NOTE DE LA TRADUCTRICE : merci à tout ceux qui m'ont reviewé, ça m'encourage à continuer ma traduction…
Maintenant, pour ceux et celle qui voudrait félicité underyourstars, l'auteur de cette magnifique fic, son adresse est dans le premier chapitre ( écrivez en anglais).
Sinon, ben voilà le dernier chapitre, qui est bien plus long que les autres.
Sinon, ben, BONNE LECTURE !!!
Chapitre 4
Je courrais dans les corridors, un peu plus tard ce soir-là, pour faire ma retenue, portant le livre avec lequel Hermione à fait cette damnée potion.
J'étais déjà en retard, parce que je n'arrivais pas à retrouver ce maudit livre dans la bibliothèque et que je ne trouvais Hermione nulle part pour lui demandé son aide.
Mais à situation désespérée, mesures désespérées.
J'ai juste lever ma baguette et me suis focalisée sur le livre en disant :
- Accio, livra avec la potion qui a ruiné ma vie !
Étonnement, le bon livre a atterrit tout de suite dans mes mains et je me suis ruée dans les escaliers, me rendant dans les donjons.
Je me suis arrêtée lorsque je suis arrivée devant la salle de potion et j'ai doucement ouvert la porte.
Il était là, assis derrière son bureau, trop concentré sur ses pensées pour me remarquer.
J'ai pris mon temps et ai joui de la vision aussi longtemps que je le pouvais.
Ses longs doigts frappaient la table, parfois glissant sur elle, presque comme une caresse.
Je pouvais presque sentir ces doigts caressant ma peau, et mon corps brûlait à cette pensée.
Je regardait une mèche de ses cheveux qui tombait devant ses yeux, et cela ne le dérangeait pas.
Soudain, je fus consciente de sa respiration, de son odeur et de sa présence qui dominait la classe entière.
Je fermait les yeux, ma tête tournant à cause de toute les sensations que j'expérimentait, oubliant le reste du monde, pendant que je pouvais sentir sa présence, plus proche, plus proche…
- Miss Weasley, j'apprécierais si vous entriez simplement et m'aideriez à résoudre ce problème rapidement, dit-il rudement, son visage juste à quelque centimètre de moi.
Je retournais soudain à la réalité, mais pas aussi embarrassée que je le devrais.
Mais qu'est-ce qu'il m'arrivais ?
Et attendez… Venais-t-il d'appeler mon amour pour lui, un problème ?
Parce que ça blesse !
Il me fit signe de la main, me demandant de prendre une chaise et de m'asseoir devant lui.
Après que je l'aies fait, il dit finalement :
- Alors, laissez-moi voir cette potion.
Ce n'était pas une requête, mais un ordre.
J'ai rapidement trouver la page et lui ai donné le livre qu'il prit, faisant attention de ne pas toucher ma main.
Je restait simplement là, observant la table pendant qu'il lisait encore et encore.
Lorsqu'il releva finalement la tête, je le regardai et remarquai qu'il était plus pâle que d'habitude, bien qu'il essayait de gardé un visage contrôlé.
Je pouvais dire ça parce qu'il faisait une très pauvre tentative de contrôlé son visage lorsqu'il me regarda droit dans les yeux et ensuite partout mais moi.
- En effet, ce n'est pas un filtre d'amour qui a rater.
- Alors ? demandai-je, par certaine de quoi devoir faire.
J'aurai du me sentir effrayée qu'il sache, mais étonnement j'attendais simplement une solution.
La douleur dans la poitrine me consumait encore entièrement, bien que cela soit plus faible maintenant que j'avais confesser mes sentiments.
- Alors, je ne sais pas comment arrêter ça… confessa-t-il, son ton froid devenu maintenant assez émotionnel. Pourriez vous juste surmonter votre amour pour moi bientôt ?
- Je ne sais pas ! répondis-je, énervée par cette suggestion. Mais j'apprécierais réellement que vous arrêtiez de me traiter comme une stupide petite fille qui est amoureuse de vous par manque de meilleures choses à faire !
- Bien… ce n'est pas le cas ? demanda-t-il, ressemblant à un stupide petit garçon.
Je ne pouvais pas m'empêcher de lui sourire, réalisant comme cela devait être difficile pour quelqu'un qui avais l'habitude d'être haï, de soudain être aimer.
- Ne pouvez-vous pas me donner une potion qui me sortirais de cet amour ? demandais-je, ma voix baissant.
