Rappel : Je crois que rappeler quelques petites choses serait de bonne
augure :
Suite à plusieurs feedbacks, je tiens à rappeler que Montville est un
médecin de TW que l'on a vu dans certains épisodes, comme celui ou Carlos
est attaqué par un perroquet et va à l'hosto pour avoir des points de
sutures ; ou encore celui où Bosco a la tête d'Elephantman et qu'il a
besoin d'une piquouse.Et pour information je ne connais pas son prénom donc
j'ai inventé Chris, mais ce n'est que pure invention.
Sinon dans ce chapitre je reparle de l'accident de voiture qui s'est
passé dans le chapitre 3 : petit rappel : une dame dit que sa fille était
avec eux dans la voiture et les flics retrouvent la fillette carbonisée
dans le coffre.
Et je parle aussi de Lyna Hastron, bref retour au chapitre 4 ou Montville
conseil à Carlos d'aller la voir pour qu'elle l'aide dans ses révisions.
Voilà
Et Marc Antonio, c'est un flic que l'on a vu brièvement dans l'épisode
« Le disparu » : il annonce à nos flics fétiches qu'un mec vient de se
réveiller à l'hosto et a indiqué où se trouvait l'homme qu'il avait enterré
vivant. Pourquoi Marc Antonio allez-vous me dire : tout simplement parce
que j'ai juste retenu son nom c'est tout.
*** Hôpital de la Pitié***
Montville : Hé, ne m'engueule pas. C'est pas de ma faute ! Bosco : Dans ce cas dis à ton apprenti savant fou de faire ses expériences ailleurs. J'ai déjà horreur des piqûres et maintenant à cause de ce débile j'ai un bras qui a triplé de volume. Montville commence à rire. Bosco : Quoi ? Montville : Non rien. Je pensais juste qu'il y a moins de vingt minutes t'étais au bord de l'apoplexie et que maintenant tu râles sur tout ce qui bouge. Bosco : Je te l'ai dit et je te le répète. Je vais bien. J'étais juste un peu fatigué. Montville : Ben voyons. Quand quelqu'un s'écroule sur son lit, ça c'est de la fatigue. Mais lorsqu'une personne s'évanouit dans sa cuisine et que sa partenaire passe près d'un quart d'heure à essayer de le réveiller sans succès, moi je dis qu'il y a un truc. Bosco : Et comment t'expliques le fait que je sois bien vivant ? C'est un miracle peut être ? Montville : Pour nous ce serait plutôt l'enfer ! Bosco : haha très drôle. Montville : Je vais te garder ici cette nuit en observation. Bosco : Quoi ? Montville : Je veux que tes résultats reviennent avant que tu ne sortes, et comme il est une heure du matin ça m'étonnerais qu'on les ait avant midi ou une heure. Bosco : Répète un peu si tu l'oses. Montville : C'est pour ton bien Bosco : JE-VAIS-BIEN ! Faut que je te le dise en quelle langue ? Il est hors de question que je reste ici ! Bosco saute de la table où il était assit et commence à se rhabiller. Montville sort voir Faith dans la salle d'attente.
Faith : Il va bien ? Montville : On ne peut mieux. Faith : Tu es sûr ? Montville : C'est bien ça qui m'inquiète. Il a récupéré d'une façon fulgurante. Faith : C'est Bosco. Montville : Ouais mais c'est pas normal. J'aimerais le garder cette nuit mais il est déjà entrain de se rhabiller. Je ne suis pas vraiment d'avis à ce qu'il sorte sans que l'on ait eu les résultats de ses examens. Tu ne peux pas essayer de le convaincre de rester ? Faith : Bosco ? Impossible. Je veux bien essayer mais ça risque d'être dur. Montville : Fait ce que tu peux d'accord ? Faith : Ouais Elle rentre dans la salle au moment finit de fermer son pantalon puis il se saisit de son tee-shirt. Faith reste rêveuse quelques secondes, admirant le torse de son partenaire, puis revient à la réalité Faith : Bosco. Bosco : Tais-toi ! Je sais d'avance ce que tu vas dire mais c'est bon ! Je suis là et je vais bien ! Je sais pas, ça devait être à cause du stress, mais ça va ! Alors maintenant il n'est pas question que je reste ici une minute de plus, je préfère encore être interrogé par les croque-morts de la commission d'enquête tout à l'heure. Faith : Très bien je. Bosco : je t'ai dit qu'il était hors de question que je reste ici. Faith : Merci j'ai entendu, et j'allais juste te proposer de te raccompagner chez toi. Bosco : Pas de beaux discours pour me retenir ici ? Pas de grand monologue pour me faire une leçon de morale ? Faith : Depuis le temps que je te connais, je préfère économiser ma salive ! Aller vient ! J'espère seulement que tu sais que tu sors contre avis médical Bosco (lançant un regard noir): Faith ! Faith : C'est bon je me tais.
