Je n'ai pas le droit
Auteur: Nicolina
Couple: 1+2
Avertissement: Shounen-ai, lime(plus tard), yaoi, OOC de Heero. Horrible torture de Heero. (Je crois que c'est la dernière fois que je torture quelqu'un comme ça.)
Disclamers: Les personnages de GW sont toujours pas à moi et tout ce qui a un rapport de près ou de loin. Tous sauf Thomas, c'est ma création à moi avec mon cerveau. Dans un sens j'aurai mieux fait de m'abstenir. Le docteur Maire aussi est à moi. (C'est un nom débile mais c'est tout ce que j'ai trouvé et je voulais pas aller chercher plus loin)
Petit mot: Merci pour les reviews.
Kinochan: Tu vas m'en vouloir de ce qui va suivre. Desolé. T_____T
Kali: Non, je ne bosse pas pour Oz mais on pourrait vraiment se poser des questions.
Shini sama: fais gaffe, si tu bouffe ton ordinateur, déjà, tu pourras pas le digerer et en plus tu pourras pas lire la suite.
Natsu: T'as raison, je suis une sadique et le chapitre qui va suivre le prouvent.
Manue: C'est bizarre tout le monde me dit la même chose. J'y peut rien faut bien que mes chapitres s'arrêtent quelque part.
Je crois que pour ce chapitre, je vais me faire trucider et lapider par beaucoup de monde. Pour les fans d'Heero, je m'excuse de ce qui va suivre. J'ai un peu souffert de ce que j'ai écrit. J'ai pas décidé d'en faire un death fic ou qu'elle serait horriblement tragique mais dans ce chapitre y'a de quoi se poser des questions.
Duo: T'es vraiment qu'une sadique. T'as fait du mal à mon Hee-chan.
Nicolina: Je peux te dire que ça a été dur d'écrire. Je vous adore tous les deux.
Heero: T'as une drôle de façon de nous le montrer.
Nicolina: Je sais, je suis désolé. Je m'excuse auprès de tout les lecteurs pour ce qui va suivre. Bonne lecture quand même.
Chapitre 18:
J'ai l'impression que ma tête va exploser. Je revois des images, des souvenirs que je ne voulais plus voir. La petite fille avec son chien, mon entraînement, la mort d'Odin. Des souvenirs qui m'ont fait mal que j'ai envie d'oublier. Le baiser de Thomas, la tristesse de Duo. Je ne veux plus revivre ça. J'essaie de résister.
Je ne sais pas combien ça fait que je me trouve sur ce fauteuil. Le docteur m'a mis une espèce de casque sur la tête. Je ne sais pas combien de temps il me torture. J'ai l'impression que ça fait des heures. Je crois qu'il n'a pas ce qu'il cherchait. Je résiste. Ca se voit à l'extérieur mais au fond de moi je souffre. Il me fait revivre tout ce que j'ai enfoui au fond de moi.
-Vous êtes très fort, zéro-un. Il y en a beaucoup qui, à votre stade n'ont pas résisté. Vous êtes coriace. Je n'ai même pas put encore déterminer votre plus grande peur. Ce ne sont que des souvenirs que vous ressentez pour le moment mais pas de réelles peurs.
C'est très rassurant ce qu'il dit. Il voit tous mes souvenirs. J'ai l'impression d'être mis à nu. La douleur se fait de plus en plus intense. Je n'avais jamais ressenti une telle douleur. C'est vraiment dur de résister. Je ne pense pas le faire longtemps. Quelle ironie pour un soldat, ne pas résister à la torture.
-Je vais augmenter la puissance. Vous ne criez même pas mais je crois que bientôt vous pleurerez que je vous laisse tranquille et là nous serons ce qui vous fait le plus peur.
Oh non! Il a augmenté la puissance. C'est trop dur. Je ne peux pas me montrer vulnérable, non, pas encore. -AAAAAAHHHHHHHH!!!!!
********
HEERO. Oh non! Je suis sur qu'ils lui font quelque chose. Je le sens. Je t'en pris résiste Heero. Tu es fort, je suis sur que tu vas t'en sortir. J'ai mes larmes qui montent et qui commencent à couler. Je t'aime Heero. Reviens-moi entier, je t'en pris.
********
-Alors, zéro-un, vous ne résistez plus.
C'est la première fois que je ressens une douleur pareille. J'ai crié. J'ai mis du temps à m'en apercevoir. J'ai l'impression qu'un rouleau compresseur m'est passé dessus. Je vois des images, des personnes. Je sais que je les connais. Je vois du sang. Non, non, ce n'est pas possible.
