Le défi de Rêveuse : Une blague qui tourne mal
Chapitre 4 : Abbygaël Weasley
Après avoir nettoyé la purée sur le sol de la cuisine, rangé les tables et les chaises, jeté les plats cassés et lavés les couverts restant, Fred et Georges allèrent dans le salon, toujours sans un mot. Ils s'assirent tous deux sur le vieux canapé, sans un mot, lisèrent tous deux quelques vieux journaux, sans un mot, et s'ennuyèrent ensemble, sans ne jamais prononcer le moindre mot. Lorsqu'il fut l'heure de se coucher, tous deux se levèrent, sans un mot. Georges monta les escaliers et Fred le suivit, sans un mot. L'un entra dans une chambre et l'autre dans une autre, sans un mot. Et chacun se coucha dans son lit respectif et tenta en vain de s'endormir, sans un mot.
Mais, aucun des deux ne tombait dans les bras de Morphée. Comment auraient-ils pu le faire alors qu'ils venaient de se disputer, pour la première fois ? Comment auraient-ils pu se parler, s'expliquer, alors qu'ils savaient très bien que quelque chose s'était cassé, il y a bien longtemps, et qu'il leur était impossible de revenir en arrière ? Comment pouvait-on autant changer ? Comment deux frères, des jumeaux de surcroît, avaient-ils pu devenir aussi différents ? Comment après tant d'amour partagé, pouvait-on en venir à se détester ?
C'est ce que Georges se disait, et Fred aussi sûrement, il en était sur. Il entendait son frère s'agiter à travers la fine cloison des murs. C'était fou comme ces lits grinçants ressemblaient à ceux du Terrier. Dès que l'un d'eux était réveillé, l'autre le savait et la journée pouvait commencer. Mais là, aucun des deux n'était endormi mais ils souhaitaient plus que tout passer au lendemain. Et puis d'un coup, Georges se rendit compte. De retour chez lui, il n'aurait rien oublié de ce voyage dans le temps et tout sera toujours aussi différent. Il ne retrouverait jamais l'entente parfaite qu'il avait avec son jumeau. Cette sensation qui vous dit que quoiqu'il se passe, vous ne serez jamais seul car l'autre sera toujours là. Mais il avait appris le contraire. Pour une raison obscure qu'il n'arrivait toujours pas à comprendre, il avait était séparé de la seconde partie de lui-même. Et, d'un coup, il eut envie de savoir pourquoi. Ginny avait raison, il lui restait peu de temps à vivre dans le futur, autant trouver de suite ce qui avait gâché leur passé pour ne pas refaire la même erreur.
Georges prit sa robe de chambre et redescendit dans le salon. Il ne savait pas par où commencer mais il était persuadé que les idées ne lui viendraient pas dans sa chambre, juste à côté de Fred. Il s'assit sur le canapé, comme quelque temps plutôt, mais il remarqua quelque chose qui avait attiré son attention lors de sa première visite et qu'il avait négligé. Jusqu'à présent. Georges se dirigea vers la petite boîte rectangulaire qui se trouvait sur la table en face du divan et remarqua un bouton " on ". Il se souvint de ce que son père lui avait dit un jour. Etrangement, les moldus devait toujours nommer le bouton de mise en marche d'un objet sinon ils l'oubliaient toujours. Le roux appuya donc sur le bouton et la boîte se mit en marche. D'un coup, des femmes apparurent et se mirent à courir sur une plage. Presque toutes blondes, elles portaient un maillot rouge et semblaient allé sauver un homme qui se noyait au ralenti. Georges se demanda quelques secondes pourquoi cet objet futile était dans son salon avant de voir une petite image clignoter à côté d'une fente en bas de la boîte. Il ne savait pas vraiment de quoi il devait s'agir mais appuya tout de même sur un second bouton de mise ne marche. Et c'est alors qu'il la vit. Oui, c'est à ce moment précis que Georges su qu'en réalité, il n'avait absolument rien gâché dans sa vie.
_ Allez Georges, viens, papa veux prendre des photos.
