Chapitre 4
J'étouffe....
Une semaine c'était écouler depuis sa tentative de suicide, Harry, installer dans un fauteuil de son dortoire, pensait à tout se que les professeurs avait dis sur son état de santer.... Rogue lancait haut et fort qu'il était déranger et qu'on devait l'enfermer tandis que Dumbledore disait qu'il lui fallait selement une personne atentive et près à l'écouter... Cependant, il doutait qu'on puisse l'aider en quoi que se soit, même Sirius ne savait pas quoi faire ni quoi dire.
Harry ferma son livre et fouilla dans une poche de sa robe de sorcier. Il en sortit un couteau, les flame des bougie qui éclairait la pièce dancaient sur la lame, il la fixait, comme ensorceller par elle... machinalement, il regarda son poignet... peut être pourrait-il...
-Harry, sa va?
c'était Sirius qui venait d'entrer dans la pièce, Harry cacha le couteau et répondit sur un ton monotone:
-Oui.... sa va.
-Bien, je venais juste voir si tout allait bien... tu sais Harry, je ne t'en veux pas pour se que tu as fais, mais j'espère juste que sa ne se reproduira pas. Tu est Harry James Potter, le fils de James Potter et de Lily Potter, je suis persuader qu'ils n'auraient pas aimé te voir ainsi.
Sur se. Sirius sortit de la salle. Harry avait cesser de l'écouter quand il avait prononcer le nom de son père... L'image de son corps dans la cage de verre le hantait encore. Il se leva et alla vers la fenêtre. Les première étoile de la nuit brillait dans le ciel indigo, à l'horizon... une lueur grise pâle persistait. Il ouvrit la fenêtre et une brise fraîche vint caresser son visage... un soufle qui lui remonta un peu le morale... mais le bruit du vent dans les arbre du parc lui rapellait les hurlement qu'avait pousser sa mère avant d'être tuer par Voldemort...
Il sortit du dortoire, ses pas lent résonnait dans les couloir désert et son ombre s'étirait sur les mur de pière. Harry ne se souciait pas de l'endroit ou il se dirigeait, il laissait son coeur décider... Quand il réalisa à l'endroit ou il était finalement arriver... Devant le tombeau de ses parents. Il ne tennais pas spécialement a y entrée mais une voix dans sa tête lui disait de le faire, il ouvrit la porte en retenant son soufle. Les deux cercuille était toujours la, sagement alligner depuis plusieur années. Harry s'avanca timidement jusqu'a la hauteur de ses parent, il se tourna vers James: grand, les chevux en bataille, il était sa parfaite image. Ses yeux clots, sa bouche figée dans un éternelle sourrir, il resemblait à une statue, une statu humaine:
-Papa, je sias que tu ne m'entend pas... je sais que je parle un peut dans le vide mais j'aimerais que ces mots se rende jusqu'a toi: je t'aime, je t'aime comme un fils peut admirer son père, un lien nous a relier le temps que tu était vivant, je suis ton fils... je me souvient pas de toi, nis des calin que tu me faisait ou des culbute que tu me faisait parfois au grand désarois de maman, mais je sais que se lien est toujours aussi fort mêm si la mort t'a emporter alors que je n'aivait qu'un n'an... Je t'aime papa...
Une larme coula le long de sa joue pour s'écraser sur le cecueille de verre de son père.... il aurrais jurer que son père avait pleurer aussi mais se n'était qu'une illusion. Il se retourna vers celui de sa mère: ses long cheveux auburn, sa silouhette fine, sa peau à l'apparence de soie.... elle était si belle, il comprenait son père de l,avoir autant aimer et d'être tomber amoureux d'elle... même dans la mort, il était persuader que ses parent s'aimait toujours autant:
-Maman, tout comme papa, je me souvien pas de toi... Mais comme j'aimerais que sa ne soit pas le cas. J'aimerais me souvenir de toi, me souvenir de regard que tu me lancais que je voulais que tu me prenne dans tes bras... J,ai peut-être été exigent.... La seul chose que je me souvien... et c,est avec horreure, c,est les cris et les suplication que tu lancais avant ta mort... Maman, je t'aime.
Une larme coula le long de sa joue pour s'écrasser, elle aussi sur le couvercle de verre. Harry fit apparaitre deux bouquet d'orchidé et les déposa sur les tombe et sortit de la pièce d'un pas trainant... il aurait aimé que ses parent lui réponde...
