J'ai vraiment été très déçu... Seulement 1 review. est-ce que mon histoire est si nul que ça...? Ce n'est pas long portant de dire, oui j'aime ça ou non je n'aime pas ça. Mais au moins, ça nous oriente dans notre écriture. Entk, je voudrais remercier Breizhonat qui mon histoire et qui me laisse toujours un petit review. C'est très apprécié et ça montre qu'au moins quelqu'un lis ce que j'écris.

Bon place à l'histoire. Disclaimer : Les personnage et les lieux sont a JK Rowling sauf ceux que j'ai créé.

Fin du chapitre 3

Il me serra un peu plus fort. Je pris une grande inspiration et je me dirigeai avec lui près de l'autel. J'étais hyper nerveux. On aurait dit qu'une armée de papillon virevoltait dans mon estomac. Mes jambes tremblaient de manière imperceptible. Je respirais rapidement. Je me mis à douter de tout et de rien. De moi, de Ginny, de la situation, des fleurs pour le mariage... Et puis elle apparut. Pour moi, même un ange n'aurait pas pu surpasser en beauté La douce et délicate jeune fille rousse qui marchait au bras de son père, suivant le rythme de la marche nuptiale. Elle semblait aussi nerveuse que moi et nos yeux se croisèrent. Je sus à ce moment précis que je ne devais plus douter. Qu'elle était la femme pour moi et que j'étais son homme. Au moment de l'embrasser, je compris que ma vie venait de changer à tout jamais... J'avais maintenant 23 ans. Exactement 10 ans après la mort d'Harry Potter, l'évènement le plus joyeux de ma vie se produisait.



Début du chapitre 4

Petite vie et voyage au nord

Les noces furent très belles. Je demandai à Sybile de ne plus faire de terrain, maintenant que j'étais marié. Élodie prit ma place avec Grégoire, Gabriel et Draco et je commençai à m'orienter vers la recherche. Les années passèrent ainsi, amenant chaque jour de bonnes, mais surtout de mauvaises nouvelles concernant la guerre. Ma vie de couple avec Ginny allait à merveille. Nous avions décidé de ne pas avoir d'enfant, du moins pas avant que la guerre soit finie. J'étais maintenant un membre à part entière de la famille Weasley et ce statut me rendait fier. Étant enfant unique, l'apport de frères étaient pour moi un rêve rendu réalité. Nous nous achetâmes donc une maison près de celle de ses parents. N'étant pas très grand, elle était très douillette. C'était notre petit nid commun. La cours était minuscule mais je pu y planter un arbre, un beau saule pleureur, pour que Ginny puisse y lire l'été sans être trop dérangé par le soleil. Je m'étais aussi arrangé pour installer un passage magique qui menait directement à Poudlard dans le sous-sol. N'importe qui croirait voyager dans un labyrinthe, mais en fait ils avançaient dans un espace magique vers Poudlard s'ils prenaient le bon chemin.

Les choses se déroulèrent tranquillement... Le temps s'égrenait lentement et je m'en plaint pas... Encore moins aujourd'hui. Chaque minute que nous passions ensemble était magique. Elle était la raison qui me poussait à continuer mon combat. Beaucoup aurait simplement abandonné, mais je décidai que je voulais faire vivre ma Ginny dans un monde meilleur, un monde sans seigneur noir. Les années passèrent rapidement. Je m'habituai à mon petit confort et les réalités extérieures me touchaient de moins en moins. La guerre avait pris des proportions astronomiques et tous les pays du monde devaient maintenant se défendre ou succomber dans la déchéance. Moi je recherchais simplement des sorts qui pourraient être utile dans la lutte. Je n'étais plus au premier plan, celui qui sauvait les vies, celui qui jouait les héros. Pour tous vous dire, ça me manquait peu. Le cinq années qui suivirent mon mariage furent donc les plus calmes de toute ma vie. Le rythme que j'entretenais était plus lent et mon existence avait pris une autre vitesse. Plus douce et plus reposée.

