Auteur : Isly
Disclaimer : Je ne possède que ce qui est à moi( vous vous en douter n'est- ce pas) bon d'accord, tout ce que vous reconnaîtrez de l'univers d'Harry Potter est à JKR le reste est à moi.
Spoilers : 4 premiers Tombes de HP
Rated : G
Genre : General
Attention : Risque d'OOC, et toute référence à Godric Hollow n'est pas forcément réel puisque je n'ai aucune idée de l'allure de cet endroit.
Defi en fin de Chapitre
Un choix, une vie Chapitre 2 : Histoire de Famille
Une haine démesuré,
Cache souvant une peur encore plus grande. La peur la plus courante est celle de l'inconnu. Alors s'il suffisait d'apprendre à connaître les autres, Pour que la haine face place au respect...
Harry et Gaëlle avaient souvant entendu parler de Pétunia, la soeur de leur mère, et de son mari. Cette famille de Moldus considérait les sorciers de la même manière que certains sorciers de sang pur, particulièrement ceux qui soutenaient Voldemort, considèrait les Moldus. C'set fou ce que faire l'ironie parfois, si semblable et pourtant si loin l'un de l'autre. Ils comprenaient en quoi leur visite était une mauvaise nouvelle. Les deux enfants Potter n'avaient jamais rencontré les membres de cette partie de leur famille et ne souhaitaient véritablement pas. Cepandant, ils savaient que si cette famille avait été invité au manoir c'était pour une bonne raison et tout les deux aidèrent leur parents à tout préparer.
Loin de là, dans une grande maison d'un de ces quartiers riches moldus une autre famille s'affairait. Il n'y pas longtemps ils avaient reçu une lettre étrange par la poste et avait décidé d'y répondre. Pétunia se demandait encore comment elle avait pu accepter l'offre de sa soeur , cell qu'elle avait renié depuis des années. Mais après tout c'était sûrement pour pouvoir ce moquer de la cabane qui devait lui servir de maison( car il ne pouvait pas en être autrement, non?) et exposer sa richesse et la réussite de son époux. Quoi qu'il en soit elle devait expliquer à ses enfants l'anormalité de sa soeur, bien qu'il lui en couta de le faire, et toute les règles de sécurité qu'ils devraient respecter lorsqu'ils seraient là-bas. Entre autre, il ne devait jamais tourner le dos à ses gens, ne manger qu'après que l'un d'eux l'ai fait,(non pas par respect, mais pour s'assurer que la nourriture n'était pas dangereuse) toujours getter leur moindre geste et s'éloigner si leur mains s'approchait trop de ce morceaux de bois qu'ils nommait baguette et bien d'autres encore. On ne pouvait faire pas confiance à ses gens. Lorsqu'elle eu finit ses expliquations elle regarda avec fièreté ses deux enfants. Il y avait Dudley, son fils, l'aîné. Elle le jugeait grand et fort, sans doute le plus belle homme d'Angleterre, bien qu'il soit en réalité assez semblable à un énorme ballon qu'on aurait doté de bras, de jambes et d'une tête d'où pendait au moin 12 énormes plis et qu'il faisait fuire l'ensemble de la gente féminine. Il était tellement gros que l'on avait du mal à comprendre comment il réussisait encore à marcher. Ce jeune homme que beaucoup regardait avec dégout avait récemment eu ses 15 ans. Les autres adolescent s'accordaient à dire que c'était une grosse brute sans une once de cervelle. Ensuite il y avait Ann (N/A : je n'ai rien contre les Ann, mais il fallait que je bien que je lui trouve un nom) sa fille cadette. Pétunia la voyait belle, gentille et gracieuse, ainsi que tout ce qui pourrait plaire au garçon, mais encore là elle était loin de la vérité. Ann était petite et grâce, bien que sur ce sujets elle n'égale pas son frère. Elle avait le long cou et les cheveux blond de sa mère, ainsi elle aurait put parraître jolie si elle n'était pas si semblable à son père(et par la même occasion à sa tante marge) ce qui lui enlevait toute féminité, il ne lui manquait plus que la moustache. De plus elle se maquillait tellement que ça en devenait affreux. Elle était prétentieuse et méprisante, très peu de gens l'appréciait véritablement. Son mari Vernon était au travail, elle le trouvait parfait, normal. Mais Mr Dursley était en réalité un homme massif à la moustache abondante qui crétiquait tout ce qui bougeat(excepté sa0famile) et exécrait tout ceux qu'il jugeait anormal. Quelqu'un lui avait-il dit que comme chaque être humain était diférent, la normalité n'existe pas? Et enfin il y avait elle, Pétunia. Elle se décrivait comme une personne d'un naturel curieux, sympathique et qui aimait la propreté. D'autre vous dirait qu'elle aimait passer son temps à espionner ses voisins, qu'il était simple de savoir si ele vous aimait ou non(ce qui était beaucoup plus fréquant) et qu'elle était une véritable maniaque de la propreté. Tel était la famille des Dursley, tout ce qu'il y avait de différent des Potter, et il aurait été fier de l'entendre...
Le lendemain matin, on pouvait observer une scène étrange dans le jardin du manoir Griffondor. Le père et le fils étaient dans assis à mêmme le sol et tandis que Harry semblait méditer, son père veillait à son coté en murmurant de temps en temps des formules de consentration. Depuis trois ans, cette scène se répétait régulièrement car Harry apprenait à devenir un Animagus, comme tout ses ancêtre savant lui et comme le commencerais Gaëlle l'année prochaine. Voilà une autre caractéristique des Potter, bien que cette tradition remonte plutôt au nom de Griffondor donc Harry était le nouvel héritier, avec tout les pouvoirs qui venaient avec. C'était d'ailleurs Godric Grifondor qui avait été le premier animagi d'une très longue ligné, il se transformait en lion. Gaëlle prendrait la place d'Harry dans sa lutte contre les ténébre s'il lui arrivait malheur et elle commençait déjà à s'entrainer, comme elle le faisait maintenant avec sa mère. La première étape qu'il devait aprendre c'était de faire de la magie sans baguette, avant même d'en possèder une. En faite c'était à cette époque que c'était le plus facile à apprendre, il suffisait de contôler ses pouvoirs pour que, sans formule ni baguette, la magie accidentelle n'en soit plus. Quoi qu'il en soit ça faisait trois ans que Harry connaissait la forme Animagus qu'il prendrait lorsqu'il franchirait cette étape et ça faisait autant de temps qu'il refusait d'en dévoiler l'identité à quiconque. Il préfèrait leur laisser la surprise. Il se concentrait sur cet animal dont il avait encore du mal à croire en lla véritable identité, que c'était précisément lui qui le représentait le mieux. Il s'en sentait tellement proche maintenant, sentait sa puissance , son courage, sa dignité, sa noblesse d'âme. Il ressentit une étrange chaleur le parcourir, alors que James observait cette aura doré qui venait d'entourer le corps de son fils. Il stoppa ces formules et Harry sortit lentement de sa consentration avec le même air de fièreté et d'admiration qu'il affichait à chaque fin d'entraînment. Son père le regarda, sourire en coin, et lui dit : « Tu y es presque, la prochaine fois ce sera ta première transformation. Alors maintenant peut-être que tu pourrais me donner le nom de l'animal qui est en toi...
- Non! répondit calmement son fils
- Mais voyons Harry, ça fait trois ans que tu nous le cache et ce n'est certainement pas de honte vu la tête que tu fais après chaques séances d'entraînements.
- Je n'ai pas honte, au contraire. Mais je veux garder la surprise.
- Une semaine de plus ou de moins...
- Si je te le disais tu ne me croirais pas. »
C'était là la stricte vérité, incontournable et incontrôlable car Harry deviendrais un Animagus Fantastique, ce qui témoignait encore davantage de la puissance du jeune sorcier puisque seul les sorciers qui possédaient des pouvoirs équivalents à ceux de l'animal pouvaient en prendre la forme. Mais le plus incroyable était que l'identité de de l'animal en question était en fait le plus puissant qui puissent exister dans ce monde.
Le reste de la journée fut consacré à la préparation du manoir pour recevoir la soeur de Lily. La tâche fut longue et pénible car leur maison, bien que possèdant plusieur appareil de tecnologie moldu, était typiquement sorcière et certains accessoires pouvaient même effrayer un moldu non- averti, comme la salle d'entaînement magique qu'il avait fermé à coup de plusieurs sorts. Et puis il y avait une aile au manoir où il ne se pratiquait aucune magie et où tout ce qui s'y trouvait avait été crée ou fabriquer par les humains sans pouvoir magique. C'est là qu'il logerais leurs invitée si tout se passait comme Lily et Dumbldore le croyaient. Puis il y avait le souper à préparer, et pas question de servir du dragon ou quelquechose dans ce genre. Ils s'activèrent pendant plusieurs heures et à 15 heures tout était prêt.
Une voiture flambant neuve s'engangea sur une rue calme de Godric Hollow, passant tantôt devant des maisons dont la construction datait d'il y a plusieurs siècle, tantôt devant des habitations plus moderne. Les passagers vérifiaient chaques adresse, cherchant la bonne. Bientôt les maisons s'espacèrent de plus en plus, jusqu'au moment au ils ne virent plus la suivante. Un homme corpulant se tourna vers la femme maigre qu'était son épouse et lui dit : « Ils ne t'ont pas donné la bonne adresse, il n'y aucune maison ici. Ces gens ne doivent même pas savoir comment on retrouve la maison des gens normaux.
- Tu as raison mon chéri, lui répondit sa femme. Ou alors il vivent dans une misérable cabane dans cette forêt. On peut s'attendre à tout de la part... »
Elle ne finit jamais sa phrase. Pétunia venait d'apercevoir le toit d'une demeure qui prometteit d'être magnifique. Elle n'allait pas ratté ce spectacle, elle qui rêvait de vivre dans un manoir depuis qu'elle était toute petite... Et si elle avait la moidre chance d'observer une de ces construction majestueuse, elle ne la manquerais pas. Par le grillage elle vit cet endroit à n'en couper le soulfe, à en faire rêver plus d'un. Elle jetta un regard vers l'adresse, par pur curieusité mais aussi à cause du mécanisme qu'elle adopté depuis quelques minutes... Elle manqua de s'en étouffer, les chiffres étaient les mêmes que sur le bout de papier qu'elle tenait à la main. « Au mon dieu, Vernon, c'est ici!
