Le défi de Rêveuse : Une blague qui tourne mal
Chapitre 3 : Dispute
Voici juste un petit récapitulatif de la famille de Georges (et un peu de Fred aussi). Je vous en mets un car je me rends bien compte que mes explications étaient assez difficiles à suivre et que certains d'entre vous n'ont peut-être pas tout compris.
Ginny : C'est la fille aînée de Georges. Elle a 37 ans et travaille dans la société d'Hermione.
Beth : C'est la fille cadette de Georges. C'est aussi l'épouse de Cédric et la mère d'Armand, de Lily, de Marc et d'Andrew. Elle a 34 ans.
Cédric : C'est le fils unique d'Harry et l'époux de Beth. Il a aussi 34 ans.
Armand : C'est le fils aîné de Cédric et Beth. Il a 12 ans et est à Gryffondor.
Lily : C'est la deuxième enfant de Cédric et Beth. Leur seule fille. Elle va avoir 11 ans et vient de recevoir sa lettre de Poudlard.
Marc et Andrew : Ce sont les derniers nés de Cédric et Beth. Ils sont jumeaux et ont un peu plus d'un an.
Marie : C'est la fille de Percy et Pénélope. Lorsque ses parents sont morts, elle a été recueillie par Ron et Hermione. Elle vit encore chez eux avec son fils, Ed. C'est la meilleure amie de Beth.
Ed : C'est le fils unique de Marie. Il a 12 ans et est à Gryffondor, tout comme Armand qu'il considère comme son frère.
Voilà. Alors j'espère que c'est plus clair pour vous. S'il y a toujours des choses que vous ne comprenez pas, n'hésitez pas à me demander d'avantage d'explications. Maintenant, je passe à mon troisième chapitre : " Dispute ".
Fred avait passé deux heures assis dans son luxueux salon, sur un des nombreux fauteuils de cuir qui n'étaient là que pour lui. Pendant tout ce temps, il n'avait fait que ruminer sur ce qu'allait devenir sa vie. Il était riche, habitait une magnifique villa, sa société de farces et attrapes était connue dans le monde entier, mais il était désespérément seul. Il avait eu beau retourner sa demeure dans tous les sens, impossible de mettre la main sur une quelconque adresse personnelle. Etaient-ils tous morts ? Le seigneur des ténèbres les avaient-ils tous vaincu ? Pleins de questions, plus funestes les unes que les autres, l'assaillaient. Il n'avait qu'une seule envie, retourner chez lui au plus vite. Car il avait beau posséder une magnifique maison, il n'arrivait pas à la considérer comme son chez-soi. Comme il aurait voulu atterrir au Terrier, juste une journée avant, pour pouvoir faire cette super blague avec son frère ! Il ne désirait absolument pas rester dans ce 30 juillet 1958 et voulait s'en aller le plus loin possible de l'endroit où il se trouvait.
Soudain, un bruit dans son second salon attira son attention. Il arrêta ses réflexions et se dirigea vers la pièce où il avait vu la cheminée et les nombreuses photos.
_ Fred!
L'exclamation de son jumeau le fit sortir de sa torpeur et c'est avec beaucoup d'enthousiasme qu'il le prit fort dans ses bras.
_ Ces deux heures ont été les plus longues de toute ma vie, dit-il à son frère.
_ Je m'en doutait, lui répondit Georges, c'est pour ça qu'on est venu te chercher.
_ On, l'interrogea-t-il?
C'est à ce moment là que Fred remarqua la femme qui se tenait debout, près de sa cheminée. Elle était magnifique. Jamais il n'en avait vu une aussi belle.
_ C'est ta nièce, lui lança son jumeau.
Cette réflexion le sortit de ses pensées et il ne put s'empêcher de sourire en voyant son frère prendre la femme dans ses bras, comme si c'était encore un bébé alors qu'elle devait avoir à peu près…
_ Elle a 37 ans, c'est ma fille aînée, lâcha Georges tout fier.
Fred donna un petit sourire à la blonde et la prit dans ses bras.
_ Je suis extrêmement heureux, dit-il à sa nièce.
_ Moi aussi, dit-elle d'une voie émue. Je… je suis heureuse de te revoir.
