Disclaimer : euh..ben, vous savez tout, ni les persos, ni les situations ne
sont à moi.la musique habituelle quoi.
Note : ça fait bizarre : même si j'avais depuis le début la fin en tête, je pensais pas que ce serait si affreux à écrire. !Pauvre JK, et dire que elle, c'est une mort qu'elle doit écrire..Hum, enfin bon, c'est pas une excuse, Mme Rowling, soyez gentille, sortez enfin le T5 !!
PARTIE 3 :
Le moment est dramatique.
Sirius, je t'en supplie ! Tu ne peux pas m'abandonner !Répond, Répond avec tes yeux qui ne mentent pas, ton regard si franc.
Enfin, Sirius répondit, de l'air le plus sérieux qu'il le pouvait. D 'ailleurs, James ne put s'empêcher de penser qu'il y a encore quelques années, avant la guerre, il n'aurait jamais cru Patmol capable d'un tel sérieux.
-Non, je dois te l'avouer à présent, tu sais tout. Je ne suis pas de ton côté, James
Choc. James est au bord de l'évanouissement. NNOOONN !!!Pas toi !!Patmol, pas toi !!
Tout cela se passe en une fraction de seconde. Le visage du jeune homme a dû se décomposer, car aussitôt, Sirius s'exclame :
-Bien sûr que je suis avec toi !Comment as-tu pu douter de moi ?Tu vois Patmol se battre contre Cornedrue, toi ? Avec la femme la plus belle et le fils le plus intelligent ? Si si, je t'assure, il est très intelligent ! déjà tout le portrait de son père.J'en mourrais plutôt !
Il dit cela avec un clin d'?il. Il s'en voulait un peu d'avoir fait marcher son amie sur un sujet si grave.mais bon, ç'avait été tellement tentant ! Comment y résister !
James le regarda avec de grands yeux. Pour la 2 ème fois en une soirée, il était prêt à s'évanouir. Sirius, comment peux-tu me faire une chose pareille ?! Mais merci quand même : en plus de rester fidèle à notre idéal de toujours, tu as gardé ton humour.un peu difficile à supporter parfois ! Il s'exclama :
-Sirius, non mais ça va pas la tête !tu tiens à ce que je fasse une crise cardiaque ? C'est ça ta façon de rester mon ami, hein ??
Sirius éclata de rire. Un rire incontrôlable. D'abord franc, puis très amer. Depuis combien de temps n'avait-il pas rit ainsi.Et surtout, être obligé de rire de choses pareilles. Heureusement que le bébé, Harry, était là ! Il mettait un peu de fraîcheur dans les pensées noires des adultes..James ne put que l'imiter. La tension avait été si forte.Et puis, ça soulage ! Enfin, en partie.Car si ce n'est pas patmol qui a trahi, c'est soit Lunard, soit Queudver, et ça, c'est loin d'être amusant ! Il demanda à Sirius, après s'être calmé
-mais, tu venais me dire une chose très importants, non ?
-Oui. Je venais te suggérer de faire subir le sortilège fidelitas à Lunard, ou Queudver. Mais évidemment, ce que tu viens de me dire remet tout en question..
James réfléchit :
-Pas forcemment.
Sirius leva le sourcil, pendant que James continue :
-Tout d'abord, tu es bien certain que tu ne veux pas le faire, toi ? Ce serait vraiment le plus simple, et le plus sûr, tu sais.
Sirius réfléchit un instant avant de répondre :
-Oui, j 'en suis certain. Vold.(encore râté !!) enfin, Celui-Dont-On-Ne- Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom n'est pas un idiot tout de même !Il pensera tout de suite que c'est moi !!
-Peut-être, mais au moins, avec toi, je sais que je peux avoir confiance. Que même sous la torture, même sous Doloris, tu ne parleras pas.
Sirius se fit sombre :
-Je préfère quand même ne pas essayer.On ne sait jamais, tu sais, on se croit fort et puis.
James dit alors d'un ton tranchant :
-Bien, n'en parlons plus alors. Soyons clairs. Nous devons tout confier soit à Peter, soit à Remus. Et nous n'avons pas le droit de nous tromper dans notre choix.