- Voyons ne soit pas ridicule, répliqua l'interpellé, ces gens n'ont pas les moyens de se payer ce genre de maison.
- Mais regarde l'adresse. »
Il le fit et faillit perdre le contôle de sa voiture. Alors, prudemment il s'engagea dans l'entré. Le grillage s'ouvrit sans bruit alors qu'il se dirigeait vers lui. Il n'y avait aucune caméra ni aucun mécanisme de ce genre, c'est comme si elle c'était ouverte par magie... et c'était sans doute le cas. Puis quelques secondes plus tard ils eurent la confirmation qu'ils étaient au bon endroit lorsque la porte s'ouvrit sur Lily Potter.
À l'intérieur du manoir, alors que cette famille si peu ordinaire finissait de se préparer, les ondes magique se troublèrent légèrement. Les Dursley étaient arrivé. Lily poussa un léger soupir de résignation et alla ouvrir la porte. Elle fut bientôt rejoint par son mari et ces deux enfants. Pétunia et Vernon sortait de leur voiture, bientôt immiter par deux enfants qui en aurait fait fuir plus d'un. La jeune femme se força à sourire et alla rejoindre sa soeur. Elle lui souhaita la bienvenue, lui présenta sa famille, attendit que celle-ci fasse de même mais c'était peine perdu. Pétunia ne lui adressa pas le moindre sourire et resta aussi muette qu'une tombe. Elle semblait détester encore plus sa soeur. On pouvait facilement lire la jalousie dans son regard. Le reste de la famile Dursley s'exprimait différament. Ann regardait les robes du mari et du fils de Lily avec un dégoût évident tandis que James lui adressait son sourire de Maraudeur parfaitement imité par Harry. C'en était déroutant. Mais cette similitude n'était pas présente que chez les Potter, car Vernon et Dudley jetait exactement le même regard méprisant sur leur hôte. Leurs pensées étaient facile à deviner, comment Dieu avait put permettre la création de tel être étrange et si peu normal. Plus les secondes passaient, plus la tension montait et comme d'habitude c'est Lily qui règla le problème en invitant tout le monde à entrer. Ils passèrent au salon, un silence pesant reignait. Une main se tendit vers un pot de bonbon qui normalement n'avait rien à faire là, pour ce saisir d'une friandise emballé dans un papier aux couleurs vivent. Dudley déballa la sucrerie et alla la porter à sa bouche, ignorant le conseil que lui avait donné sa mère la veille. Ça aurait pu lui faire passer à jamais le goût de manger tout ce qui lui passait par la main si celle d'une autre ne l'aurais pas arrêter dans son geste. « Attend Dudley, lui dit calmement Lily, je ne crois pas que appréciera ces bonbons. Harry, je peux savoir ce que les Pralines Longues Langues des jumeaux font ici.
- J'en sais rien, répondit l'interpellé.
- Harry...
- Non vraiment, je les ai cherché toute la journée pour les mettre hors de porté d'imprudant, mais je ne les ai pas trouver. En fait je les réservais pour faire passer le goût au Serpentard de voler les friandises des premières années. Je suis sûr que Gaëlle serait d'accord pour m'aider... Et d'aileurs, j'ai beau avoir récolter quelques retenus plutôt dissuasive, ce n'est pas moi le farceur de la famille. Je ne suis pas un Maraudeur...
- James, qu'as-tu à dire pour ta défense.
- Que ton fils est vraiment doué. Piègé aussi facilement son père qui lui n'a pratiquement jamais eu de retenu, faute de peuve. Et puis j'avais trouvé ces farces assez intéressantes et j'avais le goût de savoir quel était leur effets.
- Tu n'as qu'a demander à Rogue, il a été victime de la plupart des essais des jumeaux. Pas que j'approuve surtout quand on connaît son rôle pour la résistance... et en plus ça lui a donné l'occasion de détester encore plus les Griffondors...
- Vraiment? Ils ont vraiment fait ça à un professeur!? S'exclamèrent en coeur le couple sorcier »
Harry se contenta d'hocher la tête pendant que les Dursley semblaient complètement perdu. Lily remplaça les Pralines Longues Langues par tout un assortiment de confisseries sorcières et moldu en conseillant de ne pas trop en manger s' il voulait avoir faim pour le souper et ne pas être malade. Cette fois Dudley ne prit que ce qui lui était totalement famillier (la discusion précédante l'avait quelque peu térifier) et seulement aprèsavoir vu son cousin ou sa cousine y goûté. L'atmosphère n'était pas tellement à la fête, et la tension continuait à monter malgrès les efforts évident de Lily pour la diminuer. Comment avait-il put en arriver là?
Quelques heures plus tard, hôtes et invité étaient assis à table, mangeant le délicieux repas qu'avait préparé Lily. Un silence de mort règnait dans la pièce, troublé seulement par le tic tac de l'horloge et le bruit qui accompagnait innivitablement un repas. La femme de la maison avait renoncé à attreprendre toute discussion lorsque sa soeur l'avait ouvertement insulté. Des regards de haine pure s'échangeaient entre les deux familles. Tout aurait pu très mal tourné si à ce moment-là n'était pas entré un magnifique oiseau au plumage rouge et or, une lettre attaché à la patte. Le phénix alla se pauser devant James, lui montrant sa patte et poussa une note apppaisante. James lit la lettre, après l'avoir détachéde de lapatte de Fumsec et l'avoir ouverte. Son visage devient alors plus grave mais aussi il exprimait un certain soulagement. « C'est Albus, dit- il, il a repéré une activité Mangemorte chez vous, Dursley.
- Qu'est-ce que une activité mange- motte, répondit avec véhémence le Dursley en question.
- Pas mange-motte, MANGEMORTE, pour désigner ce que font les Mangemort, de méchants sorciers qui rampe aux pieds du dernier héritié de Serpentard et qui s'amuse à tuer tout ce qui bouge, en particulier lorsque leur cible n'a aucun moyen de défense. Vous pouvez vous compter chanceux que Lily ai prie tout les moyens innimaginable pour vous éloigner de chez vous aujourd'hui et s'assurer que vous n'y retourniez pas avant que tout danger soit écarté!
- Qu'est-ce qui nous prouve de la véracité de vos propos, monsieur. Qui sait ce qui se passe dans la tête des gens tordus comme vous.
- Et bien allez vérifier! Mais ne venez pas vous plaindre lorsque vous vous retrouverez six pieds sous terre, que vous leur ayez dit ou non ce qu'il voullait savoir, parce que vous n'avez pas écouté nos avertissements.
- Ce n'est pas une preuve.
- Et que voudriez-vous que l'on vous montre, intervient calmement Harry. Peut-être que si on regardait les nouvelles et que pouriez voir par vous même la Marque des Ténèbre au dessus de...
- La Marque des Ténèbres, l'interrompit Dudley avec mépris. Qu'est-ce que c'est que ce trucs?
- Le signe d'identification de Tom, ou Voldemort, répondit Gaëlle tout aussi calmement que son frère. Une tête de mort verte qui flotte dans les aires, un serpnt rouge sort de sa bouche. Curieusement elle est toujours assosier à un crime étrange où on ne retrouve jamais la cause de la mort. Je suis sûre que vous en avez déjà entendu parlé....
- Vous savez ce qu'est cette chose, dit Ann avec dédain. Même les spécialistes n'ont pas pu identifier les cause de son apparition ni comment ces crimes ont été commis.
- La réponse est simple tant qu'on sais que c'est possible, reprit James. Deux sorts, tous les deux illégaux dont un qui est même dit Impardonnable. Donnez à un fou aux idées meurtrières des pouvoirs magiques suffisament grands et c'est suffisant pour plonger ce monde dans les ténèbres.
-Vous êtes tous des fous, cracha Pétunia. Tous! Autant que vous êtres! Vous nous révélez enfin votre vrai visage. Il n'y a que des êtres comme vous qui pussiez commettre de tels actes.
- Tu ne comprends donc rien, explosa sa soeur. Depuis des années nous nous battons pour vous protèger, vous et tout les autres Moldu. Nous risquons nos vie pour sauver les votres et ça fait de nous les cibles prioritaires! Même nos enfants sont obligé de participer à cette guerre, contre leur gré, car Voldemort veux les tuer avant qu'ils ne soient trop puissants. Et après tu oses venir me dire que les sorciers sont tous des meurtriers qui devrait rotir en ENFER. Et d'ailleur dois-je vraiment te rapeller que ceux que tu appelles les gens normal commette des crimes aussi horrible. Viendrais-tu me dire que ce n'est pas la même chose, que ces gens ont des trouble psychologique? C'EST LA MÊME CHOSE! La seule différence qu'il y a entre eux et Volde mort c'est leur moyen de tuer! J'ai tout fait pour que tu reste en vie, ignorante de cette guere, en paix aussi longtemps que possible. J'ai tout fait pour que tu finnissent par accepter nos différences, mais toi tu ne fais que me jeter, me traiter de monstre, me regarder comme si j'était le plus dégoutant de tout les rats. MALGRÈS TOUT TU N'AS JAMAIS CESSÉ D'ÊTRE MA SOEUR ET JE T'AIMAIS EN TANT QUE TEL. Je vient de te sauver la vie et tu me crache au visage! N'as-tu donc aucun respect pour les sentiments des autres. Ne me parles plus jamais des miens comme des êtres immondes qui ne mérite pas de vivrent. TU AS COMPRIS?»
Un silence de mort suivit cette déclaration. Il était rare de voir Lily Potter en colère, mais lorsque ça arrivait, peut de gens en restait neutre, elle était terrible. Mais cette fois était encore davantage impressionnante puisque la tristesse et la déception ce mêlait à la rage. La réponse à la question de Lily ne vient jamais, alors cette dernière quitta la cuisine sans plus aucune parole. Quelques instants plus tard elle fut immité par les autes.