*** 55 Boyle, vers 15 heures de l'après-midi***
Kim : Alors cette soirée. Alex : C'était moyen Kim : Quoi ? Raconte Alex : le concert et tout c'était super mais une fois arrivés à la maison. Ah ! Pourquoi les mecs réfléchissent toujours avec ce qu'ils ont entre les jambes. Kim : C'est parce qu'après une journée de boulot ils n'ont plus rien dans le crâne. Ils ont épuisé tous leurs muscles sauf celui là. Alex : ça m'a énervé je te jure. Kim : Ca s'est terminé comment. Alex : Il est resté dormir sur le sofa Kim : Oh ! Alex : Ouais ! Et toi ? T'es de bonne humeur aujourd'hui, y'a eu quelque chose de particulier ? Kim : Qu'est-ce qui te fait penser ça ? Je ne suis pas de bonne humeur d'habitude ? Alex : Non ce n'est pas ça, c'est que t'es plus souriante que d'ordinaire. Kim : Jimmy est passé à la maison hier soir, avec des tacos ! Alex : C'est vrai ? Kim : Ouais ; il a du arrivé vers minuit et il est repartit vers six heures. Alex (un sourire se formant sur ses lèvres): Oh ! Vous n'avez pas dû beaucoup dormir Kim : On a juste discuté. Alex : Juste . discuter Kim : C'est ça. Alex : Rien d'autre. Kim : Non Alex : Attends t'es entrain de me parler de Jimmy Doherty, le mec avec qui tu t'es marié et de qui tu as divorcé lorsque tu t'es rendue compte qu'il sautait sur tout ce qui avait une poitrine et portait une minijupe. Celui- là même qui t'as trompé avec ta s?ur. Kim :. et qui m'a donné un merveilleux fils. Alex : Alors là j'y comprends plus rien. Kim : Il se met à réfléchir Alex : Il serait peut-être temps ! Kim : Je crois que je n'ai jamais discuté aussi longtemps avec lui de toute ma vie. Alex : même lorsque vous étiez mariés ? Kim : Surtout pas lorsque l'on était marié ! On commençait par discuter et ça finissait souvent sous les couvertures. Mais je crois que d'avoir eu cette discussion m'a fait du bien. Alex : Si tu le dis.
*** Pendant ce temps, au commissariat***
Dans les vestiaires Sully ; Ty et Faith se changent.
Sully : Comment ça s'est passé pour Bosco ce matin Faith : A ton avis. Ils l'ont descendu. Ty : Et comment il a réagit ? Faith : Tu connais Bosco, il ne s'est pas laissé faire. Lorsqu'ils lui ont balancé qu'il était bon pour la taule, il leur a dit qu'il préférait aller là-bas plutôt que d'aller se faire enfermer avec eux en psychiatrie, il s'est levé, leur a dit d'aller se faire foutre parce que comme il était entrain de se taper la mère de l'officier Travis il ne pouvait pas avoir tuer le deuxième mec, il leur a fait un pied de nez et il est parti. Et les deux bêtas se sont retrouvés là comme deux abrutis. Sully : J'aurais aimé être là pour voir ça. Ty : Moi aussi, quoiqu'il n'a pas été très fin sur ce coup là. Faith (tout bas): C'est pas ça qui m'inquiète le plus Sully : Quoi ? Faith : Non rien. Sully : hé ! Y'a un truc qui ne va pas, ça se voit. Dis-moi ce qui se passe. Faith : Il a fait un malaise Ty : Quoi ? Sully : Qui ? Faith : Bosco. Quand je suis allée chez lui hier soir, après qu'on ait mangé, il s'est effondré. Impossible de le réveillé, et une fois arrivé à l'hosto il pétait la forme. Ty : Et il va mieux ? Faith : Impeccable. Sully : Qu'est-ce qu'il a eu. Faith : J'en sais rien ; c'est ça qui m'inquiète. Il est bien sûr sortit contre l'avis du médecin, et l'hôpital n'a toujours pas ses analyses. Ty : T'inquiète pas va. Moi si j'étais à sa place, avec la fatigue, le stress et tout, je suis sûr que j'aurai aussi eu un malaise. Faith : Ouais ! Sully : Hé ! C'est Bosco !!! Faith : Je sais Marc Antonio arrive à ce moment là ! Marc : Appel ! Ty : C'est bon ! Sully : Ca va aller ? Faith : Oui merci.
*** Sur Murray Hill, aux croisements de Park Avenue et de la 36ème*** Les pompiers sont devant un immeuble en feu.
Jimmy (la lance à la main) : C'est bon, envoie la pression ! Jo : Lâche tout !
Walsh s'exécute.