-Mais cette histoire de trahison.Elle est vraiment sûre ?je veux dire, c'est clair que tous les deux sont avec nous ! Ni l'un ni l'autre n'a pu te trahir ! De plus, ce ne sont pas des adeptes de la magie noire ! Je les connais trop, ils n'auraient pas fait ça !
-Justement. Nous croyions les connaître. Nous nous trompions. L'un d'eux l'a fait.
Sirius ne veut décidément pas le croire. Il aime trop ses amis pour en croire un seul coupable. Sans le savoir, encore une fois, il emploie les mêmes mots que James devant Dumbledore :
-Mais c'est impossible ! On a fait un serment autrefois ! Ils n'ont pas pu l'oublier ! Pas comme ça ! Pas à ce point !
-Peut-être tout simplement qu'ils n'avaient pas toute leur volonté.
-L'imperium ?
-Oui.
-Impossible. Techniquement. Nous savons tous plus ou moins résister à l'imperium ; Surtout si c'est un ordre aussi fou que rejoindre le Seigneur des ténèbres !
Sirius frissonna. Pourquoi est-ce que James, lui arrive à prononcer ce nom ? pourquoi est-ce que lui, Sirius Black, réputé n'avoir jamais peur de rien, n'y parvenait pas ? Pourquoi à chaque fois qu'il ne faisait ne serait- ce que penser à ce nom, il en ressentait des sueurs froides, in contrôlables ? Il soupira. James répondit :
-Ce n'est pas totalement vrai, et tu le sais.
Oui, Sirius le savait, même s'il s'était refusé à se l'avouer. Peter n'avait jamais été très doué en magie. Quand à Remus.Eh bien, il y avait des moments où il n'était pas entièrement lui-même et.
Après quelques instants, il ajoute d'une voix pensive :
-De toute façon, qui que ce soit, je ne pense pas qu'il agisse sous imperium.
Cette affirmation horrifia James, qui s'écria :
-Pourquoi dis-tu ça ? Tu es en train de dire que celui qui a fait ça a agit délibérément. Mais pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ?
Sirius secoua la tête. Cela, bien sûr, il ne le savait pas. Comment pourrait-il comprendre qu'on trahisse son ami ? Pour se jeter de plus aux pieds de quelqu'un qui était la mort, et peut-être même pire encore ?
Le silence s'installa de nouveau, les deux amis étant chacuns plongés dans leurs pensées. Pas drôles, les pensées. Puis, brisant le silence, James dit, récapitulant :
-Bon. Soyons clairs et brefs .Les Maraudeurs n'existent plus .L'un d'eux a choisit le camp opposé de celui des autres. L'autre recevra le sortilège de Fidelitas. En gros, si on se plante, on est mal.Ce qui n'aurait que peu d'importance.si la vie de Harry, ni celle de Lily n'était pas en jeu.
Encore une fois, Sirius hocha la tête. Voir son ami ainsi lui faisait mal. Mais comment le réconforter alors que lui-même partage la même inquiétude ?Il savait bien pour détruire James, il « suffirait » de commencer par détruire sa femme, ou son fils. Tant que l'ennemi l'ignorait, ce n'était pas si grave, mais à présent.Car il était évident que l »ami », celui qui les avait trahi, a tout dit au Lord sombre. Y compris que James tient tellement à son fils. Et voilà, encore une raison qui rendait le sortilège Fidelitas vraiment nécessaire.
Enfin, Sirius se décida à poser la question fatidique, et pourtant inévitable :
-Et.Tu penses à quelqu'un ?
Une fois de plus, le silence. Lourd. James n'osa tout d'abord pas formuler le soupçon qu'il avait depuis quelques jours à présent. C'était tellement affreux !Même si cet homme était coupable, ils avaient vécu tant de bons moments ensembles !
Il prit une grande inspiration, puis articula enfin :
-Je ne pense pas que ce soit Peter.
Aussitôt, l'affreuse évidence s'imposa à Sirius. De toute façon, James aurait pu répondre n'importe quoi, ça aurait toujours été aussi impossible pour lui. Malgré tout, il essaya une dernière fois de masquer, ou d'éviter, l'horrible vérité.
-Non ! Et pourquoi pas lui ?
