Le cadeau des sages

Je remets le chapitre, je me suis aperçue d'horribles fautes que j'ai corrigées, mais si vous en voyez d'autres, prévenez-moi !!!



Alors, un petit Disclaimer pour faire comme tout le monde ! Tout ça, c'est à moi, Non !!! Tapez pas la tête, AÏE, d'accord j'avoue, c'est un peu a notre JK Rowling préférée, un peu a moi, et puis plus loin vous retrouverez encore d'autres choses qui sont à d'autres auteurs, mais je veux pas gâcher le suspense !!! Alors on verra à ce moment là !





Le lendemain matin, au petit déjeuner, Fred et George furent les derniers à émerger et ne paraissaient pas avoir beaucoup dormi. Ils se lançaient régulièrement des regards interrogateurs, se questionnaient en silence sur la marche à suivre. Aucun des deux ne paraissait pouvoir se décider et les regards de Harry ne les arrangeaient en aucun cas. Sirius, qui suivait habituellement George comme son ombre, restait sous la table, tout penaud. N'y tenant plus, Ron et Hermione, qui avaient remarqué leur petit manège, entraînèrent Harry dans le jardin.

_ Qu'est ce qui se passe, Harry ? Raconte-nous, depuis tout à l'heure, on a l'impression que tu supplies les jumeaux, et c'est vraiment pas ton habitude !

Alors, Harry raconta tout ce qui s'était passé la veille. A la fin de son récit, Hermione resta immobile à réfléchir, tandis que Ron se leva d'un bond et rejoignit le Terrier sans autre mot que ce qu'il marmonnait pour lui-même : « Ils ne peuvent pas faire ça » laissant les deux autres seuls. Tête basse, Sirius les rejoignit, se coucha en posant la tête sur les genoux de son filleul et gémit.

Les jours passèrent, tous de la même façon. Ron s'était enfermé dans sa chambre, la seule façon de se rendre compte de sa présence était le crissement presque continu de la plume sur du parchemin et un va-et-vient incessant de hiboux dans sa chambre. Les jumeaux continuaient à se demander que faire, parlant à voix basse et en jetant de réguliers coups d'?il méfiants à Sirius. Hermione travaillait continuellement sur une idée qu'elle avait eue quelques jours plus tôt pour venir en aide aux elfes de maison. Et Harry ? Lui s'ennuyait fermement, il passait des heures à réfléchir aux cotés de son parrain. Ce jour ci, ils regardaient tous deux l'album que lui avait offert Sirius, Harry prenait une page au hasard et Sirius lui faisait la légende. Ici, on voyait un 'jeune' Sirius en train d'essayer d'étrangler un 'jeune' Severus Rogue, là, c'était James qui réussissait sa première transformation Animagus, ou encore Lily qui essayait de réconforter Remus qui avait l'air assez mal en point, il y avait un nombre important de photos de Quidditch. Sur une double page, on pouvait voir James âgé de six ans embrasser une fillette de quatre ans ; Sirius se mordit la lèvre avant de lui expliquer qu'il s'agissait de Camille, la s?ur de James. Harry emporté par son enthousiasme ne comprit pas que cette fillette, de deux ans la cadette de son père, était sa tante, et donc qu'il n'était plus seul au monde, qu'il avait une famille. La dernière page était une photo de tous les Maraudeurs qui se passaient Harry dans les bras des uns des autres, l'enfant gazouillait de plaisir en essayant d'arracher les quelques cheveux restants de Peter. « C'est notre dernière photo tous ensemble, deux jours avant tu-sais-quoi » expliqua Sirius. Il fixa la photo encore quelques minutes d'un air mélancolique avant d'avoir un choc. Laissant un Harry stupéfait de sa réaction sur la pelouse, il courut vers le Terrier.

Devinant qu'il ne reverrait pas son parrain de sitôt, Harry décida de faire une sieste. En effet depuis quelques nuits, des yeux gris le fixaient, l'empêchant de dormir, tantôt des yeux tristes, tantôt furieux voire même pleins de larmes. Il prit le dreamer, se souvint des conseils de Charlie, se concentra sur sa famille et se laissa doucement entraîner dans les bras de Morphée. (j'adore cette expression, je sais pas si vous vous en étiez rendus compte !!!)