-Bien, je commence à distinguer votre peur.
Il y a quatre personnes. Elles tombent les unes après les autres. J'essai de m'approcher. Elles s'éloignent de plus en plus de moi. Je ne veux pas qu'elles partent. Je sais que si elles partent, je ne les reverrai plus. Je ne veux pas.
-Vous avez peur de perdre quelqu'un. Très intéressant.
Je m'approche. Cette fois les personnes ne bougent pas. Je me rapproche de plus en plus appréhendant ce qu'il va se passer. Plus je me rapproche, plus j'ai peur. Je ne veux pas voir ça mais il y a quelque chose qui m'incite à y aller.
-Non, non. Je ne veux pas.
-Je savais que vous ne résisteriez pas, zéro-un.
Les silhouettes se distinguent de plus en plus nettement. Je m'approche de la première personne. C'est. C'est. Wufei. Je suis à sa hauteur. Ce que je vois me choque, il est.mort, couvert de sang.
-Non, ce n'est pas possible.
Je m'approche de la deuxième personne. Quatre, lui aussi est mort, je peux le sentir. Oh! Non. Oh! Non. Je me dirige vers la troisième silhouette. Trowa. Ils sont tous morts. Je savais que je n'aurais pas dut me lier avec eux. C'est de ma faute.
-C'est de ma faute.
Il y a encore quelqu'un. La dernière personne. Dites-moi qu'il est vivant. S'il vous plait.
-Hee-chan.
Merci mon dieu, il est vivant. Je m'approche de lui. Il y a quelque chose qui cloche.
-Heero.aide.moi.
-Duo? Qu'est-ce que tu as?
-Aide-moi Heero. J'ai mal.
-Duo. Où as-tu mal?
-Partout.
-Qui t'as fait ça?
-C'est.
-Qui?
-Toi.
Non, non. Je ne veux pas. Je ne veux pas.
-C'est toi qui m'as fait du mal Heero. Je te déteste.
-Ne dis pas ça. Duo.
Je commence à pleurer. Pourquoi? A chaque fois que j'ai des amis, je leur fais du mal.
-Je meurs par ta faute. Les autres sont morts par ta faute.
-NAAAAAAANNNNNNNN. Arrêtez, arrêtez.
-Très bien. J'arrête. Je ne pensais pas que votre plus grande peur était de faire du mal à vos amis. Je n'aurai vraiment pas cru ça de vous. Etrange pour un pilote de gundam.
Je respire difficilement. Mes amis sont morts. Duo m'en veut. Je ne vais pas résister. La douleur diminue. Je ne suis plus rien. Tour mon entraînement est parti en fumée. J'ai perdu celui que j'aimais. Duo, je suis désolé. Mes larmes coulent. A quoi ça sert que je les arrête? Je sens mes liens qui se desserrent et quelqu'un qui me soulève. Je suis en sueur. Je n'essais même pas de marcher. Je suis..vide. Vide de tout. J'ai tout perdu.
-Ramenez le dans sa cellule, qu'il se repose et qu'il reprenne ses esprits s'il le peut.
-Bien joué professeur Maire. Vous avez fait du bon boulot.
-Merci, général Kushrénéda.
********
Je m'inquiète pour Heero. Dans quel état va t-il revenir? J'entends la porte s'ouvrir. Je suis un peu ébloui pas la lumière du couloir. Deux soldats entrent dans la cellule. Ils tiennent Heero. Il a l'air vide. Sans que je comprenne, la lumière de ma cellule s'allume. Ils auraient put le faire avant.
-Regardez votre ami, zéro-deux. Je crois que vous n'êtes pas prêt de le retrouver comme avant.
Les deux soldats le déposent sans douceur sur le sol. Mais qu'est-ce qu'ils lui ont fait? Je m'approche de lui et le prends dans mes bras.
-Qu'est ce que vous lui avez fait?
-Si vous voulez savoir, il a testé une nouvelle machine qui fait revivre les peurs les plus enfoui au fond de sois-même. Profitez bien de ce spectacle.
-C'est horrible. Heero? Heero, réponds-moi?
-Je ne veux pas.
-Heero, c'est moi Duo.
-Non, Duo est mort.
Il délire. Il est en sueur. Je ne l'ai jamais vu dans cet état. J'aime pas le voir comme ça.
-Non, Heero, je ne suis pas mort.
-Si, il est mort. Il m'en veut. C'est à cause de moi s'il est mort.
Ca va être dur de le sortir de là. Il croit que je suis mort. Il faut que je lui prouve que je suis bien vivant.