-Il a toujours été proche de Lily, il ne pourrait pas vouloir lui faire du mal. Il s 'est souvent occupé de Harry. Et surtout, nous l'avons accueilli dans notre groupe, et il nous en a toujours été reconnaissant.
-Tu es conscient j'espère, que ce que tu dis de Peter peut s'appliquer exactement pour Remus ?! Cela ne constitue pas une preuve ! Avec ce que tu dis, ça peut toujours être l'un ou l'autre !
-Oui, mais tu oublie une chose..
Non, Sirius n'oubliait rien, il ne voulait juste pas voir cet aspect des choses.James allait continuer mais Sirius lui coupa la parole :
-Il nous aime beaucoup, on a souffert ensembles, on a lutté ensembles ! Tu te souviens ? ce mur immense.
-Oui, je me souviens. Mais pas lui apparemment.Nous étions 4 devant ce mur..
-Oui, et ensembles, nous l'avons franchi. Je sais. Mais tout a changé. La guerre a tout changé. Et puis, même si tu ne veux pas le voir, il ne faut pas oublier que Remus n'est pas comme nous ! Il n'est pas tout à fait humain ! Souviens-toi des cours du prof : les loups-garous sont parfois incompréhensibles. Ils changent d'avis facilement. Ils sont irrésistiblement attirés par les Forces du Mal. Et sous leur forme animale, ils sont capables du pire.
-Mais tu sais bien que c'est faux !Remus est différent ! Il n'est pas comme ça !
Mais James continua, enfin convaincu, sérieux et triste.
-Il faut croire que si, puisqu'il a fait ce qu'il a fait.Sirius, je te charge de prévenir Queudver : je veux qu'il devienne, si du moins, il l'accepte, mon gardien du secret. Il protégera ma famille, ma femme, mon fils. Il le fera contre celui qui se disait notre ami, celui dont à présent il faudra toujours nous méfier, car il ne dois pas savoir que nous avons découvert que c'est lui, Lunard, Remus, oui, c'est lui le traître.
FIN
Enfin, fin.disons que vous connaissez la suite..Bouhh, réveillez vous tous les deux, ouvrez un peu les yeux !!
Note : ça fait bizarre : même si j'avais depuis le début la fin en tête, je pensais pas que ce serait si affreux à écrire. !Pauvre JK, et dire que elle, c'est une mort qu'elle doit écrire..Hum, enfin bon, c'est pas une excuse, Mme Rowling, soyez gentille, sortez enfin le T5 !!
PARTIE 3 :
Le moment est dramatique.
Sirius, je t'en supplie ! Tu ne peux pas m'abandonner !Répond, Répond avec tes yeux qui ne mentent pas, ton regard si franc.
Enfin, Sirius répondit, de l'air le plus sérieux qu'il le pouvait. D 'ailleurs, James ne put s'empêcher de penser qu'il y a encore quelques années, avant la guerre, il n'aurait jamais cru Patmol capable d'un tel sérieux.
-Non, je dois te l'avouer à présent, tu sais tout. Je ne suis pas de ton côté, James
Choc. James est au bord de l'évanouissement. NNOOONN !!!Pas toi !!Patmol, pas toi !!
Tout cela se passe en une fraction de seconde. Le visage du jeune homme a dû se décomposer, car aussitôt, Sirius s'exclame :
-Bien sûr que je suis avec toi !Comment as-tu pu douter de moi ?Tu vois Patmol se battre contre Cornedrue, toi ? Avec la femme la plus belle et le fils le plus intelligent ? Si si, je t'assure, il est très intelligent ! déjà tout le portrait de son père.J'en mourrais plutôt !
Il dit cela avec un clin d'?il. Il s'en voulait un peu d'avoir fait marcher son amie sur un sujet si grave.mais bon, ç'avait été tellement tentant ! Comment y résister !
James le regarda avec de grands yeux. Pour la 2 ème fois en une soirée, il était prêt à s'évanouir. Sirius, comment peux-tu me faire une chose pareille ?! Mais merci quand même : en plus de rester fidèle à notre idéal de toujours, tu as gardé ton humour.un peu difficile à supporter parfois ! Il s'exclama :
-Sirius, non mais ça va pas la tête !tu tiens à ce que je fasse une crise cardiaque ? C'est ça ta façon de rester mon ami, hein ??
