Avis a tous, cette histoire ce déroule dans le futur de « À la recherche du temps perdu » Donc si vous voulez avoir plus de détail, allez lire cette fic en premier, mais elle n'est pas un préalable pour comprendre l'histoire ici.

Disclaimer : Notez que les personnages et les lieux sont la création de J.K. Rowling.

Repose en paix Harry Potter

Prologue

Je ne sais plus combien de temps ça fait... Disons que j'ai arrêté de compter après la dixième année de guerre. J'ai donc décidé d'écrire l'histoire de ce qui c'est passé. La vérité pure et dure. Je veux éviter que d'autre comme moi ne perde le fil du temps et que dans le futur, si jamais il y a un futur, les erreurs commises ne se répètent pas. Laissez- moi tout d'abord me présentez. Je me nomme Nathan Colley et je venais de commencer ma première année à Poudlard lorsque Voldemort reprit sa puissance. L'année de la coupe des trois écoles. J'étais un discret élève de Serdaigle et personne ne me remarquait jamais. Même Harry ne me remarqua pas, alors que j'habitais moi aussi sur Privet drive, mais bon. Je ne suis pas ici pour vous raconter mon histoire alors commençons dès maintenant avec ce qui doit être dit. Je vous raconterai l'histoire du monde de ma deuxième année à Poudlard jusqu'à aujourd'hui.

Il y a très longtemps... alors que j'étais en deuxième année.

Tous les élèves se réjouissaient et le quai 9 ¾ de la gare était bondée d'étudiants joyeux qui partageaient ensemble leurs souvenirs de vacance. La bonne humeur était à son comble et tout le monde remplissait tranquillement les wagons du train jusqu'à ce que celui-ci siffle pour annoncer le départ éminent vers le grand château de Poudlard. Chacun était trop préoccupé à déblatérer sur les ragots de l'été qui s'achevait que personne ne remarqua l'absence des trois inséparables. Ron, Harry et Hermione n'étaient nul par sur le train. Neville, qui cherchait la jeune fille pour lui montrer qu'il avait réussi un nouveau tour, fut le seul à s'en apercevoir, mais il cru qu'ils devaient encore avoir fait une bêtise comme lors de leur seconde année. Le voyage fut plaisant et tout le monde profita du confort et du luxe. Rendu au débarcadère, toujours aucune trace des trois jeunes sorciers absents. Les spéculations allaient bon train chez les Gryffondors à savoir ce qui était arrivé avec leurs amis. Même les autres maisons participaient aux débats. Comme je l'ai dis plutôt, j'étais en deuxième année et j'étais un des meilleurs élèves de mon année sinon le meilleur. Plusieurs professeurs me comparaient à Hermione Granger et ça me flattait sincèrement. Alors que nous nous rendions gaiement vers le château, nous avons aussitôt vu que plusieurs lumières habituellement allumées étaient éteintes. De plus à côté de la porte d'entrée une grosse couronne de fleurs mauves flottait dans les airs. Étant de parents moldus, j'étais peu familier avec les rites sorciers. Je vis par contre la mine atterrée de mes compagnons de classe. Je sus aussitôt que quelque chose n'allait pas. Les chuchotements et les yeux surpris m'inquiétaient de plus en plus. Le professeur Rogue vint à notre rencontre avec McGonagald. Elle semblait avoir pleuré longtemps. Même le professeur de potions semblait être affecter par quelque chose. La directrice de Gryffondor demanda à tous ses élèves de la rejoindre, elle devait leur annoncer quelque chose. Rogue prit le reste des élèves et les amena dans une grande pièce à part.

J'essayais de comprendre ce qui pouvait mettre Poudlard dans cet état. Tout d'abord, l'accueil des professeurs, ensuite les yeux bouffi de McGonagald et enfin la couronne qui flottait dehors. J'étais tellement perdu dans mes pensées que je me rendis directement à la grande salle ou les Gryffondors s'étaient rassemblé. Assied à une table au loin, je vit Hermione en pleurs essayant de dire quelque chose à Ron qui semblait furieux.

-J'ai une bien triste nouvelle à vous apprendre. Harry Potter souffre d'une grave forme de dépression...

Quand elle eut dis ça, Ron la regarda avec mépris et s'éloigna du professeur, laissant Hermione sangloter encore plus.

-Qui l'a rendu dans le coma. Notre infirmière ne peut rien pour lui et il va mourir d'ici un mois. Je suis désolée de vous annoncer cette nouvelle à votre arrivés. Tous ceux qui voudront voir M. Potter pourront accéder à sa chambre dans l'aile de l'infirmerie...