Pour ceux d'entre vous qui ne s'en souviennent pas, les positions du seigneur noir s'étaient resserrées en Angleterre. Poudlard, Pré au lard et une partie de Londres résistait encore. Le nord du pays était encore intact car les géants le défendaient avec férocité. Je sais que j'ai oublié de le mentionner plutôt dans mon récit, mais la cachette des corps d'Harry et de Ron se trouvait justement dans le nord. La raison de leur fougue était justement la défense de ce lieu secret.

Tout dégringola un beau dimanche soir. J'étais assied près du feu auprès de ma douce quand Hermione transplanna dans notre salon toute excitée. Ginny se leva et alla l'accueillir. J'allai la rejoindre.

-Hermione, que me vaut l'honneur de ta visite ? Tu sembles comme un enfant qui apprend qu'il va aller au parc d'amusement pour la première fois.

-C'est presque ça Nathan. Tu te rappelles sur quoi je fais mes recherches ?

-Si je ne me trompe pas, aux dernières nouvelles, tu avais recommencé à t'intéresser à la magie du temps.

-Non, tu as vu juste. J'ai trouvé un moyen par lequel je pourrai aller dans le passé et ramener quelqu'un !

Je pris un air sceptique. Je connaissais très bien les lois qui régissaient la magie du temps et il n'y avait aucun doute que le projet d'Hermione contrevenait à toutes. Elle devrait avoir de bon argument pour faire accepter ça au ministre.

-Tu as quoi exactement en tête ?

-Je vais aller dans ma cinquième année, avant le début des cours et je vais ramener Hermione pour qu'elle cherche activement un remède pour Harry. Comme ça, Ron ne deviendrait jamais seigneur noir et tout se déroulerait à merveille... Où du moins, mieux que présentement.

-L'idée est intéressante, mais comment comptes-tu la faire accepter par le conseil ? Percy ne sera jamais d'accord.

-Peut-être que je pourrais convaincre mon frère, il m'écoute quand je lui donne des conseils.

Je regardai Ginny alors qu'elle répondait. Je vis dans la fenêtre derrière elle une ombre bouger. Je me levai brusquement pour aller voir ce qui m'avait troublé ainsi, mais je ne trouvai rien. La cours arrière était vide.

-Qui à t'il mon chéri ?

-Rien... Sûrement un vieux chat qui passait dans la cour. Alors Hermione, tu disais ?

-Bien... Je ne comptais pas demander la permission à personne. En fait, je voulais savoir, me prêterais-tu ton sous-sol. J'ai besoin d'un endroit discret duquel je puisse facilement accéder à Poudlard. Du plus, il ne faut pas que personne soit au courrant. Je dois le faire en secret. Si je commence à demander des permissions, on en finira plus et tout le monde voudra mettre son grain de sel. Je vais les mettre sur un fait accomplit.

-Tu sais Hermione, c'est à ses moments là que je comprends vraiment pourquoi tu as été placé à Gryffondor. Tu es très intelligente, mais ton courage surpasse tout ça de beaucoup. Moi je ne vois pas d'inconvénient à ce que tu utilises mon sous-sol. Donc si Ginny est d'accord...

Nous tournâmes notre regard vers elle. Elle hocha simplement la tête pour signifier son accord.

-Alors je crois que tout est réglé, tu veux commencer à t'installer quand ?

-Heu... Maintenant ?

Je ris de bon coeur et allez lui faire de la place dans le sous-sol. Ginny nous aida aussi et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle commença ses expériences. Elle remonta quelques instants plus tard.

-Nathan, j'ai oublié de te dire, Sybile veut te voir. Vas-y quand tu auras le temps.

Ça faisait presque un an que je n'avais pas mis les pieds au château. En fait oui, je travaillais dans les donjons où se trouvait le repère de l'ordre. J'évitais le plus possible les étages supérieurs car la vue des tombes juchant la court m'attristait à chaque fois. Je marchai donc dans les corridors faiblement éclairés par la lumière extérieur jusqu'au bureau de Sybile. Elle me reçut et me demanda de m'asseoir.

-Salut Nathan... Tu dois te demander pourquoi je t'ai fait venir ici aujourd'hui ?

-Plus ou moins, tu as un problème.

-En quelque sorte, regarde ça.