James poussa la porte qui menait à sa chambre pour retrouver une Lily sur le point de pleurer. Il s'approcha doucement de sa femme et la serra tendrement dans ses bras. Lily se laissa aller dans l'étreinte que lui portait son mari et cessa de résister contre les larmes qui menacer de couler depuis longtemps déjà. « Oh! James, j'en ai assé! J'ai enduré ça pendant des années et au moment où je lui sauve la vie elle s'y remets. Je ne tiendrai pas tout ce temps!
- Chut! Ma petite fleur, tu es courageuse et forte, tu sauras résister. Elle ne recommencera pas, sinon elle aura affaire à moi...
- Comment a-t-elle put insulter la résistance, l'Orde du Phoénix. Comment a- t-elle put dire des choses pareillse.
- Elle ne sait pas de quoi elle parle, voilà tout. Je crois que tu lui as fait ravaler sa langue ma chérie.
- James?
- Oui?
- Pourquoi as-tu mis ses Pralines Longues Langues dans le salon? Tu voulais vraiment qu'ils perdent touts confiance en nous.
- Pas du tout! D'abord parce qu'il n'avait déjà aucune confiance en nous et deuxièmement parce que c'était le meilleur moyen pour que ça change. Tu vois, je savais précisément que mon fils et ma femme sont très observateur et qu'il sont suffisament honnête et rapide pour tout arrêter avant que ça ne dégénèrent. Ce garçon n'aurait jamais mangé ce bonbon quoi qu'il arrive, j'y aurait moi-même mis fin s'il l'aurait fallu. Et voyant que l'on veut les empêcher de manger quelque chose de dangereux ils auront davantage confiance en nous.
- Tu es un homme tordu James Potter, mais c'est comme ça que je t'aime! »
Les deux amants échangèrent un doux baiser avant de s'étendre dans leur lit dans les bras l'un de l'autre.
Pendant ce temps Harry avait été chargé de conduire leurs invités à leur chambres. Il le fit en silence et se dirigea vers l'endroit où généralement sa famille se réunissait lorsqu'elle voulait se détendre et oublier provisoirement tout leurs problèmes. Il ne leur fit pas visiter, disant qu'il aurait emplemment le temps le lendemain et qu'ils ne devaient pas sn faire car tout était normal dans cette aile. Il ne prolongea pas l'entretien et l'adolescent fit simplement savoir qu'il y a avait des vêtement non sorcier dans leur garde-robe. Il monta se coucher, exténué par sa journée.
Le lendemain matin Gaëlle fut tiré de son lit par la délicieuse odeur dudéjeuné que sa mère devait certainement préparé. Elle s'étira comme un chat avant de quitté ses couvertures. Elle se dirigea vers son garde-robe et chosit une robe de couleur etde texure semblable à la brume matinale. Elle aimait beaucoup ce vêtement typiquement sorcier qui mettait ses yeux en valeur. Après s'être vêtu, la plus jeune enfant des Potter quitta sa chambre pour descendre rejoindre sa mère dans la cuisine. Comme d'habitude son père et son frère était déjà présent, par contre elle ne trouva aucune trace des Dursley. Après quelques minutes, ceux-ci arrivèrent vêtu des mêmes vêtements que la veille. Gaëlle leur jeta un regar interlogué qui ne reçu comme réponse qu'un regard noir. Cependant elle ne se gêna pas pour leur dire ce qu'elle pensait . « Vous savez, les vêtement dans les gardes- robes sont pour vous. Ils ne sont ni ensorcellé ni de mauvais goût. Il y en a même pour touit les styles. Faut pas vous gêner...
- Gaëlle, la coupa sa mère.
- Mais maman on ne sait pas combien de temps ces Mangemort vont rester à leur porte, ils ne vomt pas garder les mêmes vêtements tous ce temps!
- Si c'est ce qu'ils veulent on ne va pas leur en empêcher, dit sagement James. Quoique...
- James!
- Désolé Lily-flower! »
Et l'homme s'approccha de sa femme pour lui déposer un baiser dans le cou, histoire de se faire pardonner. « J'espère que vous vous trouverez de quoi vous changer les idées, continua Cornedrue à l'adresse des Dursley, bien qu'il n'y ai rien pour vous ennuyer ici. Parce que pendant la journée j'amène les enfants acheter leurs fornitures scolaires et Lily risque d'être très occupé...
- Vous allez magasiner? l'nterrompit Ann
- Oui, répondit Gaëlle, mais je ne croit pas que le Chemin de Traverse t'interesse. Tu es beaucoup trop terre-à-terre pour ça. Et puis je ne crois pas que ta mère te laisserais venir sur une rue exclusivement sorcière, ni qu'elle accepte de te laissé seule avec nous. Elle aurait trop peur que tu subisses notre mauvaise infuence. N'est-ce pas Tante Pétunia.
- Tu lis dans mes pensés. »
Le déjeuné se termina sans autres incidents, surtout du au fait qu'il se termina dans un silence total. Ensuite James et ses deux enfants prirent la poudre de cheminette avant de disparaître pour le Chemin de Traverse.
Ils attérirent tout trois dans la cheminée du Chaudron Baveur, l'un après l'autre, et il traversèrent le pub bondé pour se rendre dans la cour arrière. Il s'appercûrent rapidement qu'ils n'étaient pas seul, une autre famille s'apprêtaient à ouvrir la porte qui menait sur le chemin de traverse. Ce n'était pas une mauvaise rencontre, ni pour Harry, ni pour Gaëlle... « Bonjour 'mione, dit Harry à la jeune adolescente qui accompagnait son oncle, sa tante et sa cousine.
- Salut Harry, répondit la conscernée. Tu ne trouve pas qu'il y a beaucoup de coïncidence ces temps-çi.
- Toi aussi tu as remarqué... Bonjour Mr et Mrs Granger, à toi aussi Julia.
- Bonjour Harry, lui répondit Mrs Granger.
- À ce que je vois, commença Gaëlle, tu as décidé de développer tes pouvoirs Julia. C'est vraiment super!
- Je ne voudrais pas importuné, coupa James,son sourrir de Maraudeur jouant sur ses lèvres, mais je crois que tout le monde ici est venu pour traverser ce mur... Alors autant le faire tout de suite, vous continurez vos conversations de l'autre côté. À qui l'honneur?
- Je crois que je peux le faire, répondit Hermione. »
Elle sortit sa baguette et tapota un endroit précis sur le mur avec celle- ci. C'est alors que sous les regards étonnés des trois autres membre de sa famille que le mur s'ouvrit jusqu'à former un arche parfait. La jeune adolescente invita son oncle, sa tante et sa cousine à passé, bientôt suivit par les trois Potter. Elle dit, enthousiasme :« Bienvenue sur le Chemin de Traverse... »
Au manoir Griffondor les choses semblaient se compliquer. Vernon Dursley s'était mit dans la tête de critiquer tout ce qu'il voyait, ces choses si peu normal, tellement étrange. Au bout de quelques minutes Lily se tana et l'interrompit calmement : « Vernon Dursley, tes pensées phylosophique sur les accessoires du monde de la sorcellerie, il n'y que toi que ça interesse, alors cesse de gaspier ta salive là-dessus d'accord. J'aime ma maison comme elle est et je n'y changerai rien, peu importe ce que tu vas dire.
- Je ne comprend pas, dit Ann, ce que vous voulez dire par sorcellerie. Maman tu nous a toujours dit que ce genre de choses n'exiaient pas et là parce que ta soeur, dont on ignorait l'existance jusqu'à présent, son mari et ses enfant son bizarre et parle de ça comme d'une chose réelle, tout d'un coup ça existe... Je n'y crois pas, ce n'est pas possible.
- Je vois que tu as conviencu tes enfants de l'innexistance du monde de la magie Pétunia, dit Lily en regarda tour à tour Ann qui semblait si perdu qu'elle était au bord de l'hystérie et Dydley, son énorme viasage déformé par la concentration alors qu'il tentait de comprendre ce que sa soeur venait de dire. De quoi as-tu peur?
- Je n'ai pas peur, répondit Pétunia avec véhémence.
- Si tu le dit, répliqua Lily pas convaicu du tout. Et toi Vernon.
- Je ne vois pas de QUOI je pourais avoir peur. »
Lily leur fit un sourire qui ne présageait rien de bon et sortit sa baguette. Au même instant Pétunia poussait un crie d'horreur et Vernon tenta de cacher ses enfants derrière son dos, alors que lui même avait blêmit et tremblait de tout ses membres.
« De ça, dit Lily. De cet objet qui est essentiel à un sorcier. Un objet qui peut faire bien des choses, bonnesou mausaises, dépendant des intentions de son utilisateur. Vous avez peur de l'objet qui représente les sorciers, donc vous avez peur des sorciers eux-même. Mais en réalité, votre véritable phobie vient du fait que vous n'y connaissez rien.... »
Leur premiere étape était la banque Gringotts. C'était innévitable, tout sorcier qui se respecte et qui doit faire des achats devait passer par la banque des sorciers. Pour les Granger il s'agissait d'échanger leur argent Moldu en argent Sorcier, pour les Potter il fallait aller piger dans le coffre familliale. Pour les uns ou pour les autres il fallait passer devant les Goblins. Les enfants et les parents avait discuté jusqu'au moment où ils durent se séparer. C'est ainsi que Harry appris que son amie était la nouvelle Préfète de Griffondor. Il l'avait félicité et avait demandé comment avait réagit Ron. D'après Hermione, il ne l'avait pas trop mal prit, puisqu'elle avait promis qu'elle ne serais pas comme Percy. Harry se doutait qu'elle avait prit d'autre moyen pour mieux se faire entendre mais préfèrait ne pas connaître les détails. En effet depuis bientôt deux mois Ron et Hermione formait un couple et depuis ce temps les disputes entre les deux interressés avait considérablement diminué.
