Les deux hommes sortent du bureau, discutant vivement avec le Capitaine.
Inspecteur Travis : On nous a signalé un autre meurtre. On a été récupérer le cadavre ; à côté de celui-ci se trouvait cette arme. Il montre un sac en plastique renfermant un revolver. Capitaine : Et alors ? Inspecteur Travis : Vous ne la reconnaissez pas ? C'est un neuf millimètre. Le même calibre qu'utilisent vos hommes. C'est l'arme de Boscorelli. Capitaine : Il existe une multitude d'armes similaires sur le marché Inspecteur Travis : Les empruntes seront les seuls juges. Inspecteur Josch : Ce n'est qu'une question de temps ; si ce sont ses empruntes, ce dont je ne doute pas, vous pourrez lui dire au revoir ; et lui, il pourra dire adieu à sa liberté. Josch finit sa phrase sur un sourire narquois puis les deux hommes s'éloignent et Swersky approche. Swersky : Alors ? Capitaine : C'est pas bon, pas bon du tout. En bas du hall, juste avant de sortir Josch interpelle le capitaine. Josch : Et convoquez-le demain matin à 9.00h ! Puis ils sortent. Swersky : Enflures ! Capitaine : Ils veulent contempler le désarroi de leur victime. Swersky : Bosco s'est fait voler son arme y'a deux jours, ça veut dire qu'il ne peut pas avoir commit ce meurtre. Capitaine : S'il n'a pas d'alibi, il ne pourra rien prouver ; et nous non plus. Swersky : Tout le monde sait que ce n'est pas lui. Il ne peut pas faire une chose pareille. Il a le soutien de tout le commissariat. Capitaine : .En plus du mien. Mais face à des ordures comme ça ; ça ne lui servira pas à grand-chose.
**** Ambulance 55 Adam**** Carlos : Et alors là mon pote, je te jure ; elle en avait une de ses paires !!! Doc rigole. Doc : T'es sérieux ? Carlos : Oh oui ! Doc : Et t'as fait quoi après ? Carlos : Ben, je me suis tiré ! Non mais sérieusement j'allais pas rester avec une nymphomane qui essayait de m'étrangler avec ses chaussettes. Doc (rigolant toujours) : J'imagine la scène.
L'ambulance se gare et les deux secouristes en descendent ; prennent leur matériel et se dirigent vers un groupe de personnes.
Carlos : Laissez passer ! Doc : Poussez-vous s'il vous plaît, il n'y a rien à voir ici.
Une femme est adossée contre un mur, assise sur le sol. Doc et Carlos s'accroupissent à côté d'elle.
Doc : Bonjour madame ! Alors qu'est-ce qui se passe ? Helen : C'est tout bête, j'étais pressée ; j'ai oublié ma ventoline ce matin chez moi et j'ai fait une crise d'asthme. Mais ça va mieux maintenant Doc : Je n'en doute pas, mais je dois quand même vous emmener à l'hôpital. Helen : Ce n'est pas la peine. Doc : C'est le règlement. Helen : Je vais bien. Carlos : Tension 9.4 Doc : Bien, c'est un peu bas. Carlos : Vous avez des problèmes pour respirer ? Helen : Ca va mieux. Doc : Passe lui 3 milli d'épi. Ca vous aidera. Helen : Merci. Doc sort sa lampe. Doc : Madame. Helen : .Helen Doc : Bien Helen, vous allez suivre le faisceau. Helen : D'accord. Pendant ce temps, Carlos regarde la scène, amusé Helen : Est-ce qu'on vous a déjà dit que vous aviez de beaux yeux ? Doc se met à rigoler. Doc : Non mais c'est gentil.
*** Dans un immeuble sur la 48eme***
Un homme se tient debout devant Sully et Davis, un chien qui gigote dans une main et un rasoir dans l'autre. Une dame est allongée par terre, inconsciente.
