¤ SENTIMENT CLANDESTIN ¤

~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~

NOTE DE MOI MOI ET MOI : Et voilà, c'est la dernière partie ! n'est-ce pas triste ?! en tout cas j'espère qu'elle va vous plaire, et que l'épilogue aussi !!!!! bon toujours aussi courte, j'espère que vous ne m'en voudrez pas. Vous allez enfin connaître le dénouement de l'histoire et cette sombre et farfelue idée qui trottait dans ma tête jusqu'à présent. DISCLAMER : le truc qui sert à rien et que personne ne li. Tt à J.K sof Suhayla Griffin Najah et la servante, pas de sous, g ke dalle, je fé ça pour mon propre plaisir... FIC ECRITE PAR JOJO (j'en ai marre de le réécrire à chaque fois !) En espérant que vous apprécierez cette fin, et que vous me revieweverez bcp bcp.

~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~

PARTIE VIII

¤ ° ¤ ° ¤ ° ¤

« Monsieur, votre femme, elle accouche »

Un cri de douleur fendit l'air, la servante devant moi s'excusa et partit en courant vers la chambre où Suhayla était installée. Une bouffée de haine et de rancune monta en moi, mais dans quelques heures je serai soulagé de ce fardeau, lavé de toute honte et déshonore que ma femme m'aurait infligé. Je me dirigeais à grands pas vers la chambre, et m'assis sur une chaise dans le couloir, en face de cette même pièce. Je saisis la carafe de vin posé à côté de moi sur une petite table en bois sculpté et me versa un verre. Un autre cri retentit dans toute la maison.

« - Détendez-vous madame. Là, je vois le bébé.

- J'ai si mal.

- Encore un petit effort, le plus gros est déjà fait.

Des perles de sueur glissaient de mon front, tandis qu'une douleur indescriptible me déchirait le corps.

Après une lutte acharnée durant des heures, un autre cri vibra dans la chambre : le bébé.

« - Est...est-ce qu'il va bien ?

La servante me sourit, et me tendit un petit tas de couverture. Aussitôt que je le pris dans mes bras le bébé cessa de pleurer. Sa petite tête reposait contre ma poitrine.

- Vous devriez le nourrir madame. Tenez je vais vous montrer.

Le petit être que je tenait dans mes bras s'endormit contre mon c?ur après avoir bu mon lait. La servante avait fini de nettoyer la chambre, je me reposais n'essayant pas de penser à ce qu'il arriverait plus tard. Les portes de la chambre s'ouvrirent violemment, découvrant Najah.

Il fit signe à la servante de s'approcher. Elle obéit docilement.

« - Prenez ce bébé et partez. Je ne veux que personne n'entende parler de cette histoire. Si jamais j'apprend que vous n'avez pas pu vous taire vous êtes sûre que je vous retrouverez et que vous ne vivrez pas longtemps.

- Mais...mais monsieur...

- Faites ce que je vous dit, et rappelez-vous bien de tout ceci. Est-ce bien clair ? »

Il lui envoya une bourse dont le tintement traduisait le contenu. Elle la pris, extirpa le bébé des bras de la mère indifféremment de ses protestations et de ses pleurs, et sortit rapidement de la pièce. Plus jamais personne ne revu, ni la servante, ni l'enfant.

Je sombrais dans un terrible désespoir. On m'aurait arraché le c?ur, que la blessure ne serait pas aussi cruelle. Mes pleurs semblaient intarissables, tel une cascade amer et douloureuse.

Voici mon histoire pénible qui devint plus tard la tienne. Les derniers événements de ma triste vie. Car depuis ce jour, je ne vis que comme une prisonnière, j'erre tel un fantôme au destin pesant et insupportable. Mon enfant, ce journal t'est destiné à toi et tes descendants. Sache que de ma vie je n'ai aimé que toi, et ton père. En t'arrachant à moi on m'a enlevé la seule raison de vivre sur cette terre. D'autres t'ont suivi, mais ils n'ont pas eu le même vrai amour, nés d'un mari que j'exécrais et que j'exécrerais toujours.

« Je t'aime ».

~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~

Voilà, maintenant la fin des fin, l'épilogue. ==(