Elle me tendit un parchemin que j'ouvris délicatement. À l'intérieur se trouvait un vieux texte. Il devait dater de la création de l'école et même avant.



Prophétie du Phénix

-Un jour viendra où la lumière ne sera plus qu'un lointain souvenir, -Et l'ordre établit pas nos frère ne vivra plus que dans les soupirs. -Lorsque le phénix, symbole du feu, perdre sa dernière plume -Seul le coeur pure de deux jeunes pourront le ramener de son état posthume

-L'un d'entre eux sera l'innocence même, mort avant que ça vie ne commence -Il aura le pouvoir et le courage des plus grand héros de romances -Même si sa vie est un immense tableau de tristesse et d'épreuve -Il saura vaincre la noirceur et donner à l'oiseau une peau neuve.

-L'autre sera le meilleur ami du monde, ils seront un duo d'amant à faire rêver, -Il aidera le premier à traverser tous les obstacles et les dangers -Il sera à ses côtés, jours et nuits, contre vent et marées -Et ensemble la lumière ils sauront ramener.

-Peu après leur exploit, les jeunes reviendront d'un chemin éprouvé -Et deux autres héros pourront enfin pardonner au passé -La colère qui les gruge pourra enfin s'estomper -Et le mal dans le monde, par eux ne pourra plus retourner



Nathan resta songeur quelques minutes en lisant la prophétie. Il regarda Sybile avec un air intrigué.

-À ton avis, ces deux jeunes... Ça ne serait pas...?

-Je ne suis pas encore sur. J'aimerais que toi et Gabriel vous alliez voir s'ils sont encore là et si tout va bien. Les géants n'ont rien signalés de suspect, mais j'aimerais juste en être sur.

-Et qui va faire la patrouille, je veux dire, si Gabriel part, ils ne seront que trois...

-Neville peut le remplacer. Il est fort et déterminé. Il a toute ma confiance.

-Soit, je ferai comme tu veux. Quand est-ce que moi et Gabriel on part ?

-Dès qu'il arrive, alors tu as le temps d'aller prévenir ta femme si tu veux. Dit-lui salut de ma part !

-Je n'y manquerai pas.

Je retournai en toute hâte chez moi. Je remarquai qu'Hermione n'était plus dans mon sous-sol, elle devait avoir commencé ses tests. Je montai à l'étage et Ginny était assise en train de lire un livre. Elle avait l'air d'un ange. Ses cheveux coulaient doucement sur ses épaules, ses yeux étaient pleins de joie. Tout son être émanait le bonheur. Quand elle leva les yeux sur moi, elle me sourit.

-Qu'est-ce que Sybile voulait ?

-Je dois partir en reconnaissance dans le nord. D'ailleurs, elle te fait dire bonjours

Elle prit un air grave et je vis sur son visage que l'idée ne lui plaisait pas du tout.

-Il y a quelque chose de grave, il me semble que tu ne devais plus faire de terrain qu'en cas de force majeur.

-C'est un peu ça, on a trouvé une vielle prophétie et elle aimerait que je parte voir avec Gabriel au nord des indices. Ce n'est rien de dangereux, ne t'en fais pas.

-Tu sais que je m'en fais toujours pour toi Nathan. Surtout avec ses fous qui rodent partout.

Je la pris dans mes bras pour la réconforter. Je ne voulais pas lui faire peur, ni qui lui arrive quoi que ce soit.

-Tu vas pouvoir aller chez tes parents pendant mon absence ?

-Je peux rester ici. L'école n'est pas loin et Hermione passe le plus clair de son temps en dessous de nous.

-Tu es sur... L'idée de te laisser seule ne m'enchante vraiment pas beaucoup.

-Crois moi Nathan, je suis une grande fille, en cinq ans, j'ai appris à me défendre.

-Si tu le dis, je te fais confiance

Je l'embrassai tendrement sur les lèvres.

-Bon je pars, je t'aime !

-Moi aussi je t'aime. Prends soin de toi !

-Toi aussi, et n'oublies pas de tout barrer quand tu vas te coucher et d'activer les protections magiques...