Jo : Alors et pour ce défilé ? Jimmy : On a un problème. J'ai apprit qu'il fallait qu'il y est au moins un des chefs qui défile. Jo : Comment ça ? Tu veux dire Lou ? Jimmy : Non je veux plutôt dire comme leur Sergent (en désignant des policiers de la tête). Jo : Christopher ? T'es malade ! Jimmy : je me vois mal demander au Lieutenant de faire ça, surtout qu'il commence à se faire vieux ! En plus on a tous nos effectifs de notre côté. Jo : T'en as reparlé avec Bosco. Jimmy : Non je compte passer chez lui ce soir. Jo : Il va te virer. Jimmy : Ouais mais s'il ne vient plus au boulot pendant un bout de temps on est mal. Et puis j'irai le réconforter avec un pack de bière ! Jo : T'as de l'espoir toi. Jimmy : C'est ce qui fait vivre !
*** Commissariat 55***
Faith entre, un détenu devant elle, menottes aux poignets. Gusler la suit. Elle s'arrête, enlève les menottes au type puis lui fait signe de se diriger à l'intérieur d'une cellule.
Faith : Aller hop tu rentres là-dedans ! Type : Et si je veux pas ! Faith : C'est la même chose Gusler : Tu. tu fais ce que la da.dame te.te dis. Type : Oh c'est t'y pas mignon ! Un con qui est bègue.
Faith saisit le type par le col et l'envoie valdinguer contre le mur de la cellule puis la ferme à double tours. Elle s'éloigne avec Gusler, tandis que le type se met à vociférer.
Type : C'est de la brutalité policière, je vais vous attaquer, ah ! Vous n'avez pas le droit, je vous ferais tomber.. Plancton : T'as le rapport ? Faith : Je te le fais tout de suite. Bonne chance avec lui. Plancton : C'est toujours toi et Boscorelli qui me ramenez le plus de cas pourris. Faith : On fait ce qu'on peut !
Christopher passe à ce moment là.
Christopher : Yokas, dans mon bureau. Plancton : Qu'est-ce que t'as fait ? Faith : Si seulement je le savais !!!
Elle se dirige vers le bureau de Christopher, tandis que Gusler reste planté là sans un mot. Faith : Tu voulais me voir. Christopher : Entre, assieds-toi
Faith s'exécute.
Christopher : Avant-hier tu t'es occupé d'un accident de la route avec 55 Charlie. Faith : Oui, c'est exact. Christopher : Bien ; les inspecteurs se sont penchés sur le cas de la fille retrouvée carbonisée dans le coffre. Il s'avère que son identité reste à établir puisque ses dents on été arrachées, et ses mains et ses pieds ont été coupés. Faith (sur un air répugné): Aouh ! Tu rigoles là ? Christopher : Y'a encore pire. Faith : Quoi ? Christopher : T'es chargé de l'enquête ! Faith (abasourdie) : Quoi ? Tu déc. délires ? Christopher : Non. Bien sûr tu seras assistée par 55 Charlie. Le mari est mort il y'a une heure, la femme est dans le coma. Faith (tout bas) : Et moi je suis dans la merde. Christopher : Je te demande pardon ? Faith : Non rien, je me demandais juste pourquoi les inspecteurs nous refilaient une affaire pareille. Christopher : Parce que lorsqu'ils sentent la merde arriver, ils préfèrent la filer aux merdeux. Faith : Je vois. Christopher : Tu peux y aller. Faith : Bien.
Elle se lève et ouvre la porte.
Christopher : Yokas ! Au fait comment va ton partenaire ? Faith : Y'a eu mieux Christopher : Ouais !
Faith referme la porte puis part.
***Hôpital de la Pitié***
Infirmière : Je n'arrive pas à le joindre Montville : Essayez encore ! (Tout bas) C'est pas vrai ça !!!! Répond nom d'un chien
*****
Une porte s'ouvre et une jeune femme d'environ une trentaine d'année fait face à Carlos ; vêtu d'une robe en soie transparente, laissant voir des dessous avantageux et une longue paire de jambes fines. Il reste un moment à la déshabiller du regard. Une voix sensuelle s'élève bientôt.
Lyna : Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Carlos : Euh. bonjour.oui vous êtres Lyna Hastron ? Lyna : C'est en tout cas ce qui est indiqué sur la sonnette. Carlos (toujours subjugué) : Hein hein. Euh. Lyna (amusée): Oui ? Carlos : Je viens de la part du Dr Montville. Lyna : Chris ? Je vois. Comment se porte t-il ? Carlos (tout bas) : Mieux que moi. Lyna : je vous demande pardon. Carlos : Très bien ! Il m'a dit. enfin il m'a conseillé. Lyna (riant) : De venir me voir pour des cours particuliers ? Carlos : Oui. Lyna : Entrez donc !
Carlos s'avance d'un pas hésitant.
*** Hôpital de la Pitié***
Infirmière : Je tombe toujours sur son répondeur. Montville : Très bien. Appelez le poste 55, demandez l'officier Yokas, et expliquez-lui la situation.