« Un homme brun se tenait debout, devant une grande cheminée. Il était vêtu d'une épaisse tunique bleue-nuit que couvrait une longue cape de la même couleur. A sa ceinture, on pouvait distinguer un poignard et une bourse de cuir. Dans sa main, il tenait une baguette pointée sur un homme jusque là pointée dans l'ombre. Celui ci était aussi blond que l'autre était brun et était vêtu de rouge. L'homme brun prit la parole, d'une voix hachée par la colère :

_ Njord, s'il y avait une chose, une seule, que tu n'aurais jamais dû faire, et que tu n'avais pas le droit de faire, c'était celle-ci. Poudlard ne compte donc pas pour toi ?

_ Si, justement ! Et je refuse que cette école soit dirigée par un incapable tel que toi, Alti. Godric ne s'est pas sacrifié en vain, il nous a laissé ça pour qu'on se le transmette de génération en génération pour éduquer les jeunes sorciers. Pas pour faire de ces murs une protection aux moldus contre leur propre stupidité. Ils viennent demander refuge contre la guerre et ils repartent quelques jours plus tard, la hache à la main en essayant de faire le plus de massacres possibles.

_ Je suis l'aîné, Njord, c'est moi qui décide, si tu n'es pas d'accord, tant pis pour toi.

_ En effet, Alti, je ne suis absolument pas d'accord.

_ Dans ce cas, regarde bien ces murs, comme tu le dis si bien, Njord, car c'est la dernière fois que tu les vois. Je te chasse, je te bannis, je te renie, tu n'es plus mon frère, tu peux oublier ton nom, tu n'es plus un Gryffondor.

Le dénommé Njord se leva ; d'un air fier, il récupéra sa baguette et une longue épée qu'il glissa dans son fourreau, il jeta un dernier coup d'?il au château où il avait grandi et claqua la porte, non sans avoir proclamé à voix haute :

_ Foi de Sparrowhawk (épervier), je vous volerai dans les plumes.

Et d'un geste de colère, il claqua dans ses mains, et une immense étendue d'eau se forma au pied du château. »

Harry se réveilla quelques minutes plus tard, le soir tombait, il rentra au Terrier. Sirius n'était pas encore rentré, Ron était sorti de sa chambre mais avait l'air de mauvaise humeur. Hermione était le nez dans un livre qu'elle avait emprunté à Percy : 'L'histoire complète et totale de Poudlard sans omettre le moindre détail' écrit par G.C.Pôpourkoa ; elle prenait des notes sur le chapitre consacré aux 'employés non-humains de Poudlard'. Fred et George étaient dans leur chambre, M. Weasley et Percy toujours au Ministère et Ginny faisait ses devoirs. Harry s'affala sur le canapé, près de la fenêtre, et . (à votre avis ??? () reçut de plein fouet un hibou qui avait visiblement remarqué lui aussi la place libre. Le volatile eut un hululement indigné et en tentant de remettre ses plumes en ordre, il se dirigea vers Ron.

Le reste des vacances passa de cette manière, chacun faisant bande à part et Sirius ne réapparaissant toujours pas. A cause du retour de Voldemort, ce fut Molly qui alla chercher les fournitures pour tous les élèves car elle refusait de laisser les adolescents sans surveillance en une époque si mouvementée. La veille de la rentrée, rien ne changea, tous mangèrent dans un lourd silence et comme d'habitude, à la fin du repas, Percy emmena une deuxième part dans sa chambre. Harry se souvint alors du 'il' inconnu qui logeait dans la chambre de l'ancien préfet en chef, mais il n'arriva pas à tirer les vers du nez de qui que ce soit. Il s'interrompit dans ses pensées quand une petite chouette rousse lui apporta une lettre.