Après avoir récolté ou échangé l'argent nécessaires, les deux familles se retrouvèrent devant l'édfice, où il s'était donné rendez-vous. Leur prochaine étape était celle du magasin d'Ollivander .
Lily rengea sa baguette, mais ne s'arrêta pas là. Elle prononça une formule inconpréhensible pour les Dursley et comme par magie, en fait par magie, un livre arriva dans sa main. «Comme vous pouvez maintenant le constater, continua Lily, certain sorcier n'ont pas besoin de baguette pour faire de la magie. Nos pouvoirs sont en nous, non pas dans cet objet. Si l'un de vous essayerait de lancer un sort avec ma bagette, il ne se produrait rien.
- Raison de plus pour éviter les gens comme toi, répliqua sa soeur.
- La haine est un sentiment redoutable qui cache souvant une peur encore plus grande. Apprenez à connaitre cette peur et la haine disparaîtra. Écoute moi bien Pétunia, j'ignore combien de temps vous devrez rester ici et cette perspective ne m'enchante pas plus que toi. Alors si on veut que tout le monde sorte vivant de cette mésaventure alors autant changer de comportement. Alors je te propose cecii : ou tu me laisse vous apprendre à connaître les sorciers et vous faire réaliser que nous sommes aussi humain que vous ou vous restez terrer dans l'aile moldu pendant tout votre séjour dans la crainte que nous vous fassions subir un quelquonque sort dont vous ignorer l'existance alors que rien n'arrivera. Tu m'appeleras quand vous aurez pris votre déscision. »
Sur ce Lily quitta la pièce pour vaquer à ses occupations.
Le groupe formé par les familles Granger et Potter entra dans la petite boutique encombré qu'était le magasin de baguette. Ils n'eurent pas a atttendre longtemps avant qu'Ollivander vienne les voir. « Ah! Mademoiselle Potter, j'attendait votre visite avec impatience. Les membres votre famille à l'habitude d'être des clients plutôt difficile et chaque baguette que je vend aux Potter à un petit quelque chose de spécial. Mais je vois que vous ammener de la famille Miss Granger, quels liens ont-ils avec vous?
- Mon oncle, ma tante et ma cousine, Julia, qui vient de recevoir sa lettre de Poudlard.
- Ils semblent que les pouvoirs magiques se révèlent de ce côtée. Ils ne serait pas surprenant que tout les Gtranger de votre génération soit des sorciers et qu'une nouvelle branche soit née. Mais voyons pour les baguettes. Commençons par vous Miss Granger, ce sera sans doute moin long. »
Le sorcier sortit un ruban à mesurer qui commença son travail habituel, comme il l'avait déjà fait pour Harry, Hermione et même James.Après quelques minute le ruban tomba tout seul et Ollivandeur alla choisir une baguette parmis tant d'autres. « Voyons celle-ci. 22,3 centimètre, bois de pommier, avec une ventricule de dragon à l'intérieur. Tient bien dans la main, idéal pour les sortillèges de déplacement. Agitez-la un peu. »
Julia s'exécuta et presque aussiôt des palliettes vertes et rouges s'échapèrent de la baguette. « Très bien, le choix à été facile. Cette baguette vous a choisit, alors elle vous convient parfaitement, tâchez d'en prendre soin. À vous maintenant Miss Potter. »
Les mesures de Gaëlle furent prises de la même manière que celle de Julia. Ollivander lui tendis une baguette, ésitant légèrent. « 18 centimètres, bois de rosier, crin de licorne. Flexible et idéale pour les métamorphoses, agitez-la un peu. »
Elle s'éxécuta, rien ne se produisit. Ollivander lui arracha des mains et lui en tendis une autre. « 21 centimètre, bois de châtaignier, ventricule de dragon. Solide et très bonne pour les sort d'attaque. Allez-y. »
Toujours rien. Le même manège se répéta pendant plusieurs minutes. Gaëlle avait eu l'impression d'avoir essayé toute les baguettse du magasin quand Ollivander sembla avoir un éclair de génie. Il s'excusa et se dirigea vers l'arrière boutique, pour revenir quelques secondes plus tard en tenant une boîte comme s'il s'agissait d'un trésor. Il l'ouvrit et tendis la baguette à l'adolescente sans donner d'expliquation et tremblant d'excitation. Gaëlle l'agita et des étincelles blaches et or sortirent de la baguette. Ollivandeur sembla être aux anges. « Monssieur Ollivandeur, dit doncement James, cette baguette, qu'à-t-elle de spéciale?
- Il semble que vos deux enfants aient des prédisposition pour les phénix qui sorte de l'ordinaire, monsieur Potter. Cette baguette est l'harmonie parfaite de 25 centimètre de bois de sorbier et d'une plume de phénix albinos, animal unique et considéré comme le plus pur de tous. Bien qu'elle soit la meilleure en qualité pour les duels il est impossible de tirer un sort de magie noir de cette merveille. Il m'a été difficile de lui trouvé un propriètaire et évidement cette baguette convient parfaitement à une Potter. Je crois que vous ne pourez pas vous écarter de la voie de la lumière jeune fille. »
Le silence retomba dans la pièce. Harry repensait à sa propre baguette qui, elle aussi contenait une plume de phénix. Ce phénix avait fornit deux plume au fabriquant de baguette. Une avait servit à la conception de sa baguette et l'autre à celle de Voldemort. Il ne le regrette pas, loin de là. Elle lui avait d'ailleurs sauvé la vie il y a avait à peine deux mois Après avoir payé les objets magiques le groupe sortit pour acheter le reste de leur matériel.
Lily était maintenant dans la cour, faisant le vide de son esprit et le rapprocha de celui de la nature. Elle repoussait les vision qui voulait s'immincer dans sa tête, particulièrement quand elle était dans cette état- là et en appella à la nature. Tout les membre de la famille Potter avait quelque chose de particulier. James et Harry était les héritiers de Godric Griffondor, et Gaëlle en était la descendante. Cette dernière était la pureté incarné. Lily se rappelait de sa naissance particulière...
Flash back
James et Harry, qui venait avait tout juste 4 ans, étaient à ses côtés lorsque la petite fille qu'ils attendaient depuis neuf mois apparaîssait. Il avait fallu plusieurs heures d'effort à Lily avant de pouvoir tenir la petite Gaëlle dans ses bras. Elle avait à peine pleuré, juste le temps de signaler que tout allait bien et qu'elle avait ressentit le choc de son arrivé dans le monde immense des hommes. Elle était magifique, sa peau était couleur de crème et non craimoisie comme celle de tout les nouveaux- nées et ses immence yeux bleu-gris s'ouvraient déja sur le monde, regardant rapidement sa famille avait de boire pour la première fois au sein de sa mère. Elle était déjà étrange pour un bébé nouveau née, mais en parfaite santé. Ce ne fut que lorsque les médicomages et les infirmières quittèrent la pièce que l'événement qui changeraient à jamais la vie de Lily et du reste de la famille se produisit. Une lumière d'une blancheur douche et pure se répandit dans la pièce puis Il apparut. Un homme dont ils ne peurent voir le visage mais dont les immence ailes blanches étaient plus qu'apparente. Il s'approcha de la mère et du bébé qu'elle tenait près de son coeur, passa sa main fine sur le front de Gaëlle et murmura d'une voix trop pure pour être humaine : « Veillez sur ce peit ange, elle aidera son frère à lutter contre les ténèbres de ce monde »
Fin du flash back
Puis il y avait James. Il n'était ni Auror, ni sorcier-gerrier, ni mage de guerre, ni duelliste et ni héro, mais un mélange de tout ça. Il était puissant, il n'avait jamais perdu de duel, sauf peut-être contre son grand-père, Albus Dumbledore. Voldemort voulait l'éliminer mais ne le pouvait pas, les force de son adversaire était trop grande. Il n'y avait eu qu'un seul moment dans la vie de James où celui-ci avait été plus vulnérable face à Voldemort, c'était dans le mois qui avait suivit la pratique du sortillège de Fidelitas car le sort avait ulilisé plus de la moitié de ses pouvoirs et il avait fallu du temps au socier avant de récupéré. Heureusement Sirius ne les aurait jamais trahis. James était peut-être suffisament puissant pour résister à Voldemort et ne pas être tué par le mage noir mais il ne l'était pas suffisament pour l'éliminer. C'était Harry qui aurait bientôt les pouvoir pour. Élu pour combattre les ténébres. Tant de puissance et d'espoir placé dans un adolescent qui aurait du s'affirmer être comme les autres. Heureusement peu de gens était au courant, et le jeune hériter de Griffondor pouvait encore rester annonyme. Il avait certain dondont il ne voulait pas mais qui lui servait à combattre son ennemi. Puis il y avait elle, Lily Potter. Elle avait tout d'abord un don très puissant de Claire-voyanse, sensibilité, appellez le comme vous voulez. Un don qu'elle avait transmis à ses deux enfants. Mais ce n'était pas tout, elle était aussi sorci-druide, une sorcière rallier à la nature. Elle savait communiquer avec les animaux, pouvait entendre les murmures de la flore et s'avait interpretter les signes des éléments. Elle n'avait pa besoin de devenir animagus car elle pouvait prendre la forme de l'animal qu'elle voulait quand elle le voulait. Elle savait utilisé la nature pour se protèger et attaquer. Puis, finallement, elle contrôlait parfaitement la magie sans baguette. En faite elle avait apris à contôler ainsi ses pouvoir bien avant de savoir qu'elle était une sorcière. Elle aussi apportait une aide précieuse à la résistance.
L'arrivée de sa soeur la sortit de ses réflexions et de se concentrarion. Elle semblait craintive, sur ses gardes. »Nous avons pris notre décision... »
Après avoir acheté tout le matériel nécessaire à leur année scolaire, le groupe se dirigea vers la ménagerie magique. Gaëlle et Julia voulait toutes les deux un animal qu'elle pourait ammener à Poudlard. Les parents avaient accepté et c'est pour cette raison qu'ils entraient présentement dans le magasin le plus bruyant du Chemin de Traverse. Le nombre de sortes d'animaux vendu à cet endroit avait encore augmenté cette année. Pendant qu'il passait devant la viterine d'où l'on voyait diverse serpents Harry se tut, s'arangeant pour ne rien dire alors que les différente phrase que pronnoçaient les reptilesqui discutaient entre eux parvenait à ses oreilles. En effet, Harry Potter était un fourchelang, bien que ce ne soit pas naturel...