Et elle se remit dans ses bras comme pour ne plus jamais le lâcher.
_ Comment t'appelles-tu, lui demanda Fred ?
Elle hésita quelques secondes puis finit par lui répondre :
_ Ginny.
_ Ginny, s'exclama Fred ! Comme ta tante ! J'adore ce prénom et… Attendez un instant ! Georges, pourquoi s'appelle-t-elle comme notre petite sœur ?
Les yeux remplis de tristesse de Georges affirmèrent les soupçons de son jumeau.
_ Non, laissa-t-il échapper en éprouvant vite le besoin de s'asseoir pour que la pièce arrête de tourner.
_ Ecoute tonton, lui dit Ginny d'une voie douce. Je vais tout t'expliquer, calme-toi.
Fred passa l'heure suivante à apprendre ce qui était advenu de sa famille. Il fut peiné et ensuite heureux. Tout comme son frère un peu plus tôt, le rouquin voyait défiler sa vie en quelques instants devant ses yeux.
_ Mais pourquoi nous sommes-nous disputés, demanda-t-il à Ginny lorsqu'elle eut fini son récit ?
_ Je ne sais pas, répondit-elle en dévisageant tour à tour son père et son oncle. Durant plusieurs années c'est à peine si vous vous adressiez la parole. Puis, à la mort de maman, vous ne vous êtes plus jamais revu.
_ C'est idiot, s'exclama Fred ! Jamais nous ne pourrions nous disputez, et encore moins aussi longtemps. Et d'ailleurs, pourquoi n'ai-je pas gardé contact avec le reste de la famille ? Ce n'est pas par ce que j'étais brouillé avec Georges que je devais faire une croix sur tout ce qu'il y avait de plus cher pour moi.
_ Eh bien, sa nièce semblait gênée, je ne sais vraiment pas quoi te répondre. Tu es en quelque sorte devenu le sujet tabou à la maison…
_ Quoi, s'exclama Fred en regardant froidement son jumeau !
_ Enfin, continua Ginny, laisse moi terminer ! Je ne savais même pas clairement ce que tu étais devenu. C'est toi qui a coupé les ponts avec tout le monde. A part papa, la famille t'aurait accueilli à bras ouverts. Tu n'as pas redonné signe de vie depuis plus de 50 ans et la seule chose qui nous rappelait ton existence c'est la page que te consacre " Fortune de Sorcier " à chaque parution.
Georges laissa pour la première fois ses yeux parcourir l'appartement de son frère. Il était aussi beau que le sien était miteux. Il était aussi froid que le sien était accueillant. Même en se rappelant que lui avait pour l'entourer une famille unie et heureuse, Georges ne pouvait s'empêcher de penser qu'il était assis sur un canapé qui devait coûter au moins 1000 £. Il eut presque honte de dévisager avec envie les deux fauteuils de cuir noir à côté du sofa et détourna son regard assez vite pour que son frère ne le remarque pas. Puis, presque instinctivement, ses yeux se posèrent sur la magnifique cheminée en marbre qui trônait dans le salon. A la vue du nombre de photos où l'on pouvait voir Fred à côté d'un bâtiment où l'on lisait clairement : " Fred Weasley blagues en tout genre ", le cœur du roux se serra. Après tout, il ne devait rien dire. Ce qui avait été accompli été du passé, et il devait essayé de réunir son futur lui avec son frère et de faire en sorte que plus jamais ils ne se séparent.
