Chapitre 3 : Orage sur la route.



Hyperion - pièce principale - matin - Lorne descend les escaliers. Angel est dans son bureau, la porte est ouverte. Lorne va vers lui.



LORNE :

Alors tu es déjà éveillé. T'es vraiment matinale pour un vampire.



ANGEL : (regardant Lorne)

En faites je n'ai pas dormi du tout.



LORNE :

Oh, pourquoi ? Non, laisse moi deviner, t'as broyer du noir. - se moquant.



ANGEL :

Non, j'ai pensé...



LORNE :

Tu sais pour toi, broyer du noir/pensé c'est cinquante/cinqante. Alors à propos de quoi tu as PENSE ?



ANGEL :

Rien, juste a un cas pour un dossier....



LORNE :

Ouai, un cas qu'on pourrait classer à la lettre « C », hein ?



ANGEL :

Tu veux dire comme « cas » ?



LORNE :

Non, je pensais plus comme Cordelia.



ANGEL :

Qu'est ce que tu veux que je pense à propos d'elle ? Elle est confuse, elle est revenue, sans sa mémoire, après elle l'a récupéré avec un petit bonus, mon passé glorieux avec tout les sentiments qui vont avec.



LORNE :

Sois juste patient et faire de toi son esclave pourrait aidé aussi.



Gunn entre dans le hall. Il se dirige vers le bureau d'Angel.



GUNN :

Okay man, j'ai ta clé et la voiture qui va avec aussi.



LORNE : (à Angel)

Pourquoi tu veux une voiture ? - comprenant - OH ! NON ! T'as toujours cette stupide idée !



GUNN :

Oh, fait pas ta précieuse, c'est pas si terrible, tu vas pas à un meeting psychanalytique pendant deux jours, chanceux !!!! - blasé.



Angel & Lorne le regarde.



GUNN :

J'ai pas dit ça.



Il donne les clés à Angel et fonce vers les marches.



LORNE :

Apparemment t'es pas le seule qui a des problème avec sa petite copine. - regardant Gunn disparaître.



ANGEL : (pensivement)

J'aimerai bien pouvoir dire qu'elle est ma petite amie.



LORNE :

Qui ? Fred ? Elle n'ai pas libre. - se moquant.



ANGEL :

Non, Cordelia. Mince ! J'ai vraiment pas de chance avec l'amour, mon premier amour ma balancer en enfer, mon fils ma balancer dans l'océan, et ma « je sais pas quoi parce que c'est trop tôt » ma balancer mon passé en pleine figure. De toute façon c'est normal je le mérite pas après tout ce que j'ai fais.



LORNE :

Oh, non, pas le « je le mérite pas » truc. T'as attendu deux cent cinquante ans tu peux attendre deux ou trois semaine de plus. Sa va pas te tuer.



ANGEL :

C'est bien que tu dise sa, parce que je pensais exactement la même chose à propos de ton trip avec Connor.



LORNE :

C'est totalement différent - sur la défensive - premièrement Connor n'est pas une fille, deuxièmement Connor n'est pas une fille canon.



ANGEL :

J'ai localisé l'endroit sur la carte. Regarde.



Lorne s'approche et regarde la carte sur le bureau.



ANGEL : (montrant sur la carte)

Tu vois, c'est facile, tu prends celle là, tu tournes à droite.....



LORNE : (prenant la carte)

Ok, je sais lire une carte, mais je peux pas te promettre que je serai supporter ton petit fléau.



ANGEL : (regardant en l'air)

J'me rappelle le temps ou les gens m'appeler comme ça.....



LORNE :

Je suis vraiment content que tu te trouves des points communs avec lui, mais une offense venant de lui et je le laisse sur le bord de la route, compris.



ANGEL :

Ok, je vais lui dire d'être gentil, et de ne pas heurter ta sensibilité.



Connor descend dans la pièce par les escaliers, quand il voit les gars dans le bureau il essais de repartir. Mais Angel sens sa présence et lui demande de venir.



CONNOR :

Oh, tu es réveillé - content - pourquoi ? - moins content.