Le roux sursauta lorsqu'il entendit la jeune fille de la boîte l'appeler. Il savait très bien qui elle était. Il n'avait aucun besoin de voir la robe de mariée qu'elle portait pour constater qu'elle ressemblait énormément à Ginny, mais tout en étant encore plus belle.
_ J'arrive mon amour, s'entendit-il prononcé. Tiens Ron, prends le caméscope !
_ Le camé quoi ! s'écria son frère dans l'écran. Attends Georges ! Faut faire quoi ?
_ Donne Ron, proposa Fred. Va rejoindre Harry, je vais les filmer.
Il entendit des pas s'éloigner alors que la petite boîte montrait le sol. Quand elle fut relevée, Fred fit un gros plan sur lui et dit :
_ Alors voilà petit frère, aujourd'hui, c'est ton mariage.
Georges entendit les escaliers craquer, et quelques secondes plus tard, Fred était assis à côté de lui sur le divan.
_ J'ai toujours su que tu serais le premier de nous deux à te mettre la corde au cou, continua le Fred de la boîte, beaucoup plus jeune que celui du salon. Percy il y a un an, Ron il y a trois mois et maintenant toi. Maman a pris un abonnement à mouchoir magazine et elle en reçoit dix rouleaux par mois, comme ça elle économise pour le mien. Les demoiselles d'honneur d'Abby sont plutôt mignonnes, faudrait que j'en trouve une blonde qui aime cuisiner. Tu viendras avec moi tout à l'heure ?
_ Qu'est ce que tu fais Fred ? la voix d'Hermione résonna dans la boîte.
_ Allez viens Mione, dis coucou aux jeunes mariés, dit Fred en riant.
La jeune fille apparut alors dans la boîte. Elle était magnifique et avait un grand sourire.
_ Félicitations tous les deux, dit-elle. J'espère que votre mariage durera plus longtemps que vos fiançailles.
Le rire de Fred se fit entendre.
_ Si l'on m'avait dit le jour de mon mariage que ma seule amie moldue épouserait le frère de mon mari trois mois plus tard jour pour jour, je n'y aurais cru. Mais dès qu'on vous a vu tous les deux, on a su qu'il y avait quelque chose qui se tramait. Et le résultat ne s'est pas fait attendre. Vous étiez fiancés deux semaines plus tard. Honnêtement Abby, j'ai cru que ton père allait tuer Georges la première fois qu'il l'a vu. Le fait que tu lui aies dit que ton futur mari était un chirurgien plasticien à 22 ans à sûrement du aider à faire passer la pilule. J'attends impatiemment de voir comment tu feras lorsque les pouvoirs de vos enfants se manifesteront. Je t'en supplie fais-moi venir ce jour-là, je ne veux absolument pas rater ça. Et puis Georges, belle-sœur ou non, si tu fais manger la moindre crème de canari à Abby tu le regretteras. Bon, allez, je vous laisse car vous arrivez.
_ C'est marrant de dire ça non, lança Georges.
Un éclat de rire puis tout fut coupé.
Georges voulut se lever et partir. Il voulait retourner dans sa chambre car il était sur que maintenant il pourrait dormir. Il rêverait d'elle. De sa femme. De son Abby. Mais lorsqu'il voulut se lever, un petit grésillement se fit entendre dans la boîte et une image apparut. Elle était là, dans ce salon, avec un pull doré trop grand pour elle et une jupe en jean. Allongée dans le canapé, elle riait.
_ Fred arrête pause ça, disait-elle entre deux éclats de rire.
_ Quoi, tu ne veux pas que je te filme ? demanda le jeune homme. J'adore tes jouets moldus je t'en pris laisse-moi l'utiliser.
_ Pause ça Fred, dit-elle en riant de plus belle. Je sens que tu vas faire comme le grille-pain et que ma pauvre caméra va finir exploser dans le lavabo.
_ C'était un accident ! plaida le jeune homme en riant aussi. Georges ne m'avait pas dit que ces petits machins ne pouvaient pas aller dans l'eau. D'ailleurs ça nous a inspiré notre prochain tour.
