**** Pour les reviews, voir à la fin. (****
1 Chapitre 3 : Le Terrier
"Alors, ils viennent te prendre quand ?"
Après le déjeuner (épinards et fromage blanc), Harry était passé dans le salon, en attendant l'arrivée des Weasley, où son oncle relisait son journal.
"- Dans une demi-heure, et comme la dernière fois ! répondit Harry.
- Quuuooooiiii ?" rugit l'Oncle Vernon, en jetant un oeil à sa montre.
Il sursauta, sortit précipitamment de la pièce, en souvenir de ce qui s'était passé l'année précédente, et s'enferma dans la cuisine avec Dudley et la Tante Pétunia. Il revint deux minutes plus tard.
"Et qu'ils ne s'attardent pas !" hurla-t-il à Harry, avant de s'enfermer à nouveau dans la cuisine.
Un peu plus tard, Harry, monta dans sa chambre, pour descendre ses affaires dans le salon.
"- Ah, enfin ! On commençait à se demander si tu ne t'étais pas perdu en route ! lança une voix familière, quand Harry revint dans le salon, traînant sa valise.
- Ron ? Vous êtes déjà là ?" s'exclama Harry, avec étonnement, en s'adressant à un des trois garçons roux, debout devant la cheminée, accompagnés de leur père.
Ron, adossé contre le mur, le visage criblé de taches de rousseurs, Fred et Georges, les jumeaux de la famille, eux aussi scolarisés à Poudlard et qui y commencerait, cette année, leur septième et dernière année, à Gryffondor et batteurs de l'équipe de Quidditch. Leur père travaillait au ministère de la Magie, au bureau de détournement de l'artisanat Moldus et était passionné par tout ce qui touchait aux Moldus. Exceptionnellement, il ne s'intéressait pas à tout ce qui se trouvait dans le salon.
"- Ben, à priori, oui ! répliqua Fred.
- Eh ! Où est ton cousin, Harry ? demanda Georges, les yeux pétillants.
- Dans la cuisine, avec ses parents !
- Ah ! Dommage ! Et où est Hedwige ?" demanda Fred, apercevant la cage vide de la chouette.
Harry adressa un regard entendu à Ron. Pour tous, excepté Harry et ses amis et le directeur de Poudlard, Sirius, le parrain d'Harry, était considéré comme un dangereux meurtrier, en fuite. En public, Harry et ses amis le surnommaient Sniffle.
"- Te voilà bien curieux tout d'un coup ! se moqua Harry. Elle est de corvée courrier !
- Bon, faudrait peut-être penser à y aller ! intervint Mr Weasley. Les Moldus vont finir par venir dans le salon !
- Mouais ! Mais, papa, si j'étais toi, j'm'inquièterai pas trop pour ça ! Ils risquent pas de vouloir nous revoir, après le coup des Pralines- Longue-Langue ! rigola Fred, jetant un regard de connivence à son jumeau.
- Et tu es fier de ça, en plus ! s'énerva son père. Ce n'est pas comme ça que ces Moldus feront confiance à des sorciers, si on n'arrête pas de leurs faire des farces ! Bon, on y va, ou votre mère va finir par venir voir ce qu'on fabrique ! ajouta-t-il, sans doute peu désireux de risquer de se retrouver face à face avec les Dursley, sûrement à cause de l'incident des Pralines-Longue-Langue et du salon dévasté. Incendio !" lança-t-il, pointant sa baguette magique vers la cheminée où un feu ardent s'alluma aussitôt.
"- Fred, tu passe en premier ! ordonna Mr Weasley à un des jumeaux, après avoir jeté, dans le feu, de la poudre de cheminette.
- D'accord ! accepta Fred en se dirigeant vers le foyer aux flammes verte émeraude. Le Terrier ! annonça-t-il avant de pénétrer dans les flammes.
- Georges, vas-y avec les affaires de Harry !
- Pas de problème, p'pa ! assura Georges, prenant aussitôt la valise de Harry et la cage vide. Le Terrier ! ajouta-t-il à son tour en s'enfonçant dans le foyer.
- Harry, Ron, allez-y tous les deux, ensemble ! continua Mr Weasley en se tournant vers eux.
- OK ! Viens Harry ! lança-t-il en se dirigeant vers la cheminée, suivit par Harry, qui ôta, par précaution, ses lunettes et les rangea dans sa poche. Le Terrier !" s'exclamèrent-ils avant de disparaître dans les flammes.