« Salut Harry ! Comment se passent tes vacances ? Moi, je travaille beaucoup pour ma rentrée puisque j'entre à Potofeu demain !!! Mes parents ont mis un temps fou avant d'accepter de me laisser partir. En fait, ils se sont décidés, il y a presque trois semaines, par un beau jour très ensoleillé où la foudre a perforé le toit de la maison ! Je te vois demain à la gare puisque mon train part de la voie 5 1/12ème. A+ cousin, Dudley. »

Harry ne s'attendait absolument pas à avoir de nouvelles de son cousin, surtout par hibou ! Mais elle avait eu l'avantage de réussir à lui changer les idées. Il emprunta une plume à Hermione et entreprit de répondre à son cousin.

« Salut Dudley, je suis content d'avoir de tes nouvelles, je m'y attendais pas du tout ! Bon courage pour tes révisions, moi, j'arrive pas à m'y mettre ! Sinon, où es-tu ? Parce que ça m'étonnerait que tes parents acceptent de te garder chez toi pour l'instant, surtout avec un toit percé et une baguette ! A demain, Harry. »

Il attacha la lettre à la patte de la petite chouette rousse qui attendait avec une impatience toute enthousiaste de porter la lettre à son destinataire. Elle prit rapidement son envol, fit une ou deux acrobaties dans le salon avant de sortir. Le garçon s'installa confortablement dans un fauteuil et ferma les yeux ; sitôt ses paupières closes, il vit réapparaître ces yeux gris qu'il commençait à bien connaître maintenant. Il sondait le regard, l'observant attentivement, analysant les émotions qui transparaissaient à travers les pupilles grises : une étincelle de joie s'y était installée, mais un instant plus tard, les yeux avaient du être surpris car après un clignement de paupières, il ne vit plus que de la peur puis une larme accrochée dans ces cils bruns, refusant de tomber, elle ne tombait pas. Elle ne devait pas tomber.

En ouvrant les yeux, il était intrigué. Ces yeux ne l'avaient pas quitté depuis presque un mois, saisissant son attention à chaque fois qu'il fermait les siens. Ils étaient tantôt du gris de l'acier, impénétrables, tantôt un océan de nuages, où Harry pouvait tout lire comme dans un livre ouvert. Ne pouvant se concentrer de nouveau, ces yeux continuant à la pourchasser, Harry monta se coucher, se concentra, en prenant le dreamer, sur 'rien'. Il voulait dormir tranquille pour une fois et il s'endormit paisiblement. Le lendemain matin, Molly vint réveiller les garçons ; aussi peu réveillé l'un que l'autre, Ron et Harry descendirent les escaliers presque à l'aveuglette et s'assirent machinalement sur le banc le plus proche. Les jumeaux semblaient à peine plus éveillés que les deux amis, tandis que les filles n'étaient pas encore descendues. Quand elles furent installées, Mrs Weasley leur servit un petit déjeuner qui aurait largement suffi à un régiment tout entier. Une fois rassasiés, elle les envoya chercher leurs affaires puis, à chacun, elle distribua une petite graine bleue.

_ Ceci est une graine vent. Arthur a eu énormément de mal à s'en procurer. Quand je vous le dirai, vous l'écraserez dans votre paume en pensant à la gare de King Cross. Vous avez tous bien compris ?

Tous hochèrent la tête, examinant avec curiosité sa minuscule graine.

_On y va ?

Harry ferma les yeux, se concentra sur le lieu désigné en écrasa la graine ; aussitôt il se sentit léger comme un courant d'air, et emporté comme une feuille d'automne. Quand il rouvrit les yeux, il était à l'entrée de la gare, près des autres qui semblaient ravis de leur voyage. Ils se dirigèrent vers le quai 5 1/12e où Harry et Dudley avaient rendez-vous. Celui ci n'était pas encore arrivé, mais Percy les rejoint bientôt accompagné d'une personne portant déjà sa robe de sorcier et dont la capuche était rabattue sur son visage. C'était son cousin !

_ Dudley ? Qu'est ce que tu fais avec Percy ? Mais . (il réfléchit 30 secondes [note : et oui, apparemment ça lui arrive ! lol ]) C'était toi qui était caché chez les Weasley ?