Sully : Monsieur vous ne pouvez pas le tuer. Homme : Pourquoi ? Davis : On ne prend pas la décision de tuer un chien ! Pas comme ça ! Homme : Chaque nuit il aboie, il m'éclate les tympans. J'en peux plus. Sully : Monsieur veuillez lâchez ce chien ! Homme : Noooooooooonnnnnnn. Vous savez l'état dans lequel il me rend ? Davis : Et vous avez vu l'état dans lequel vous l'avez mise ? (En désignant la dame) Homme : Cette merde à poils me casse les oreilles. Sully : Monsieur je crois vraiment que vous devriez lâchez ce chien. Homme : Je vous ai dit NON Davis : Ce n'est que pour votre bien que nous vous disons ça. Homme : Ce sac à puce va passer par la fe.ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Le chien vient de mordre la main du bonhomme et ne le lâche plus. L'homme lâche son rasoir et commence à essayer de retirer le chien, qui tient bon, tandis que Sully et Ty rigolent. Homme : Ahhhhhhhhhh mais aidez-moi. C'est une taigne ce chien, il est comme sa maîtresse. Ahhhhhhhhhhhh Chien : Grrrrrrrrrrrrrrrrrr Sully/Ty : On vous avait prévenu ! Sully : 55 Charlie à Central ; on aurait besoin d'une ambulance à cette adresse Chien : Grrrrrrrrrrrrrrrrrr
*** Caserne des pompiers***
Jo : Alors et cette soirée? Jimmy : C'était cool. D.K : Attend ! Tu passes la soirée avec une poulette et tout ce que tu trouves à nous dire c'est : « c'était cool » ? Jimmy : D'abord ce n'est pas une poulette, c'est mon ex-femme. Et ensuite il ne s'est rien passé. Walsh : Vraiment ? Jimmy : J'vous jure. Jo : .On te connaît Jimmy. Jimmy :.non je vous jure il ne s'est rien passé ; on a absolument rien fait. D.K : Ben vas y raconte, aller ! Jimmy : Je suis passé la prendre chez elle vers 21h, on est allé au concert et ensuite on est parti manger un morceau, je l'ai raccompagné chez elle et c'est tout. Walsh : Comment ça c'est tout ? D.K : Pas de baiser langoureux, pas d'étreinte sauvage ? Jimmy : Non Jo avance sa main vers le front de Jimmy et la retire. Jimmy : Hé mais qu'est-ce que tu fais ? Jo : Il n'a pourtant pas de fièvre. Jimmy se lève et va prendre une boisson. Jimmy : Quoi ? Vous savez que ce n'est pas interdit de passer la soirée avec une fille sans pour autant vouloir autre chose. Juste en bons amis. Jo : Je te reconnais plus là Walsh : À mon avis ce sont des petits hommes verts qui l'ont enlevé et lui ont fait une lobotomie. Jimmy : J'suis sérieux les gars, arrêtez de vous comportez comme des idiots avec les femmes. D.K : Et c'est toi qui nous dit ça ! L'alerte se fait entendre Haut -Parleur : Un immeuble en feu au croisement de Baker et de la 8eme. Victimes probables. Les secours et les policiers sont en route. Jo : Et c'est reparti.
*** Hôpital de la Pitié***
Montville sort d'une salle et se dirige vers Doc et Carlos.
Montville : Votre patiente récupère bien. On va juste la garder en observation cette nuit histoire d'éviter une rechute. (À Doc) : elle a l'air de bien vous aimez, elle n'a de cesse de vous réclamer. Elle est salle 4. Doc : Oh. bien.merci Il s'éloigne de son équipier et du médecin Montville : J'ai apprit que tu avais des partiels qui arrivaient bientôt Carlos : Ouais et c'est la galère. Entre le boulot et les révisions.je te jure j'ai l'impression que je ne retiens rien. En plus je suis crevé. Montville (sortant un petit carton de sa poche) : Tiens. Carlos : Qu'est-ce que.. Montville :. Je suis passée par elle lorsque j'étais à ta place. Carlos : Lyna Hastron ? Montville : Elle donne des cours particuliers. Et tu verras, elle assure à tous les niveaux. Il lui donne une tape sur l'épaule et s'éloigne. Doc rentre dans la pièce où se trouve Helen.
Doc : Hé ! Ca va mieux ? Helen : Oui je vous remercie. Doc : Le médecin m'a dit que vous vouliez me voir ? Helen : Oui je voulais vous remercier. Doc : Je n'ai fait que mon travail. Helen : Vous le prenez à c?ur j'ai l'impression. Doc : On se sent utile. Vous savez, aider les gens c'est magique. On se dit que l'on doit les aider, on fait tout ce que l'on peut pour ça. Chaque personne est un défit, et on se sent heureux de pouvoir faire quelque chose pour elle. Helen : Je vous envie vous savez ? Je veux dire que votre travail doit être passionnant. Doc : C'est dur mais au bout du compte on se dit que l'on a fait tout ce que l'on a pu. Helen : Je suis sûr que vous allez me trouver un peu culottée, mais si je vous invitais à prendre un verre là, comme ça, tout de suite, vous diriez quoi ? En tout bien tout honneur bien sûr, juste pour vous remercier. Doc : Oh ! Bien je dirais qu'une telle offre ne peut pas se refuser. Mais je finis tard en général. Helen : Demain soir ? Ils veulent que je reste ici cette nuit. Doc : Je sais. Demain soir ?...Je. Je termine à 23.00h. Helen : Disons vers 23.30h Doc : Ben. Oui avec plaisir. Helen : Vous connaissez le Royalton, sur la 44ème ? Doc : Oui. Helen : 23.30h là bas ? Doc : Bien
*** Commissariat***
Faith rentre dans le vestiaire, où Ty et Sully sont entrain de se changer.