Fred aussi, quant à lui, ne pouvait s'empêcher d'observer avec jalousie les biens de son frère. Oh, il avait bien sûr remarqué la chemise miteuse de Georges et ses chaussures presque trouées ! Mais en aucun cas il n'avait de la peine pour son jumeau. Ayant tous les deux étaient élevés dans un milieu modeste, ils savaient mieux que quiconque que l'argent est loin de faire le bonheur. Non, ce qu'il observait avec tant d'envie et de jalousie, c'était Ginny. Le regard qu'il posait sur la femme n'était pas du tout celui qu'un oncle devrait réserver pour sa nièce. Il la trouvait vraiment magnifique. Bien qu'elle eut presque la quarantaine, il se sentit obligé d'admettre qu'il n'avait jamais vu femme aussi belle. L'époque où il regardait Angelina avec assurance à Poudlard était très loin derrière lui. Fred se sentait très triste. Il se demandait même s'il devait accepté d'aller chez son frère si celui-ci le lui proposait, ce qu'il ferait sûrement. Sa maison devait extrêmement ressembler au Terrier et les murs devaient crouler sous le poids des photos. Sa cheminée devait être couverte de portrait de Ginny… Il aurait donné n'importe quoi pour pouvoir en afficher aussi dans son salon. Il ne savait pas pourquoi, mais en regardant son frère il avait mal. Il n'y avait aucune raison à cela pourtant, mais c'était un fait. Georges blessait son jumeau par sa simple présence. Il avait tout. Il était heureux. Le seul bien que possédait Fred était une prison dorée qui le maintenait prisonnier depuis plus de 50 ans.
_ Viens nous rejoindre à la maison, lança Georges comme si la réponse était évidente. En plus, tu pourras voir les enfants, ils viendront ce soir.
La question tant redouté fut enfin posée. Fred ne savait que répondre. Etrangement, il avait extrêmement peur de rencontrer le reste de sa famille. De plus, ils ne l'avaient jamais vu. Quelle serait leur réaction ? Et puis, depuis le début des explications de Ginny, Fred n'avait qu'une envie : découvrir la raison de leur ancienne querelle. Après tout, si à la fin de la journée tout le monde avait réglé ses comptes, il pourrait rejouer son avenir sans faire les erreurs qui lui avaient gâchées la vie. Sa décision était prise :
_ Bien sûr Georges, dit-il d'un ton qui se voulait plein d'entrain ! Je serais vraiment heureux de voir les enfants.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Les trois Weasley étaient repartis chez Georges quelques secondes après. Et heureusement qu'il en fut ainsi, car Lily, Armand et Andrew arrivèrent une dizaine de minutes plus tard. Ils voulaient absolument déjeuner avec leur grand-père. Bien qu'ils fussent d'abord surpris de rencontrer l'homme qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à Georges, ils ne furent pas pour autant déboussolés. Tout l'après-midi sembla pour les trois adultes être un séjour dans une cours de récréation. Les gamins qui ressemblaient à des anges s'étaient révélés être des monstres extrêmement épuisants. Ils étaient tellement occupés à jouer et à courir partout dans la petite maison qu'il ne remarquèrent même pas le changement de leur grand-père. Et à vrai dire, il n'y a pas que ça qui échappa à leurs yeux…
Fred n'en pouvait plus. Une grande boule s'était formée dans sa gorge et il devait sans cesse se retenir pour ne pas verser une larme. Il avait fait le tour de la maison de son frère. Elle était tout ce qu'il aurait souhaité. Le seul problème était qu'elle ne lui appartenait pas. Comment Georges avaient-ils pu lui refuser l'hospitalité dans un paradis pareil ? Comment son frère avait-il pu le priver de la famille qu'il avait tant désiré pendant cinquante longues années ? L'arrivée des enfants avait failli l'achever. C'est à peine s'ils connaissaient son existence. Les gosses devaient vaguement se souvenir d'un oncle que leurs mères avaient préféré oublier par soucis de commodité. Il était sur que s'il allait maintenant leur demander son prénom ils seraient incapables de lui répondre. C'était la première fois qu'il se sentait autant irrité, qu'il avait autant envie de se battre avec quelqu'un. Oui, Fred devait bien l'admettre, rien que de voir son jumeau lui donnait envie d'en venir aux poings. Et Georges qui continuait de le regarder comme si de rien était, comme s'il ne lui avait jamais volé sa famille ! Sa famille, cela se transforma vite en une évidence à ses yeux. Quoi qu'il se soit passé dans leur vie, c'était Georges qui avait été en tord. D'ailleurs il l'était toujours. Il était juste devant lui et lui souriait en le narguant. Fred aurait presque pu lui entendre dire :
_ Regarde ma fille, regarde mes petits-enfants, regarde tous les noms à mon horloge et toutes les photos à ma cheminée…
Georges allait craquer. L'attitude de Fred l'exaspérait au plus au point. Qui lui donnait le droit de dévisager sa maison avec dégoût ? Ce n'est pas par ce que lui vivait dans un palace que tout le monde en avait les moyens. En fait, sa demeure aurait pu être différente si Fred n'avait pas volé leur idée et fondé leurs magasins en solitaire. Il savait bien ce qui avait du se passer pour qu'ils se disputent. Fred était devenu extrêmement égocentrique et il avait du décider de ne pas le faire profiter de leur magnifique projet. Et voilà que Fred commençait à regarder Ginny et les enfants avec intérêt ! il ne fallait pas qu'il songe une seconde à se les approprier. Ils étaient le seul bien qu'il lui avait laissé et il était hors de questions de le laisser s'en emparer. Que souhaitait-il ? Voulait-il tout simplement le priver de tout bonheur par simple jalousie ? Il lui avait déjà volé ses rêves et son argent. Cela ne suffisait-il pas ?