*** Caserne des pompiers***
Kim (venant s'asseoir à la table) : Alors Carlos t'as lâché ? Doc : Je lui ai donné le reste de sa journée, je crois que ses partiels le trouble un peu trop. Où est Alex. Kim : Chez l'ennemi Doc : Partie voir Ty je suppose ? Kim : Qui veux-tu qu'elle aille voir d'autre ? Jimmy et Jo s'avancent à se moment là. Jimmy : Tu fais comme ça ! Jo : Ca risque d'être dur. Jimmy : Tu fais tout pour qu'il te soit redevable. Bon moi j'y vais. Il sort. Kim : Il va où là ? Jo : Il a prit une heure pour aller voir quelqu'un. Doc : Ouh ! On la connaît ? Jo : Je ne dirais pas « la » mais plutôt « le ». Doc et Kim s'échange un regard interrogateur puis Jo se dirige vers la sortie. Kim : Et tu vas où là ? Jo : J'en n'ai pas pour longtemps, si on me cherche je suis en face. Doc : Ton ex-mari a viré de bord ? Kim : Qu'est-ce qu'ils ont tous à aller chez les flics ?
*** Commissariat 55***
Sully et Faith discutent en passant devant l'accueil du commissariat.
Faith : Où est Ty ? Sully : Sans doute avec le Diable. Faith (un petit rire) : Tu ne l'aime pas un ? Sully : Alex est une fille très gentille. Faith : Mais ? Sully : Mais rien. C'est juste que j'aimerais que Ty ne s'accroche pas trop à elle. Un flic et un pompier ce n'est pas l'idéal. Et où est Gusler ? Faith : Quelque part dans les environs je suppose.
A l'accueil : Lieutenant Swersky : Poste 55 j'écoute ? Infirmière (à l'autre bout du fil) : Ici l'hôpital de la Pitié, pourrais-je parler à l'officier Yokas s'il vous plaît ? Swersky (voyant passer Faith et Sully) : Yokas ! Elle se retourne. Faith : Oui Chef ? Swersky : L'hôpital de la Pitié pour vous. Faith (paniquant) : Oh mon Dieu ! Les enfants ! Elle se précipite pour atteindre le téléphone que son Lieutenant lui tend. Faith : Qu'est-ce qui se passe. Swersky : J'en sais rien. Sully regarde Faith, l'inquiétude sur son visage. Faith : Ici l'Officier Yokas. Infirmière : Je suis désolée de vous déran. Faith : Qu'est-ce qui se passe. Ce sont mes enfants ? Infirmière : Non, non, je suis sûr que vos enfants vont très bien. Faith (lâchant un soupir de soulagement) : Dieu merci. Infirmière : Je vous appelle à propos de M. Boscorelli. Ses résultats sont revenus. Il est urgent qu'il revienne à l'hôpital, mais nous n'arrivons pas à le joindre. Faith (devenant inquiète): Pourquoi doit-il revenir immédiatement ? Infirmière : Ses résultats ont révélé un caillot sanguin là où il a été frappé il y a quelques jours. C'est cela qui a été à l'origine de son malaise hier dans la nuit. Faith : Non ! Infirmière : Il faut que nous l'opérions de toute urgence. Il faut qu'il vienne ici le plus tôt possible. Faith : C'est grave ? Un blanc s'installe. Faith (hurlant) : C'est grave ? Tous les officiers s'arrêtent en entendant le hurlement de Faith dans le téléphone. Swersky leur fait signe de retourner à leurs occupations. Infirmière : S'il tarde trop, il risque de faire un autre malaise, et cette fois nous ne pourrons peut-être rien faire. Il risque de mourir. Faith : Oh non !
Faith laisse tomber le téléphone et sort précipitamment sous les yeux ahuris de son chef et de Sully. Ce dernier regarde son Lieutenant.
Swersky : J'en sais rien ! Rattrape là !
*** Appartement de Lyna***
Carlos descend de Lyna, essoufflé, et s'allonge à côté d'elle, les draps les couvrant à moitié.
Carlos : Je commence à comprendre pourquoi Montville est devenu médecin. Lyna : La médecine a des côtés plutôt sympathiques, si on sait les exploiter. Carlos : Et toi tu les exploites à fond ! Lyna : Ce que je préfère dans les révisions, c'est l'anatomie. Carlos : Et tu fais réviser tous ceux qui viennent ici avec tant d'ardeur ? Lyna : Seulement ceux qui ont vraiment envie de réussir.
*** Appartement de Bosco***
Des coups se font entendre à travers la porte mais personne ne répond.
Jimmy : Aller Bosco ! Tête de mule ! Ouvre cette porte.
A ce moment là Faith arrive tout essoufflée.
Faith : Jimmy ? Jimmy : Faith ? Faith/Jimmy : Qu'est-ce que tu fais là ? Jimmy : Ca fait près de dix minutes que je frappe mais y'a l'air d'avoir personne. Pourtant sa voiture est là. Faith (frappant à la porte) : Bos ? Bosco si tu es là répond !