Faith : Ah ! Je vous jure que si je passe une minute de plus avec Gusler, je le trucide !!! Ty : Dure journée ? Faith : J'ai entendu que la votre n'avait pas été mal non plus. Sully : On a du passer trois heures à l'hôpital, tout ça à cause d'un mec qui voulait tuer le chien de sa voisine. Ty : Le problème c'est que le chien s'est rebellé ; il s'est accroché à la main du type et pas moyen de l'enlever. Faith : Ca devait être comique. Sully : Ouais ! Faith : Il devait être mastoc le chien. Ty : C'était un chiwawa Faith : Non ? Ty : Si Sully : Ty tu veux venir prendre une bière ? Ty : Je sors avec Alex ce soir, désolé. Faith : Oh ! Alors c'est du sérieux entre vous ? Ty : Oui, enfin je l'espère. On va au concert de Bruce Springsteen. Faith : C'est génial. Ty : Ouais Sully : Faith ? Faith : Je dois passer voir Bosco. Il ne répond pas à mes messages, ça commence à m'inquiéter. Le Sergent Christopher fait irruption à ce moment là. Christopher : Yokas ; dans mon bureau, j'ai à vous parler. Puis il s'en va. Ty : Qu'est-ce qui se passe ? Faith : J'en sais rien, peut-être que j'ai incendié sa voiture sans m'en rendre compte. Ty : Bon ben à demain. Faith : Oui, passe une bonne soirée. Ty : J'y compte bien. Il sort du vestiaire. Faith : Tu vas bien Sully ? Sully : Oui. Faith : T'es sûr ? Sully : Comment sait-on que l'on peut faire confiance à une personne ? Faith : Tu le sens. Ca vient de toi. Si tu aimes Tatiana tu dois lui faire confiance à nouveau. Sinon quitte là. Mais ne plus avoir confiance en la personne que tu aimes, c'est comme ne plus avoir confiance en toi-même. Ecoute ce que te dis ton c?ur. Sully : Ouais, tu as sûrement raison. Faith : Ca va aller ? Sully : Ouais ! Faith : Je vais aller voir Christopher sinon je sens qu'il va encore nous faire sa petite crise. Sully : Bonne idée. Bonne soirée Faith : Toi aussi Sully.
*** Bureau de Christopher***
Faith frappe à la porte.
Christopher : ENTREZ
Elle ferme la porte puis se tient debout devant le Sergent.
Faith : Qu'est-ce qui se passe ? Christopher : Assieds-toi Faith : Y'a un problème Jason ? Christopher : Un deuxième corps a été retrouvé ce matin, je viens d'avoir les résultats du rapport de la balistique ; la balle provient du revolver de Bosco. Faith : Merde. Christopher : Le type a été tué hier soir, si Bosco n'a pas de témoin en sa faveur, les mecs de l'enquête vont s'acharner sur lui et le faire tomber. Faith : J'étais avec Bosco hier soir ! Christopher : Vers quelle heure ? Faith : Je suis passée le voir vers 23.30h, après mon changement ; les officiers Sullivan et Davis étaient avec moi. Christopher : Et vous êtes repartis vers quelle heure ? Faith : Vers 00.30h je pense Christopher : Le type a été retrouvé à moins de 100 mètres de l'appartement de ton partenaire, une balle en pleine tête provenant de son revolver. Et le meurtre a eu lieu vers 23.00h Faith : Jason, tu sais très bien que Bosco ne peut pas et ne pourra jamais faire une telle chose. Christopher : Il va être interrogé demain. Faith : Il est au courant au moins ? Christopher : Le lieutenant est entrain de le faire. Faith : C'est dingue ! Merde ! Christopher : Etre un homme et être un flic sont deux choses très différentes. Mais lorsque que le flic merde, l'homme en prend un coup. J'ai beau ne pas porter Bosco dans mon c?ur, je sais qu'il ne mérite pas ça. C'est un bon flic malgré tout. Faith : C'est l'homme ou le flic qui parle ? Christopher : Les deux sans doute. Faith : Il n'a pas fait d'erreur Jason. Il ne pouvait pas savoir où se trouvait le type ; je sais que Bosco est impulsif et qu'il ne réfléchit jamais avant de se fourrer dans des situations rocambolesques, mais c'est l'un des flics les plus prudents que je connaisse. Il fait très attention. Christopher : Tu sais, et JE sais que ce n'était pas de sa faute ; mais pour ces gars là (en désignant du doigt deux types entrain de discuter à la machine à café, un grand sourire jusqu'aux oreilles) ça le sera. Faith : Ouais. Je ferais mieux d'aller voir comment va Bos, ça ne va pas s'arranger pour lui si je comprends bien. Elle se lève mais Jason l'interpelle. Christopher : Yokas ! Donne lui ça. Faith : Qu'est-ce que c'est. Christopher : Oh. trois fois rien. Faith : Bien. Elle sort du bureau mais Christopher s'avance jusqu'à l'embrasure et la rappelle une dernière fois. Christopher : Yokas ! Ne le répète pas aux autres. Faith : Promis. Christopher : Bonne nuit ! Faith : A toi aussi. (Puis tout bas) : Le voilà qui se met à devenir gentil, maintenant. C'est nouveau !
***Caserne des pompiers***
Les pompiers sortent.
