Voici ma première fiction qui traite de la Cinquième année d'Harry à Poudlard (lassé d'attendre que l'Ordre du Phoenix sorte, j'ai décidé d'écrire ma propre version).

J'ai vraiment besoin de vos conseils pour continuer alors n'oubliez pas de m'envoyer des messages.

Disclaimer : Au cas où vous ne le serriez pas encore, Harry Potter et son monde appartient à J. K. Rowling. Je précise que je ne perçois pas d'argent …

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1. Cauchemars et Peurs

- J'implore votre pardon maître, dit l'homme d'une voix tremblante. Je ferais tout ce que vous me demanderez pour faire pardonner mes erreurs.

  Harry reconnut immédiatement l'homme qui parlait : il s'agissait de Karkaroff.  Mais ce n'était plus le grand Karkaroff qui était présent à Poudlard, il semblait faible et diminué comme s'il venait de faire un long séjour à Azkaban.

- Il est trop tard pour te repentir, siffla une voix qui fit frissonner Karkaroff. Sache que je ne pardonne jamais les traîtres et surtout ceux qui ont fait emprisonner plusieurs de mes fidèles sujets.

  Cette voix était celle qui revenait toutes les nuits dans les cauchemars d'Harry. Depuis trois semaines il craignait de s'endormir de peur de revoir Voldemort  et ses Mangemorts s'amuser à tuer quelques moldus ou d'être encore forcé de revivre la mort de Cédric Diggory.

- Ne t'inquiète pas pour ceux qui me sont restés fidèles. Ils vont bientôt retrouver leur maître et seront récompenser. Mais d'abord je vais les venger et tu vas payer pour ta trahison. Endoloris.

  L'homme se roula par terre tellement la douleur était forte. Harry ne pouvait plus en supporter plus, il se réveilla en sursaut avec une douleur très forte à sa cicatrice. Il avait affreusement mal, mais malheureusement cela commençait à devenir habituel. Après quelques minutes, le temps de reprendre son souffle, il se leva et mis ses lunettes pour examiner sa cicatrice. Elle était toujours brûlante mais paraissait tout à fait normale. Harry s'examina un peut plus longtemps dans le miroir et trouvait qu'il ressemblait de plus en plus à son père.

  Retournant vers son lit, il rangeât le livre de Métamorphose sur lequel il s'était endormi. Depuis quelques jours, il passait ses nuits à écrire de longues lettres à ses amis ou à lire des livres car il avait remarqué que lorsqu'il dormait le jour, il ne faisait pas de cauchemar. Mais cette lui le manque de sommeil à gagné sur sa volonté à rester éveillé. Toutefois, comme il n'avant pas été très attentif à ses derniers cours à cause du tournois des trois sorciers, cela lui à permis de rattraper son retard et même de découvrir des choses très intéressantes. De plus, quand il travail, tout ce qui a un rapport avec Voldemort lui sort de la tête. Mais maintenant qu'il avait déjà fait tous ses devoirs de vacance et  commençait à connaître ses cours par cœur, il avait envie de trouver une autre activité pour lui changer les idées.

  Il entendit soudain deux hiboux frapper à la fenêtre. Il leur ouvrit et après avoir pris leurs lettres les invita à se reposer dans la cage d'Hedwige qui, en ce moment, devait être à la recherche de Sirius. L'un des hiboux n'était autre que coquecigrue, le petit hibou de son meilleur ami Ron, mais l'autre Harry ne l'avait jamais vu. Il était gris avec quelques plumes argentées. Harry ouvrit d'abord la lettre de Ron.

        Salut Harry,

  J'espère que tes vacances ne se passent pas trop mal et que les Dursley te laisse un peu tranquille.

  Je n'arrête pas de demander à mon père si tu peux venir au Terrier mais Dumbledore insiste toujours pour que tu restes à Privet Drive pour l'instant. J'ai bien peur que cette année tu ne puisses pas venir cette année à cause du retour de Tu-Sais-Qui.