Après une brève balade en spirale, les deux amis ralentirent et finirent leur course devant l'âtre de la cheminée, dans la cuisine des Weasley où, Mrs Weasley, une femme, un peu dodue et bienveillante s'affairait près de l'évier.
"- Bonjour, Harry ! le salua-t-elle en l'apercevant. Tu as passé de bonnes vacances ?
- Aussi bien qu'elles peuvent l'être, chez les Dursley ! répondit Harry, remettant ses lunettes. Merci pour les petits pâtés et les Fondants, ils étaient délicieux !
- Mais, c'était tout naturel ! On n'allait pas te laisser mourir de faim chez ces Moldus ! Fred et Georges ont déjà monté tes affaires !
- Harry, on va faire un tour dans le jardin ? proposa alors Ron.
- Si tu veux !" accepta Harry, suivant Ron, qui sortit par la porte de derrière.
Arrivés dans la coure, ils aperçurent un chat orangé (appartenant à Hermione), aux pattes arquées et au faciès aplati, somnolant sur le banc en pierre près de l'entrée.
"- Salut Pattenrond ! lança Harry au chat qui ouvrit, paresseusement les yeux, avant de les refermer presque immédiatement. Hermione est déjà rentrée de Bulgarie ? demanda-t-il à Ron.
- Non ! Mais, elle a demandé à ma mère si on pouvait garder Pattenrond ici, pendant les vacances ! lança Ron. J'espère qu'elle profite bien de son Viktor ! ajouta-t-il, sarcastiquement.
- Arrête, jaloux ! le taquina Harry. En plus, c'est grâce à l'amitié entre Hermione et Krum, que tu as pu avoir son autographe !
- D'accord ! Mais admet qu'elle a beaucoup de chance ! Je ne connais personne qui a déjà eu l'occasion d'entrer dans la maison du plus grand attrapeur du monde !"
Viktor Krum, l'attrapeur de l'équipe Bulgare de Quidditch, était, lors du tournoi des trois sorciers, venu à Poudlard, et avait un faible pour Hermione, qui avait accepté d'être sa cavalière, lors du bal de Noël. Il l'avait, par la suite, invitée à venir passer chez vacances chez lui, ce qu'elle avait accepté, au plus grand dépit de Ron.
Éléa : merci pour ton review, voici la suite, j`espère que tu l`appréciera !
Merci aux autres qui lissent aussi mais qui ne laissent pas de reviews.
1 Chapitre 3 : Le Terrier
"Alors, ils viennent te prendre quand ?"
Après le déjeuner (épinards et fromage blanc), Harry était passé dans le salon, en attendant l'arrivée des Weasley, où son oncle relisait son journal.
"- Dans une demi-heure, et comme la dernière fois ! répondit Harry.
- Quuuooooiiii ?" rugit l'Oncle Vernon, en jetant un oeil à sa montre.
Il sursauta, sortit précipitamment de la pièce, en souvenir de ce qui s'était passé l'année précédente, et s'enferma dans la cuisine avec Dudley et la Tante Pétunia. Il revint deux minutes plus tard.
"Et qu'ils ne s'attardent pas !" hurla-t-il à Harry, avant de s'enfermer à nouveau dans la cuisine.
Un peu plus tard, Harry, monta dans sa chambre, pour descendre ses affaires dans le salon.
"- Ah, enfin ! On commençait à se demander si tu ne t'étais pas perdu en route ! lança une voix familière, quand Harry revint dans le salon, traînant sa valise.
- Ron ? Vous êtes déjà là ?" s'exclama Harry, avec étonnement, en s'adressant à un des trois garçons roux, debout devant la cheminée, accompagnés de leur père.
Ron, adossé contre le mur, le visage criblé de taches de rousseurs, Fred et Georges, les jumeaux de la famille, eux aussi scolarisés à Poudlard et qui y commencerait, cette année, leur septième et dernière année, à Gryffondor et batteurs de l'équipe de Quidditch. Leur père travaillait au ministère de la Magie, au bureau de détournement de l'artisanat Moldus et était passionné par tout ce qui touchait aux Moldus. Exceptionnellement, il ne s'intéressait pas à tout ce qui se trouvait dans le salon.
"- Ben, à priori, oui ! répliqua Fred.
- Eh ! Où est ton cousin, Harry ? demanda Georges, les yeux pétillants.
- Dans la cuisine, avec ses parents !
- Ah ! Dommage ! Et où est Hedwige ?" demanda Fred, apercevant la cage vide de la chouette.
Harry adressa un regard entendu à Ron. Pour tous, excepté Harry et ses amis et le directeur de Poudlard, Sirius, le parrain d'Harry, était considéré comme un dangereux meurtrier, en fuite. En public, Harry et ses amis le surnommaient Sniffle.