Il continua à marcher dans les couloirs, il espérait revoir sa Hermione, il l'aime tellement, L'avoir près le lui, prouverais qu'il a au moins une personne sur cet terre qui l'aime et qui ne le pousse pas dans le dos pour qu'il "SAUVE" le monde. Il passa devant une grande fenêtre qui donnait sur le parc, il remarqua qu'une calèche pénétrait dans l'aller, tiré par 2 cheveux blanc courrant a vive allure:
-Mais qui peut être aussi presser?
Harry se dirigea vers le Hall. C,est en descendant les escalier de marbre qu'il rencontra porfesseur McGonnagall qui semblait très presser:
-Ha, bonsoir monsieur Potter, nous avons de la visite...
-Mais quelle genre de visite?
-Mademoiselle Granger... il a eu une attaque chez elle... ses parent son mort.
Harry avait l'impression qu'on le poignardait dans le ventre, encore d'autre mort et en plus, c'étais les parents de la fille qu'il aimait le plus au monde.
Les porte du château s'ouvrire. Hermione entra, les cheveux défait, les yeux bouffit et rougit par les larmes, sa robe de sorcière était déchirer a certain endroit:
-Harry, mais qu'es ce que tu fais ici? Fit t'elle la voix enrouer comme si elle avait hurler a plein poumon.
-Pour les même raison que toi!
-Ha Harry.
Elle s'élanca dans ses bras et se mit à pleurer a chaude larme, elle tomba a genous tandis qu'Harry la tenait toujours dans ses bras, les deux pleuraient a chaude larmes et les professeurs qui assistaient impuissant à la scène, ne pouvait s'empêcher de verser quelques larme a la vu de se douloureux spectacle.
Au bout de quelques minutes, les deux adolescents se levèrent pour ensuite se diriger vers les dortoires. Tout deux avait les jambes molle, la tête qui tournait... Bref, les deux voulait dormire, essayer d'oublier tout les malheure qui les hantaient... mias comment oblier la mort d'un prof ou la vision d'horreure de ses parent figer dans la mort?
Les deux s'endormirent dans un des fauteuille de leur sale commune. La tête au creu de l'épaule d'Harry, Hermionne s,endormi d'un someille agiter tandis qu'Harry fit un rêve ou il se voyait mourrir au pied de voldemort.....
Une semaine c'était écouler depuis sa tentative de suicide, Harry, installer dans un fauteuil de son dortoire, pensait à tout se que les professeurs avait dis sur son état de santer.... Rogue lancait haut et fort qu'il était déranger et qu'on devait l'enfermer tandis que Dumbledore disait qu'il lui fallait selement une personne atentive et près à l'écouter... Cependant, il doutait qu'on puisse l'aider en quoi que se soit, même Sirius ne savait pas quoi faire ni quoi dire.
Harry ferma son livre et fouilla dans une poche de sa robe de sorcier. Il en sortit un couteau, les flame des bougie qui éclairait la pièce dancaient sur la lame, il la fixait, comme ensorceller par elle... machinalement, il regarda son poignet... peut être pourrait-il...
-Harry, sa va?
c'était Sirius qui venait d'entrer dans la pièce, Harry cacha le couteau et répondit sur un ton monotone:
-Oui.... sa va.
-Bien, je venais juste voir si tout allait bien... tu sais Harry, je ne t'en veux pas pour se que tu as fais, mais j'espère juste que sa ne se reproduira pas. Tu est Harry James Potter, le fils de James Potter et de Lily Potter, je suis persuader qu'ils n'auraient pas aimé te voir ainsi.
Sur se. Sirius sortit de la salle. Harry avait cesser de l'écouter quand il avait prononcer le nom de son père... L'image de son corps dans la cage de verre le hantait encore. Il se leva et alla vers la fenêtre. Les première étoile de la nuit brillait dans le ciel indigo, à l'horizon... une lueur grise pâle persistait. Il ouvrit la fenêtre et une brise fraîche vint caresser son visage... un soufle qui lui remonta un peu le morale... mais le bruit du vent dans les arbre du parc lui rapellait les hurlement qu'avait pousser sa mère avant d'être tuer par Voldemort...