  Tu m'as demandé de te tenir au courant de tout ce qui ce passe dans le monde des sorciers, alors c'est ce que je fais. Cornélius Fudge ne veut toujours pas reconnaître le retour de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom et il envoie même des gens de ministère camoufler ses agissements. C'est à se demander s'il est vraiment dans notre camp. Malgré cela, la peur commence à s'installer chez les Moldus à cause de nombreuses morts et disparitions inexpliquées. Tout le monde au Ministère de la Magie commence à se poser des questions. Fudge à beau dire que des gens s'amusent à lancer des rumeurs infondées pour terroriser tout le monde, cette version ne semble plus convaincre certains. D'autant plus que de plus en plus de monde sont témoins des agissement des Mangemorts. D'après mon père, si Fudge reste sur ses positions, on va droit à une crise au ministère.

Mais il ne faut surtout pas te tracasser pour ça. De tout façon, on ne peut rien y faire alors essaye de te changer les idées en taquinant ton cousin.

  J'ai appris qu'Hermione était aller rendre visite à Krum en Bulgarie. Elle n'est vraiment pas consciente des risques qu'elle prend. Pour elle aussi on peut se demander dans quel camp elle est. Et puis, franchement, je ne vois pas ce qu'elle lui trouve à ce Vicky. Tout ce qui semble l'intéresser c'est la célébrité (Lockart …). Tu devrais te méfier, il se pourrait que tu sois le prochain sur sa liste.

  Papa et Percy ne sont presque jamais à la maison tellement ils ont de travail au Ministère. Mais Bill et Charlie sont venus passer les vacances avec nous et on s'amuse bien. Ils me font faire un entraînement intensif de Quidditch, mais je te montrerais ça à la rentrée.

  Tout le monde t'embrasse,

                                                                                                                                 Ron

  Harry était troubler pas la lettre de son ami. Toutes ses craintes qui avaient été nourries par ses cauchemars et les informations moldus semblaient être exactes. Il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprits et se souvenir qu'il avait reçu une deuxième lettre. En l'ouvrant, il reconnu l'écriture douce et régulière d'Hermione.

  Salut Harry,

  Je t'écris de Bulgarie où je passe d'excellentes vacances. Tu as vu mon hibou, il est magnifique, n'est-ce pas ? C'est Victor qui me l'a offert .Surtout n'en dit rien à Ron sinon je croit qu'il ne voudra plus me parler. Il était déjà en colère contre moi rien que parce que j'allais en Bulgarie, alors tu peux imaginer sa réaction s'il découvre ce cadeau.

  J'apprends plein de choses en Bulgarie où il y a des tas d'objets magiques incroyables. C'est un pays avec une histoire fascinante et très chargée en magie. Leur culture est très intéressante et ils ne voient pas la magie tout à fait de la même façon que nous. Ils essayent autant que possible de ne pas jeter de sort et préfèrent créer des objets magiques qui font ce qu'un sort pourrait faire mais qui est utilisable sans connaître le sort en question. Par exemple pour certains sorts ils créent des parchemins à usage unique qui lance le sort mémoriser par le parchemin. Cela ne marche que pour les sorts pas trop puissants. Toutefois, la création d'objets magiques est réservée à une élite dont chaque membre qui a une multitude de tests à passer pour avoir le droit d'exercer.

  Profite bien de tes vacances pour te reposer car cette année à Poudlard va être particulièrement difficile à cause de la préparation des B.U.S.E.

  Prends soin de toi,

                                                                                                                      Hermione

  Harry décider de répondre immédiatement à ses amis et de leur écrire deux longues lettres pour leur détaller ses vacances. Il ne voulait pas les inquiéter mais décida tout de même de leurs parler de son rêve à propos de Karkaroff. Il ne mis pas dans ses lettres le fait que sa cicatrice le faisait presque constamment mal. Il écrit aussi une lettre pour Dumbledore pour lui dire qu'il fallait surveiller de près Azkaban.