-Oui oui ! J'ai compris. Tu diras à Sybile que s'il arrive quelque chose à mon homme, je deviendrai féroce !

Elle me fit un sourire des plus charmeur. Je l'embrassai une dernière fois et je me décidai à partir.

Le chemin de retour vers l'école se fit rapidement et quand j'arrivai, Gabriel m'attendait. Après une accolade, nous transplaname dans la pièce où était enfermé Harry. C'était une ancienne base de commande du ministère qui avait été abandonné. L'ordre l'avait récupéré et l'avait modernisé. Il y avait des boules de cristal qui permettait de voir toutes les pièces de l'école. D'autre qui semblait brisé devait s'orienter sur le ministère avant sa destruction.

Rien n'avait changé en 15 ans. Les corps d'Harry et de Ron reposaient dans deux cercueils de verre transparent l'un à côté de l'autre. Leur corps conservait la fraîcheur de leur quinzième année et quelqu'un qui ne connaîtrait pas la vérité verrait en fait deux adolescents qui dorment paisiblement. Nous avions prévu de passer deux nuits ici pour inspecter en détail le complexe. Il était déjà tard lors de notre arrivée et nous nous sommes couchés dans peu de temps après. Le lendemain matin nous commençâmes notre inspection, visitant pièce par pièce. La journée fut longue et pénible, mais nous ne trouvâmes rien d'inusité. De retour le dortoir, Grégoire nous attendait. Les deux étant surpris, nous le regardions.

-Grégoire, qu'est-ce qu'il y a ?

Gabriel qui le connaissait mieux que moi sentait que quelque chose clochait. Une larme coula sur la joue de Grégoire. Depuis que je le connais, je ne l'ai jamais vu pleurer. Cette larme ne laissait rien présager de bon.

-Neville est tombé ce matin...

Gabriel commença à pleurer dans les bras de son bien aimé tandis que moi je plaquai mes mains à ma figure. Comment ça avait pu arriver. La seule journée qu'il remplace Gabriel et il tombe déjà. Je regardai Grégoire et Gabriel qui se rassureraient l'un l'autre. C'est fou comme j'ai eu besoin de Ginny à ce moment précis.

Après quelque seconde, Gabriel s'écarta et laissa son amoureux continuer ce qu'il avait à dire.

-Il est dans le coma, personne ne sait pour combien de temps il y restera. Hermione a essayé un nouveau remède sur lui...

Le silence tomba, mais il n'était pas normal. C'était un silence lourd, un silence qui cache quelque chose. Qu'était-il arrivé à Élodie et Draco... Par merlin, et si seul Neville et Grégoire s'en était sorti... Je n'étais pas le seul à sentir se silence. Gabriel vu lui aussi que quelque chose clochait.

-Qu'est-ce qu'il y a d'autre Grégoire.

Il me regarda et regarda Gabriel quelques secondes, et il éclata en sanglots.

-Je suis tellement désolé... Je voulais tellement la sauvée Nathan, mais ils nous ont pris par surprise, et le seigneur noir est venu lui-même... Je m'en veux tellement.

Tout devint noir autour de moi... Pendant un petit moment... Cinq secondes, 10 minutes, une heure... Je restai figeai et je fixai le mur devant moi. La douleur que je ressentais était tellement vive que je ne pouvais rester conscient. C'était comme si je respirais encore, mais que mon c?ur c'était arrêter de battre. Ma petite Ginny...

C'est à ce moment que je sortis de ma stupeur. Je me dirigeai vers l'entrée pour pouvoir transplanner, mais Gabriel me bloqua le passage. Il me prit dans ses bras et j'éclatai à mon tour en sanglots. Il se mit à me chuchoter à l'oreille.

-Viens Nathan, elle est encore vivante, mais elle n'en a plus pour longtemps. Tu peux donc lui parler une dernière fois. Dépêches-toi ! Et sèches ses larmes, tu ne veux pas que la dernière image qu'elle ait de ton visage soit triste. Soit fort Nathan... Je suis avec toi.