Sully se précipite à ce moment là.
Sully : Qu'est-ce qui se passe Faith ? Jimmy : Oh mais c'est la réunion ici ? Faith (se saisissant des clés de son partenaire mais les faisant tomber): Merde Sully : Tu veux bien m'expliquer ? (Voyant Jimmy) Qu'est-ce qu'il fait là lui ? Faith (ouvrant la porte) : Bosco ?
Les deux autres la suivent. Ils font le tour de l'appartement lorsqu'ils stoppent net.
Faith : Oh mon Dieu !!!
Note de fin de chapitre : Vas-y miss Lojie, RALE !!!
*** Hôpital de la Pitié***
Montville : Hé, ne m'engueule pas. C'est pas de ma faute ! Bosco : Dans ce cas dis à ton apprenti savant fou de faire ses expériences ailleurs. J'ai déjà horreur des piqûres et maintenant à cause de ce débile j'ai un bras qui a triplé de volume. Montville commence à rire. Bosco : Quoi ? Montville : Non rien. Je pensais juste qu'il y a moins de vingt minutes t'étais au bord de l'apoplexie et que maintenant tu râles sur tout ce qui bouge. Bosco : Je te l'ai dit et je te le répète. Je vais bien. J'étais juste un peu fatigué. Montville : Ben voyons. Quand quelqu'un s'écroule sur son lit, ça c'est de la fatigue. Mais lorsqu'une personne s'évanouit dans sa cuisine et que sa partenaire passe près d'un quart d'heure à essayer de le réveiller sans succès, moi je dis qu'il y a un truc. Bosco : Et comment t'expliques le fait que je sois bien vivant ? C'est un miracle peut être ? Montville : Pour nous ce serait plutôt l'enfer ! Bosco : haha très drôle. Montville : Je vais te garder ici cette nuit en observation. Bosco : Quoi ? Montville : Je veux que tes résultats reviennent avant que tu ne sortes, et comme il est une heure du matin ça m'étonnerais qu'on les ait avant midi ou une heure. Bosco : Répète un peu si tu l'oses. Montville : C'est pour ton bien Bosco : JE-VAIS-BIEN ! Faut que je te le dise en quelle langue ? Il est hors de question que je reste ici ! Bosco saute de la table où il était assit et commence à se rhabiller. Montville sort voir Faith dans la salle d'attente.
Faith : Il va bien ? Montville : On ne peut mieux. Faith : Tu es sûr ? Montville : C'est bien ça qui m'inquiète. Il a récupéré d'une façon fulgurante. Faith : C'est Bosco. Montville : Ouais mais c'est pas normal. J'aimerais le garder cette nuit mais il est déjà entrain de se rhabiller. Je ne suis pas vraiment d'avis à ce qu'il sorte sans que l'on ait eu les résultats de ses examens. Tu ne peux pas essayer de le convaincre de rester ? Faith : Bosco ? Impossible. Je veux bien essayer mais ça risque d'être dur. Montville : Fait ce que tu peux d'accord ? Faith : Ouais Elle rentre dans la salle au moment finit de fermer son pantalon puis il se saisit de son tee-shirt. Faith reste rêveuse quelques secondes, admirant le torse de son partenaire, puis revient à la réalité Faith : Bosco. Bosco : Tais-toi ! Je sais d'avance ce que tu vas dire mais c'est bon ! Je suis là et je vais bien ! Je sais pas, ça devait être à cause du stress, mais ça va ! Alors maintenant il n'est pas question que je reste ici une minute de plus, je préfère encore être interrogé par les croque-morts de la commission d'enquête tout à l'heure. Faith : Très bien je. Bosco : je t'ai dit qu'il était hors de question que je reste ici. Faith : Merci j'ai entendu, et j'allais juste te proposer de te raccompagner chez toi. Bosco : Pas de beaux discours pour me retenir ici ? Pas de grand monologue pour me faire une leçon de morale ? Faith : Depuis le temps que je te connais, je préfère économiser ma salive ! Aller vient ! J'espère seulement que tu sais que tu sors contre avis médical Bosco (lançant un regard noir): Faith ! Faith : C'est bon je me tais.