_ Vraiment ? s'étonna la jeune fille.
_ Oui, continua Fred. C'est le truc qui explose quand tu mets de l'eau dessus.
Abby rit et prit le caméscope des mains de Fred. Et c'est alors qu'il la vit. C'est alors que Georges remarqua la lueur dans les yeux de son frère.
Un malaise pire que celui qui régnait déjà s'instaura sur le canapé pendant que le film continuait.
_ Puisque tu as entamé une nouvelle pellicule, autant que cela serve à quelque chose. Allez viens, dit la jeune fille en s'asseyant sur le divan, viens te mettre à côté de moi pour qu'on puisse nous voir tous les deux.
_ A vos ordres madame, dit Fred en s'exécutant.
La caméra cadrait maintenant les deux jeunes gens et elle semblait être posée sur un support devant le canapé.
_ Georges mon amour, commença Abby tandis que le visage de Fred devenait dur, il faut absolument que tu trouves une blague du tonnerre à vendre à tous les petits sorciers.
_ Et aux grands, ajouta Fred.
_ Et bien sur aux grands, corrigea la jeune fille. Car tu sais, des vêtements tailles XL ça coûte cher, et c'est sans parler des meubles pour la nouvelle chambre à coucher et des jouets pour le bébé.
_ Pour le bébé ? interrogea Fred.
_ Fred va accepter ici et en direct d'être le parrain, n'est ce pas Fred ? demanda la jeune fille un immense sourire aux lèvres.
Soudain, le visage de Fred changea et le jeune homme se leva, hors du champs de la caméra.
_ Mais enfin Fred où vas-tu ? s'inquiéta Abby en le suivant.
Il n'y avait maintenant plus que leur voie qui parvenait à la caméra.
_ Ca va princesse ne t'inquiète pas, répondit le jeune homme. C'est juste un petit coup de barre ça va aller.
_ C'est le bébé, c'est ça ? questionna Abby. Tu penses que c'est trop tôt ?
La voix de la jeune fille semblait de plus en plus triste.
_ J'aurais du faire plus attention, continua-t-elle. Oh Fred tu crois qu'il va m'en vouloir ? Je suis désolée, je…
_ Non, la coupa le roux. Ce n'est pas ça je te jure. Georges va être l'homme le plus heureux du monde tu peux me faire confiance.
_ Tu crois ?
_ J'en suis sur, la rassura-t-il. Et moi je serais enchanté d'être le parrain de ton… de votre enfant.
La cassette s'arrêta là. Les images s'arrêtèrent automatiquement dans la petite boîte et Georges vit que les filles en maillot de bain rouge avaient été remplacées par des tortues qui parlaient.
_ Mais en d'autre, dit Fred en rompant ainsi leur si long silence.
_ C'était ma femme Fred, lui dit Georges en le regardant dans les yeux.
_ Mais ça aurait du être la mienne, lui lança simplement Fred.
Et c'est ainsi que toute la nuit, les deux frères regardèrent des tonnes de film. Les premiers pas de Ginny, puis ceux de Beth. Le baptême des deux fillettes et celui de Marie. Ils virent des vacances au bord de la mer, où des choses qu'Abby avait filmées simplement par ce qu'elle les trouvait belles. Ils virent une manifestation des Elfes de Maison, un repas de famille pour Noël. Ils y eut aussi une représentation de théâtre à l'école maternelle de Ginny, et toute la famille était là. Et sur chaque film, Fred était de plus en plus lointain, presque absent, alors que Georges était toujours aussi heureux, entouré de ses petites femmes comme il les appelait tout le temps. Et puis il y eut une cassette, la dernière enregistrée, datée du 4 avril 2007. Georges se souvint de suite de cette date. Elle l'avait hanté durant toute la nuit, il ne faisait que penser à elle et se demandait ce qui avait bien pu se passer ce jour-là, ce jour où on lui avait enlevé sa femme. Fred mit la cassette dans le magnétoscope et le film commença. Et Abby réapparut, malgré ses quelques années de plus elle était toujours aussi belle.