Sa voix restait calme, il me rassurait, il était la pour me consoler. N'ayant plus la force de transplanner, ils le firent pour moi. Devant ma maison, je ne vis que des ruines. J'entrai avec l'énergie du désespoir, cherchant mon petit rayon de soleil. Je la vis dans la cour à l'arrière, assise près de son arbre préféré. Je m'approchai d'elle aussi vite que je pu.

-Salut mon beau Nathan... Je suis heureuse que tu es eus le temps de venir...

Sa robe était tachée de sang au niveau de son ventre. Une partie de sa magnifique chevelure rousse avait brûlée. Ses jambes et ses mains étaient pleines d'ecchymoses comme quelqu'un qui vient de se battre. Entre chacune de ses phrases, elle toussait atrocement. Je m'assieds à ses côtés et je la pris dans mes bras.

-Je suis la mon amour. Je suis la pour toi, tu vas t'en sortir, crois moi.

-Tu sais Nathan... j'ai été la plus heureuse des femmes avec toi... Promets moi que tu vas trouver une autre après moi... et que tu vas la rendre aussi heureuse que je l'ai été.

-Tu ne mourras pas ma chérie, tu vas survivre, tu es fortes...

-Il ne me reste plus... Beaucoup de temps... Tu vas prendre soin de ma famille...

-Tout ce que tu veux ma colombe, mais restes avec moi... Ne me laisse pas seul...

-Surtout Percy... Il n'est pas encore au courrant que je vais... Dis... Tu peux me chanter la berceuse qu'il me chantait... Une dernière fois...

Mes yeux étaient embrouillés par les larmes. J'essayai de contenir le tremblement dans ma voix et je chantai doucement...

« Ne craint rien petite fleur. Ton mari est à tes côtés. Des dragons tu ne dois avoir peur. Car je vais te protéger.

Les ombres sur les murs. Et le monstre de l'escalier. Ne te ferons plus la vie dure. Pour toi je vais les chasser

N'est pas peur des méchants sorciers. Car je serai ton chevalier. Et rien ne pourra te toucher. Je serai ton bouclier

Ne craint rien petite fleur. Ton mari est à tes côtés. C'est maintenant l'heure. Tu dois te coucher »

Je vie derrière moi Grégoire qui supportait Gabriel jusque dans les ruines de la maison car il pleurait trop. Je me raclai la gorge. Elle respirait de plus en plus péniblement.

-Tu sais Nathan... Tu aurais fait un excellent père... Si seulement les choses avaient été différentes et si j'avais peu de dire...

Elle ne finit jamais sa phrase. Jamais dans ma vie je n'avais senti un tel vide. L'espace d'un instinct je compris ce que Ron avait pu sentir lorsque Harry est mort, il y a quinze ans de ça. Parlant de Ron, je me promis qu'il allait payer pour ça. Je sacrifierai ma vie s'il le faut, mais Ginny sera vengé. J'hurlai ma douleur et mon désespoir, comme un loup hurle quand il sent l'appel de la lune. Élodie et Sybile arrivèrent et elles me prirent dans leur bras. J'étais comme un chiot sans sa mère, une molécule qui vient de perdre ses atomes, une moitié qui demeurerait à jamais incomplète. Je passai le reste de la journée à pleurer, jusqu'à ce que je n'ais plus l'énergie et les larmes pour continuer.

Le soir même, quand je descendis l'escalier, du château, Sybile et Draco m'attendait. Ils me firent asseoir et Sybile ouvrit la discussion. Je n'avais aucune envie d'être là, mais je m'abstins de le faire remarquer.

-Nathan, je sais que tu as perdu beaucoup hier, plus que je ne pourrai jamais l'imaginer je crois, mais tu ne dois pas te laisser vaincre par tes émotions. Soit fort, lutte. Tu as un grand coeur et je sais que tu comprends ce que je veux dire. Si tu ne le fais pas pour toi, fais le pour Ginny. Elle ne voudrait pas te voir dans cet état...

Fin du chapitre 4.

SNIFFF Ginny est morte !! JE sais que le chapitre est triste et que certain d'entre-vous m'en veule pour l'avoir tué, mais je vous promet de me racheter dans le prochain chapitre. N'oubliez pas, laissez moi un review !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!