Hello! Ce chapitre est écrit par Aurialie!!!! Je vous averti d'avance, j'aime bien faire souffrir les persos (hi hi hi je suis trop diabolique) mais je jure que je les rendrai en un seul morceau à la fin de la fic (enfin je vais essayer (bien sur, Arwen ne compte pas!)). REVIEW PLEASE!!! P.s : merci a Laala pour le review!!!!

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chapitre 3- la visite

Au fur que le temps s'écoulait Légolas s'affaiblissait. Il n'avait plus la force de rester debout, il n'avait même plus la froce de penser.

Ses songes étaient remplis de mal et de douleurs. Mais la peine de son âme n'équivalait en rien la peine qui poursuivait son c?ur. Il avait si mal! Il avait tellement honte! L'elfe ne pensait pas qu'il avait encore le droit de vivre. Il ne le voulait plus.

Des jours et des jours passairent. La santé de Légolas ne tenait plus qu'à un fil.

Il était couché sur un long fauteuil en face de la grande fenêtre qui donnait sur la cité de Mirkwook. Cet endroit surplombait tout les autres par sa hauteur. Les elfes étaient dévoués entièrement à leur chef, plusieurs messagers passaient pendant la journée pour prendre des nouvelles de Légolas et les transmettre ensuite à la communauté.

Un de ceux qui avaient cette tache entra. Légolas ne l'avait même pas entendu venir, ses sens autrefois éguisés était maintenant rendus faible à un point tel qu'il avait peine à se rendre compte que quelqu'un se tenait à coté de lui.

Le messager lui tapotta l'épaule pour attirer son attention. La tête de Légolas tourna lourdement de coté pour pouvoir voir le messager qui demandait son attention, ses yeux à peine ouverts à cause de la fatigue. L'elfe qui se tenait en face de lui prit un air étonné, c'était la première fois qu'il venait ici et il n'avait jamais vu son chef dans un tel état.

Messager: Im Nauxair (je suis Nauxair), ce présenta-t-il poliment.

Légolas s'en souciait peut, il ne se souciait même plus de lui-même. La seule personne qui le préocuppait encore était Eowyn. Éowyn, que pouvait-elle penser à ce moment précis? Avait-elle peur? Avait- elle mal? Était-elle toujours vivante?

Il n'avait pas c?ur à parler, il avait seulement envie que sa fin vienne, vienne le plus tôt possible. Légolas fit signe à l'elfe de partir, se dernier qui s'était rendu compte que son chef ne voulait pas le voir n'était déjà plus là.

Légolas laissa tomber sa main, découragé, ayant gaspillé ses énergies à faire signe au vide de partir !

* ** * ** *

Aragorn arriva à Amataë le jour même. La cité elfique était vraiment magnifique avec ses arbres immmenses, les chutes d'eau pleines d'écumes et le soleil couchant dessinant des ombres sur les reliefs des maisons qui ressemblait plus à des arbres qu'à des habitations.

Il confia sa monture à un palfrenier et entrepris la monté de la coline ou était situé l'auberge qui, celon ce qu'on lui avait dit, servait d'habitation temporaire à son ami.

Il avait hate de revoir son ancien frère d'armes, de converser avec lui et d'entendre ses projets au sujet de la libération d'Eowyn. Ce dernier point le laissait perplexe, la réponse de Légolas à sa lettre ne lui était jamais parvenue bien qu'il l'avait envoyer 1 mois plus-tôt. Il supposait qu'elle avait été perdu par un coursier. Il n'était même pas imaginable qu'il ait refusé la demande d'Aragorn. Légolas n'aurait jamais osé. Du plus loin que le rôdeur pouvait se rappeler, Légolas avait toujours été indifférent tant qu'à Eowyn, ne s'en soussiant pas pour tout l'or du monde. Il l'appréciait certe, mais ne lui vouait aucun intérets particuliers.

Un idée commença à se former dans le tête d'Aragorn : et si Légolas avait en effet refuser sa demande. Peut-être était-il frustré de ne pas avoir reçu d'aide plus-tôt quand il en avait besoin. . .

Non! Aragorn chassa ses pensés du revers de la main, l'elfe ne lu aurait jamais fait un coup parreil!

Aragorn gravit les dernières maches qui le menait à l'auberge. Mais quel éclair de folie avait bien pu traverser la tête des elfes pour situer un établissement publique à une hauteur parreille!

Aragorn avait franchi les portes d'Amataë au début de la soirée. Le temps qu'il trouve une place à son cheval, qu'il se renseigne et surtout qu'il monte cette coline de malade, l'ombre avait complètement submergé la cité.

Il n'y voyait plus rien. Se fiant à son instinct seulement, il réussi à se frailler un chemin entre les branches des arbustes épais qui ornaient le chemin sinueux qui lui, menait jusqu'à l'auberge. Après avoir tomber 8 fois d'affiler, il n'avait vraiment plus l'air présentable!

Ha ! Et puis, cela ne dérangerait surement pas Légolas! Se dit-il, l'elfe l'avait vu dans ses jours les plus horribles!