*** 55 Boyle, vers 15 heures de l'après-midi***
Kim : Alors cette soirée. Alex : C'était moyen Kim : Quoi ? Raconte Alex : le concert et tout c'était super mais une fois arrivés à la maison. Ah ! Pourquoi les mecs réfléchissent toujours avec ce qu'ils ont entre les jambes. Kim : C'est parce qu'après une journée de boulot ils n'ont plus rien dans le crâne. Ils ont épuisé tous leurs muscles sauf celui là. Alex : ça m'a énervé je te jure. Kim : Ca s'est terminé comment. Alex : Il est resté dormir sur le sofa Kim : Oh ! Alex : Ouais ! Et toi ? T'es de bonne humeur aujourd'hui, y'a eu quelque chose de particulier ? Kim : Qu'est-ce qui te fait penser ça ? Je ne suis pas de bonne humeur d'habitude ? Alex : Non ce n'est pas ça, c'est que t'es plus souriante que d'ordinaire. Kim : Jimmy est passé à la maison hier soir, avec des tacos ! Alex : C'est vrai ? Kim : Ouais ; il a du arrivé vers minuit et il est repartit vers six heures. Alex (un sourire se formant sur ses lèvres): Oh ! Vous n'avez pas dû beaucoup dormir Kim : On a juste discuté. Alex : Juste . discuter Kim : C'est ça. Alex : Rien d'autre. Kim : Non Alex : Attends t'es entrain de me parler de Jimmy Doherty, le mec avec qui tu t'es marié et de qui tu as divorcé lorsque tu t'es rendue compte qu'il sautait sur tout ce qui avait une poitrine et portait une minijupe. Celui- là même qui t'as trompé avec ta s?ur. Kim :. et qui m'a donné un merveilleux fils. Alex : Alors là j'y comprends plus rien. Kim : Il se met à réfléchir Alex : Il serait peut-être temps ! Kim : Je crois que je n'ai jamais discuté aussi longtemps avec lui de toute ma vie. Alex : même lorsque vous étiez mariés ? Kim : Surtout pas lorsque l'on était marié ! On commençait par discuter et ça finissait souvent sous les couvertures. Mais je crois que d'avoir eu cette discussion m'a fait du bien. Alex : Si tu le dis.
*** Pendant ce temps, au commissariat***
Dans les vestiaires Sully ; Ty et Faith se changent.
Sully : Comment ça s'est passé pour Bosco ce matin Faith : A ton avis. Ils l'ont descendu. Ty : Et comment il a réagit ? Faith : Tu connais Bosco, il ne s'est pas laissé faire. Lorsqu'ils lui ont balancé qu'il était bon pour la taule, il leur a dit qu'il préférait aller là-bas plutôt que d'aller se faire enfermer avec eux en psychiatrie, il s'est levé, leur a dit d'aller se faire foutre parce que comme il était entrain de se taper la mère de l'officier Travis il ne pouvait pas avoir tuer le deuxième mec, il leur a fait un pied de nez et il est parti. Et les deux bêtas se sont retrouvés là comme deux abrutis. Sully : J'aurais aimé être là pour voir ça. Ty : Moi aussi, quoiqu'il n'a pas été très fin sur ce coup là. Faith (tout bas): C'est pas ça qui m'inquiète le plus Sully : Quoi ? Faith : Non rien. Sully : hé ! Y'a un truc qui ne va pas, ça se voit. Dis-moi ce qui se passe. Faith : Il a fait un malaise Ty : Quoi ? Sully : Qui ? Faith : Bosco. Quand je suis allée chez lui hier soir, après qu'on ait mangé, il s'est effondré. Impossible de le réveillé, et une fois arrivé à l'hosto il pétait la forme. Ty : Et il va mieux ? Faith : Impeccable. Sully : Qu'est-ce qu'il a eu. Faith : J'en sais rien ; c'est ça qui m'inquiète. Il est bien sûr sortit contre l'avis du médecin, et l'hôpital n'a toujours pas ses analyses. Ty : T'inquiète pas va. Moi si j'étais à sa place, avec la fatigue, le stress et tout, je suis sûr que j'aurai aussi eu un malaise. Faith : Ouais ! Sully : Hé ! C'est Bosco !!! Faith : Je sais Marc Antonio arrive à ce moment là ! Marc : Appel ! Ty : C'est bon ! Sully : Ca va aller ? Faith : Oui merci.
*** Sur Murray Hill, aux croisements de Park Avenue et de la 36ème*** Les pompiers sont devant un immeuble en feu.
Jimmy (la lance à la main) : C'est bon, envoie la pression ! Jo : Lâche tout !
Walsh s'exécute.
Jo : Alors et pour ce défilé ? Jimmy : On a un problème. J'ai apprit qu'il fallait qu'il y est au moins un des chefs qui défile. Jo : Comment ça ? Tu veux dire Lou ? Jimmy : Non je veux plutôt dire comme leur Sergent (en désignant des policiers de la tête). Jo : Christopher ? T'es malade ! Jimmy : je me vois mal demander au Lieutenant de faire ça, surtout qu'il commence à se faire vieux ! En plus on a tous nos effectifs de notre côté. Jo : T'en as reparlé avec Bosco. Jimmy : Non je compte passer chez lui ce soir. Jo : Il va te virer. Jimmy : Ouais mais s'il ne vient plus au boulot pendant un bout de temps on est mal. Et puis j'irai le réconforter avec un pack de bière ! Jo : T'as de l'espoir toi. Jimmy : C'est ce qui fait vivre !
