Cette fic et en réalité une nouvelle litéraire donc il n'y aurra pas de
suite. Sa parrait peut-être sans aucun rapport avec Harry Potter mais oui
sa l'a un rapport car je représente le château comme mon paradis.. * oui,
je suis folle*
Un souvenir.... qui en n'est pas un...
La froideur hivernal traversait mon corps comme un grand coup de couteau. Les arbre, dénudés de leur feuillage, semblaient mumurer devant mon passage, des mots dont le sens m'échappait, simplement emportés par la brise glacée de l'hiver. Une solitude opressante m'entourais dans se désert figé dans le temps.
J'étais sagement assise dans un traîneau tiré par un magnyfique cheval blanc. Mon esprit se vidait à mesure que je m'éloignais de ma réalité déchirante. Aucun cocher ne guidait le traîneau, le cheval semblait lui- même connaître le chemin, zigzaguant à sa guise sur le chemin tortureux pavé de neige. Les pas sur de la bête blanche me berçais comme les bras d'une mère aimante.
Le ciel était d'un bleu pure mais, parfois, s'étirant en sentinelle, la ouate blanche d'un nuage traversait la voute bleu. Mes yeux accrochaient parfois la lueur sintillante de la neige comme des milions de diamant ou comme les larmes cristalisées qu'un ange aurrait versé devant ma fuite sans fin.
Les hénissments du cheval brisaient le silence lourd de l'hiver... J'aurrais voullu parler mais j'étais muette devant la beauté sauvage de se paysage hivernal. Je fermai mes yeux, roulant sur mes joue rougie par le froid, deux larme qui criaient se que mon coeur taisait depuis tant d'année.
Le traînaux avancait toujours portant ma silouhette vêtu de noir vers un endroit sans retour, L'air froid s,engouffrait dans mes poumons et le someil m'envahissait à mesure que la course du soleil se terminant. La nuit allait bientôt recouvrir de son voile se paysage de neige.
Levant mon regard vers le ciel, je vis que mon voyage s'achevait enfin. Deux très hautes tours s'élevaient dans l'imancité rougoyante du jours tombant. Les petites fenêtre reflêtaient la boule de feux teinté de couleurs chaude du soleil mourant. À l'oposé, les premières étoiles persaient le velour de la nuit naissante.
J'étais complètement hypnotisé par les tour qui pointaient le ciel, comme deux soldats, vaillant et courageux devant le temps et l'avenir incertain qui les attendait. Le traîneau s'arrêta devant un immence portail en fer. Des mots y étaient graver mais je me refusait le droit de les lire. Les portes s'ouvrirent me laissant le passage libre. J'étais maintenant arriver, le château qui s'élevait devant moi, serais ma demeure pour l'éternité... ma libération, mon paradis car oui, je suis morte.
Un souvenir.... qui en n'est pas un...
La froideur hivernal traversait mon corps comme un grand coup de couteau. Les arbre, dénudés de leur feuillage, semblaient mumurer devant mon passage, des mots dont le sens m'échappait, simplement emportés par la brise glacée de l'hiver. Une solitude opressante m'entourais dans se désert figé dans le temps.
J'étais sagement assise dans un traîneau tiré par un magnyfique cheval blanc. Mon esprit se vidait à mesure que je m'éloignais de ma réalité déchirante. Aucun cocher ne guidait le traîneau, le cheval semblait lui- même connaître le chemin, zigzaguant à sa guise sur le chemin tortureux pavé de neige. Les pas sur de la bête blanche me berçais comme les bras d'une mère aimante.
Le ciel était d'un bleu pure mais, parfois, s'étirant en sentinelle, la ouate blanche d'un nuage traversait la voute bleu. Mes yeux accrochaient parfois la lueur sintillante de la neige comme des milions de diamant ou comme les larmes cristalisées qu'un ange aurrait versé devant ma fuite sans fin.
Les hénissments du cheval brisaient le silence lourd de l'hiver... J'aurrais voullu parler mais j'étais muette devant la beauté sauvage de se paysage hivernal. Je fermai mes yeux, roulant sur mes joue rougie par le froid, deux larme qui criaient se que mon coeur taisait depuis tant d'année.
Le traînaux avancait toujours portant ma silouhette vêtu de noir vers un endroit sans retour, L'air froid s,engouffrait dans mes poumons et le someil m'envahissait à mesure que la course du soleil se terminant. La nuit allait bientôt recouvrir de son voile se paysage de neige.
Levant mon regard vers le ciel, je vis que mon voyage s'achevait enfin. Deux très hautes tours s'élevaient dans l'imancité rougoyante du jours tombant. Les petites fenêtre reflêtaient la boule de feux teinté de couleurs chaude du soleil mourant. À l'oposé, les premières étoiles persaient le velour de la nuit naissante.
J'étais complètement hypnotisé par les tour qui pointaient le ciel, comme deux soldats, vaillant et courageux devant le temps et l'avenir incertain qui les attendait. Le traîneau s'arrêta devant un immence portail en fer. Des mots y étaient graver mais je me refusait le droit de les lire. Les portes s'ouvrirent me laissant le passage libre. J'étais maintenant arriver, le château qui s'élevait devant moi, serais ma demeure pour l'éternité... ma libération, mon paradis car oui, je suis morte.