Sirius éclata de rire. Un rire incontrôlable. D'abord franc, puis très amer. Depuis combien de temps n'avait-il pas rit ainsi.Et surtout, être obligé de rire de choses pareilles. Heureusement que le bébé, Harry, était là ! Il mettait un peu de fraîcheur dans les pensées noires des adultes..James ne put que l'imiter. La tension avait été si forte.Et puis, ça soulage ! Enfin, en partie.Car si ce n'est pas patmol qui a trahi, c'est soit Lunard, soit Queudver, et ça, c'est loin d'être amusant ! Il demanda à Sirius, après s'être calmé
-mais, tu venais me dire une chose très importants, non ?
-Oui. Je venais te suggérer de faire subir le sortilège fidelitas à Lunard, ou Queudver. Mais évidemment, ce que tu viens de me dire remet tout en question..
James réfléchit :
-Pas forcemment.
Sirius leva le sourcil, pendant que James continue :
-Tout d'abord, tu es bien certain que tu ne veux pas le faire, toi ? Ce serait vraiment le plus simple, et le plus sûr, tu sais.
Sirius réfléchit un instant avant de répondre :
-Oui, j 'en suis certain. Vold.(encore râté !!) enfin, Celui-Dont-On-Ne- Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom n'est pas un idiot tout de même !Il pensera tout de suite que c'est moi !!
-Peut-être, mais au moins, avec toi, je sais que je peux avoir confiance. Que même sous la torture, même sous Doloris, tu ne parleras pas.
Sirius se fit sombre :
-Je préfère quand même ne pas essayer.On ne sait jamais, tu sais, on se croit fort et puis.
James dit alors d'un ton tranchant :
-Bien, n'en parlons plus alors. Soyons clairs. Nous devons tout confier soit à Peter, soit à Remus. Et nous n'avons pas le droit de nous tromper dans notre choix.
-Mais cette histoire de trahison.Elle est vraiment sûre ?je veux dire, c'est clair que tous les deux sont avec nous ! Ni l'un ni l'autre n'a pu te trahir ! De plus, ce ne sont pas des adeptes de la magie noire ! Je les connais trop, ils n'auraient pas fait ça !
-Justement. Nous croyions les connaître. Nous nous trompions. L'un d'eux l'a fait.
Sirius ne veut décidément pas le croire. Il aime trop ses amis pour en croire un seul coupable. Sans le savoir, encore une fois, il emploie les mêmes mots que James devant Dumbledore :
-Mais c'est impossible ! On a fait un serment autrefois ! Ils n'ont pas pu l'oublier ! Pas comme ça ! Pas à ce point !
-Peut-être tout simplement qu'ils n'avaient pas toute leur volonté.
-L'imperium ?
-Oui.
-Impossible. Techniquement. Nous savons tous plus ou moins résister à l'imperium ; Surtout si c'est un ordre aussi fou que rejoindre le Seigneur des ténèbres !
Sirius frissonna. Pourquoi est-ce que James, lui arrive à prononcer ce nom ? pourquoi est-ce que lui, Sirius Black, réputé n'avoir jamais peur de rien, n'y parvenait pas ? Pourquoi à chaque fois qu'il ne faisait ne serait- ce que penser à ce nom, il en ressentait des sueurs froides, in contrôlables ? Il soupira. James répondit :
-Ce n'est pas totalement vrai, et tu le sais.
Oui, Sirius le savait, même s'il s'était refusé à se l'avouer. Peter n'avait jamais été très doué en magie. Quand à Remus.Eh bien, il y avait des moments où il n'était pas entièrement lui-même et.
Après quelques instants, il ajoute d'une voix pensive :
-De toute façon, qui que ce soit, je ne pense pas qu'il agisse sous imperium.
Cette affirmation horrifia James, qui s'écria :
-Pourquoi dis-tu ça ? Tu es en train de dire que celui qui a fait ça a agit délibérément. Mais pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ?
Sirius secoua la tête. Cela, bien sûr, il ne le savait pas. Comment pourrait-il comprendre qu'on trahisse son ami ? Pour se jeter de plus aux pieds de quelqu'un qui était la mort, et peut-être même pire encore ?