_ Aujourd'hui est un jour spécial, commença-t-elle. Ecoute mon amour, je sais qu'on avait dit que deux enfants ça suffisait, et que Ginny et Beth étaient intenables, mais dis-toi que c'est aussi ta faute et qu'au fond je sais que tu seras très heureux quand tu regarderas cette cassette. Donc, quand tu rentreras à la maison, il n'y aura personne. Juste un petit mot dans la cuisine que tu as déjà du lire t'annonçant de te mettre sur le sofa et d'allumer le magnétoscope. Cette après-midi, j'emmène Beth chez Percy et Pénélope, pour qu'elle joue avec Marie. Et puis avec Ginny, nous irons en ville. Elle choisira un jouet au supermarché et moi un test de grossesse. Pour faire durer la surprise, c'est très simple. A l'heure où tu es rentré, je dois être chez Hermione. Si je n'ai pas effacé cette cassette c'est que le test est positif et que j'ai été voir ton médecin sorcier pour savoir s'il s'agit d'un garçon ou d'une fille. Si un ruban rose est accroché aux rideaux de la cuisine, nous allons encore avoir une fille. Si un rideau bleu y est pendu, tu auras enfin le garçon que tu as toujours voulu et le nom des Weasley continuera à exister. Je t'attends chez Hermione et ramène le ruban avec toi. Je t'aime mon chéri.
Et le film se coupa. Un long vide suivit ces paroles, si bien que les deux frères crurent que la cassette était terminée. Mais lorsqu'ils allèrent se lever du sofa, des images reprirent.
Du bruit venait de la cuisine, et Georges était seul dans le salon. Il était habillé tout en noir et ses yeux étaient rougis à force d'avoir pleurer. Il tripotait quelque chose dans ses mains, mais il était impossible de voir de quoi il s'agissait.
_ Quand je suis rentré à la maison, ma chérie, j'ai fait tout ce que tu avais prévu, dit Georges la voix remplit de sanglots. Mais lorsque je suis allé dans la cuisine, il n'y avait aucun ruban accroché aux rideaux. Je me suis dit que tu avais oublié, ou que tu avais eu moins de temps que tu ne l'avais cru. J'allais te rejoindre chez Ron quand il est apparut par la cheminée, abattu. Je l'ai rejoins à l'hôpital, et tu es morte le 4 avril 2007 à 22h13. On m'a raconté qu'après être sortie de chez le médecin tu t'es rendue dans un magasin et es sortie quelques minutes après. Tu avais acheté un ballon à Ginny un peu plus tôt dans l'après-midi et la petite l'a fait tomber sur la route. Elle s'est lancée à sa poursuite et une voiture est arrivée à ce moment-là. Tu t'es jetée sur la route et la petite n'a eu qu'un bras cassé lorsque tu l'as poussé. Avant de te faire renverser à sa place. Au mon amour je te jure que si j'avais pu prévoir quoi que ce soit, j'aurai été sur cette route et tu n'aurais rien eu. Je n'aurai plus jamais de vie sans toi et je suis mort la semaine dernière, avec toi. Fred est partit et, à vrai dire, je n'ai pas à lui reprocher. J'aurais fait la même chose s'il n'y avait pas les gamines à élever. Je crois qu'il a toujours été un peu amoureux de toi. Il ne me pardonnera jamais de ne pas avoir pris soin de toi. Peut-être mon amour, n'as-tu pas choisi le bon Weasley. Tout ce que je peux te dire, dit-il en baissant les yeux vers la chose qu'il tripotait, c'est que j'ai trouvé un petit truc dans ton sac. Je ne peux rien en faire maintenant, et il ne fera que me rappeler à quel point je t'aimais et je t'aimerai toujours.
La porte du salon grinça et une petite rouquine entra dans la pièce. C'était Beth, elle avait à peine trois ans et ne comprenait rien à ce qui se passait dans la pièce d'à côté.