Flash back
Harry avait tout juste cinq ans lorsqu'il était allé au chemin de Traverse avec ses parents pour la première fois. Tout c'était bien passé jusqu'à ce que la foule commence à s'agité, criant et se sauvant. Des Mangemorts, et Voldemort lui-même, étaient apparu et commençait à tuer sans aucune pitié tout ceux qui se retouvait sur leur chemin, épargant cepandant certaine famille plus que d'autre. Remus avait éloigné les enfants du danger(comme la pleine avait eu lieu la veille et que ses force était réduite, c'est lui qui avait été désigné accomplire pour cette tâche) , prenant Gaëlle dans ses bras et tenant Harry par la main, alors que James, Lily et Sirius allait combattre leur ennemi. Cepandant Harry fut entraîner par la foule furieuse loin du loup-garoup alors qu'il passait au travers et Remus n'avait pas réussit à retenir sa main. Harry était effrayé, comme tout enfant de cinq ans prit dans la panique générale, mais bientôt sa peur allait encore augmenté. La foule était passée, Harry était intacte, mais secouer et isolé de tout secours lorsqu'il était aparut, lui Voldemort. Il avait souri lorsqu'il avait aperçu l'enfant Potter, non pas d'un sourire rassurant et protecteur, mais cruel et sastisfait. Il avait pointé sa baguette vers le coeur de cet enfant sans défense et avait prononcer la formule que craignait tout les sorciers, l'Avada Kedavra. Cepandant il se passa une chose à laquelle Voldemort ne s'attendait pas... Une lumière rouge et or entourant le plus jeune hériter de Griffondor et formant une sorte de bouclier qui absorbait le sort lancer pas le Seigneur des Ténébres. Le sort lancer inconciament par Harry pour le protèger était puissant, mais pas suffisament pour arrêter la totalité de celui, mortel, lancer par Voldemort. Après quelques secondes le bouclier tomba et une infime partit de l'Avada Kedavra le toucha. L'enfant tomba sur le sol, envelopper par les ténèbre. Il n'était pas mort, mais dans le comma. Il ne sortit de cette était que trois semaine plus tard, dans un lit de St Mangouste. Il avait fallut quelque jour à James et Lily pour se rendre compte que l'incident n'avait pas été sans autres conséquences majeurs et que dorénavent leur fils était un Fourcelangue. Mais ce n'était pas tout. Le don que lui avait transmit sa mère, à savoir qu'il est des vision du passé, du présent ou du futur était dorénavant davantage focalisé sur Voldemort. Ce dernier était aussi le premier sorcier dont Harry était arriver à sentir la présence. Et finalement il y avait leur baguette....
Fin du falsh back
Pour beaucoup de sorciers être Forchelangue signifiait obligatoirement être un mage noir. C'était un préjuger complètement infondé, bien sûr, mais qui avait beaucoup d'impacte sur la vie des concerné. Alors ce n'était pas sans raison que Harry préfèrait tenir sa langue en présence de serpant et de sorcier. C'était plus prudent. Alors qu'il dépassèrent la section réservé au reptile, l'adolescent recommença à discuter et à conseiller sa soeur. Celle-ci ne voulait pas de hiboux, elle n'en avait pas besoin puisque Harry avait Hedwidge et qu'il lui laissait l'utiliser. Et puis elle voulait un animal qu'elle pourrait avoir plus souvant près d'elle. Son père et son frère lui conseilèrent tout les deux un chat, puisque les chiems n'était pas permis à Poudlard. Elle accepta et elle opta pour un minuscule chaton blanc qui avait des allures un peu sauvage. Julia, elle, préféra une chouette effraie pour garder contact avec ses parents. Leurs achats terminés le groupe se sépara pour se rendre chacun à leur propre maison.
Lorsque James, Harry et Gaëlle arrivèrent chez eux ils trouvèrent Lily assit à la table ave csa soeur et la famille de celle-ci. Visiblement elle tentait d'ouvrir l'esprit des Dursley face au monde de la sorcellerie et y réuisiisait moyennement. Ses interlecuteurs était à la fois curieux et méfiant. Finalement le séjour de cette famille moldu au manoir Griffondor pouvait mieux se passer que ce qu'ils espèraient...
Lorsque le mal demeure, Lorsque les ténèbres se font maître Et que la lumière laisse davantage d'espace à la noirceur à chaque combat, L'espoire devient notre force, notre lueure à l'horizon, Alors le combat reprend et la victoire change de camp.
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Je suis impardonnable! Plus d'un mois avant de finir se chapitre alors que vous attendez la suite. Et dire que je vous fait des menacesO_O. Pourtant j'avais commencer ce chapitre la journée même où j'ai posté l'autre... Donc ça veux dire pas de menace pour ce chapitre( en plus je vais continuer le dernier rempart en même tant que d'écrire le chapitre trois (ou quatre dépendant du point de vue) ) Mais ça ne veux ps dire que j'aime pas vos reviews. Au fait désoler si ce chapitre est vraiment trop plein de faute d'orthographe mais je n'ai pas faite de deuxième lecture pour pouvoir vous envoyer ce chapitre plus vite. Au fait je cherche encore un ou plusieur correcteur pour mes deux fics. Bon asser de bla bla, place au défi.
J'ai décider de mettre un défi qui colle un petit peu avec ce chapitre, histoire de famille, haine qui est peur, ect. alors voîlà :
On sait que la famille Malfoy déteste et méprise les sorcier d'acendance Moldu et par concéquent lesMoldu. Mais si cette haine cachait en réalité une peur encore plus grande. Si une malédiction touchait cette famille, malédiction qui dirait que tout les membres de cette famille se ferait tuer par des Moldu ou des sangs-de-bourbes...
Ne me demander surtout pas où je vais chercher mes idées, surtout que j,en ai de plus bizard que celle-là...
Alors place aux réponses à mes gentils reviewers:
Luffynette : Bon, je vais commencr par répondre à ta question... C'était trois reviews pour ce chapitre. C'est vrai que ce n'était pas claire. Sinon, je te remercie pour tes compliments et j'espère que ce chapitre ne ta pas déçu. (au fait c,est gentil d'avoir reviewer au deux chapitre même si le le deuxième étaitdéjà sortit^-^)
Solla : Merci. Je ne voudrait pas que ma fic ressemble aux autres, alors j'suis contente. ( Et oui, Harry en grand frère, moi j'aime bien et je suis contente que toi aussi. La suite va sans doute révéler d'autre surprise.
Ange Rogue : Merci pour tes compliments. Et le defi est à toi (mon amie était très contente quand je lui ai dit que son idée t,avais interessé) Je continu, ça c'est sûr.
Constance : Salut toi! J'suis contente que cette fic de plaise aussi. Hésite pas à me faire d'autre commentaire, bon ou mauvais(je sais toi tu ne m'en à jamais fait, mais parfois j,aimerais avoir des critique pour mieux m'améliore) sino je continue comme ça, je te le promet.
Voilà, et pour me faire pardonner mon retard je vais faire un preview du prochain chapitre. Ça se peux que certaine choses change, mais en gros c'est ce que j'ai prévue.
Harry devient un vrai animagus et on connît sa forme Un coup d,oeil sur remus et Sirius Pleine lune façon Maraudeur Un couple...slash(peut pas résister) devinner qui, aller c'est facile. Quelques problèmes avec les Dursley(incontornable) Et départ de ses derniers.
Bon, finalement, deux derniers petits mots : Joyeuse St-valentin!
Deux jour plus tard, finalement j'ai put corriger une bonne partit des fautes (fanfiction ne uplaudais pas le 14) bien qu'il en reste sûrement c'est beaucoup moin pire qu'à l'origine...
Disclaimer : Je ne possède que ce qui est à moi( vous vous en douter n'est- ce pas) bon d'accord, tout ce que vous reconnaîtrez de l'univers d'Harry Potter est à JKR le reste est à moi.
Spoilers : 4 premiers Tombes de HP
Rated : G
Genre : General
Attention : Risque d'OOC, et toute référence à Godric Hollow n'est pas forcément réel puisque je n'ai aucune idée de l'allure de cet endroit.
Defi en fin de Chapitre
Un choix, une vie Chapitre 2 : Histoire de Famille
Une haine démesuré,
Cache souvant une peur encore plus grande. La peur la plus courante est celle de l'inconnu. Alors s'il suffisait d'apprendre à connaître les autres, Pour que la haine face place au respect...
Harry et Gaëlle avaient souvant entendu parler de Pétunia, la soeur de leur mère, et de son mari. Cette famille de Moldus considérait les sorciers de la même manière que certains sorciers de sang pur, particulièrement ceux qui soutenaient Voldemort, considèrait les Moldus. C'set fou ce que faire l'ironie parfois, si semblable et pourtant si loin l'un de l'autre. Ils comprenaient en quoi leur visite était une mauvaise nouvelle. Les deux enfants Potter n'avaient jamais rencontré les membres de cette partie de leur famille et ne souhaitaient véritablement pas. Cepandant, ils savaient que si cette famille avait été invité au manoir c'était pour une bonne raison et tout les deux aidèrent leur parents à tout préparer.