Le silence s'installa de nouveau, les deux amis étant chacuns plongés dans leurs pensées. Pas drôles, les pensées. Puis, brisant le silence, James dit, récapitulant :
-Bon. Soyons clairs et brefs .Les Maraudeurs n'existent plus .L'un d'eux a choisit le camp opposé de celui des autres. L'autre recevra le sortilège de Fidelitas. En gros, si on se plante, on est mal.Ce qui n'aurait que peu d'importance.si la vie de Harry, ni celle de Lily n'était pas en jeu.
Encore une fois, Sirius hocha la tête. Voir son ami ainsi lui faisait mal. Mais comment le réconforter alors que lui-même partage la même inquiétude ?Il savait bien pour détruire James, il « suffirait » de commencer par détruire sa femme, ou son fils. Tant que l'ennemi l'ignorait, ce n'était pas si grave, mais à présent.Car il était évident que l »ami », celui qui les avait trahi, a tout dit au Lord sombre. Y compris que James tient tellement à son fils. Et voilà, encore une raison qui rendait le sortilège Fidelitas vraiment nécessaire.
Enfin, Sirius se décida à poser la question fatidique, et pourtant inévitable :
-Et.Tu penses à quelqu'un ?
Une fois de plus, le silence. Lourd. James n'osa tout d'abord pas formuler le soupçon qu'il avait depuis quelques jours à présent. C'était tellement affreux !Même si cet homme était coupable, ils avaient vécu tant de bons moments ensembles !
Il prit une grande inspiration, puis articula enfin :
-Je ne pense pas que ce soit Peter.
Aussitôt, l'affreuse évidence s'imposa à Sirius. De toute façon, James aurait pu répondre n'importe quoi, ça aurait toujours été aussi impossible pour lui. Malgré tout, il essaya une dernière fois de masquer, ou d'éviter, l'horrible vérité.
-Non ! Et pourquoi pas lui ?
-Il a toujours été proche de Lily, il ne pourrait pas vouloir lui faire du mal. Il s 'est souvent occupé de Harry. Et surtout, nous l'avons accueilli dans notre groupe, et il nous en a toujours été reconnaissant.
-Tu es conscient j'espère, que ce que tu dis de Peter peut s'appliquer exactement pour Remus ?! Cela ne constitue pas une preuve ! Avec ce que tu dis, ça peut toujours être l'un ou l'autre !
-Oui, mais tu oublie une chose..
Non, Sirius n'oubliait rien, il ne voulait juste pas voir cet aspect des choses.James allait continuer mais Sirius lui coupa la parole :
-Il nous aime beaucoup, on a souffert ensembles, on a lutté ensembles ! Tu te souviens ? ce mur immense.
-Oui, je me souviens. Mais pas lui apparemment.Nous étions 4 devant ce mur..
-Oui, et ensembles, nous l'avons franchi. Je sais. Mais tout a changé. La guerre a tout changé. Et puis, même si tu ne veux pas le voir, il ne faut pas oublier que Remus n'est pas comme nous ! Il n'est pas tout à fait humain ! Souviens-toi des cours du prof : les loups-garous sont parfois incompréhensibles. Ils changent d'avis facilement. Ils sont irrésistiblement attirés par les Forces du Mal. Et sous leur forme animale, ils sont capables du pire.
-Mais tu sais bien que c'est faux !Remus est différent ! Il n'est pas comme ça !
Mais James continua, enfin convaincu, sérieux et triste.
-Il faut croire que si, puisqu'il a fait ce qu'il a fait.Sirius, je te charge de prévenir Queudver : je veux qu'il devienne, si du moins, il l'accepte, mon gardien du secret. Il protégera ma famille, ma femme, mon fils. Il le fera contre celui qui se disait notre ami, celui dont à présent il faudra toujours nous méfier, car il ne dois pas savoir que nous avons découvert que c'est lui, Lunard, Remus, oui, c'est lui le traître.
FIN
Enfin, fin.disons que vous connaissez la suite..Bouhh, réveillez vous tous les deux, ouvrez un peu les yeux !!