Les yeux du professeur de métamorphose étaient remplis d'eau. Neville resta bouche bée. Les jumeaux Weasley pour la première fois de leur vie ne surent que dire. Ginny sanglotait. Les plus vieux comme les plus jeunes des Gryffondors étaient affecter par la mort éminente d'Harry. Le seul dans la pièce à ne pas être triste était Ron. Je ne sais pas vraiment comment décrire ce que disaient ses yeux. Ils en voulait en McGonagald c'est certain. Mais plus encore. Je pouvais lire une sorte de détermination. Il avait quelque chose en tête. De plus, contrairement aux yeux rayonnants qu'il avait d'habitude, son regard était froid, très froid. Quand il me fixa, j'eus plein de frisson dans le dos. Une chose était certaine, il n'acceptait pas l'état de son ami.

Je m'avançai quelque peu et je raclai ma gorge.

-Professeur..... Je sais que je ne suis pas de votre maison... Et qu'Harry et moi n'étions pas particulièrement proche... mais vous savez il était presque mon voisin... si c'est possible, j'aimerais le voir...

Elle sembla analyser ma requête. Elle n'avait aucune raison valable de la refuser. Après quelques instants de réflexions elle acquiesça.

-Très bien M. Colley, j'aviserai Mme Pomfresh. Il n'y aura pas de banquet de bienvenu cette année étant donné que le directeur se remet d'une grave maladie. Les nouveaux sont avec le professeur Flitwick qui leur met le choixpeau. Ceux qui veulent aller voir Harry peuvent y aller maintenant. Les autres vous pourrez allez à votre dortoir. Vous n'avez qu'à suivre votre préfet.

Un étudiant de sixième se leva et les jeunes le suivirent. Je suivi les amis de Harry à sa chambre. Il semblait si paisible. Rien n'aurait laissé croire qu'il serait mort dans moins d'un mois. Je m'assieds donc sur une chaise un peu éloignée et j'étudiai en détail son dossier médical. La nuit était tombée et je m'étais endormi sur mon siège. Ce qui me réveilla était un étrange son venant de la fenêtre. Je l'entrouvris et je vis un gros chien noir hurlent à la lune. Son cri était déchiré comme s'il savait que dans la pièce où je me trouvais présentement, quelqu'un allait mourir. C'était comme si le chien connaissait Harry. Quand il me vit, il s'approcha instinctivement. Je remarquai dans son regard une intelligence quasi humaine. Il avait vraiment l'air triste. Après quelques secondes, l'animal à poil noir me tourna la dos et parti dans la nuit. Je revins à l'étude du dossier de Harry. Quelque chose clochait. Je n'aurais pas pu dire quoi à ce moment là, mais l'état de Harry n'était certainement pas lié à la déprime. Je pris donc ma baguette et je la pointai sur le rapport en chuchotant « copie » pour me garder un exemplaire du rapport de santé de Harry, me promettant d'en parler à Hermione ou à Ron.

Je me rendis à la bibliothèque pour vérifier une théorie ou deux sur mes soupçons. J'étais tellement absorber dans mes idées, que je ne remarquai pas le silence que faisait mes pas lorsque je marchais. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant Ron sortir de la section interdite avec plusieurs livre sous le bras. Il s'assied à une table.

-Ron, tu sais que ce n'est pas raisonnable. La magie noire n'a jamais rien réglé. Au contraire, elle empire les choses. Je sais ce que tu ressens, moi aussi j'aimais Harry, mais essaie de comprendre...

-Hermione, si tu en as fini avec ton babillage inutile, je te prierais de quitter. J'ai autre chose a faire que d'entendre les paroles d'une lèche- botte des professeurs. Personne ne me croit quand je dis qu'il n'est pas en dépression. On venait... c'est impossible qu'il soit en dépression, je l'aurais su !

Hermione pleurait. Sa voix trahissait son désespoir. La peur de perdre son autre meilleur ami était palpable. Les larmes coulaient sur ses joues comme deux fontaines intarissables.

-Écoute moi Ron ! Les professeurs en connaissent beaucoup plus que toi et moi sur la magie. S'ils posent un diagnostique, ils ont sûrement raison. D'ailleurs, je ne te reconnais plus. Depuis que tu cherches pour se remède, tu es différent.

-Personne ne t'a demandé de m'aider, je suis capable de me débrouiller tout seul. Tu sais, je peux très bien me débrouiller sans toi. Si tu ne me crois pas non plus, alors tu n'as rien a faire ici avec moi. Soit tu restes et tu m'aides, soit tu pars et tu te tais. NE te fais pas d'illusion, si tu avertis ne serait-ce qu'un professeur, j'ai recueilli assez de sorts dans ses livres pour te faire regretter jusqu' à la fin de l'année ta trahison. Et puis arrête de pleurnicher sur ce que je serait devenu selon toi. Tu sais que j'aurais toujours tout fait pour aider Harry et ça n'a pas changer. Maintenant quitte, tu me déconcentres.