_ Oui ! Et c'est chez eux que tu étais en vacances ? J'avais compris que tu partais chez ton amie Hermione.

Les deux sorciers se mirent à rire simultanément et rejoignirent Hermione, Mrs Weasley et le quai derrière le kiosque. Un train à vapeur ressemblant étrangement au Poudlard Express mais beaucoup plus petit attendait les élèves. Pendant que Dudley observait attentivement le train, les deux garçons furent bousculés par une fille brune de petite taille ; quand elle se retourna pour s'excuser, Hermione la reconnut :

_ Cho ? Qu'est ce que tu fais là ?

_ J'entre à Potofeu cette année. Et vous ?

_ On accompagne le cousin de Harry. Mais pourquoi est ce que tu changes d'école ?

_ Mes pouvoirs régressent. Je n'ai plus le niveau pour rester à Poudlard. Et puis, ça me permettra de m'éloigner du souvenir de Cédric. Bon, il faut y aller, le train part dans trois minutes. A bientôt !

_ A bientôt Cho !

Et elle s'embarqua à bord du train, suivi par Dudley. Hermione, Mrs Weasley et Harry se précipitèrent alors vers la voie 9 ¾ où les attendait le Poudlard Express. Après avoir embrassé tous les enfants, elle les laissa monter chercher un compartiment. Ils prirent le premier qu'ils trouvèrent. Aussitôt, les jumeaux et Ginny partirent à la recherche de leurs amis. Ron entama la discussion : _ Alors, qu'est ce que vous avez fait pendant les vacances ?

Hermione et Harry se regardèrent, stupéfaits, puis fixèrent Ron, en se demandant s'il blaguait ou non. _ Ron ? On a passé presque tout le mois d'août chez toi, tu ne te souviens pas ?

_Ah bon ? C'est dommage, on aurait peut être pu se voir.

_Ron, tu es sur que tu vas bien ?

_Oui, bien sur ! Et il sembla se réveiller de quelque rêve lointain.

_Oh, excusez-moi, c'est la faute de Fred et George avec Sirius. J'ai bossé dessus pendant toutes les vacances, et je vous ai oublié j'ai l'impression. Vous ne vous êtes pas trop ennuyés ?

Les deux concernés se hâtèrent de nier afin d'ôter tout reproche à leur meilleur ami. La conversation partit sur des bases plus calmes, et tout le voyage se passa bien. Ils virent beaucoup de monde de Gryffondor, Neville, l'équipe de Quidditch, . Bref, juste la petite visite de Draco Malfoy à déplorer, mais celui ci partit bien vite quand Ron lui rappela ce qui s'était passé la dernière fois. Jusqu'à ce que . la porte s'ouvrit à nouveau laissant passer une fillette qui entrait vraisemblablement en première année. Elle avait de longs cheveux bruns et d'immenses yeux gris. Ces yeux. Ceux qui poursuivaient Harry. Eux. Elle ressemblait tellement à quelqu'un, à 'lui'. L'examen de Harry n'avait duré que quelques millièmes de secondes. Pendant ce temps Ron s'était levé, furieux :

_Encore une Malfoy ? C'est vrai qu'un seul, ça ne nous suffisait pas !

La fillette monta aussitôt sur ces grands chevaux. Ces yeux gris étaient redevenus cet océan de nuages où perçait de temps à autre un éclair destiné au rouquin

_ Quand tu ne sais pas, tu ferais mieux de te taire. Je ne suis pas mon père.

Sur ce, elle partit en claquant la porte. Hermione se fâcha après Ron, Harry, lui, restait songeur ; pendant tout l'été, il avait été obnubilé par ces yeux gris qu'il comprenait, et maintenant on lui apprenait que c'était ceux d'une Malfoy. Mais malgré son dégoût pour ce nom, il voulait comprendre la fillette, il avait failli frapper Ron quand il l'avait mise dehors, il s'était retenu tant bien que mal. En bruit de fond, il entendit ses amis se disputer, mais il ne sortit de ses pensées qu'à l'arrivée à Pré au Lard.