Loin de là, dans une grande maison d'un de ces quartiers riches moldus une autre famille s'affairait. Il n'y pas longtemps ils avaient reçu une lettre étrange par la poste et avait décidé d'y répondre. Pétunia se demandait encore comment elle avait pu accepter l'offre de sa soeur , cell qu'elle avait renié depuis des années. Mais après tout c'était sûrement pour pouvoir ce moquer de la cabane qui devait lui servir de maison( car il ne pouvait pas en être autrement, non?) et exposer sa richesse et la réussite de son époux. Quoi qu'il en soit elle devait expliquer à ses enfants l'anormalité de sa soeur, bien qu'il lui en couta de le faire, et toute les règles de sécurité qu'ils devraient respecter lorsqu'ils seraient là-bas. Entre autre, il ne devait jamais tourner le dos à ses gens, ne manger qu'après que l'un d'eux l'ai fait,(non pas par respect, mais pour s'assurer que la nourriture n'était pas dangereuse) toujours getter leur moindre geste et s'éloigner si leur mains s'approchait trop de ce morceaux de bois qu'ils nommait baguette et bien d'autres encore. On ne pouvait faire pas confiance à ses gens. Lorsqu'elle eu finit ses expliquations elle regarda avec fièreté ses deux enfants. Il y avait Dudley, son fils, l'aîné. Elle le jugeait grand et fort, sans doute le plus belle homme d'Angleterre, bien qu'il soit en réalité assez semblable à un énorme ballon qu'on aurait doté de bras, de jambes et d'une tête d'où pendait au moin 12 énormes plis et qu'il faisait fuire l'ensemble de la gente féminine. Il était tellement gros que l'on avait du mal à comprendre comment il réussisait encore à marcher. Ce jeune homme que beaucoup regardait avec dégout avait récemment eu ses 15 ans. Les autres adolescent s'accordaient à dire que c'était une grosse brute sans une once de cervelle. Ensuite il y avait Ann (N/A : je n'ai rien contre les Ann, mais il fallait que je bien que je lui trouve un nom) sa fille cadette. Pétunia la voyait belle, gentille et gracieuse, ainsi que tout ce qui pourrait plaire au garçon, mais encore là elle était loin de la vérité. Ann était petite et grâce, bien que sur ce sujets elle n'égale pas son frère. Elle avait le long cou et les cheveux blond de sa mère, ainsi elle aurait put parraître jolie si elle n'était pas si semblable à son père(et par la même occasion à sa tante marge) ce qui lui enlevait toute féminité, il ne lui manquait plus que la moustache. De plus elle se maquillait tellement que ça en devenait affreux. Elle était prétentieuse et méprisante, très peu de gens l'appréciait véritablement. Son mari Vernon était au travail, elle le trouvait parfait, normal. Mais Mr Dursley était en réalité un homme massif à la moustache abondante qui crétiquait tout ce qui bougeat(excepté sa0famile) et exécrait tout ceux qu'il jugeait anormal. Quelqu'un lui avait-il dit que comme chaque être humain était diférent, la normalité n'existe pas? Et enfin il y avait elle, Pétunia. Elle se décrivait comme une personne d'un naturel curieux, sympathique et qui aimait la propreté. D'autre vous dirait qu'elle aimait passer son temps à espionner ses voisins, qu'il était simple de savoir si ele vous aimait ou non(ce qui était beaucoup plus fréquant) et qu'elle était une véritable maniaque de la propreté. Tel était la famille des Dursley, tout ce qu'il y avait de différent des Potter, et il aurait été fier de l'entendre...
Le lendemain matin, on pouvait observer une scène étrange dans le jardin du manoir Griffondor. Le père et le fils étaient dans assis à mêmme le sol et tandis que Harry semblait méditer, son père veillait à son coté en murmurant de temps en temps des formules de consentration. Depuis trois ans, cette scène se répétait régulièrement car Harry apprenait à devenir un Animagus, comme tout ses ancêtre savant lui et comme le commencerais Gaëlle l'année prochaine. Voilà une autre caractéristique des Potter, bien que cette tradition remonte plutôt au nom de Griffondor donc Harry était le nouvel héritier, avec tout les pouvoirs qui venaient avec. C'était d'ailleurs Godric Grifondor qui avait été le premier animagi d'une très longue ligné, il se transformait en lion. Gaëlle prendrait la place d'Harry dans sa lutte contre les ténébre s'il lui arrivait malheur et elle commençait déjà à s'entrainer, comme elle le faisait maintenant avec sa mère. La première étape qu'il devait aprendre c'était de faire de la magie sans baguette, avant même d'en possèder une. En faite c'était à cette époque que c'était le plus facile à apprendre, il suffisait de contôler ses pouvoirs pour que, sans formule ni baguette, la magie accidentelle n'en soit plus. Quoi qu'il en soit ça faisait trois ans que Harry connaissait la forme Animagus qu'il prendrait lorsqu'il franchirait cette étape et ça faisait autant de temps qu'il refusait d'en dévoiler l'identité à quiconque. Il préfèrait leur laisser la surprise. Il se concentrait sur cet animal dont il avait encore du mal à croire en lla véritable identité, que c'était précisément lui qui le représentait le mieux. Il s'en sentait tellement proche maintenant, sentait sa puissance , son courage, sa dignité, sa noblesse d'âme. Il ressentit une étrange chaleur le parcourir, alors que James observait cette aura doré qui venait d'entourer le corps de son fils. Il stoppa ces formules et Harry sortit lentement de sa consentration avec le même air de fièreté et d'admiration qu'il affichait à chaque fin d'entraînment. Son père le regarda, sourire en coin, et lui dit : « Tu y es presque, la prochaine fois ce sera ta première transformation. Alors maintenant peut-être que tu pourrais me donner le nom de l'animal qui est en toi...
- Non! répondit calmement son fils
- Mais voyons Harry, ça fait trois ans que tu nous le cache et ce n'est certainement pas de honte vu la tête que tu fais après chaques séances d'entraînements.
- Je n'ai pas honte, au contraire. Mais je veux garder la surprise.
- Une semaine de plus ou de moins...
- Si je te le disais tu ne me croirais pas. »
C'était là la stricte vérité, incontournable et incontrôlable car Harry deviendrais un Animagus Fantastique, ce qui témoignait encore davantage de la puissance du jeune sorcier puisque seul les sorciers qui possédaient des pouvoirs équivalents à ceux de l'animal pouvaient en prendre la forme. Mais le plus incroyable était que l'identité de de l'animal en question était en fait le plus puissant qui puissent exister dans ce monde.
Le reste de la journée fut consacré à la préparation du manoir pour recevoir la soeur de Lily. La tâche fut longue et pénible car leur maison, bien que possèdant plusieur appareil de tecnologie moldu, était typiquement sorcière et certains accessoires pouvaient même effrayer un moldu non- averti, comme la salle d'entaînement magique qu'il avait fermé à coup de plusieurs sorts. Et puis il y avait une aile au manoir où il ne se pratiquait aucune magie et où tout ce qui s'y trouvait avait été crée ou fabriquer par les humains sans pouvoir magique. C'est là qu'il logerais leurs invitée si tout se passait comme Lily et Dumbldore le croyaient. Puis il y avait le souper à préparer, et pas question de servir du dragon ou quelquechose dans ce genre. Ils s'activèrent pendant plusieurs heures et à 15 heures tout était prêt.
Une voiture flambant neuve s'engangea sur une rue calme de Godric Hollow, passant tantôt devant des maisons dont la construction datait d'il y a plusieurs siècle, tantôt devant des habitations plus moderne. Les passagers vérifiaient chaques adresse, cherchant la bonne. Bientôt les maisons s'espacèrent de plus en plus, jusqu'au moment au ils ne virent plus la suivante. Un homme corpulant se tourna vers la femme maigre qu'était son épouse et lui dit : « Ils ne t'ont pas donné la bonne adresse, il n'y aucune maison ici. Ces gens ne doivent même pas savoir comment on retrouve la maison des gens normaux.
- Tu as raison mon chéri, lui répondit sa femme. Ou alors il vivent dans une misérable cabane dans cette forêt. On peut s'attendre à tout de la part... »
Elle ne finit jamais sa phrase. Pétunia venait d'apercevoir le toit d'une demeure qui prometteit d'être magnifique. Elle n'allait pas ratté ce spectacle, elle qui rêvait de vivre dans un manoir depuis qu'elle était toute petite... Et si elle avait la moidre chance d'observer une de ces construction majestueuse, elle ne la manquerais pas. Par le grillage elle vit cet endroit à n'en couper le soulfe, à en faire rêver plus d'un. Elle jetta un regard vers l'adresse, par pur curieusité mais aussi à cause du mécanisme qu'elle adopté depuis quelques minutes... Elle manqua de s'en étouffer, les chiffres étaient les mêmes que sur le bout de papier qu'elle tenait à la main. « Au mon dieu, Vernon, c'est ici!
- Voyons ne soit pas ridicule, répliqua l'interpellé, ces gens n'ont pas les moyens de se payer ce genre de maison.
- Mais regarde l'adresse. »
Il le fit et faillit perdre le contôle de sa voiture. Alors, prudemment il s'engagea dans l'entré. Le grillage s'ouvrit sans bruit alors qu'il se dirigeait vers lui. Il n'y avait aucune caméra ni aucun mécanisme de ce genre, c'est comme si elle c'était ouverte par magie... et c'était sans doute le cas. Puis quelques secondes plus tard ils eurent la confirmation qu'ils étaient au bon endroit lorsque la porte s'ouvrit sur Lily Potter.
À l'intérieur du manoir, alors que cette famille si peu ordinaire finissait de se préparer, les ondes magique se troublèrent légèrement. Les Dursley étaient arrivé. Lily poussa un léger soupir de résignation et alla ouvrir la porte. Elle fut bientôt rejoint par son mari et ces deux enfants. Pétunia et Vernon sortait de leur voiture, bientôt immiter par deux enfants qui en aurait fait fuir plus d'un. La jeune femme se força à sourire et alla rejoindre sa soeur. Elle lui souhaita la bienvenue, lui présenta sa famille, attendit que celle-ci fasse de même mais c'était peine perdu. Pétunia ne lui adressa pas le moindre sourire et resta aussi muette qu'une tombe. Elle semblait détester encore plus sa soeur. On pouvait facilement lire la jalousie dans son regard. Le reste de la famile Dursley s'exprimait différament. Ann regardait les robes du mari et du fils de Lily avec un dégoût évident tandis que James lui adressait son sourire de Maraudeur parfaitement imité par Harry. C'en était déroutant. Mais cette similitude n'était pas présente que chez les Potter, car Vernon et Dudley jetait exactement le même regard méprisant sur leur hôte. Leurs pensées étaient facile à deviner, comment Dieu avait put permettre la création de tel être étrange et si peu normal. Plus les secondes passaient, plus la tension montait et comme d'habitude c'est Lily qui règla le problème en invitant tout le monde à entrer. Ils passèrent au salon, un silence pesant reignait. Une main se tendit vers un pot de bonbon qui normalement n'avait rien à faire là, pour ce saisir d'une friandise emballé dans un papier aux couleurs vivent. Dudley déballa la sucrerie et alla la porter à sa bouche, ignorant le conseil que lui avait donné sa mère la veille. Ça aurait pu lui faire passer à jamais le goût de manger tout ce qui lui passait par la main si celle d'une autre ne l'aurais pas arrêter dans son geste. « Attend Dudley, lui dit calmement Lily, je ne crois pas que appréciera ces bonbons. Harry, je peux savoir ce que les Pralines Longues Langues des jumeaux font ici.