-Tu n'es rien qu'un sans coeur Ronald Weasley, et ne m'appelle pas traître, c'est toi qui trahis la mémoire d'Harry en ne croyant pas les professeurs !

-Tu ne veux pas que je t'appelle traître ? Parfait, maintenant, dégage sang- de-bourbe. Tu empestes mon air pendant que j'essaie de trouver quelque chose pour sauver celui que tu oses appeler ton ami...

Ni moi, ni Ron ne purent voir la main d'Hermione, mais le claquement sur la joue du rouquin était tellement fort qu'il paru ébranlé pendant quelques secondes. Je dis bien quelques secondes car dès qu'il eu repris le contrôle de lui-même, il lança une malédiction a Hermione. Elle hurla en pleurant vers la porte. Je pouvais voir du sang couler entre ses doigts. Quel que soit le sort qu'il a lancé, il était peu puissant, sûrement quelque chose pour faire saigner le nez. Je fus très étonné de voir l'animosité entre les deux amis. Je me promis alors d'en parler à Hermione. Décidément, cette rentrée n'était pas de tout repos. Moi qui n'avait jamais parlé à personne à l'école, m'apprêtait à entrer en contact avec les deux meilleurs amis du sorcier le plus connu de monde entier. J'aurais du me douter que l'étude que Ron faisait de la magie noire n'envisageait rien de bon, mais dans mon esprit inexpérimenté, je ne vis qu'une occasion de me faire des amis et de, peut-être, sauver Harry.

Une fois que je fus sur qu'Hermione ne reviendrait pas, je me suis approché. Ron leva les yeux sur moi et avec un air déconfit il me dit.

-Tu veux quoi maintenant toi ? Si tu es venu pour me déranger c'est peine perdu.

-Tu te trompes Ron, je suis venu t'aider.

-Et tu es qui tout d'abord. Je ne t'ai jamais vu avant et tu débarques disant que tu connais Harry...

-Je n'ai jamais dit que je le connaissais, on habite les deux sur la même rue.

Il sembla songeur. Comme si le fait de m'associer aux parents moldus de Harry le dégoûtait. Il m'examina de la tête aux pieds et dit.

-Tu dis que tu peux m'aider ? Dis moi comment ou vas t'en. Je n'ai pas de temps à perdre.

-Tu as lu le rapport médical de Harry ?

-Non... pourquoi ?

-Comment peux-tu chercher un remède, sans savoir ce que tu cherches ?

-Je sais très bien ce que je cherche, si tu es venu pour me narguer, tu peux...

-Alors, dit moi quels sont les symptôme de Harry ?

-Il est dans le coma, c'est évident, alors arrête de m'importuner ou sinon...

-Tout d'abord, les professeurs ont dit entendre Harry dire qu'il voulait en finir avec la vie avant d'aller dans le coma.

Ron voulu m'interrompre, mais je parlai plus vite que lui.

-Ensuite, ses jambes sont rendues toute raide et ses yeux ne s'ouvrent plus. Comme s'il en avait perdu l'usage.

Le jeune Weasley me regarda avec méfiance comme si j'étais devenu fou.

-Il y a aussi le coeur. Celui d'Harry bat plus vite, comme s'il était exciter ou qu'il subissait une pression externe. Et enfin, les deux fois qu'il est sorti du coma il n'a pas été capable de dire un mot même s'il voulait parler. C'est tout noté ici regarde

Et je lançai le rapport sur la table de Ron, fier d'avoir pu lui montrer que j'avais mon intérêt. En tant que Serdaigle, j'étais fier d'avoir découvert tous ses faits nouveaux. J'avais peut-être la clef pour sauver Harry.

Il me regarda avec insistance. Je crois qu'il essayait de voir si je mentais ou non. Après quelque minutes de silences il dit finalement.

-Et à quoi savoir tout ça m'aide.

Je m'avançai en prenant le livre qu'il avait des mains. Le titre disait « Sommeil et Coma magique par Somme Dorsbien »

-Ce que tu cherches ne se trouve pas dans les livres de coma comme celui- ci, mais bien dans les poisons ou maladies magiques.

Il regarda tous les livres qu'il avait amené et les analysa un peu. Il se tourna vers moi et me demanda.

-C'est bien, tu m'as convaincu. Comment tu t'appelles, ou est-ce que je dois t'appeler le jeune ?

-Je m'appelle Nathan, Nathan Colley.

-C'est bon et tu connais mon nom, alors commençons la recherche.

Salut tous le monde, juste un mot pour vous dire que si vous voulez la suite, moi je veux des Reviews ! A la prochaine !! (PS prochaine fois, on comprend comme Hermione et Ron en sont venu aux hostilités, on voit la mort de Harry et on fait aussi un bon dans le temps)