Hagrid, le demi-géant les y attendait. Il fit un signe aux trois amis avant d'accompagner les premières années vers le lac. Le professeur Flitwick attendait les autres et les mena aux diligences qui se dirigèrent aussitôt vers Poudlard et son château. Le professeur McGonagall leur fit signe de la suivre, mais une main empêcha Harry de la suivre : le professeur Dumbledore. Le vieil homme le conduisit jusque dans son bureau circulaire.



_Harry, comment vas-tu ? Ne me réponds pas 'bien', je le vois dans tes yeux.

_Si, professeur, ça va, mais je m'inquiète pour Sirius. Il était chez les Weasley pendant les vacances, et les jumeaux ont découvert son identité, il est partit, et je ne l'ai pas revu depuis.

_ Ne t'inquiète pas à ce propos. Il est venu me trouver, pour me parler d'une idée très intéressante et puis pour me dire qu'il t'avait donné la lettre de tes parents.

_ Dans ce cas, où est-il ?

_ En sécurité, il travaille sur son idée. Et ton ami Ron l'accapare de hiboux depuis le début des vacances. Il est très attaché à Sirius apparemment, et il travaille sur un projet pour le réhabiliter. Il a fait de l'excellent travail jusque là, même si je pense que pour le moment, ce n'est pas encore suffisant. Mais, ce n'est pas de ça que je voulais te parler. Lily t'a bien dit de venir me voir, n'est ce pas

Harry hocha la tête.

_ Je ne peux pas tout t'expliquer maintenant, et il me semble que tu dois avoir une petite discussion avec M. Londubat si je ne me trompe. Tu viendras me trouver dès que tu auras le temps, d'accord ?

_ Oui, Professeur.

_ Tu peux rejoindre les autres, la cérémonie va commencer d'un instant à l'autre.

Harry sortit et rejoignit ses amis dans la Grande Salle. La cérémonie avait déjà commencé, quelques élèves avaient déjà été répartis.

« Lloyd, David : Poufsouffle »

« Malfoy, Siriz ». La brunette posa le Choixpeau sur sa tête, Harry pouvait voir dans ses yeux qu'elle n'était pas d'accord avec son couvre-chef. Elle secouait la tête, ses yeux dévoilaient ses pensées ; après quelques minutes de désaccord, le Choixpeau dit finalement : « Serdaigle ». Siriz se leva, dit un mot au Choixpeau et se dirigea vers la table de sa maison. Un murmure de surprise parcourut la salle. Pour la première fois depuis des générations, le nom de Malfoy était représenté dans une autre maison que celle de Serpentard.

La répartition continuait, mais Harry avait la tête ailleurs. Son esprit allait de cette fille qu'il avait l'impression de comprendre, qu'il avait l'impression d'avoir toujours connue, la s?ur de son ennemi, à son frère qui la regardait avec un air de dégoût qui alternait avec celui de fureur et de honte. Harry sortit de ses pensées quand le professeur Dumbledore prit la parole. Comme tous les ans, il fit son discours de bienvenue, un rappel des principales règles à respecter avant de leur souhaiter un bon appétit.



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Merci à tous ceux qui ont laissé une review :

_ Mister-Master : voilà la suite ! Même si je suis pas très rapide, j'ai quelques problèmes avec ma dissert' de philo, donc, j'ai pas trop pensé à vous cette semaine.

_ Et puis Mattéic : Voilà ! Tu sais qui est Camille ! Enfin en partie, la suite au prochain épisode !!! Moi aussi je m'inquiète pour le casting, mais bon.

Merci à tous ceux qui ont lu, et n'oubliez pas les reviews ;-) La suite, probablement pas tout de suite, mais normalement, au programme (c'est pas sur, c'est pas encore écrit) : la discussion avec Neville, la discussion avec Dumbledore, ce qu'est devenu Camille, et on en apprendra plus sur Siriz. Mais, je dis bien, c'est pas sur !!!

Je remets le chapitre, je me suis aperçue d'horribles fautes que j'ai corrigées, mais si vous en voyez d'autres, prévenez-moi !!!