CH 25 UNE REPONSE INATTENDUE

Lorsqu'il se réveilla le lendemain, Harry se demandait toujours pourquoi il avait réver de Ginny toute la nuit. Il y a à peine quelques heures, il la regardait à peine et maintenant il la voyait comme la seule créature capable d'égayer son existance. Même Cho avait perdu de son charme face à la beauté de la cadette Weasley.

Ron avait remarqué l'étrange comportement de son ami. Les rôles étaient inversés: c'était maintenant Harry qui rougissait dés qu'il voyait Ginny et celle-ci qui ne le remarquait pas.

"Mais , qu'est-ce qu'ils ont ces deux là? Ils mijotent quelque chose..."

***

Il était deux heures et Harry devait se rendre aux cachots. Il s'y rendait quand il entendit un mialement derrière lui: Miss Teigne? Non! Ouf! c'était Pattenrond, le chat d'Hermione, il avait dût s'échapper lorsque Harry était sorti de la salle commune.

Harry continua donc jusqu'au lieu du rendez-vous. Malfoy était déjà là et paraissait nerveux. Lorsqu'il aperçut le griffondore, il se raidit d'un coup.

Harry lui fit signe d'entrer dans le cachot numéro 12 qui était vide. Les deux garçons s'y engouffrèrent et s'assirent sur les dalles froides qui constituées le sol de la salle. Ce fut Draco qui brisa le silence:

"Alors? C'est quoi ce secret?

- Et bien , tu dois savoir tout d'abord que je reçoît des cours particulier de Rogue, à la demande de Dumbledore.

- C'est vrai? Tu dois aprécier les heures passées en la compagnie de ce prof si communicatif de sympathie, ironisa Draco.

- Oui , évidement! répondit Harry sur le même ton. N'empêche que grâce à lui, j'ai pû devenir un animagus." Et grâce à toi aussi, faillit répondre Harry, mais il se retint, il avait besoins que Malfoy ait une dette envers lui.

-Toi ? Tu es un animagus ? Comment? Pourquoi?

- Je suis l'héritier de griffondore...

- Ce qui veut dire?

- Que je dois tuer Voldemord , qui est l'heritier de serpêntard, pour rétablir l'équilibre, C'est pour ça que Dumbledore à juger nécessaire que je devienne un animagus pour m'aider à tenir tête à Voldemord, lorsque le combat final commencera.

- Rien de moins? lâcha Draco, sarcastique.

- C'est pas fini! Peter Petigrow est en vie et à Poudlard.

- Ce sale traitre est ici?

- Tu le savais en vie? Ah oui! Ton père te l'a dit.

- Oui , mais continue, tu sais pourquoi il est ici?

- Et bien , il est à l'école pour tenter d'ouvrir le bureau de serpentard pour s'emparer d'un certain Dragon enfermer à l'interieur. Mais il ne peut pas ouyvrir le bureau.

- Alors ce bureau existe réellement? Pourquoi , il ne peut pas l'ouvrir?

- Parce qu'il faut être un vrai serpentard pour pouvoir l'ouvrir, or Pettigrow, même s'il n'en a plus les qualités, a fait ses études à griffondore.

- C'est pour ça que tu as besoins de moi. Tu veux ouvrir ce bureau avant Queudvert. Pourquoi?

- Parce que Voldemord obtient toujours ce qu'il veut à force de patience, alors je ne tiens pas à attendre en m'inquiètant de plus en plus qu'il daigne exécuter son plan de me tuer, car à apparrement, il en a toujours l'intention. Pour déjouer son piège, il faut détruire l'antre du dragon. Je ne sait pas encore ce que c'est, mais on verra bien là bas, on improvisera!

- Hum! C'est d'accord, mais au fait, tu ne m'as pas parler de Wealey et Granger?

- C'est parce qu'ils ne viendront pas!

- C'est si dangereux que ça?

- Je n'en sais rien, mais il ne comprendrait pas ce que tu fais là à nous aider, tu comprends, je ne leur ait pas parler de toi, alors.

- Ah bon? Tant mieux remarque, cela sera plus vrai quand on s'insultera comme d'habitude. Au fait, comment Pettigrow est entré à Poudlard?

- Par les passages secret que mon père, lui Black et Lupin avaient découvert étant jeunes.

- Et Dumbledore doit le savoir! Pourquoi ne fait-il rien?

- Je ne sais pas. Mais je ne tiens pas à savoir ses raisons, on doit faire équipe pour faire échouer le plan de voldemord.

- D'accord, on se revoit quand pour mettre notre plan à exécution?

- Dimanche prochain, même heure ici, dans ce cachot. Peter va faire son rapport à son maître de 1h 45 à 7h on aura tout le temps.

- Ok. Bon, ben à toute."

Et les deux garçons sortir de la salle l'un après l'autre. Harry se dirigeait vers la salle commune de griffondore lorsqu'il aperçut Ginny, ravissante dans sa robe verte de tous les jours. Il fonça vers sans trop savoir pourquoi. Elle le dévisagea. Harry s'adressa à ses amis en ses thermes qui le surprirent lui même:

"Escusez moi les filles, je vais vous emprumpter Ginny, quelques heures si elle accepte de faire un petit tour dans le parc avec moi?

- Bien... Bien sûr!", bafouilla la consernée.

Harry lui saisit la main et l'entraina au dehors, là, il lui glissa sa main autour de ses épaule. Ginny frissonna , le jeune homme, croyant quelle avait froid,la serra un peu plus contre lui. Il se baladèrent en silence pandant un long moment, puis Harry se décida enfin: il s'arrêta, entraina d'une main la tête de Ginny vers la sienne et retint la jeune fille par les hanches de l'autre. Les lèvres des deux tourteraux se rapprochaient et s'effleurèrent, quand Ginny repoussa brusquement Harry en criant:

" Non! Je ne peux pas te faire ça, je t'aime trop!... "

Harry ne comprenait plus rien: Pourquoi, si elle l'aimait tant que cela, refusait'elle de de se laiser embrasser.

"Mais pourquoi Ginny?

- Je... J'ai fait quelque chose, même plusieurs choses d'horrible. Mais si je te le dis , le sortilège n'agira plus et le rêve sera fini.

- De quel sortilège tu parles?

- Et bien, voilà, Harry, je vous ai entendu parler l'autre jour toi et Draco et une fois que tu fut parti, je lui ai en quelque sorte fait du chantage et je lui ai demander de t'evouter pour que tu rêve de moi et que tu tombe amoureux. Voilà, je t'ai tout dit, je suis... désolée ... Harry, renifla t'elle en prenant sa tête dans ses mains. Pui, elle senti qu'on la prenait dans dans les bras. Elle leva la tête et regarda Harry surprise:

" Alors, tu ne m'en veux pas?

- Non Ginny. Je suis juste un peu surpris que tu me portes tellement d'intérêt que tu veuille m'envouter pour sortir avec moi.

- Tu dois me trouver à nouveau laide, puisque le charme est rompu.

- Non, Ginny, je crois même que le sort m'a permit de te voir autrement que comme une amie...

- Alors, tu veux dire que..."

Harry ne la laissa pas finir sa phrase et lui décocha un long baiser.