Jo : On a eu le droit à une journée tranquille. Walsh : Ca change pour une fois. Kim : Parlez pour vous. Carlos : Doc s'est trouvé une copine Jimmy : Doc ? C'est vrai ? Carlos : Un peu que c'est vrai ; on a été appelé cet après-m' pour un cas d'hyperventilation. On a emmené la fille à l'hosto, et elle s'est accrochée à Doc comme pas possible. Ils ont rencard demain soir ! Alex : C'est bien pour Doc, ça va lui faire du bien. Walsh : C'est sûr surtout que depuis « l'affaire Moralès » il n'a pas dû tirer souvent ! Alex : L'affaire Moralès ? Kim : C'est pas vrai, ça. Tout se rapporte au sexe avec vous ? Walsh, Jo et Carlos se regardent puis répondent à l'unissons. Carlos/Walsh/Jo : Oui. Alex : Mon Dieu pardonne leur ! Jo : Oh aller les filles vous allez pas me dire que lorsque vous voyez un beau mal dans la rue. Walsh :. vous n'y pensez pas ! Kim : On ne fonctionne pas comme vous. Chez nous ça passe par les sentiments. Carlos : Oh donc à chaque fois que vous couchez avec un mec c'est réfléchit Alex : Oui Jo : Mais bien sûr ! Walsh : T'es avec Ty maintenant, mais tu vas pas me dire qu'avant, tout ce que tu faisais était réfléchit ? Carlos : Oui, est-ce que sortir avec Davis est seulement réfléchit. Alex : Je préfère ne rien dire et faire comme si je n'avais rien entendu Jo : T'es bien silencieux Jimmy. Walsh : D'habitude c'est un sujet dont tu es un fervent animateur. Jimmy : Pas ce soir. Carlos : Alors au fait pour le défilé on le fait ou pas ? Jimmy : C'est notre année. Kim : Vous en êtes encore avec ce stupide concours ? Alex : C'est la connerie des mecs ça ! Kim : Qui va y participer ? Walsh : Bien D.K est d'accord, Jo, Jimmy, Moi. Kim :. Jimmy ? Jimmy : Quoi ? Ca n'a jamais fait de mal à personne de plaire à des filles et d'empocher du fric. Alex : Comment t'as pu rester 5 ans avec ce gars ? Kim : Je me le demande tous les jours. Et c'est qui le cinquième pompier qui va le faire ? Jo : On n'a pas encore trouvé Carlos : J'suis là moi ! Walsh : Toi ? Carlos : Ouais ! Jimmy : Laisse moi rire ! Carlos : Quoi ? Pourquoi je ne participerais pas ? Jo : Carlos, c'est pour les mecs ! Un fou rire général éclate, laissant Carlos vexé. Carlos : Très bien ! Mais sans une cinquième personne vous ne pourrez pas le faire ! Jo : Ok, ok. On peut lui donner sa chance, qu'est-ce que t'en dis Jimmy ? Jimmy : Ouais, pourquoi pas, voyons le maître à l'?uvre. Alex : Dis-moi Jo, t'es pas marié ? Jo : Où est le rapport ? Alex : Linda est au courant de ça ? Jo : Oui, elle m'a même encouragé. Alex : C'est complètement ridicule. Je sais que si Ty y participait, je lui mettrais mon pied aux fesses. Walsh : Tu vas en avoir l'occasion. Alex : Pourquoi ? Jimmy : Bien on a aussi besoin des flics pour ce défilé, et ton chéri est d'accord. Alex : Tu rigoles là ? Un ? Jimmy : On voyant ta tête, oui. Alex : Je vais le tuer ! Kim : Et vous avez tous les flics ? Jo : Pour le moment on en a trois. Walsh : Et un quatrième en vue. Tu lui as redemandé au fait ? Jimmy : Je n'ai pas eu l'occasion de le voir depuis deux jours. Kim : Ca m'étonnerait qu'il accepte.
Yokas sort à ce moment là du commissariat.
Jo (à Jimmy) : Hé, regarde. Jimmy s'avance vers Faith. Jimmy : Hé, Yokas ! Faith : Qu'est-ce que tu veux Jimmy ? Jimmy : T'es pressée ? Faith : Oui. Alors ? Jimmy : Bosco est déjà sorti ? J'ai besoin de lui parler, on est resté sur un petit différent et. Faith : . Il n'est pas là Jimmy : Oh, bien je le verrais demain. Faith : Non, tu ne comprends pas, il n'est pas venu travaillé et ne reviendra pas avant un bon bout de temps. Maintenant excuse-moi Jimmy (la retenant par le bras) : Hé, qu'est-ce qui se passe ? Il a des ennuis ? Faith : Oui, et même de très gros. Il a été suspendu, Jimmy. Jimmy : Quoi ? Comment ça ? Je peux faire quelque chose ? Faith : Ce ne sont pas tes affaires, mais il a besoin de soutient. Alors si tu veux vraiment l'aider, laisse le tranquille il n'a pas besoin de tes railleries. (Puis voyant que els autres écoutent la conversation) : C'est valable pour vous aussi. (À Jimmy) : Maintenant excuse moi mais je dois aller aider mon meilleur ami.
Elle part, laissant tout le monde sans voix. Un « Merde » général s'élève. Les regards de consternations s'échangent.
