatre élèves sous-entendus se trouvant dans la pièce, le regard de Dumbledore était donc appuyé sur eux.
Harry prit enfin la parole pour poser la question qui le tracassait.
- Comment est-ce que vous avez pu savoir qu'on était plus dans les dortoirs ?
- Eh bien, le ministre de la magie voulait envoyer des Aurores secourir votre professeur. Ils avaient prévu de le faire demain matin et comme ça aurai mis Sirius en danger, je voulais m'entretenir avec vous pour que nous allions tous ensemble là-bas, cette nuit. Mais apparemment vous n'avez pas attendu mon feu-vert pour passer à l'action.
Les quatre adolescents qui entre-temps avait relever les yeux, encrèrent à nouveau leur regard sur le sol.
- Mais, à ce que je vois, votre plan à marcher. Donc je vais éviter de vous faire la morale… ajouta-t-il, son sourire malicieux étant revenu sur ses lèvres.
Harry, Hermione, Drago et Ginny furent tous soulagé d'entendre cette nouvelle et Rémus aussi.
Heureusement que tout cela n'allait pas créer de problème aux enfants.
- Par contre, je vais vous demander de m'expliquer ce que vous avez fait là-bas, mais avant je voudrais juste que Sirius raconte ce qu'il s'est vraiment passé il y a quatorze ans, à ceux qui ne le savent pas encore. Je l'aurai bien fait moi-même mais tu es quand même mieux placé que moi pour le faire.
Sirius soupira.
Raconter cette histoire, encore une fois, n'était pas ce qu'il avait le plus envie de faire mais il commença tout de même son récit.
Les adolescents Sévérus et Rémus n'écoutaient qu'à moitié, connaissant déjà l'histoire de leur ami par cœur.
Ils sentaient leur paupières se fermer tout seule tellement ils étaient fatigués et espéraient silencieusement que le directeur ne les retiendraient pas trop longtemps.
Ils chuchotaient entre eux et les autres dirent à Harry de montrer la page arrachée du livre et la baguette de Voldemort au professeur Dumbledore, comme ça, ils n'auraient pas besoin de tout expliquer.
Le discours de Sirius dura encore quelques minutes et lorsqu'il eut terminé, les professeurs étaient tellement abasourdi que rien n'aurait pu les étonner d'avantage.
Enfin, c'est ce qu'ils croyaient.
- Bon, alors… lança le directeur à l'intention des six autres. Lequel d'entre vous peut me dire ce qu'il s'est passé ?
Tous regardèrent Harry et celui-ci fit ce qu'il avait à faire.
C'est-à-dire qu'il sortit de sa sacoche l'explication du rituel qu'ils avaient accomplis et la baguette magique du seigneur des ténèbres.
Il se leva et alla donner les deux objets au directeur qui s'en saisit avec stupeur.
Il n'eut pas besoin d'examiner la baguette, savant très bien d'où elle provenait.
En revanche, il lut attentivement ce qu'il y avait d'écrit sur la page et le sourire sur ses lèvres se fit plus grand.
- Et donc, vous avez réussi à accomplir ce rituel jusqu'au bout.
Les sept hochèrent la tête.
- Et bien, je crois que c'est la meilleure nouvelle de l'année…
Il allait demander des détails, mais sembla enfin remarquer les airs fatigués qu'affichaient les visages des sept personnes venant de revenir et se ravisa…
- Bon, je pense que je vais vous laisser aller vous coucher. Après tout ça, vous avez vraiment besoin de repos. Moi, je vais appeler le ministre pour lui demander d'annuler l'opération qu'il avait prévu demain et aussi pour qu'il s'occupe d'un certain mangemort. Allez ! bonne nuit.
Ils soupirèrent de soulagement car l'accomplissement du rituel les avaient fatigués et ils n'avaient pas dormis de toute la nuit.
Ils se levèrent et se dirigèrent vers la sortire mais, Harry fut rappeler par le directeur.
- Oh Harry ! Pourrais tu me donner ta baguette. Je te la rendrais demain, c'est juste pour si Monsieur Fudge ne voudrait pas me croire.
Harry comprit et apporta sa baguette à Dumbledore puis alla rejoindre ses amis et tous allèrent se coucher dans leur lits respectifs.