*** Commissariat 55***
Faith entre, un détenu devant elle, menottes aux poignets. Gusler la suit. Elle s'arrête, enlève les menottes au type puis lui fait signe de se diriger à l'intérieur d'une cellule.
Faith : Aller hop tu rentres là-dedans ! Type : Et si je veux pas ! Faith : C'est la même chose Gusler : Tu. tu fais ce que la da.dame te.te dis. Type : Oh c'est t'y pas mignon ! Un con qui est bègue.
Faith saisit le type par le col et l'envoie valdinguer contre le mur de la cellule puis la ferme à double tours. Elle s'éloigne avec Gusler, tandis que le type se met à vociférer.
Type : C'est de la brutalité policière, je vais vous attaquer, ah ! Vous n'avez pas le droit, je vous ferais tomber.. Plancton : T'as le rapport ? Faith : Je te le fais tout de suite. Bonne chance avec lui. Plancton : C'est toujours toi et Boscorelli qui me ramenez le plus de cas pourris. Faith : On fait ce qu'on peut !
Christopher passe à ce moment là.
Christopher : Yokas, dans mon bureau. Plancton : Qu'est-ce que t'as fait ? Faith : Si seulement je le savais !!!
Elle se dirige vers le bureau de Christopher, tandis que Gusler reste planté là sans un mot. Faith : Tu voulais me voir. Christopher : Entre, assieds-toi
Faith s'exécute.
Christopher : Avant-hier tu t'es occupé d'un accident de la route avec 55 Charlie. Faith : Oui, c'est exact. Christopher : Bien ; les inspecteurs se sont penchés sur le cas de la fille retrouvée carbonisée dans le coffre. Il s'avère que son identité reste à établir puisque ses dents on été arrachées, et ses mains et ses pieds ont été coupés. Faith (sur un air répugné): Aouh ! Tu rigoles là ? Christopher : Y'a encore pire. Faith : Quoi ? Christopher : T'es chargé de l'enquête ! Faith (abasourdie) : Quoi ? Tu déc. délires ? Christopher : Non. Bien sûr tu seras assistée par 55 Charlie. Le mari est mort il y'a une heure, la femme est dans le coma. Faith (tout bas) : Et moi je suis dans la merde. Christopher : Je te demande pardon ? Faith : Non rien, je me demandais juste pourquoi les inspecteurs nous refilaient une affaire pareille. Christopher : Parce que lorsqu'ils sentent la merde arriver, ils préfèrent la filer aux merdeux. Faith : Je vois. Christopher : Tu peux y aller. Faith : Bien.
Elle se lève et ouvre la porte.
Christopher : Yokas ! Au fait comment va ton partenaire ? Faith : Y'a eu mieux Christopher : Ouais !
Faith referme la porte puis part.
***Hôpital de la Pitié***
Infirmière : Je n'arrive pas à le joindre Montville : Essayez encore ! (Tout bas) C'est pas vrai ça !!!! Répond nom d'un chien
*****
Une porte s'ouvre et une jeune femme d'environ une trentaine d'année fait face à Carlos ; vêtu d'une robe en soie transparente, laissant voir des dessous avantageux et une longue paire de jambes fines. Il reste un moment à la déshabiller du regard. Une voix sensuelle s'élève bientôt.
Lyna : Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Carlos : Euh. bonjour.oui vous êtres Lyna Hastron ? Lyna : C'est en tout cas ce qui est indiqué sur la sonnette. Carlos (toujours subjugué) : Hein hein. Euh. Lyna (amusée): Oui ? Carlos : Je viens de la part du Dr Montville. Lyna : Chris ? Je vois. Comment se porte t-il ? Carlos (tout bas) : Mieux que moi. Lyna : je vous demande pardon. Carlos : Très bien ! Il m'a dit. enfin il m'a conseillé. Lyna (riant) : De venir me voir pour des cours particuliers ? Carlos : Oui. Lyna : Entrez donc !
Carlos s'avance d'un pas hésitant.
*** Hôpital de la Pitié***
Infirmière : Je tombe toujours sur son répondeur. Montville : Très bien. Appelez le poste 55, demandez l'officier Yokas, et expliquez-lui la situation.
*** Caserne des pompiers***
Kim (venant s'asseoir à la table) : Alors Carlos t'as lâché ? Doc : Je lui ai donné le reste de sa journée, je crois que ses partiels le trouble un peu trop. Où est Alex. Kim : Chez l'ennemi Doc : Partie voir Ty je suppose ? Kim : Qui veux-tu qu'elle aille voir d'autre ? Jimmy et Jo s'avancent à se moment là. Jimmy : Tu fais comme ça ! Jo : Ca risque d'être dur. Jimmy : Tu fais tout pour qu'il te soit redevable. Bon moi j'y vais. Il sort. Kim : Il va où là ? Jo : Il a prit une heure pour aller voir quelqu'un. Doc : Ouh ! On la connaît ? Jo : Je ne dirais pas « la » mais plutôt « le ». Doc et Kim s'échange un regard interrogateur puis Jo se dirige vers la sortie. Kim : Et tu vas où là ? Jo : J'en n'ai pas pour longtemps, si on me cherche je suis en face. Doc : Ton ex-mari a viré de bord ? Kim : Qu'est-ce qu'ils ont tous à aller chez les flics ?