Inspecteur Travis : On nous a signalé un autre meurtre. On a été récupérer le cadavre ; à côté de celui-ci se trouvait cette arme. Il montre un sac en plastique renfermant un revolver. Capitaine : Et alors ? Inspecteur Travis : Vous ne la reconnaissez pas ? C'est un neuf millimètre. Le même calibre qu'utilisent vos hommes. C'est l'arme de Boscorelli. Capitaine : Il existe une multitude d'armes similaires sur le marché Inspecteur Travis : Les empruntes seront les seuls juges. Inspecteur Josch : Ce n'est qu'une question de temps ; si ce sont ses empruntes, ce dont je ne doute pas, vous pourrez lui dire au revoir ; et lui, il pourra dire adieu à sa liberté. Josch finit sa phrase sur un sourire narquois puis les deux hommes s'éloignent et Swersky approche. Swersky : Alors ? Capitaine : C'est pas bon, pas bon du tout. En bas du hall, juste avant de sortir Josch interpelle le capitaine. Josch : Et convoquez-le demain matin à 9.00h ! Puis ils sortent. Swersky : Enflures ! Capitaine : Ils veulent contempler le désarroi de leur victime. Swersky : Bosco s'est fait voler son arme y'a deux jours, ça veut dire qu'il ne peut pas avoir commit ce meurtre. Capitaine : S'il n'a pas d'alibi, il ne pourra rien prouver ; et nous non plus. Swersky : Tout le monde sait que ce n'est pas lui. Il ne peut pas faire une chose pareille. Il a le soutien de tout le commissariat. Capitaine : .En plus du mien. Mais face à des ordures comme ça ; ça ne lui servira pas à grand-chose.
**** Ambulance 55 Adam**** Carlos : Et alors là mon pote, je te jure ; elle en avait une de ses paires !!! Doc rigole. Doc : T'es sérieux ? Carlos : Oh oui ! Doc : Et t'as fait quoi après ? Carlos : Ben, je me suis tiré ! Non mais sérieusement j'allais pas rester avec une nymphomane qui essayait de m'étrangler avec ses chaussettes. Doc (rigolant toujours) : J'imagine la scène.
L'ambulance se gare et les deux secouristes en descendent ; prennent leur matériel et se dirigent vers un groupe de personnes.
Carlos : Laissez passer ! Doc : Poussez-vous s'il vous plaît, il n'y a rien à voir ici.
Une femme est adossée contre un mur, assise sur le sol. Doc et Carlos s'accroupissent à côté d'elle.
Doc : Bonjour madame ! Alors qu'est-ce qui se passe ? Helen : C'est tout bête, j'étais pressée ; j'ai oublié ma ventoline ce matin chez moi et j'ai fait une crise d'asthme. Mais ça va mieux maintenant Doc : Je n'en doute pas, mais je dois quand même vous emmener à l'hôpital. Helen : Ce n'est pas la peine. Doc : C'est le règlement. Helen : Je vais bien. Carlos : Tension 9.4 Doc : Bien, c'est un peu bas. Carlos : Vous avez des problèmes pour respirer ? Helen : Ca va mieux. Doc : Passe lui 3 milli d'épi. Ca vous aidera. Helen : Merci. Doc sort sa lampe. Doc : Madame. Helen : .Helen Doc : Bien Helen, vous allez suivre le faisceau. Helen : D'accord. Pendant ce temps, Carlos regarde la scène, amusé Helen : Est-ce qu'on vous a déjà dit que vous aviez de beaux yeux ? Doc se met à rigoler. Doc : Non mais c'est gentil.
*** Dans un immeuble sur la 48eme***
Un homme se tient debout devant Sully et Davis, un chien qui gigote dans une main et un rasoir dans l'autre. Une dame est allongée par terre, inconsciente.
