Cocou tout l'monde ! Houlaaaaaaaa ! ! ! ! ! ! ! Y a pas beaucoup de poèmes
en français sur LotR, en français ( ni de fics, d'ailleurs . )
Ceci est un « passe temps » auquel je me suis consacrée pendant les
dernières vacances. J'ai d'ailleurs longuement hésité ( = flemmardé )
avant de le poster . Dites moi ce que vous en pensez !
J'ai cru voir là-bas au loin,
Caché par un manteau brumeux,
Un rivage de sable fin
Sous ce ciel de velours bleu.
Sur de grands récifs de pierre
Venait se briser l'écume argentée
Qui, engendrée par la mer,
Jaillissait sous le rideau étoilé.
J'ai senti les rayons lunaires
Effleurer mes cheveux et mes doigts ;
Réveillant de son étrange mystère
Cette terre d'autrefois.
J'ai cru entendre le vent
Chuchoter le clapotis des flots,
Et de ce rivage le foulement
Par un ardent pied nouveau.
S'élevèrent alors dans la nuit,
Troublant ce silence et mon c?ur,
Au dessus de ces terres endormies
De doux chants vibrants de chaleur.
En un dialecte oublié,
Mais que mon âme reconnut,
Ils louèrent des Jours Passés
Pour nous, à jamais perdus.
Dans la grisaille matinale
Des silhouettes se dessinèrent,
Leur chevelure couleur d'or pâle
Et leur stature d'un' grâce fière.
J'ai cru voir là-bas au loin
En un songe merveilleux
Le retour des Etres Anciens
Au Pays Béni des Dieux.
J'ai cru voir là-bas au loin,
Caché par un manteau brumeux,
Un rivage de sable fin
Sous ce ciel de velours bleu.
Sur de grands récifs de pierre
Venait se briser l'écume argentée
Qui, engendrée par la mer,
Jaillissait sous le rideau étoilé.
J'ai senti les rayons lunaires
Effleurer mes cheveux et mes doigts ;
Réveillant de son étrange mystère
Cette terre d'autrefois.
J'ai cru entendre le vent
Chuchoter le clapotis des flots,
Et de ce rivage le foulement
Par un ardent pied nouveau.
S'élevèrent alors dans la nuit,
Troublant ce silence et mon c?ur,
Au dessus de ces terres endormies
De doux chants vibrants de chaleur.
En un dialecte oublié,
Mais que mon âme reconnut,
Ils louèrent des Jours Passés
Pour nous, à jamais perdus.
Dans la grisaille matinale
Des silhouettes se dessinèrent,
Leur chevelure couleur d'or pâle
Et leur stature d'un' grâce fière.
J'ai cru voir là-bas au loin
En un songe merveilleux
Le retour des Etres Anciens
Au Pays Béni des Dieux.