*** Commissariat 55***
Sully et Faith discutent en passant devant l'accueil du commissariat.
Faith : Où est Ty ? Sully : Sans doute avec le Diable. Faith (un petit rire) : Tu ne l'aime pas un ? Sully : Alex est une fille très gentille. Faith : Mais ? Sully : Mais rien. C'est juste que j'aimerais que Ty ne s'accroche pas trop à elle. Un flic et un pompier ce n'est pas l'idéal. Et où est Gusler ? Faith : Quelque part dans les environs je suppose.
A l'accueil : Lieutenant Swersky : Poste 55 j'écoute ? Infirmière (à l'autre bout du fil) : Ici l'hôpital de la Pitié, pourrais-je parler à l'officier Yokas s'il vous plaît ? Swersky (voyant passer Faith et Sully) : Yokas ! Elle se retourne. Faith : Oui Chef ? Swersky : L'hôpital de la Pitié pour vous. Faith (paniquant) : Oh mon Dieu ! Les enfants ! Elle se précipite pour atteindre le téléphone que son Lieutenant lui tend. Faith : Qu'est-ce qui se passe. Swersky : J'en sais rien. Sully regarde Faith, l'inquiétude sur son visage. Faith : Ici l'Officier Yokas. Infirmière : Je suis désolée de vous déran. Faith : Qu'est-ce qui se passe. Ce sont mes enfants ? Infirmière : Non, non, je suis sûr que vos enfants vont très bien. Faith (lâchant un soupir de soulagement) : Dieu merci. Infirmière : Je vous appelle à propos de M. Boscorelli. Ses résultats sont revenus. Il est urgent qu'il revienne à l'hôpital, mais nous n'arrivons pas à le joindre. Faith (devenant inquiète): Pourquoi doit-il revenir immédiatement ? Infirmière : Ses résultats ont révélé un caillot sanguin là où il a été frappé il y a quelques jours. C'est cela qui a été à l'origine de son malaise hier dans la nuit. Faith : Non ! Infirmière : Il faut que nous l'opérions de toute urgence. Il faut qu'il vienne ici le plus tôt possible. Faith : C'est grave ? Un blanc s'installe. Faith (hurlant) : C'est grave ? Tous les officiers s'arrêtent en entendant le hurlement de Faith dans le téléphone. Swersky leur fait signe de retourner à leurs occupations. Infirmière : S'il tarde trop, il risque de faire un autre malaise, et cette fois nous ne pourrons peut-être rien faire. Il risque de mourir. Faith : Oh non !
Faith laisse tomber le téléphone et sort précipitamment sous les yeux ahuris de son chef et de Sully. Ce dernier regarde son Lieutenant.
Swersky : J'en sais rien ! Rattrape là !
*** Appartement de Lyna***
Carlos descend de Lyna, essoufflé, et s'allonge à côté d'elle, les draps les couvrant à moitié.
Carlos : Je commence à comprendre pourquoi Montville est devenu médecin. Lyna : La médecine a des côtés plutôt sympathiques, si on sait les exploiter. Carlos : Et toi tu les exploites à fond ! Lyna : Ce que je préfère dans les révisions, c'est l'anatomie. Carlos : Et tu fais réviser tous ceux qui viennent ici avec tant d'ardeur ? Lyna : Seulement ceux qui ont vraiment envie de réussir.
*** Appartement de Bosco***
Des coups se font entendre à travers la porte mais personne ne répond.
Jimmy : Aller Bosco ! Tête de mule ! Ouvre cette porte.
A ce moment là Faith arrive tout essoufflée.
Faith : Jimmy ? Jimmy : Faith ? Faith/Jimmy : Qu'est-ce que tu fais là ? Jimmy : Ca fait près de dix minutes que je frappe mais y'a l'air d'avoir personne. Pourtant sa voiture est là. Faith (frappant à la porte) : Bos ? Bosco si tu es là répond !
Sully se précipite à ce moment là.
Sully : Qu'est-ce qui se passe Faith ? Jimmy : Oh mais c'est la réunion ici ? Faith (se saisissant des clés de son partenaire mais les faisant tomber): Merde Sully : Tu veux bien m'expliquer ? (Voyant Jimmy) Qu'est-ce qu'il fait là lui ? Faith (ouvrant la porte) : Bosco ?
Les deux autres la suivent. Ils font le tour de l'appartement lorsqu'ils stoppent net.
Faith : Oh mon Dieu !!!
Note de fin de chapitre : Vas-y miss Lojie, RALE !!!