Il me regarda, ses yeux aussi froid qu'avant.
- Bien, non, Miss Weasley, car ce genre de potion est formellement interdite dans cette école, et je ne vais pas briser les règles que j'ai aidé à créer simplement pour arrêter une situation très embarrassante pour vous… et moi.
Il dit la dernière partie très rapidement, son visage rouge d'embarras.
Juste ensuite, il frappa la table très fort et se leva, brûlant de frustration :
- Pourquoi ne pouviez-vous pas vous contentez d'être le petit animal de compagnie de Potter, de le suivre partout comme s'il était le centre de l'univers ? Et pourquoi m'avez-vous dit ce que vous ressentiez ? Pourquoi ne pouviez-vous pas tout simplement rester tranquille et gérer cette situation comme tout autre fille normale ?
- J'aurais bien voulu garder ma bouche fermée ! criais-je, sentant mes larmes revenir pendant que je le regardais avec un courage que n'avais pas idée de posséder. Vous pensez que cela me réjoui d'avoir cette conversation avec vous, parler de mes sentiments comme s'ils étaient assez inconséquents, pour ne pas y porter attention ? Je sais que c'étais fous de ressentir ça, parce que vous êtes vieux et que vous n'avez aucun sentiments ! Mais vous avez les plus beau cheveux, qui pourraient être assez doux si vous y prêtiez attention, et vous avez quelque chose dans vos yeux qui flamboie… Votre voix… dieu, chaque fois que vous parler, vous m'envoyez au Paradis enveloppée dans du velours… et ensuite, je me suis retrouvée à vous regarder comme je n'avais jamais regardé personne… Et j'ai simplement su…, j'écartais mes larmes avec le dos de ma main, souriant à la pensée. Vous n'avez pas idée de combien ça blesse de ressentir toute ses chose et de les garder secrète. Après cette stupide potion, j'ai eu mal dans ma poitrine avec ce besoin de tout vous dire. E devait vous le dire où j'aurais explosé ! Jusqu'à aujourd'hui, lorsque ma bouche à été plus rapide que mon cerveau.
Le silence était si lourd que je pouvais le sentir dans l'air, compressant mes poumons à chaque inspiration.
Après un long moment, si long que cela me sembla des heures, il parla de sa voix de velours :
- Alors, je pense être intolérablement grossier avec vous de ne pas vous aider à vous débarrasser de vos sentiments, n'est-ce pas ?
Ai-je perçu une note d'espérance dans sa voix ou était-ce juste mes propres espérance qui me jouaient un tour ?
- Plus intolérablement rude que vous êtes d'habitude ? demandais-je dans un murmure.
Il rit avec moi à cette pensée.
Oh, combien beau était son rire !
Si seulement il pourrait rire plus souvent !
Il marcha jusqu'à sa table, restant debout derrière elle avec ses main derrière son dos et lorsqu'il parla, sa voix n'essayait pas d'être contrôlée ou froide, c'était juste un ton résigné qui pourrait briser mon cœur plus facilement que tout autre ton.
- Alors, je ne crois pas que je puisse vous aider.
Oh oui, cela brise mon cœur.
- Vous voyez Miss Weasley, vous êtes mon étudiante après tout. Notre différence d'age, que vous n'avez pas bien considérée, serait un gros problème si nous décidions de nourrir ce… béguin. Soupira-t-il. Et je perdrais mon travail alors que vous, vous détruiriez votre réputation pour quelqu'un qui n'en vaut tout simplement pas la peine.
Je regardai en haut pour rencontrer ses yeux, lesquels presque bienveillant maintenant, brillant avec un sentiment que je ne pense pas qu'il aurait pu expliquer.
- Alors, je suggère que vous repreniez votre vie et que vous cherchiez des garçons de votre ages avec qui vous pourrez sortir, comme les filles comme vous le font.
Je ne pouvais plus contrôler mes larmes à présent.
Je sanglotais incontrôlablement, me tenant devant lui, la table en solide barrière, bien que je sache que ce n'étais pas la seule chose qui nous tenait à distance l'un de l'autre.
Il avait raison.
Il avait absolument raison, et il n'y avait rien que je puisse faire pour changer cela.
J'avais été si égoïste, pensant à mes sentiments comme quelque chose de si nocif que je n'avais même pas considérer le fait qu'il pouvait aussi avoir des sentiments, et je ne voulais pas être le centre de son univers.