Alors que les deux frères se trouvaient à deux endroits différents de la maison, ils purent entendre Ginny les appeler de la cuisine :
_ A table !
Quoi, déjà ? Ils leur semblaient que le déjeuner avait été servie une heure avant. Ils se dirigèrent vers la cuisine et y entrèrent en même temps. Ils purent très clairement lire à l'horloge : 19h30. Tous deux n'avaient pas vu le temps passé en se dressant l'un contre l'autre.
_ Génial, de la purée, s'exclama Armand !
_ Je sens que tu n'aimeras pas ça Lily, disait Ed. Il faudrait peut-être que tu me donnes ta part…
_ Tu peux toujours rêver, répondit la petite fille.
_ Allez mangez ça va être froid, leur lança une Ginny amusée. Et vous asseyez-vous donc, continua-t-elle en direction des jumeaux.
Il y avait deux chaises. Une qui devait être la plus belle de la maison, et une toute abîmée que les mites devaient adorées. Fred décida instantanément de se mettre sur la première. Son frère avait déjà la famille, il devait au moins lui laisser la seule chose qu'il possédait, le luxe. Quant à Georges, son choix se porta aussi sur la belle chaise. Après tout, il était chez lui et si son frère régnait en roi partout où il allait il avait tout de même le droit de rester maître chez lui et de profiter du peu de luxe qu'il possédait. Les deux hommes se dirigèrent alors en même temps vers la même chaise. Au moment de s'asseoir, ils se poussèrent mutuellement. Ils essayèrent alors tous deux de se remettre sur place mais toujours en même temps se repoussant l'un l'autre. Les enfants et Ginny regardaient la scène médusés.
_ Laisse-moi m'asseoir Georges, lança Fred d'une voie froide.
_ Je te signale que je suis tout de même chez moi et que je choisirais la chaise que je désire, lui répondit son frère.
_ C'est vrai tu as raison, affirma Fred, tu as toujours fait uniquement ce que tu désirais.
_ Qu'est-ce que tu veux dire, s'exclama Georges bien fort ?
_ Fait comme si tu n'avais pas compris, ça t'arrangera, répondit le roux.
_ Tu peux parler espace de sale voleur profiteur, lâcha Georges.
_ Espèce de, commença Fred…
Mais le poing de Georges fut plus rapide. Fred répliqua alors à son tour sans manquer le nez de son frère. S'en suivi une violente bagarre où plus rien n'importer pour les deux hommes à part le fait de faire le plus mal possible à son adversaire. Quelques fois, des mots leur parvenaient aux oreilles. Sûrement Ginny qui les implorait d'arrêter, qu'ils étaient devant les enfants. Mais ils s'en foutaient. Qu'importe tous ceux qui se trouvaient autour d'eux. Il était hors de questions d'arrêter les coups en premier. Mais d'un coup, tout s'arrêta et ils se figèrent en pleine élan.