_ Pourquoi tout le monde il pleure ? demanda-t-elle à son père.
_ Je ne sais pas ma chérie.
_ Et elle est où maman ?
_ Au ciel ma puce.
_ Elle revient quand, j'ai faim ?
_ Papa va te faire à manger.
_ C'est quoi que tu as dans tes mains ?
_ Un cadeau pour toi, princesse.
Et il se leva du canapé avant d'attacher les cheveux de sa fille avec un magnifique ruban bleu et de sortir de la pièce.
C'est ainsi que le film se termina, et que la survie de Georges commença.
Fin du chapitre !
Bon alors voilà enfin ce chapitre 4! Je suis vraiment désolée de vous avoir fait tant attendre. A vrai dire je ne savais pas quand je me mettrai à écrire la suite et hier soir, j'ai eu une flamme d'inspiration et j'ai écrit ces 7 pages d'un coup. J'espère donc que cela vous a plu et que vous n'êtes pas trop déçus si vous vous attendiez à un truc extraordinaire pour la dispute des jumeaux. Il reste encore un chapitre, le dernier, et je vous jure qu'il sera posté beaucoup plus vite que celui-ci. En attendant, un grand merci aux revieweurs que je remercie personnellement.
Nina : Non, tu ne t'es absolument pas trompée. Fred est riche mais seul et Georges et pauvre mais fait partie d'une grande famille. Merci et gros bisous.
Hermichocos : Ah la la te revoilà la folle que j'essaye d'éviter mais qui reviens toujours! En plus tu me harcèles pendant mes cours de russe! Espèce de citron! Si tu raconte la suite à quelqu'un je te rase les jambes. Non franchement, tu me manques horriblement ma puce et j'espère que tu prendras bien soin d'Hedwige même lorsqu'elle aura ses règles. Les gens qui vont lire cette réponse vont me prendre pour une grosse cinglée lol.
Cho Chang : Arrête je suis entrain de rougir et on fait plus la différence avec les rideaux… J'espère que ce chapitre t'a plu. Merci et gros bisous.
Samantha : Mais voyons tu ne m'embête pas! J'aime bien tes reviews elles me font rire. Et celle-ci ne déroge pas à la règle. Tu as vu les papis flingueurs? Moi non mai sle titre irait bien à mes petits jumeaux. T'inquiète, ils se sont calmés avec la boxe et ils font même la vaisselle. Qu'est ce qui a bien pu les séparer? Et bien une fille, le coup classique. Ca me fait trop plaisir ce que tu me dis et je vais te répondre comme à Cho : Tu veux vraiment qu'on ne fasse plus la différence entre moi et mes rideaux rouges grenats? Je suis entrain de me rendre compte qu'ils sont vraiment laids et que ma mère ferait bien de les virer… Bon, passons. Je te remercie beaucoup, beaucoup et je te fais de gros bisous.
Mary-Evy : Et bien voici la suite et j'espère vraiment qu'elle t'a plu. Merci et gros bisous.
Luffynette : Et bien oui tu sais. Pour toi ce n'est pas vraiment une surprise te je pense que pour les autres non plus. En fait c'était pas vraiment le but. Merci et gros bisous.
Mymye Potter : Ne pleure pas, tiens un kleenex. Oh tu sais je crois qu'il n'y a pas beaucoup de fic qui parle de Fred et Georges qui se sépareraient et tout ne peut pas être toujours rose entre deux frères, jumeaux ou non. Si tu veux une réponse, ils ne se parleront pas… à vrai dire ils n'en n'auront pas besoin. Mais bon je vais pas te raconter toute la suite non plus. En fait le chapitre 5 c'est le dernier chapitre et je savais déjà ce qui allait se passer c'est pour ça que j'ai écrit ça. Merci et gros bisous.
Et bien voilà, il ne reste plus qu'un chapitre et c'est fini. Au programme du dernier volet de cette histoire : retour au Terrier et … vous verrez bien.
Merci beaucoup de vous être arrêtés pour lire cette fic.
Ange!