- J'en sais rien, répondit l'interpellé.
- Harry...
- Non vraiment, je les ai cherché toute la journée pour les mettre hors de porté d'imprudant, mais je ne les ai pas trouver. En fait je les réservais pour faire passer le goût au Serpentard de voler les friandises des premières années. Je suis sûr que Gaëlle serait d'accord pour m'aider... Et d'aileurs, j'ai beau avoir récolter quelques retenus plutôt dissuasive, ce n'est pas moi le farceur de la famille. Je ne suis pas un Maraudeur...
- James, qu'as-tu à dire pour ta défense.
- Que ton fils est vraiment doué. Piègé aussi facilement son père qui lui n'a pratiquement jamais eu de retenu, faute de peuve. Et puis j'avais trouvé ces farces assez intéressantes et j'avais le goût de savoir quel était leur effets.
- Tu n'as qu'a demander à Rogue, il a été victime de la plupart des essais des jumeaux. Pas que j'approuve surtout quand on connaît son rôle pour la résistance... et en plus ça lui a donné l'occasion de détester encore plus les Griffondors...
- Vraiment? Ils ont vraiment fait ça à un professeur!? S'exclamèrent en coeur le couple sorcier »
Harry se contenta d'hocher la tête pendant que les Dursley semblaient complètement perdu. Lily remplaça les Pralines Longues Langues par tout un assortiment de confisseries sorcières et moldu en conseillant de ne pas trop en manger s' il voulait avoir faim pour le souper et ne pas être malade. Cette fois Dudley ne prit que ce qui lui était totalement famillier (la discusion précédante l'avait quelque peu térifier) et seulement aprèsavoir vu son cousin ou sa cousine y goûté. L'atmosphère n'était pas tellement à la fête, et la tension continuait à monter malgrès les efforts évident de Lily pour la diminuer. Comment avait-il put en arriver là?
Quelques heures plus tard, hôtes et invité étaient assis à table, mangeant le délicieux repas qu'avait préparé Lily. Un silence de mort règnait dans la pièce, troublé seulement par le tic tac de l'horloge et le bruit qui accompagnait innivitablement un repas. La femme de la maison avait renoncé à attreprendre toute discussion lorsque sa soeur l'avait ouvertement insulté. Des regards de haine pure s'échangeaient entre les deux familles. Tout aurait pu très mal tourné si à ce moment-là n'était pas entré un magnifique oiseau au plumage rouge et or, une lettre attaché à la patte. Le phénix alla se pauser devant James, lui montrant sa patte et poussa une note apppaisante. James lit la lettre, après l'avoir détachéde de lapatte de Fumsec et l'avoir ouverte. Son visage devient alors plus grave mais aussi il exprimait un certain soulagement. « C'est Albus, dit- il, il a repéré une activité Mangemorte chez vous, Dursley.
- Qu'est-ce que une activité mange- motte, répondit avec véhémence le Dursley en question.
- Pas mange-motte, MANGEMORTE, pour désigner ce que font les Mangemort, de méchants sorciers qui rampe aux pieds du dernier héritié de Serpentard et qui s'amuse à tuer tout ce qui bouge, en particulier lorsque leur cible n'a aucun moyen de défense. Vous pouvez vous compter chanceux que Lily ai prie tout les moyens innimaginable pour vous éloigner de chez vous aujourd'hui et s'assurer que vous n'y retourniez pas avant que tout danger soit écarté!
- Qu'est-ce qui nous prouve de la véracité de vos propos, monsieur. Qui sait ce qui se passe dans la tête des gens tordus comme vous.
- Et bien allez vérifier! Mais ne venez pas vous plaindre lorsque vous vous retrouverez six pieds sous terre, que vous leur ayez dit ou non ce qu'il voullait savoir, parce que vous n'avez pas écouté nos avertissements.
- Ce n'est pas une preuve.
- Et que voudriez-vous que l'on vous montre, intervient calmement Harry. Peut-être que si on regardait les nouvelles et que pouriez voir par vous même la Marque des Ténèbre au dessus de...
- La Marque des Ténèbres, l'interrompit Dudley avec mépris. Qu'est-ce que c'est que ce trucs?
- Le signe d'identification de Tom, ou Voldemort, répondit Gaëlle tout aussi calmement que son frère. Une tête de mort verte qui flotte dans les aires, un serpnt rouge sort de sa bouche. Curieusement elle est toujours assosier à un crime étrange où on ne retrouve jamais la cause de la mort. Je suis sûre que vous en avez déjà entendu parlé....
- Vous savez ce qu'est cette chose, dit Ann avec dédain. Même les spécialistes n'ont pas pu identifier les cause de son apparition ni comment ces crimes ont été commis.
- La réponse est simple tant qu'on sais que c'est possible, reprit James. Deux sorts, tous les deux illégaux dont un qui est même dit Impardonnable. Donnez à un fou aux idées meurtrières des pouvoirs magiques suffisament grands et c'est suffisant pour plonger ce monde dans les ténèbres.
-Vous êtes tous des fous, cracha Pétunia. Tous! Autant que vous êtres! Vous nous révélez enfin votre vrai visage. Il n'y a que des êtres comme vous qui pussiez commettre de tels actes.
- Tu ne comprends donc rien, explosa sa soeur. Depuis des années nous nous battons pour vous protèger, vous et tout les autres Moldu. Nous risquons nos vie pour sauver les votres et ça fait de nous les cibles prioritaires! Même nos enfants sont obligé de participer à cette guerre, contre leur gré, car Voldemort veux les tuer avant qu'ils ne soient trop puissants. Et après tu oses venir me dire que les sorciers sont tous des meurtriers qui devrait rotir en ENFER. Et d'ailleur dois-je vraiment te rapeller que ceux que tu appelles les gens normal commette des crimes aussi horrible. Viendrais-tu me dire que ce n'est pas la même chose, que ces gens ont des trouble psychologique? C'EST LA MÊME CHOSE! La seule différence qu'il y a entre eux et Volde mort c'est leur moyen de tuer! J'ai tout fait pour que tu reste en vie, ignorante de cette guere, en paix aussi longtemps que possible. J'ai tout fait pour que tu finnissent par accepter nos différences, mais toi tu ne fais que me jeter, me traiter de monstre, me regarder comme si j'était le plus dégoutant de tout les rats. MALGRÈS TOUT TU N'AS JAMAIS CESSÉ D'ÊTRE MA SOEUR ET JE T'AIMAIS EN TANT QUE TEL. Je vient de te sauver la vie et tu me crache au visage! N'as-tu donc aucun respect pour les sentiments des autres. Ne me parles plus jamais des miens comme des êtres immondes qui ne mérite pas de vivrent. TU AS COMPRIS?»
Un silence de mort suivit cette déclaration. Il était rare de voir Lily Potter en colère, mais lorsque ça arrivait, peut de gens en restait neutre, elle était terrible. Mais cette fois était encore davantage impressionnante puisque la tristesse et la déception ce mêlait à la rage. La réponse à la question de Lily ne vient jamais, alors cette dernière quitta la cuisine sans plus aucune parole. Quelques instants plus tard elle fut immité par les autes.
James poussa la porte qui menait à sa chambre pour retrouver une Lily sur le point de pleurer. Il s'approcha doucement de sa femme et la serra tendrement dans ses bras. Lily se laissa aller dans l'étreinte que lui portait son mari et cessa de résister contre les larmes qui menacer de couler depuis longtemps déjà. « Oh! James, j'en ai assé! J'ai enduré ça pendant des années et au moment où je lui sauve la vie elle s'y remets. Je ne tiendrai pas tout ce temps!
- Chut! Ma petite fleur, tu es courageuse et forte, tu sauras résister. Elle ne recommencera pas, sinon elle aura affaire à moi...
- Comment a-t-elle put insulter la résistance, l'Orde du Phoénix. Comment a- t-elle put dire des choses pareillse.
- Elle ne sait pas de quoi elle parle, voilà tout. Je crois que tu lui as fait ravaler sa langue ma chérie.
- James?
- Oui?
- Pourquoi as-tu mis ses Pralines Longues Langues dans le salon? Tu voulais vraiment qu'ils perdent touts confiance en nous.
- Pas du tout! D'abord parce qu'il n'avait déjà aucune confiance en nous et deuxièmement parce que c'était le meilleur moyen pour que ça change. Tu vois, je savais précisément que mon fils et ma femme sont très observateur et qu'il sont suffisament honnête et rapide pour tout arrêter avant que ça ne dégénèrent. Ce garçon n'aurait jamais mangé ce bonbon quoi qu'il arrive, j'y aurait moi-même mis fin s'il l'aurait fallu. Et voyant que l'on veut les empêcher de manger quelque chose de dangereux ils auront davantage confiance en nous.
- Tu es un homme tordu James Potter, mais c'est comme ça que je t'aime! »
Les deux amants échangèrent un doux baiser avant de s'étendre dans leur lit dans les bras l'un de l'autre.