Mais une partie de mon cerveau était bien trop obstinée pour renoncer je me suis retrouvée à lui demander :
- Et pour la douleur dans ma poitrine.
Il sembla presque impuissant.
- J'aimerais pouvoir vous aider Miss Weasley, mais tout ce que je peux dire c'est que personne n'est jamais mort d'une peine de cœur. Croyez-moi.
Je fis un signe de tête, essayant de contrôler mes sanglots, séchant mes larmes avec le dos de ma main.
- Je suis désolée d'avoir prit autant de votre temps…
Il secoua sa tête ses yeux exprimant de l'inquiétude et… de la douleur ?
Je pris le livre et me rendis à la porte, par certaine de vouloir la traverser.
- Je crois que vous comprendrez si je deviens plus intempérant autour de votre classe et que j'enlèverais des points à Griffondors si vous veniez à respirez plus fort que vous ne le devriez. Dit il, sa voix aussi froide que ces donjons.
- Bien sûr. Dis-je d'une voix fade, souriant à sa présence d'esprit.
Au moment ou je touchais la poignée de la porte, il me rappela et je l'entendit dire, dans un presque murmure, son ton à nouveau émotionnel :
- Merci…
Je ne savais pas quoi dire, alors je partit sans autre mots et restai derrière la porte après l'avoir refermée.
Je n'entendit aucun mouvement pendant que je suis restée là, mon cœur en miette alors que j'essayait de contrôler mes larmes.
Je ne peut expliquer comment je suis retournée à la tour de Griffondors, cette nuit-là, mais il était onze heure lorsque je donnai le mot de passe à la grosse dame et suis entrée dans la salle presque vide.
Je m'assis sur un des sofa, tenant encore le livre contre ma poitrine, inconsciente de tout ce qu'il y avait autour de moi.
Je suis restée là, pendant un long moment, regardant les flammes dans la cheminée, mes yeux sec maintenant que mes larmes étaient parties.
- Hey Ginny ?
J'entendis un doux murmure à côté de moi, et je me retournai pour voir Harry Potter me regarder avec inquiétude.
- Oh salut Harry, je n'avais pas vu que tu était là !
J'essayais de sourire mais cela ne sonnais pas très convainquant.
- J'ai réalisé ça lorsque tu es passée devant moi comme si je n'étais pas là.
- Je suis désolée…
- Non, c'est rien, me sourit-il. Je pense que tu me traite de la façon dont je t'ai toujours traitée, hein ?.
- Non !
Je secouai ma tête, me retournant complètement face à lui.
- Tu ne m'as jamais fait me sentir comme si je n'étais pas là. Parfois que tu ne voulais pas de moi là, mais jamais que je n'étais pas là…
Ses brillèrent tristement lors de cette prise de conscience.
- Oh Ginny, je suis désolé. J'aurais du être plus attentif j'aurais du te parler…
- Tu te sens comme la cinquième roue du carrosse maintenant que Ron et Hermione sortent ensemble, n'est-ce pas ? dis-je avec un sourire, essayant de le réconforter.
Il hocha tristement la tête, examinant la cheminée avec un intérêt renouvelé.
- Ils sont encore mes amis, bien sûr, et je suis très heureux pour eux, mais… ce n'est plus la même chose.
- Je comprend, dis-je en le regardant, repoussant mes propres misères pour essayant de le faire se sentir mieux.
- Je pense que vous avons beaucoup traversé ensemble. Ce n'est pas comme ci cela pouvais s'effacer.
Il laissa sortir un cri de frustration.
- Quand même, nous avons fait face à un troll ensemble.
- Je réalise que ce n'étais plus qu'une aide, mais on peut dire que nous avons affronter Lord Voldemort ensemble, une fois.
Il me regarda profondément, sondant mes yeux avec les siens et sourit, se sentant très à l'aise maintenant.
- Oui, nous l'avons fait, n'est-ce pas ?
Nous sommes resté tranquille pendant un moment, des souvenirs courrant au travers de nos esprits.
- Tu aimes les échecs sorciers ? cassa-t-il le silence.
- Tout le temps ! riais-je, laissant le livre de côté et aidant Harry avec les pièce et la table.
Peut-être que le nuit ne sera pas si longue après tout, me dis-je lâchant ma poitrine, comprenant que cette peine, un jour, enfin, probablement un jour, laissera place à quelque chose de nouveau.
Tout ce que je pouvais faire, c'était attendre.
