Chapitre 2 L'aide fuse de toute part

Harry avancait parmis la foule de sorcier d'un pas décider. Il pouvait entendre quelques personnes discuter du nouveau directeur de Poudlard:

-La rumeur veux qu'il ait renvoyer Harry Potter, quelle catastrophe!

Harry baissa la tête, le comble serait qu'il se face reconnaitre alors la, il s'en sortirait jamais vivant. À l'autre bout du chemin, s'élevait la banque de Gringotts. Il y entra et alla directement demander a retirer de l'argent de son cofre:

-Venez avec moi, lui dit un gobelin a l'air mauvait.

Arriver à son coffre, Harry en retira asser d'or pour vivre au chemin de traverse tout un mois peut-être même plus si il faisait pas de dépense inutile. Il rebroussa le chemin vers le chaudron baveur mais il s'arrêta pour acheter un examplaire de la Gazette du sorcier. En première page, il y avait une photo de lui avec en gros tire: Harry Potter, Renvoyer de Poudlard... quelle catastrophe!!! Harry n'en lit pas plus, il rentra au Chaudron baveur et alla s'installer au bar:

-Tenez tom, voila de quoi payer la chambre pour une semaine au moins!

-Il ne fallait pas jeune homme, je vous avait dis que sa serais gratuit...

-Je ne veut pas de favoritisme, fit Harry d'un ton sa réplique

Tom lui fit un sourrir édenter:

-Voulez-vous quelque chose?

-Oui, une bière au beurre svp.

Tom lui en servit une avant de raporter son attention a un groupe de sorcière qui ricannait en parlant d'un certain Hector Bellange. N'écoutant pas leur conversation futile, l'adolescent de 16 ans commenca a lire le journal:

«Les rumeurs venant du fais que Potter ait été expulser du colège vont bon train. Le jeune homme de 16 ans aurrait refuser de se placer du côté de son nouveau directeur et aurrais été contrain a se batre en duel. Duel qu'il aurrait perdu selon toute vrai semblance car selon les témoins qu'il l'aurrait appercu, sa robe de sorcier était déchirer et son visage marquer par plusieurs équimause.

Peut-on affirmer que le fait qu'il se soit fais expulser du colège soit une honte? Les avis son partager car, malgré le statu de Lucius Malefoy, plusieur rumeurs disent qu'il aurait des relation très proche avec des partisant de la magie noir... Il nous reste plus qu'a espérer que le jeune Potter réaparaisse et qu'il sauve, une fois de plus, le colège Poudlard.»

Harry cessa de lire et but d'un trait le reste de sa bière au beurre avant de monter vers sa chambre ou deux hibou l'attendait sagement, l'un était Hedwige et l'autre était celui qu'Harry avait utiliser pour écrire à Sirius, son parain:

«Harry, oui j'ai le droit d'être inquiet pour toi, être dans la rue, a ton âge, j'espère que tu bel et bien rendu au Chaudron Baveur. J'irais te rejoindre dans quelques jours car je suis en angleterre en se moment. Je part pas car je sais que Peter est ici et je suis sur qu'il va se montrer... un jour.

Pour l'instant, tu bouge pas d'ou que tu es, tu y es en sureté.

Snif»

Harry ne pu s'empêcher de sourir en lisant la lettre, non, il n'allait pas bouger, de toute façon, ou il pourrais bien aller?

Il s'interessa ensuite à la lettre s'hedwige qui transportait encore un colis:

«Cher Harry,

Nous sommes tous content de savoir que tu es en sureté, même Mcgonagall a faillit sauter de joie mais elle c'est retenu car Lucius n'était pas très loin...

La décoration de Poudlard a changer, il y a maintenant des statu de serpent au yeux émeraudes partout. Elles me donne la chair de poule a chaque fois que je passe devant.

J'ai prit l'initiative de t'envoyer deux petite chose qui devrai te faire plaisir. A toi de voir!

Hermione»

Harry ouvrit le paquet, il y trouva une banière des Gryffondore et son éclair de feu qui avait subit un sortilège de rétrécissement qu'il s'empressa d'annuler. Il posa son balais sur le lit et acrocha la banière au mur, un peu nostalgique devant les couleur rouge et or qui l'avait représenter pandant plus de 5 ans.

Il ramassa son balais qu'il avait déposer sur son lit, il était toujours aussi beau que quand il l'avait reçu. L'année d'avant, il avait été nomer capitaine mais quand il est rentré cette année la, Lucius avait déjà dans l'esprit d'éliminer le Quiddich et avait fais mettre le stade à terre:

-Monsieur Potter, avez-vous l'intention de manger ici lanca une voix dernière la porte?

-Heu, oui, servez moi le menu du jour svp!

-Bien.

Harry rengea son balais et descendi sans la sale à manger privé ou un déjeuner fumant ( il est midi) l'attendait. Tout semblait apétissant, il, commenca à manger quand tout à coup quelqu'un frappa a la porte:

-Harry Potter?

-Oui, vous pouvez entrer.

Quelle ne fut pas la surprise d'Harry de voir entrer le minitre de la magie lui-même dans la pièce dépourvu de fenêtre:

-Bonjour Harry fit le ministre d'une voix plutot timide pour un homme de cette importance, tu as l'aire de bien aller!

-Oui, je vais plutôt bien...

-Tu dois te sentir mal loin du colège...

-Écouter monsieur, je tien pas vraiment en n'en parler... Surtout que j'ai été renvoyer pour aucune raison apparente... sauf peut-être...

-Peut-être quoi Harry?

-Voldemort, il a tout les chance qu'il soit dans le colège et comme j'ai un certain "don" pour savoir quand il est pas trop loin de moi, il est probable que le nouveau directeur ne voulait pas que je devienne trop curieux.