Il sortit du dortoire, ses pas lent résonnait dans les couloir désert et son ombre s'étirait sur les mur de pière. Harry ne se souciait pas de l'endroit ou il se dirigeait, il laissait son coeur décider... Quand il réalisa à l'endroit ou il était finalement arriver... Devant le tombeau de ses parents. Il ne tennais pas spécialement a y entrée mais une voix dans sa tête lui disait de le faire, il ouvrit la porte en retenant son soufle. Les deux cercuille était toujours la, sagement alligner depuis plusieur années. Harry s'avanca timidement jusqu'a la hauteur de ses parent, il se tourna vers James: grand, les chevux en bataille, il était sa parfaite image. Ses yeux clots, sa bouche figée dans un éternelle sourrir, il resemblait à une statue, une statu humaine:
-Papa, je sias que tu ne m'entend pas... je sais que je parle un peut dans le vide mais j'aimerais que ces mots se rende jusqu'a toi: je t'aime, je t'aime comme un fils peut admirer son père, un lien nous a relier le temps que tu était vivant, je suis ton fils... je me souvient pas de toi, nis des calin que tu me faisait ou des culbute que tu me faisait parfois au grand désarois de maman, mais je sais que se lien est toujours aussi fort mêm si la mort t'a emporter alors que je n'aivait qu'un n'an... Je t'aime papa...
Une larme coula le long de sa joue pour s'écraser sur le cecueille de verre de son père.... il aurrais jurer que son père avait pleurer aussi mais se n'était qu'une illusion. Il se retourna vers celui de sa mère: ses long cheveux auburn, sa silouhette fine, sa peau à l'apparence de soie.... elle était si belle, il comprenait son père de l,avoir autant aimer et d'être tomber amoureux d'elle... même dans la mort, il était persuader que ses parent s'aimait toujours autant:
-Maman, tout comme papa, je me souvien pas de toi... Mais comme j'aimerais que sa ne soit pas le cas. J'aimerais me souvenir de toi, me souvenir de regard que tu me lancais que je voulais que tu me prenne dans tes bras... J,ai peut-être été exigent.... La seul chose que je me souvien... et c,est avec horreure, c,est les cris et les suplication que tu lancais avant ta mort... Maman, je t'aime.
Une larme coula le long de sa joue pour s'écrasser, elle aussi sur le couvercle de verre. Harry fit apparaitre deux bouquet d'orchidé et les déposa sur les tombe et sortit de la pièce d'un pas trainant... il aurait aimé que ses parent lui réponde...
Il continua à marcher dans les couloirs, il espérait revoir sa Hermione, il l'aime tellement, L'avoir près le lui, prouverais qu'il a au moins une personne sur cet terre qui l'aime et qui ne le pousse pas dans le dos pour qu'il "SAUVE" le monde. Il passa devant une grande fenêtre qui donnait sur le parc, il remarqua qu'une calèche pénétrait dans l'aller, tiré par 2 cheveux blanc courrant a vive allure:
-Mais qui peut être aussi presser?
Harry se dirigea vers le Hall. C,est en descendant les escalier de marbre qu'il rencontra porfesseur McGonnagall qui semblait très presser:
-Ha, bonsoir monsieur Potter, nous avons de la visite...
-Mais quelle genre de visite?
-Mademoiselle Granger... il a eu une attaque chez elle... ses parent son mort.
Harry avait l'impression qu'on le poignardait dans le ventre, encore d'autre mort et en plus, c'étais les parents de la fille qu'il aimait le plus au monde.
Les porte du château s'ouvrire. Hermione entra, les cheveux défait, les yeux bouffit et rougit par les larmes, sa robe de sorcière était déchirer a certain endroit:
-Harry, mais qu'es ce que tu fais ici? Fit t'elle la voix enrouer comme si elle avait hurler a plein poumon.
-Pour les même raison que toi!
-Ha Harry.
Elle s'élanca dans ses bras et se mit à pleurer a chaude larme, elle tomba a genous tandis qu'Harry la tenait toujours dans ses bras, les deux pleuraient a chaude larmes et les professeurs qui assistaient impuissant à la scène, ne pouvait s'empêcher de verser quelques larme a la vu de se douloureux spectacle.
Au bout de quelques minutes, les deux adolescents se levèrent pour ensuite se diriger vers les dortoires. Tout deux avait les jambes molle, la tête qui tournait... Bref, les deux voulait dormire, essayer d'oublier tout les malheure qui les hantaient... mias comment oblier la mort d'un prof ou la vision d'horreure de ses parent figer dans la mort?
Les deux s'endormirent dans un des fauteuille de leur sale commune. La tête au creu de l'épaule d'Harry, Hermionne s,endormi d'un someille agiter tandis qu'Harry fit un rêve ou il se voyait mourrir au pied de voldemort.....