-Non, Heero, je ne t'en veux pas. S'il te plait regarde-moi.
Il a le regard tellement vide. J'arrive pas à croire que je le retrouve dans cet état. Bon sang qu'est-ce que je vais faire? Ne panique pas Duo. Il ne faut pas. Il faut que tu aides Heero. C'est plus facile à dire qu'à faire. Je lui soulève un peu la tête pour le forcer à me regarder. Il est tellement vulnérable.
-Heero, je t'en pris, écoute-moi. Je ne suis pas mort. Je ne t'en veux pas. Jamais je ne t'en voudrais. Je t'aime Heero. Je t'aime. Je t'en pris, essai de surmonter ta peur. S'il te plait, fais le pour moi. Je t'en pris, Heero. Je t'aime.
********
J'entends quelqu'un au loin. Non, impossible, je suis tout seul. Je serais toujours tout seul. J'ai perdu tous ceux que j'aimais, mes amis. Duo.
-Je t'aime, ne me quitte pas, résiste, Heero.
Il y a quelqu'un. Il essaie de me parler. Je n'arrive pas à distinguer qui c'est. Sa voix. Je la connais. J'aime l'entendre. Elle me guide. J'arrive à mieux la distinguer. C'est...Duo. Non, c'est impossible et pourtant.
-Je t'aime. Reste avec moi.
C'est bien lui. Il veut m'aider. Il ne m'en veut pas. Je commence à distinguer une personne au-dessus de moi. J'ai l'impression que c'est réel maintenant. J'arrive à la distinguer maintenant.
-Duo?
-Shut! C'est bon je suis là.
-Duo. J'ai cru.
-Je sais mais ce n'était qu'un vilain cauchemar. Je suis là. Je ne te quitterai jamais.
Il me berce dans ces bras. Je me sens vraiment bien. Je veux y rester. Me laisser aller dans ses bras. Ne plus penser à rien. Etre avec lui et ne plus jamais le quitter.
J'entends une porte s'ouvrir et une voix s'élever.
-Vite, venez.
A suivre
Qu'est ce qui me prend d'écrire des chapitres pareils. Bon, je vous en pris ne tuez pas l'autrice sinon, vous n'aurez pas la suite. Ce serait dommage, non? Une petite review siouplait. Merchi. Nicolina. ^____^
Auteur: Nicolina
Couple: 1+2
Avertissement: Shounen-ai, lime(plus tard), yaoi, OOC de Heero. Horrible torture de Heero. (Je crois que c'est la dernière fois que je torture quelqu'un comme ça.)
Disclamers: Les personnages de GW sont toujours pas à moi et tout ce qui a un rapport de près ou de loin. Tous sauf Thomas, c'est ma création à moi avec mon cerveau. Dans un sens j'aurai mieux fait de m'abstenir. Le docteur Maire aussi est à moi. (C'est un nom débile mais c'est tout ce que j'ai trouvé et je voulais pas aller chercher plus loin)
Petit mot: Merci pour les reviews.
Kinochan: Tu vas m'en vouloir de ce qui va suivre. Desolé. T_____T
Kali: Non, je ne bosse pas pour Oz mais on pourrait vraiment se poser des questions.
Shini sama: fais gaffe, si tu bouffe ton ordinateur, déjà, tu pourras pas le digerer et en plus tu pourras pas lire la suite.
Natsu: T'as raison, je suis une sadique et le chapitre qui va suivre le prouvent.
Manue: C'est bizarre tout le monde me dit la même chose. J'y peut rien faut bien que mes chapitres s'arrêtent quelque part.
Je crois que pour ce chapitre, je vais me faire trucider et lapider par beaucoup de monde. Pour les fans d'Heero, je m'excuse de ce qui va suivre. J'ai un peu souffert de ce que j'ai écrit. J'ai pas décidé d'en faire un death fic ou qu'elle serait horriblement tragique mais dans ce chapitre y'a de quoi se poser des questions.
Duo: T'es vraiment qu'une sadique. T'as fait du mal à mon Hee-chan.
Nicolina: Je peux te dire que ça a été dur d'écrire. Je vous adore tous les deux.
Heero: T'as une drôle de façon de nous le montrer.
Nicolina: Je sais, je suis désolé. Je m'excuse auprès de tout les lecteurs pour ce qui va suivre. Bonne lecture quand même.
Chapitre 18:
J'ai l'impression que ma tête va exploser. Je revois des images, des souvenirs que je ne voulais plus voir. La petite fille avec son chien, mon entraînement, la mort d'Odin. Des souvenirs qui m'ont fait mal que j'ai envie d'oublier. Le baiser de Thomas, la tristesse de Duo. Je ne veux plus revivre ça. J'essaie de résister.