ANGEL :

Je n'ai pas dormi du tout - il coupes Connor qui s'apprêtait à dire quelque chose - mais je ne broyait pas du noir.



CONNOR :

Alors t'as pas changer d'avis à propos de ce truc, hein ?



ANGEL :

Non, et il est temps pour vous de partir les gars ..... -interrompu par la voix de Cordelia.



CORDELIA :

ANGEL !!!!!!!!! -premier étage.



ANGEL :

Allez maintenant. - il se jette dans les escaliers.



CONNOR :

Quoi ? C'est tout, il se barre comme ça ?



LORNE :

Ouai, allez, en route, un grand jour nous attend.



CONNOR :

Si tu chantes sur la route, je t'étrangle. - menaçant.



Connor sort de l'hôtel.



LORNE :

D'accord un grand M'ATTEND.



CUT TO : La voiture et sur la route, je ne sais pas quelle route, c'est juste une route - midi - Connor est sur le siège passager avant, et bien sure Lorne sur le siège conducteur.



LORNE :

D'accord, on y est, on vient de quitter la ville. Prend la carte.

Connor le regarde.



LORNE :

Sur la banquette arrière, et ouvre là.



CONNOR : (prenant et ouvrant la carte)

Ok, alors on est où ?



LORNE :

Et ben, on est sur la 156 vers nord.



CONNOR :

Je ne sais pas lire ça, je me dirige au flair.



LORNE :

Ouai, je suis content d'entendre ça même si je m'en fou. Mais ton « flair » ne peut pas vraiment nous aidé en voiture. Laisse moi voir.



Lorne se penche pour regarder la carte et dévie un peu de la route.



CONNOR :

Regarde la route ! Regarde la route !



LORNE : (toujours penché mais levant légèrement la tête pour regardé Connor)

Oh, le brave guerrier a peur d'un petit accident de voiture....



Il est interrompu par le coup de klaxon d'un camion. Lorne revient en place sur son siège et évite le camion. Connor fixe Lorne méchamment.



CONNOR :

T'as vraiment besoin d'une assistance médical, tu sais !



LORNE :

Et toi, t'as vraiment besoin de te taire. - irrité.



CONNOR : (regardant la route)

Qu'est ce que tu fais, regarde, tu quitte la route.



LORNE :

Je peux pas revenir en arrière c'est un route à sens unique. Je vais continuer et reprendre après la route principale.



CONNOR :

Ne nous perd pas !!!



LORNE :

Bien sure que non ! - vraiment très irrité.



CUT TO : La voiture est rangé sur le bas coté - Lorne est appuyé contre l'aile, lisant la carte - après midi. Connor est toujours assis.



CONNOR :

J'peux pas croire que tu nous as perdu.



LORNE :

On n'est pas perdu, ok, on ne sait juste pas ..... où on est.



CONNOR :

Oui !! Et la définition pour sa, génie, c'est p.e.r.d.u !!!!!! - articulant.



Connor se mis dans le fond de son siège, les bras croisés, boudant. Focus sur le visage de Lorne.



LORNE :

J'ai besoin d'un scotch avec glaçons. - pour lui-même.



Il entend une voix derrière lui.



CONNOR :

J'ai faim.



Toujours focus sur le visage de Lorne.



LORNE :

Oubli les glaçons. - toujours pour lui-même.



Lorne continue de lire la carte.



LORNE : (à Connor)

Ok, on va prendre se chemin, tourné par se village ou mini- ville.



CONNOR : (l'interrompant)

Où on va manger.



LORNE : (chuchotant)

Où je vais t'abandonner. - plus fort - ok, on y va maintenant.



CONNOR : (pendant que Lorne s'assoit)

J'espère qu'on va pas croisé des gens, par ce que c'est pas Halloween ils vont jamais croire que t'es déguisé.



LORNE :

Ouai, moi je suis déguisé en démon et toi t'es déguisé en sale gosse épuisant.



Il démarre la voiture, et ils partent. On peut entendre la music de loin venant de la voiture.



CONNOR : (avec une voix distante)

Eteint ça !

T.B.C.........