Sully : Monsieur vous ne pouvez pas le tuer. Homme : Pourquoi ? Davis : On ne prend pas la décision de tuer un chien ! Pas comme ça ! Homme : Chaque nuit il aboie, il m'éclate les tympans. J'en peux plus. Sully : Monsieur veuillez lâchez ce chien ! Homme : Noooooooooonnnnnnn. Vous savez l'état dans lequel il me rend ? Davis : Et vous avez vu l'état dans lequel vous l'avez mise ? (En désignant la dame) Homme : Cette merde à poils me casse les oreilles. Sully : Monsieur je crois vraiment que vous devriez lâchez ce chien. Homme : Je vous ai dit NON Davis : Ce n'est que pour votre bien que nous vous disons ça. Homme : Ce sac à puce va passer par la fe.ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Le chien vient de mordre la main du bonhomme et ne le lâche plus. L'homme lâche son rasoir et commence à essayer de retirer le chien, qui tient bon, tandis que Sully et Ty rigolent. Homme : Ahhhhhhhhhh mais aidez-moi. C'est une taigne ce chien, il est comme sa maîtresse. Ahhhhhhhhhhhh Chien : Grrrrrrrrrrrrrrrrrr Sully/Ty : On vous avait prévenu ! Sully : 55 Charlie à Central ; on aurait besoin d'une ambulance à cette adresse Chien : Grrrrrrrrrrrrrrrrrr
*** Caserne des pompiers***
Jo : Alors et cette soirée? Jimmy : C'était cool. D.K : Attend ! Tu passes la soirée avec une poulette et tout ce que tu trouves à nous dire c'est : « c'était cool » ? Jimmy : D'abord ce n'est pas une poulette, c'est mon ex-femme. Et ensuite il ne s'est rien passé. Walsh : Vraiment ? Jimmy : J'vous jure. Jo : .On te connaît Jimmy. Jimmy :.non je vous jure il ne s'est rien passé ; on a absolument rien fait. D.K : Ben vas y raconte, aller ! Jimmy : Je suis passé la prendre chez elle vers 21h, on est allé au concert et ensuite on est parti manger un morceau, je l'ai raccompagné chez elle et c'est tout. Walsh : Comment ça c'est tout ? D.K : Pas de baiser langoureux, pas d'étreinte sauvage ? Jimmy : Non Jo avance sa main vers le front de Jimmy et la retire. Jimmy : Hé mais qu'est-ce que tu fais ? Jo : Il n'a pourtant pas de fièvre. Jimmy se lève et va prendre une boisson. Jimmy : Quoi ? Vous savez que ce n'est pas interdit de passer la soirée avec une fille sans pour autant vouloir autre chose. Juste en bons amis. Jo : Je te reconnais plus là Walsh : À mon avis ce sont des petits hommes verts qui l'ont enlevé et lui ont fait une lobotomie. Jimmy : J'suis sérieux les gars, arrêtez de vous comportez comme des idiots avec les femmes. D.K : Et c'est toi qui nous dit ça ! L'alerte se fait entendre Haut -Parleur : Un immeuble en feu au croisement de Baker et de la 8eme. Victimes probables. Les secours et les policiers sont en route. Jo : Et c'est reparti.
*** Hôpital de la Pitié***
Montville sort d'une salle et se dirige vers Doc et Carlos.
Montville : Votre patiente récupère bien. On va juste la garder en observation cette nuit histoire d'éviter une rechute. (À Doc) : elle a l'air de bien vous aimez, elle n'a de cesse de vous réclamer. Elle est salle 4. Doc : Oh. bien.merci Il s'éloigne de son équipier et du médecin Montville : J'ai apprit que tu avais des partiels qui arrivaient bientôt Carlos : Ouais et c'est la galère. Entre le boulot et les révisions.je te jure j'ai l'impression que je ne retiens rien. En plus je suis crevé. Montville (sortant un petit carton de sa poche) : Tiens. Carlos : Qu'est-ce que.. Montville :. Je suis passée par elle lorsque j'étais à ta place. Carlos : Lyna Hastron ? Montville : Elle donne des cours particuliers. Et tu verras, elle assure à tous les niveaux. Il lui donne une tape sur l'épaule et s'éloigne. Doc rentre dans la pièce où se trouve Helen.
Doc : Hé ! Ca va mieux ? Helen : Oui je vous remercie. Doc : Le médecin m'a dit que vous vouliez me voir ? Helen : Oui je voulais vous remercier. Doc : Je n'ai fait que mon travail. Helen : Vous le prenez à c?ur j'ai l'impression. Doc : On se sent utile. Vous savez, aider les gens c'est magique. On se dit que l'on doit les aider, on fait tout ce que l'on peut pour ça. Chaque personne est un défit, et on se sent heureux de pouvoir faire quelque chose pour elle. Helen : Je vous envie vous savez ? Je veux dire que votre travail doit être passionnant. Doc : C'est dur mais au bout du compte on se dit que l'on a fait tout ce que l'on a pu. Helen : Je suis sûr que vous allez me trouver un peu culottée, mais si je vous invitais à prendre un verre là, comme ça, tout de suite, vous diriez quoi ? En tout bien tout honneur bien sûr, juste pour vous remercier. Doc : Oh ! Bien je dirais qu'une telle offre ne peut pas se refuser. Mais je finis tard en général. Helen : Demain soir ? Ils veulent que je reste ici cette nuit. Doc : Je sais. Demain soir ?...Je. Je termine à 23.00h. Helen : Disons vers 23.30h Doc : Ben. Oui avec plaisir. Helen : Vous connaissez le Royalton, sur la 44ème ? Doc : Oui. Helen : 23.30h là bas ? Doc : Bien
*** Commissariat***
Faith rentre dans le vestiaire, où Ty et Sully sont entrain de se changer.