  Ayant fini son courrier, il descendit prendre son petit déjeuner avec les Dursley. Comme tous les jours depuis le début des vacances, Dudley ne mangeait presque rien. Pétunia avait abandonné l'idée de faire faire à son fils un régime à cause de ses résultats scolaires catastrophiques. Il disait qu'en privant son fils de nourriture ils lui avaient enlever toute capacité intellectuelle. Elle fut très surprise de voir que son « petit Duddy chéri » n'avait plus d'appétit et appela plusieurs fois son école pour savoir s'il n'avait pas été maltraité. L'oncle Vernon ne cessait de lui répéter que l'école où il avait été étais au petit soin avec les élèves, mais il ne pouvait pas expliquer le comportement de Dudley. Harry savait que Dudley ne s'était pas habitué à manger peut. Il avait découvert en entendant une conversation téléphonique de Dudley un jour que ses parents n'étaient pas là, que Dudley était en fait amoureux. Evidemment la fille dont il était amoureux ne voulait même pas s'approcher de lui. (Ce qui est compréhensible). A chaque fois qu'il essayait de lui parler, elle lui disait qu'elle ne voulait rien à voir avec un gros cochonnet de son espèce. Depuis, Dudley s'était rendu compte qu'en faisant toujours passer son estomac en premier, il passait à côté de quelque chose. Il était étonnamment plus que motivé pour suivre un régime.

  Arrivé dans la cuisine sans que personne ne fasse attention à lui, sa tante Pétunia se mis à lui crier dessus parce qu'il n'avait pas préparer le petit déjeuner et parce qu'il n'avait pas fini ses tâches ménagères de la veille.

- Je me suis endormis, répondit Harry d'une petite voix.

- Si tu ne passais pas tes nuits à lire, tu serais plus réveillé pendant la journée.

- Il faut lui confisquer ses livres, intervint l'oncle Vernon.

- Non, répondit calmement Harry. Mon parrain m'a conseillé de lire la nuit, je crois qu'il ne serait pas content s'il apprend que vous me confisquez mes livres.

- S'il n'est pas content de la façon dont on s'occupe de toi, il n'a qu'à venir te chercher ton parrain.

- Vous savez très bien qu'il s'est échapper de prison et qu'il doit rester cacher.

- Je crois que la police serait très contente de le trouver ici. Tu peux lui dire de venir si tu veux.

  Harry n'en revenait pas : il avait dit le mot magique « parrain » et ça n'avait plus aucun effet sur les Dursley. Ils menaçaient même de le livrer à la police.

- Alors, tu va le prévenir pour qu'il vienne nous rendre visite, continua l'oncle Vernon. Comme on dit : qui se ressemble s'assemble. Je suis sûr que s'en encore un bon à rien comme tes parents.

- NON. Mes parents étaient des gens bien. Je te défends de les insulter.

- Ta mère était un monstre. Pas étonnant que tu sois comme ça.

  C'était plus qu'Harry pouvait en supporter. Il était presque aussi en colère que le jour où il a fait gonflé sa tante Marge.

  Tout à coup, il y eu une sorte de flash vert dans la cuisine et les Dursley semblaient affolés, surtout la tante Pétunia.

- Ne refait plus jamais ça, cria l'oncle Vernon.

- Qu'est-ce que j'ai fais ? demanda Harry qui avait retrouvé tout son calme en voyant les têtes apeurées des Dursley.

- Tu es comme ta mère, répondit la voix tremblante de Pétunia.

- Monte tout de suite dans ta chambre, cria l'oncle Vernon.

  Harry resta sur place un moment et vit que la tante Pétunia était pétrifiée par la peur. Evitant le bol que l'oncle Vernon avait essayé de lui lancer, il couru vite dans sa chambre se demandant ce qui avait bien pu se passer.

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Voilà, ça commence plutôt doucement.

N'oubliez surtout pas de me donner votre avis pour que je puisse écrire la suite.