¤ SENTIMENT CLANDESTIN ¤

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NOTE DE NOTRE EXTRAORDINAIRE-ET-FORMIDABLE-AUTEUR : ça c'est moi ! lol, donc voici enfin la partie IV, très courte également à mon regret... j'espère tout de même qu'elle vous plaira, l'intrigue commence enfin à avancer. Sinon que dire d'autre ?? Merci pour vos review (je tiens donc à remercier cho sept et sandrine, ah oui un ptit mot pour cho sept : désolé mais la suite n'est pas encore écrite, elle va bientôt arriver quand moi et Eléa trouverons un trou dans notre emploi du tps, t'inquiète pas elle finira bien par arriver un jour, sinon je suis contente que tu aimes cette fic, pour te dire moi aussi je suis morte de rire en l'écrivant) bref mis à par cela, bonne lecture à tous.

DISCLAMER : faut quand même pas l'oublier le pauvre, faisons donc simple : rien à moi, tt à J.K (sof lesquels vous savez).

Je continu dans le simplicismes (on s'en fou si ça ne se dit pas !) donc pas de review pas de suite.

Ah oui, n'oublions pas, je re-précise que cette fic ci c'est à dire celle là, n'a été écrite QUE par Johera (donc Eléa n'a pas intervenu dans l'écriture ou la conception de cette jolie histoire)

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PARTIE IV

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Le temps passait rapidement, seul témoin caché de notre liaison. La journée nous nous efforcions de limiter nos rencontres hasardeuses afin de ne pas attirer les soupçons. Mais lorsque le soleil épuisé et le ciel laissaient place à la tenture noire ornée d'étoiles qu'est la nuit, nos rencontres n'étaient plus ni hasardeuses ni limités. Peu importe mon manque de sommeil, je ne pouvais supporter les longues journées qu'en sachant que le soir je retrouverais mon bien-aimé.

Un jour quelconque, mon père vint s'entretenir avec moi. Ses paroles résonnent encore à mes oreilles alors que ce temps peu déjà paraître lointain. Mais qu'est-ce que le temps sinon une chose abstraite, terme vide de sens inventé dans le seul but de désigner un élément complexe que nous ne comprenons pas. Le nommer suffit à avoir l'impression d'avoir une prise, un contrôle dessus, et alors que nous jouons avec, c'est lui qui fini par gagner inévitablement et s'amuse de nous.

C'est ainsi qu'après un débat acharné qui me paru durer l'éternité, mon père déclara : « il ne te reste plus que quelques mois avant de finir ta scolarité. Un jeune homme respectable, d'une noble famille de sang-pur est venu demander ta main. Tu l'épouseras donc. »

Oui, c'est à peu près ça je crois. Il m'a annoncé cela sans détour et sans accepter le moindre de mes commentaires ou oppositions, mon opinion l'importait peu.

Comme pourrais-je épouser cet homme dont je ne connaissais pas même le nom, alors que mon c?ur appartenait à une autre personne ?

J'ai toujours pensé qu'il ne pouvait exister de problème sans solution - sans quoi les problèmes n'existeraient pas - il ne me restait donc plus qu'à trouver cette solution.

J'en ai passé des nuits blanches, des jours noirs, à retourner le problème dans tous les sens, à l'analyser sous tous les angles. Et la seule solution qui m'est venu fut la fuite. Fuir, au plus vite, au plus loin possible.

Mais, étais-ce raisonnable ? Finirait-on par me retrouver de toute façon ? Mon amour me suivra-t-il dans cette folie ?

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Re-note

dE moi :

Vous voulez la

suIte,

simplE

revieWez

plEase !!!!

Ziouplé...

JOHERA-qui-vous-adore-parce-que-vous-lisez-ses-fics