Il arriva enfin face à la porte. Le luminaire reflétait une lumière argentée dans la grande salle. Il était rempli de milles bougies qui elles, dégoûtaient sur le plancher formant une flauqe de cire glissante. Aragorn, en voulant l'éviter tomba face à face avec un homme qui devait bien mesurer 7 pieds et qui était bâtit comme un ours! Le rois se recula pour pouvoir apercevoir le visage de l'humain. Ses trait était grossier, tel un dessin terminé attivement. Ses longs cheveux en torsades étaient attaché en queue de cheval. Aragorn essaya de sourire le moindrement en entonnant la présentation d'usage.

- Je m'appelle Aragorn, fils d'Arathorn, rois du Gondor, déclara t'il presque machinalement.

Devant le visage de marbre que lui adressait l'homme, il continua comme si de rien n'était.

-Je suis venu ici pour m'entretenir avec un ami. Pouriez vous avertir Légolas Greenleaf de ma présence? Continua-t-il.

Son hôte lui laissa le passage. Il pointa un escalier qui zigzaguait et lui répondit.

-Par ici.

Aragorn commença lentement à monter les marches qui tournoyaient au fur et à mesure qu'il avançait. Il maudissait celui qui avait découvert les escalier et surtout les elfes qui avaient eu l'idée stupide d'en mettre un tel nombre! Il monta et monta encore...

-ENFIN!

Hurla t'il malgré lui lorsqu'il appercu la silouette de quelque chose d'autre qu'un escalier. Il franchit les dernière marche à la manière de quelqu'un qui a les jambes coulé dans le plomb, exécutant chaques mouvements d'une lenteur infini.

Aragorn suivit le couloir qui menait jusqu'à une porte de chène le sourire fendu jusqu'aux oreilles; il était impatient à l'idée de revoir son ami et surtout heureux qu'il n'y ait aucun signe d'escalier en vu !

Arriver au bout du couloir, le rôdeur poussa la lourde porte, énerver de n'avoir reçu aucunes réponses. « Légolas devait surement être absent ou occuper » se persuada-t-il, mais l'idée que l'elfe ne voulait as l'aider commençait lentement à germer dans son esprit.

L'elfe était bien là, au début, Aragorn avait eu de la misère à le distinguer, la blancheur de la peau de Légolas se mélangeant à celle de la couverture étandu sur son corps frêle. Il devait surement être endormi. Le léger mouvement de la maine de l'elfe trahi la pensée d'Aragorn, son ami ne dormait pas. Il s'approcha, un peut indigner, de Légolas.

-Qu'avez-vous donc mon ami pour m'ignorer ainsi? Ne voulez-vous donc pas me venir en aide?

L'elfe resta sans réponses pendant un moment. Les nerfs d'Aragorn étaient sur le point de lacher. Tout-à-coup, la voix faible mais rassurante de l'elfe se fit entendre, à peine assez forte pour qu'on puisse la distinguer du vent.

-Et vous, qu'avez-vous fait pour moi?

Aragorn ne reconnaissait plus Légolas, avant, l'elfe aurait été capable de risquer sa vie pour le rôdeur. Pourquoi ne voudrait-il pas l'aider? La rancune? Aragorn s'approcha du fauteuil où Légolas était allongé.

Son sang se glassa dans ses veines. Les os de Légolas saillaient sous sa peau. Il semblait ne pas avoir mangé depuis des semaines. C'était la première fois qu'Aragorn voyait un teint aussi blanchâtre chez quelqu'un qui vie encore. Légolas semblait si faible qu'une petite tape sur l'épaule pourrait surement lui rompre les os.

Aragorn s'agenouilla au chevet de l'elfe.

-Qu'avez-vous donc Légolas? Quel mal c'est empparé de vous?

-vous le connaissez encore plus que moi

Il murmurra d'une voix encore moins audible que tout à l'heure. L'elfe dictait la lettre qu'il avait reçu d'Aragorn. Il fit un arrêt puis tourna doussement la tête vers son ami. Légolas continua sa diction en parlant cette fois bien plus forte.

-Car sans Éowyn, mes jours sont des années

Aragorn était troublé. Tout était devenu si claire, il ne s'était jamais douter, même pas une fraction de seconde que Légolas éprouvait des sentiments pour Eowyn. Le rôdeur bouillonnait de rage, comment sont ami le plus cher avait bien pu lui faire une chose parreile?

-Pauvre fou! Déclara t'il, si vous aimez Eowyn pourquoi vous laissez-vous mourir ainsi? Pourquoi ne venez-vous donc pas avec moi?

Sa question resta sans réponses, l'elfe retourna la tête puis, Aragorn poursuivit.

-J'aurais bien aimé vous voir dans un mois au conseil mais je supose que je ne dois pas compter sur votre pésence?

Légolas ne répondit pas. Aragorn sorti de la pièce frustrer. Mais la question d'Aragorn n'allait pas rester sans réponses.

--- à suivre!!!!!!!