Je ne sais pas combien ça fait que je me trouve sur ce fauteuil. Le docteur m'a mis une espèce de casque sur la tête. Je ne sais pas combien de temps il me torture. J'ai l'impression que ça fait des heures. Je crois qu'il n'a pas ce qu'il cherchait. Je résiste. Ca se voit à l'extérieur mais au fond de moi je souffre. Il me fait revivre tout ce que j'ai enfoui au fond de moi.
-Vous êtes très fort, zéro-un. Il y en a beaucoup qui, à votre stade n'ont pas résisté. Vous êtes coriace. Je n'ai même pas put encore déterminer votre plus grande peur. Ce ne sont que des souvenirs que vous ressentez pour le moment mais pas de réelles peurs.
C'est très rassurant ce qu'il dit. Il voit tous mes souvenirs. J'ai l'impression d'être mis à nu. La douleur se fait de plus en plus intense. Je n'avais jamais ressenti une telle douleur. C'est vraiment dur de résister. Je ne pense pas le faire longtemps. Quelle ironie pour un soldat, ne pas résister à la torture.
-Je vais augmenter la puissance. Vous ne criez même pas mais je crois que bientôt vous pleurerez que je vous laisse tranquille et là nous serons ce qui vous fait le plus peur.
Oh non! Il a augmenté la puissance. C'est trop dur. Je ne peux pas me montrer vulnérable, non, pas encore. -AAAAAAHHHHHHHH!!!!!
********
HEERO. Oh non! Je suis sur qu'ils lui font quelque chose. Je le sens. Je t'en pris résiste Heero. Tu es fort, je suis sur que tu vas t'en sortir. J'ai mes larmes qui montent et qui commencent à couler. Je t'aime Heero. Reviens-moi entier, je t'en pris.
********
-Alors, zéro-un, vous ne résistez plus.
C'est la première fois que je ressens une douleur pareille. J'ai crié. J'ai mis du temps à m'en apercevoir. J'ai l'impression qu'un rouleau compresseur m'est passé dessus. Je vois des images, des personnes. Je sais que je les connais. Je vois du sang. Non, non, ce n'est pas possible.
-Bien, je commence à distinguer votre peur.
Il y a quatre personnes. Elles tombent les unes après les autres. J'essai de m'approcher. Elles s'éloignent de plus en plus de moi. Je ne veux pas qu'elles partent. Je sais que si elles partent, je ne les reverrai plus. Je ne veux pas.
-Vous avez peur de perdre quelqu'un. Très intéressant.
Je m'approche. Cette fois les personnes ne bougent pas. Je me rapproche de plus en plus appréhendant ce qu'il va se passer. Plus je me rapproche, plus j'ai peur. Je ne veux pas voir ça mais il y a quelque chose qui m'incite à y aller.
-Non, non. Je ne veux pas.
-Je savais que vous ne résisteriez pas, zéro-un.
Les silhouettes se distinguent de plus en plus nettement. Je m'approche de la première personne. C'est. C'est. Wufei. Je suis à sa hauteur. Ce que je vois me choque, il est.mort, couvert de sang.
-Non, ce n'est pas possible.
Je m'approche de la deuxième personne. Quatre, lui aussi est mort, je peux le sentir. Oh! Non. Oh! Non. Je me dirige vers la troisième silhouette. Trowa. Ils sont tous morts. Je savais que je n'aurais pas dut me lier avec eux. C'est de ma faute.
-C'est de ma faute.
Il y a encore quelqu'un. La dernière personne. Dites-moi qu'il est vivant. S'il vous plait.
-Hee-chan.
Merci mon dieu, il est vivant. Je m'approche de lui. Il y a quelque chose qui cloche.
-Heero.aide.moi.
-Duo? Qu'est-ce que tu as?
-Aide-moi Heero. J'ai mal.
-Duo. Où as-tu mal?
-Partout.
-Qui t'as fait ça?
-C'est.
-Qui?
-Toi.
Non, non. Je ne veux pas. Je ne veux pas.
-C'est toi qui m'as fait du mal Heero. Je te déteste.
-Ne dis pas ça. Duo.
Je commence à pleurer. Pourquoi? A chaque fois que j'ai des amis, je leur fais du mal.
-Je meurs par ta faute. Les autres sont morts par ta faute.
-NAAAAAAANNNNNNNN. Arrêtez, arrêtez.