-Voyons Harry, ne dis pas de bêtise....

-Alors dites-moi pourquoi j'aurrais été renvoyer de l'endroit que j'aime le plus au monde?

Le ministre ne répondit pas, regardant partout dans le pièce sauf les yeux vert émeraude d'harry qui le fixait furieusement:

-Harry, vaut qu'on en reste la pour le moment, je crois que la meilleur solition c'est que tu... tu...reste ici et aprenne la magie sur le tas...

-Très éficace comme solution, comptez s'y bien, il n'est pas question que j'abandonne mes ami à Voldemort.

-Voldemort, Voldemort, tu n'a que se nom dans la bouche.

Harry n'en revenait pas, Cornelius Fudge agissait comme si Voldemort était qu'un sorcier inofencif. Le ministre se leva et sortit de la pièce avec Harry qui le suivait toujours avec un regard assasin. Il n'avait plus du tout faim, il repoussa son assiète et sortit dans la cours arrière du pub d'un pas enrager. Il fulminait intérieurement, que ferais Hermione dans se cas? Ho, probablement se plonger dans un épais grimoir qui semble sans fin et Ron? Probablement qu'il irais bouder dans son dortoire pour en resortire une semaine plus tard pour cause de faim terrible!

Harry avanca devant les boutique et s'arrêta devant la librairie:

-Si je veux continuer à aprendre la magie, faudrait que je me mette à la lecture.

Il poussa la porte d'entrer de la boutique qui renfermait des centaines de grimoires. L' atmosphère y était lourde et poussièreuse. Harry se dirigea vers l'une des étagères: Sorts utile et inoffensif, l'arts des duels, sort offencif et sort d'attaque:

-Vous chercher quelque chose jeune homme?

-Oui, je chercher a étudier la magie sans être à Poudlard...

-Ho, hé bien, voici des tome très interessent vu votre condition fit le bibliothécaire avec un geste négligent vers les grimoires qu'Harry avait regarder.

-Merci

-Je vous les embalent?

-Non, je préfère selement les consulters

-Libre a vous.

L'homme s'éloigna de lui tandis qu'Harry prit le grimoire sur les sortilèges offencifs. Il lut pandant des heures sans s'arrêter, étudiant les techniques, aprenant les formules, utilisant les conseils pratiques. Quand enfin il cessa sa lecture, le soleil allait se coucher. Il dit aurevoir au bibliothéquaire et rentra au chaudron baveur. Il montat à sa chambre et qu'elle ne fut pas sa surprise quand il ouvrit la porte:

-Sirius!

Le chien noir qui était coucher sur son lit prit forme humaine tandis que Harry refermait la porte:

-Bonjours mon garçon, et puis, tu t'en sort pas trop mal?

-Oui, sa va, j'ai lu toute l'après midi à la librairie...

-Hermionne commence à avoir une mauvaise influence sur toi!

-Ha non, je veux simplement continuer a aprendre sans... sans être au colège. En passant, comment as-tu trouver la chambre, celle que j'utilise?

Sirius éclata de rire:

- Tu as peut-être pris une douche mais tes bas de la veille... ouf, franchement, je t'ai repérer à l'odeur!

Harry prit l'oreiller qu'il avait sur le dis et il le lanca sur son parain qui riat a gorge déployer:

-Hahaha, très drole!

-Voyons Harry je blaguais! Cependant, je crois pas que ça soit le moment...

Harry baissa les yeux tandis que son parain posait une main compatissante sur son épaule. Ils restèrent en silèce pandant plusieurs minutes. L'adolescent ne pouvait pas s'empêcher de repenser au évennement de la veille:

-Sirius, j'aimerais tellement aider mes amis... mon colège!

-Je comprend...

Sirius ne pu terminer sa phrase, une masse de plumes grisse entra dans la pièce et vint s'écraser sur le lit entre les deux homme. Harry reconnu immédiatement Érol, le vieux hibou de la famille weasley. Il détacha la lettre d'un geste presque machinal tandis que le vieux hibou, essoufler, se dirigea en sautillant vers un bol d'eau:

«Ho mon dieu Harry!!! Tu vas bien? Je le souhaite mon grand, si tu veux, tu peux venir quand tu le veux, tu seras toujours le bienvenu dans notre modeste maison.

Prend bien soin de toi Moly»

Harry replia la lettre avant de la tendre a son parain:

-La mère de Ron m'a écris, elle dis que je serais le bienvenu labas...

-Tu sais, tu devrais y aller... ça te ferais du bien d'avoir quelqu'un qui s'occupe de toi... un peu comme une mère.

-Oui, biensur... j'y penserais.

-Tu ferais bien d'accepter, sinon, je t'y traine de force!

-Pour te faire ensuite arrêter par monsieur Weasley... brillant le plan!

-Bha...

Harry se mit a rire. Sirius était particulièrement content de le voir dans cette état. Cependant, il était surpris qu'il ai pas encore imaginer tout un plan pour sortire ses ami de l'emprise de Lucius. Les deux hommes parlèrent ainsi longtemps. Quand il fut l'heure de dinner, Harry demande à avoir le service dans sa chambre et partagea le repas avec son oncle qui prit aussi une bonne douche. Cepandant, durant toute la soirée, un homme, s'affairant dans sa vieille boutique du chemin de traverse, lisait un vieu grimoire:

-Celui qui renoncera, reviendra.

Il referma le vieux grimoire et soufla les bougie qui servait à l'éclairer. Tandis que les volupte de fumé s'élevait dans la nuit, Harry s'endormi d'un rêve qui lui sera révélateur