Faith : Ah ! Je vous jure que si je passe une minute de plus avec Gusler, je le trucide !!! Ty : Dure journée ? Faith : J'ai entendu que la votre n'avait pas été mal non plus. Sully : On a du passer trois heures à l'hôpital, tout ça à cause d'un mec qui voulait tuer le chien de sa voisine. Ty : Le problème c'est que le chien s'est rebellé ; il s'est accroché à la main du type et pas moyen de l'enlever. Faith : Ca devait être comique. Sully : Ouais ! Faith : Il devait être mastoc le chien. Ty : C'était un chiwawa Faith : Non ? Ty : Si Sully : Ty tu veux venir prendre une bière ? Ty : Je sors avec Alex ce soir, désolé. Faith : Oh ! Alors c'est du sérieux entre vous ? Ty : Oui, enfin je l'espère. On va au concert de Bruce Springsteen. Faith : C'est génial. Ty : Ouais Sully : Faith ? Faith : Je dois passer voir Bosco. Il ne répond pas à mes messages, ça commence à m'inquiéter. Le Sergent Christopher fait irruption à ce moment là. Christopher : Yokas ; dans mon bureau, j'ai à vous parler. Puis il s'en va. Ty : Qu'est-ce qui se passe ? Faith : J'en sais rien, peut-être que j'ai incendié sa voiture sans m'en rendre compte. Ty : Bon ben à demain. Faith : Oui, passe une bonne soirée. Ty : J'y compte bien. Il sort du vestiaire. Faith : Tu vas bien Sully ? Sully : Oui. Faith : T'es sûr ? Sully : Comment sait-on que l'on peut faire confiance à une personne ? Faith : Tu le sens. Ca vient de toi. Si tu aimes Tatiana tu dois lui faire confiance à nouveau. Sinon quitte là. Mais ne plus avoir confiance en la personne que tu aimes, c'est comme ne plus avoir confiance en toi-même. Ecoute ce que te dis ton c?ur. Sully : Ouais, tu as sûrement raison. Faith : Ca va aller ? Sully : Ouais ! Faith : Je vais aller voir Christopher sinon je sens qu'il va encore nous faire sa petite crise. Sully : Bonne idée. Bonne soirée Faith : Toi aussi Sully.
*** Bureau de Christopher***
Faith frappe à la porte.
Christopher : ENTREZ
Elle ferme la porte puis se tient debout devant le Sergent.
Faith : Qu'est-ce qui se passe ? Christopher : Assieds-toi Faith : Y'a un problème Jason ? Christopher : Un deuxième corps a été retrouvé ce matin, je viens d'avoir les résultats du rapport de la balistique ; la balle provient du revolver de Bosco. Faith : Merde. Christopher : Le type a été tué hier soir, si Bosco n'a pas de témoin en sa faveur, les mecs de l'enquête vont s'acharner sur lui et le faire tomber. Faith : J'étais avec Bosco hier soir ! Christopher : Vers quelle heure ? Faith : Je suis passée le voir vers 23.30h, après mon changement ; les officiers Sullivan et Davis étaient avec moi. Christopher : Et vous êtes repartis vers quelle heure ? Faith : Vers 00.30h je pense Christopher : Le type a été retrouvé à moins de 100 mètres de l'appartement de ton partenaire, une balle en pleine tête provenant de son revolver. Et le meurtre a eu lieu vers 23.00h Faith : Jason, tu sais très bien que Bosco ne peut pas et ne pourra jamais faire une telle chose. Christopher : Il va être interrogé demain. Faith : Il est au courant au moins ? Christopher : Le lieutenant est entrain de le faire. Faith : C'est dingue ! Merde ! Christopher : Etre un homme et être un flic sont deux choses très différentes. Mais lorsque que le flic merde, l'homme en prend un coup. J'ai beau ne pas porter Bosco dans mon c?ur, je sais qu'il ne mérite pas ça. C'est un bon flic malgré tout. Faith : C'est l'homme ou le flic qui parle ? Christopher : Les deux sans doute. Faith : Il n'a pas fait d'erreur Jason. Il ne pouvait pas savoir où se trouvait le type ; je sais que Bosco est impulsif et qu'il ne réfléchit jamais avant de se fourrer dans des situations rocambolesques, mais c'est l'un des flics les plus prudents que je connaisse. Il fait très attention. Christopher : Tu sais, et JE sais que ce n'était pas de sa faute ; mais pour ces gars là (en désignant du doigt deux types entrain de discuter à la machine à café, un grand sourire jusqu'aux oreilles) ça le sera. Faith : Ouais. Je ferais mieux d'aller voir comment va Bos, ça ne va pas s'arranger pour lui si je comprends bien. Elle se lève mais Jason l'interpelle. Christopher : Yokas ! Donne lui ça. Faith : Qu'est-ce que c'est. Christopher : Oh. trois fois rien. Faith : Bien. Elle sort du bureau mais Christopher s'avance jusqu'à l'embrasure et la rappelle une dernière fois. Christopher : Yokas ! Ne le répète pas aux autres. Faith : Promis. Christopher : Bonne nuit ! Faith : A toi aussi. (Puis tout bas) : Le voilà qui se met à devenir gentil, maintenant. C'est nouveau !
***Caserne des pompiers***
Les pompiers sortent.