"- Te voilà bien curieux tout d'un coup ! se moqua Harry. Elle est de corvée courrier !
- Bon, faudrait peut-être penser à y aller ! intervint Mr Weasley. Les Moldus vont finir par venir dans le salon !
- Mouais ! Mais, papa, si j'étais toi, j'm'inquièterai pas trop pour ça ! Ils risquent pas de vouloir nous revoir, après le coup des Pralines- Longue-Langue ! rigola Fred, jetant un regard de connivence à son jumeau.
- Et tu es fier de ça, en plus ! s'énerva son père. Ce n'est pas comme ça que ces Moldus feront confiance à des sorciers, si on n'arrête pas de leurs faire des farces ! Bon, on y va, ou votre mère va finir par venir voir ce qu'on fabrique ! ajouta-t-il, sans doute peu désireux de risquer de se retrouver face à face avec les Dursley, sûrement à cause de l'incident des Pralines-Longue-Langue et du salon dévasté. Incendio !" lança-t-il, pointant sa baguette magique vers la cheminée où un feu ardent s'alluma aussitôt.
"- Fred, tu passe en premier ! ordonna Mr Weasley à un des jumeaux, après avoir jeté, dans le feu, de la poudre de cheminette.
- D'accord ! accepta Fred en se dirigeant vers le foyer aux flammes verte émeraude. Le Terrier ! annonça-t-il avant de pénétrer dans les flammes.
- Georges, vas-y avec les affaires de Harry !
- Pas de problème, p'pa ! assura Georges, prenant aussitôt la valise de Harry et la cage vide. Le Terrier ! ajouta-t-il à son tour en s'enfonçant dans le foyer.
- Harry, Ron, allez-y tous les deux, ensemble ! continua Mr Weasley en se tournant vers eux.
- OK ! Viens Harry ! lança-t-il en se dirigeant vers la cheminée, suivit par Harry, qui ôta, par précaution, ses lunettes et les rangea dans sa poche. Le Terrier !" s'exclamèrent-ils avant de disparaître dans les flammes.
Après une brève balade en spirale, les deux amis ralentirent et finirent leur course devant l'âtre de la cheminée, dans la cuisine des Weasley où, Mrs Weasley, une femme, un peu dodue et bienveillante s'affairait près de l'évier.
"- Bonjour, Harry ! le salua-t-elle en l'apercevant. Tu as passé de bonnes vacances ?
- Aussi bien qu'elles peuvent l'être, chez les Dursley ! répondit Harry, remettant ses lunettes. Merci pour les petits pâtés et les Fondants, ils étaient délicieux !
- Mais, c'était tout naturel ! On n'allait pas te laisser mourir de faim chez ces Moldus ! Fred et Georges ont déjà monté tes affaires !
- Harry, on va faire un tour dans le jardin ? proposa alors Ron.
- Si tu veux !" accepta Harry, suivant Ron, qui sortit par la porte de derrière.
Arrivés dans la coure, ils aperçurent un chat orangé (appartenant à Hermione), aux pattes arquées et au faciès aplati, somnolant sur le banc en pierre près de l'entrée.
"- Salut Pattenrond ! lança Harry au chat qui ouvrit, paresseusement les yeux, avant de les refermer presque immédiatement. Hermione est déjà rentrée de Bulgarie ? demanda-t-il à Ron.
- Non ! Mais, elle a demandé à ma mère si on pouvait garder Pattenrond ici, pendant les vacances ! lança Ron. J'espère qu'elle profite bien de son Viktor ! ajouta-t-il, sarcastiquement.
- Arrête, jaloux ! le taquina Harry. En plus, c'est grâce à l'amitié entre Hermione et Krum, que tu as pu avoir son autographe !
- D'accord ! Mais admet qu'elle a beaucoup de chance ! Je ne connais personne qui a déjà eu l'occasion d'entrer dans la maison du plus grand attrapeur du monde !"
Viktor Krum, l'attrapeur de l'équipe Bulgare de Quidditch, était, lors du tournoi des trois sorciers, venu à Poudlard, et avait un faible pour Hermione, qui avait accepté d'être sa cavalière, lors du bal de Noël. Il l'avait, par la suite, invitée à venir passer chez vacances chez lui, ce qu'elle avait accepté, au plus grand dépit de Ron.
Éléa : merci pour ton review, voici la suite, j`espère que tu l`appréciera !
Merci aux autres qui lissent aussi mais qui ne laissent pas de reviews.