Ginny tenait sa baguette et elle devait sûrement avoir prononcée un sort d'immobilisation. Armand, Ed et Lily n'étaient plus là mais la table était renversée et la purée s'était étalée par terre. Leur respiration reprit peu à peu son rythme normal et ils entendirent Ginny leur dire :
_ Les enfants sont chez Ron et Hermione. Ne cherchez même pas à aller les voir. Vous avez terrorisé la petite. Je vais rentrer chez moi et je vous préviens que ni l'un ni l'autre ne sortirez de cette maison. Il est bientôt 20h. Il vous reste 13 heures pour découvrir ce qui s'est passé et tout arranger. J'espère que vous y arriverez sans vous entre-tuer.
Et elle partie dans un " pop " juste après avoir libéré les eux hommes.
Comme Ginny l'avait dit, ils leur restaient jusqu'à neuf heures le lendemain matin pour tout découvrir. Mais les deux frères étaient persuadés avoir déjà compris ce qui les avait radicalement séparé. L'autre avez beaucoup trop changé. Ils devaient avoir un peu peur de regarder la vérité en face, mais de toute façon, elle s'imposerait bientôt d'elle-même.
Fin du chapitre 3 !
Ca y est le chapitre est terminée. Je sais que j'ai tardé pour vous le terminer mais avec la seconde accélérée je bosse tout le temps. Il reste encore deux chapitres qui seront, à mon avis, mieux que ceux que vous avez lu jusqu'à maintenant dans cette histoire. Je promets de les faire plus vite que celui-là. Merci beaucoup de vos encouragements et voici un petit mot pour les reviewers :
Samantha : Tu penses que je vais arranger le fait que Fred n'est pas de famille? Ah… Moi aussi je la trouve bien sa famille. Mais il y a toujours un truc qui va pas dans les grandes familles. Tu peux déjà te douter de ce qui les a séparé dès ce troisième chapitre. Et puis si tu ne sais pas, tu verras dans le prochain. Dans le quatre ça deviendra clair pour tout le monde sauf les deux intéressés. Merci et gros bisous.
Audy124: J'ai réexpliqué qui était qui au début du chapitre. Je me rends bien compte que c'était confus mais pour moi c'était tellement clair que je ne savais pas comment mieux l'expliquer. Merci et gros bisous.
Pheneatis: Je suis désolée d'avoir été aussi longue pour poster ce chapitre. J'ai laissé quelques petits indices pour connaître la raison de leur brouille. Si tu n'as pas deviné, ce sera beaucoup plus clair dan le prochain chapitre. Merci et gros bisous.
Rêveuse: Ca ne peux pas être pire? Hi hi hi. J'ai fait un récapitulatif avec les noms. C'est vrai c'était très embrouillé. Pour ce qui les a brouillé, je me demande bien si quelqu'un a une idée. J'ai laissé des indices dans ce chapitre. T'as raison j'avais pas pensé à ça. Finalement j'ai été vache avec ce pauvre Neville lol. Merci et gros bisous.
Nina: Et bien tu as eu tes réponses. Georges a retrouvé Fred et non ça c'est pas bien passé. A moins que tu adores le catch et alors là tout était super bien. Merci et gros bisous.
Mymye-Potter: Ne pleure pas Mymye, si tu as fait attention tu dois avoir compris ou sinon t sauras dès le prochain chapitre. Tu trouves qu'elle est un peu dramatique? J'aimerais bien voir ta tête quand tu liras le dernier chapitre (le 5). Merci et gros bisous.
Mon tit Michocos: Merci pour ta review ma puce. Si tu dis la suite à qui que se soit je t'étrangle! Bon, je te fais d'énormes bibis et un gros merci.
Cass: Merci beaucoup ta review m'a fait très plaisir. Gros bisous.
Cristal flower: J'ai bien reçue ton mail et tu m'as fait vraiment plaisir. Je suis dans une seconde accélérée alors j'ai pas beaucoup de temps pour écrire mais je vais essayer de m'activer plus quand même. Tu auras bientôt la suite du protecteur c'est promis. Merci et gros bisous.
Alors voilà, j'ai fini avec les remerciements. Je me demande bien si quelqu'un a compris pourquoi ils se sont séparés. Ca me ferait plaisir tiens. Je vous remercie énormément de vous être arrêtez pour me lire et encore plus si vous me laissez une petite review.
Ange!