-Très bien. J'arrête. Je ne pensais pas que votre plus grande peur était de faire du mal à vos amis. Je n'aurai vraiment pas cru ça de vous. Etrange pour un pilote de gundam.
Je respire difficilement. Mes amis sont morts. Duo m'en veut. Je ne vais pas résister. La douleur diminue. Je ne suis plus rien. Tour mon entraînement est parti en fumée. J'ai perdu celui que j'aimais. Duo, je suis désolé. Mes larmes coulent. A quoi ça sert que je les arrête? Je sens mes liens qui se desserrent et quelqu'un qui me soulève. Je suis en sueur. Je n'essais même pas de marcher. Je suis..vide. Vide de tout. J'ai tout perdu.
-Ramenez le dans sa cellule, qu'il se repose et qu'il reprenne ses esprits s'il le peut.
-Bien joué professeur Maire. Vous avez fait du bon boulot.
-Merci, général Kushrénéda.
********
Je m'inquiète pour Heero. Dans quel état va t-il revenir? J'entends la porte s'ouvrir. Je suis un peu ébloui pas la lumière du couloir. Deux soldats entrent dans la cellule. Ils tiennent Heero. Il a l'air vide. Sans que je comprenne, la lumière de ma cellule s'allume. Ils auraient put le faire avant.
-Regardez votre ami, zéro-deux. Je crois que vous n'êtes pas prêt de le retrouver comme avant.
Les deux soldats le déposent sans douceur sur le sol. Mais qu'est-ce qu'ils lui ont fait? Je m'approche de lui et le prends dans mes bras.
-Qu'est ce que vous lui avez fait?
-Si vous voulez savoir, il a testé une nouvelle machine qui fait revivre les peurs les plus enfoui au fond de sois-même. Profitez bien de ce spectacle.
-C'est horrible. Heero? Heero, réponds-moi?
-Je ne veux pas.
-Heero, c'est moi Duo.
-Non, Duo est mort.
Il délire. Il est en sueur. Je ne l'ai jamais vu dans cet état. J'aime pas le voir comme ça.
-Non, Heero, je ne suis pas mort.
-Si, il est mort. Il m'en veut. C'est à cause de moi s'il est mort.
Ca va être dur de le sortir de là. Il croit que je suis mort. Il faut que je lui prouve que je suis bien vivant.
-Non, Heero, je ne t'en veux pas. S'il te plait regarde-moi.
Il a le regard tellement vide. J'arrive pas à croire que je le retrouve dans cet état. Bon sang qu'est-ce que je vais faire? Ne panique pas Duo. Il ne faut pas. Il faut que tu aides Heero. C'est plus facile à dire qu'à faire. Je lui soulève un peu la tête pour le forcer à me regarder. Il est tellement vulnérable.
-Heero, je t'en pris, écoute-moi. Je ne suis pas mort. Je ne t'en veux pas. Jamais je ne t'en voudrais. Je t'aime Heero. Je t'aime. Je t'en pris, essai de surmonter ta peur. S'il te plait, fais le pour moi. Je t'en pris, Heero. Je t'aime.
********
J'entends quelqu'un au loin. Non, impossible, je suis tout seul. Je serais toujours tout seul. J'ai perdu tous ceux que j'aimais, mes amis. Duo.
-Je t'aime, ne me quitte pas, résiste, Heero.
Il y a quelqu'un. Il essaie de me parler. Je n'arrive pas à distinguer qui c'est. Sa voix. Je la connais. J'aime l'entendre. Elle me guide. J'arrive à mieux la distinguer. C'est...Duo. Non, c'est impossible et pourtant.
-Je t'aime. Reste avec moi.
C'est bien lui. Il veut m'aider. Il ne m'en veut pas. Je commence à distinguer une personne au-dessus de moi. J'ai l'impression que c'est réel maintenant. J'arrive à la distinguer maintenant.
-Duo?
-Shut! C'est bon je suis là.
-Duo. J'ai cru.
-Je sais mais ce n'était qu'un vilain cauchemar. Je suis là. Je ne te quitterai jamais.
Il me berce dans ces bras. Je me sens vraiment bien. Je veux y rester. Me laisser aller dans ses bras. Ne plus penser à rien. Etre avec lui et ne plus jamais le quitter.
J'entends une porte s'ouvrir et une voix s'élever.
-Vite, venez.
A suivre
Qu'est ce qui me prend d'écrire des chapitres pareils. Bon, je vous en pris ne tuez pas l'autrice sinon, vous n'aurez pas la suite. Ce serait dommage, non? Une petite review siouplait. Merchi. Nicolina. ^____^