Jo : On a eu le droit à une journée tranquille. Walsh : Ca change pour une fois. Kim : Parlez pour vous. Carlos : Doc s'est trouvé une copine Jimmy : Doc ? C'est vrai ? Carlos : Un peu que c'est vrai ; on a été appelé cet après-m' pour un cas d'hyperventilation. On a emmené la fille à l'hosto, et elle s'est accrochée à Doc comme pas possible. Ils ont rencard demain soir ! Alex : C'est bien pour Doc, ça va lui faire du bien. Walsh : C'est sûr surtout que depuis « l'affaire Moralès » il n'a pas dû tirer souvent ! Alex : L'affaire Moralès ? Kim : C'est pas vrai, ça. Tout se rapporte au sexe avec vous ? Walsh, Jo et Carlos se regardent puis répondent à l'unissons. Carlos/Walsh/Jo : Oui. Alex : Mon Dieu pardonne leur ! Jo : Oh aller les filles vous allez pas me dire que lorsque vous voyez un beau mal dans la rue. Walsh :. vous n'y pensez pas ! Kim : On ne fonctionne pas comme vous. Chez nous ça passe par les sentiments. Carlos : Oh donc à chaque fois que vous couchez avec un mec c'est réfléchit Alex : Oui Jo : Mais bien sûr ! Walsh : T'es avec Ty maintenant, mais tu vas pas me dire qu'avant, tout ce que tu faisais était réfléchit ? Carlos : Oui, est-ce que sortir avec Davis est seulement réfléchit. Alex : Je préfère ne rien dire et faire comme si je n'avais rien entendu Jo : T'es bien silencieux Jimmy. Walsh : D'habitude c'est un sujet dont tu es un fervent animateur. Jimmy : Pas ce soir. Carlos : Alors au fait pour le défilé on le fait ou pas ? Jimmy : C'est notre année. Kim : Vous en êtes encore avec ce stupide concours ? Alex : C'est la connerie des mecs ça ! Kim : Qui va y participer ? Walsh : Bien D.K est d'accord, Jo, Jimmy, Moi. Kim :. Jimmy ? Jimmy : Quoi ? Ca n'a jamais fait de mal à personne de plaire à des filles et d'empocher du fric. Alex : Comment t'as pu rester 5 ans avec ce gars ? Kim : Je me le demande tous les jours. Et c'est qui le cinquième pompier qui va le faire ? Jo : On n'a pas encore trouvé Carlos : J'suis là moi ! Walsh : Toi ? Carlos : Ouais ! Jimmy : Laisse moi rire ! Carlos : Quoi ? Pourquoi je ne participerais pas ? Jo : Carlos, c'est pour les mecs ! Un fou rire général éclate, laissant Carlos vexé. Carlos : Très bien ! Mais sans une cinquième personne vous ne pourrez pas le faire ! Jo : Ok, ok. On peut lui donner sa chance, qu'est-ce que t'en dis Jimmy ? Jimmy : Ouais, pourquoi pas, voyons le maître à l'?uvre. Alex : Dis-moi Jo, t'es pas marié ? Jo : Où est le rapport ? Alex : Linda est au courant de ça ? Jo : Oui, elle m'a même encouragé. Alex : C'est complètement ridicule. Je sais que si Ty y participait, je lui mettrais mon pied aux fesses. Walsh : Tu vas en avoir l'occasion. Alex : Pourquoi ? Jimmy : Bien on a aussi besoin des flics pour ce défilé, et ton chéri est d'accord. Alex : Tu rigoles là ? Un ? Jimmy : On voyant ta tête, oui. Alex : Je vais le tuer ! Kim : Et vous avez tous les flics ? Jo : Pour le moment on en a trois. Walsh : Et un quatrième en vue. Tu lui as redemandé au fait ? Jimmy : Je n'ai pas eu l'occasion de le voir depuis deux jours. Kim : Ca m'étonnerait qu'il accepte.
Yokas sort à ce moment là du commissariat.
Jo (à Jimmy) : Hé, regarde. Jimmy s'avance vers Faith. Jimmy : Hé, Yokas ! Faith : Qu'est-ce que tu veux Jimmy ? Jimmy : T'es pressée ? Faith : Oui. Alors ? Jimmy : Bosco est déjà sorti ? J'ai besoin de lui parler, on est resté sur un petit différent et. Faith : . Il n'est pas là Jimmy : Oh, bien je le verrais demain. Faith : Non, tu ne comprends pas, il n'est pas venu travaillé et ne reviendra pas avant un bon bout de temps. Maintenant excuse-moi Jimmy (la retenant par le bras) : Hé, qu'est-ce qui se passe ? Il a des ennuis ? Faith : Oui, et même de très gros. Il a été suspendu, Jimmy. Jimmy : Quoi ? Comment ça ? Je peux faire quelque chose ? Faith : Ce ne sont pas tes affaires, mais il a besoin de soutient. Alors si tu veux vraiment l'aider, laisse le tranquille il n'a pas besoin de tes railleries. (Puis voyant que els autres écoutent la conversation) : C'est valable pour vous aussi. (À Jimmy) : Maintenant excuse moi mais je dois aller aider mon meilleur ami.
Elle part, laissant tout le monde sans voix. Un « Merde » général s'élève. Les regards de consternations s'échangent.