Pendant ce temps Harry avait été chargé de conduire leurs invités à leur chambres. Il le fit en silence et se dirigea vers l'endroit où généralement sa famille se réunissait lorsqu'elle voulait se détendre et oublier provisoirement tout leurs problèmes. Il ne leur fit pas visiter, disant qu'il aurait emplemment le temps le lendemain et qu'ils ne devaient pas sn faire car tout était normal dans cette aile. Il ne prolongea pas l'entretien et l'adolescent fit simplement savoir qu'il y a avait des vêtement non sorcier dans leur garde-robe. Il monta se coucher, exténué par sa journée.
Le lendemain matin Gaëlle fut tiré de son lit par la délicieuse odeur dudéjeuné que sa mère devait certainement préparé. Elle s'étira comme un chat avant de quitté ses couvertures. Elle se dirigea vers son garde-robe et chosit une robe de couleur etde texure semblable à la brume matinale. Elle aimait beaucoup ce vêtement typiquement sorcier qui mettait ses yeux en valeur. Après s'être vêtu, la plus jeune enfant des Potter quitta sa chambre pour descendre rejoindre sa mère dans la cuisine. Comme d'habitude son père et son frère était déjà présent, par contre elle ne trouva aucune trace des Dursley. Après quelques minutes, ceux-ci arrivèrent vêtu des mêmes vêtements que la veille. Gaëlle leur jeta un regar interlogué qui ne reçu comme réponse qu'un regard noir. Cependant elle ne se gêna pas pour leur dire ce qu'elle pensait . « Vous savez, les vêtement dans les gardes- robes sont pour vous. Ils ne sont ni ensorcellé ni de mauvais goût. Il y en a même pour touit les styles. Faut pas vous gêner...
- Gaëlle, la coupa sa mère.
- Mais maman on ne sait pas combien de temps ces Mangemort vont rester à leur porte, ils ne vomt pas garder les mêmes vêtements tous ce temps!
- Si c'est ce qu'ils veulent on ne va pas leur en empêcher, dit sagement James. Quoique...
- James!
- Désolé Lily-flower! »
Et l'homme s'approccha de sa femme pour lui déposer un baiser dans le cou, histoire de se faire pardonner. « J'espère que vous vous trouverez de quoi vous changer les idées, continua Cornedrue à l'adresse des Dursley, bien qu'il n'y ai rien pour vous ennuyer ici. Parce que pendant la journée j'amène les enfants acheter leurs fornitures scolaires et Lily risque d'être très occupé...
- Vous allez magasiner? l'nterrompit Ann
- Oui, répondit Gaëlle, mais je ne croit pas que le Chemin de Traverse t'interesse. Tu es beaucoup trop terre-à-terre pour ça. Et puis je ne crois pas que ta mère te laisserais venir sur une rue exclusivement sorcière, ni qu'elle accepte de te laissé seule avec nous. Elle aurait trop peur que tu subisses notre mauvaise infuence. N'est-ce pas Tante Pétunia.
- Tu lis dans mes pensés. »
Le déjeuné se termina sans autres incidents, surtout du au fait qu'il se termina dans un silence total. Ensuite James et ses deux enfants prirent la poudre de cheminette avant de disparaître pour le Chemin de Traverse.
Ils attérirent tout trois dans la cheminée du Chaudron Baveur, l'un après l'autre, et il traversèrent le pub bondé pour se rendre dans la cour arrière. Il s'appercûrent rapidement qu'ils n'étaient pas seul, une autre famille s'apprêtaient à ouvrir la porte qui menait sur le chemin de traverse. Ce n'était pas une mauvaise rencontre, ni pour Harry, ni pour Gaëlle... « Bonjour 'mione, dit Harry à la jeune adolescente qui accompagnait son oncle, sa tante et sa cousine.
- Salut Harry, répondit la conscernée. Tu ne trouve pas qu'il y a beaucoup de coïncidence ces temps-çi.
- Toi aussi tu as remarqué... Bonjour Mr et Mrs Granger, à toi aussi Julia.
- Bonjour Harry, lui répondit Mrs Granger.
- À ce que je vois, commença Gaëlle, tu as décidé de développer tes pouvoirs Julia. C'est vraiment super!
- Je ne voudrais pas importuné, coupa James,son sourrir de Maraudeur jouant sur ses lèvres, mais je crois que tout le monde ici est venu pour traverser ce mur... Alors autant le faire tout de suite, vous continurez vos conversations de l'autre côté. À qui l'honneur?
- Je crois que je peux le faire, répondit Hermione. »
Elle sortit sa baguette et tapota un endroit précis sur le mur avec celle- ci. C'est alors que sous les regards étonnés des trois autres membre de sa famille que le mur s'ouvrit jusqu'à former un arche parfait. La jeune adolescente invita son oncle, sa tante et sa cousine à passé, bientôt suivit par les trois Potter. Elle dit, enthousiasme :« Bienvenue sur le Chemin de Traverse... »
Au manoir Griffondor les choses semblaient se compliquer. Vernon Dursley s'était mit dans la tête de critiquer tout ce qu'il voyait, ces choses si peu normal, tellement étrange. Au bout de quelques minutes Lily se tana et l'interrompit calmement : « Vernon Dursley, tes pensées phylosophique sur les accessoires du monde de la sorcellerie, il n'y que toi que ça interesse, alors cesse de gaspier ta salive là-dessus d'accord. J'aime ma maison comme elle est et je n'y changerai rien, peu importe ce que tu vas dire.
- Je ne comprend pas, dit Ann, ce que vous voulez dire par sorcellerie. Maman tu nous a toujours dit que ce genre de choses n'exiaient pas et là parce que ta soeur, dont on ignorait l'existance jusqu'à présent, son mari et ses enfant son bizarre et parle de ça comme d'une chose réelle, tout d'un coup ça existe... Je n'y crois pas, ce n'est pas possible.
- Je vois que tu as conviencu tes enfants de l'innexistance du monde de la magie Pétunia, dit Lily en regarda tour à tour Ann qui semblait si perdu qu'elle était au bord de l'hystérie et Dydley, son énorme viasage déformé par la concentration alors qu'il tentait de comprendre ce que sa soeur venait de dire. De quoi as-tu peur?
- Je n'ai pas peur, répondit Pétunia avec véhémence.
- Si tu le dit, répliqua Lily pas convaicu du tout. Et toi Vernon.
- Je ne vois pas de QUOI je pourais avoir peur. »
Lily leur fit un sourire qui ne présageait rien de bon et sortit sa baguette. Au même instant Pétunia poussait un crie d'horreur et Vernon tenta de cacher ses enfants derrière son dos, alors que lui même avait blêmit et tremblait de tout ses membres.
« De ça, dit Lily. De cet objet qui est essentiel à un sorcier. Un objet qui peut faire bien des choses, bonnesou mausaises, dépendant des intentions de son utilisateur. Vous avez peur de l'objet qui représente les sorciers, donc vous avez peur des sorciers eux-même. Mais en réalité, votre véritable phobie vient du fait que vous n'y connaissez rien.... »
Leur premiere étape était la banque Gringotts. C'était innévitable, tout sorcier qui se respecte et qui doit faire des achats devait passer par la banque des sorciers. Pour les Granger il s'agissait d'échanger leur argent Moldu en argent Sorcier, pour les Potter il fallait aller piger dans le coffre familliale. Pour les uns ou pour les autres il fallait passer devant les Goblins. Les enfants et les parents avait discuté jusqu'au moment où ils durent se séparer. C'est ainsi que Harry appris que son amie était la nouvelle Préfète de Griffondor. Il l'avait félicité et avait demandé comment avait réagit Ron. D'après Hermione, il ne l'avait pas trop mal prit, puisqu'elle avait promis qu'elle ne serais pas comme Percy. Harry se doutait qu'elle avait prit d'autre moyen pour mieux se faire entendre mais préfèrait ne pas connaître les détails. En effet depuis bientôt deux mois Ron et Hermione formait un couple et depuis ce temps les disputes entre les deux interressés avait considérablement diminué.
Après avoir récolté ou échangé l'argent nécessaires, les deux familles se retrouvèrent devant l'édfice, où il s'était donné rendez-vous. Leur prochaine étape était celle du magasin d'Ollivander .
Lily rengea sa baguette, mais ne s'arrêta pas là. Elle prononça une formule inconpréhensible pour les Dursley et comme par magie, en fait par magie, un livre arriva dans sa main. «Comme vous pouvez maintenant le constater, continua Lily, certain sorcier n'ont pas besoin de baguette pour faire de la magie. Nos pouvoirs sont en nous, non pas dans cet objet. Si l'un de vous essayerait de lancer un sort avec ma bagette, il ne se produrait rien.
- Raison de plus pour éviter les gens comme toi, répliqua sa soeur.
- La haine est un sentiment redoutable qui cache souvant une peur encore plus grande. Apprenez à connaitre cette peur et la haine disparaîtra. Écoute moi bien Pétunia, j'ignore combien de temps vous devrez rester ici et cette perspective ne m'enchante pas plus que toi. Alors si on veut que tout le monde sorte vivant de cette mésaventure alors autant changer de comportement. Alors je te propose cecii : ou tu me laisse vous apprendre à connaître les sorciers et vous faire réaliser que nous sommes aussi humain que vous ou vous restez terrer dans l'aile moldu pendant tout votre séjour dans la crainte que nous vous fassions subir un quelquonque sort dont vous ignorer l'existance alors que rien n'arrivera. Tu m'appeleras quand vous aurez pris votre déscision. »
Sur ce Lily quitta la pièce pour vaquer à ses occupations.
Le groupe formé par les familles Granger et Potter entra dans la petite boutique encombré qu'était le magasin de baguette. Ils n'eurent pas a atttendre longtemps avant qu'Ollivander vienne les voir. « Ah! Mademoiselle Potter, j'attendait votre visite avec impatience. Les membres votre famille à l'habitude d'être des clients plutôt difficile et chaque baguette que je vend aux Potter à un petit quelque chose de spécial. Mais je vois que vous ammener de la famille Miss Granger, quels liens ont-ils avec vous?
- Mon oncle, ma tante et ma cousine, Julia, qui vient de recevoir sa lettre de Poudlard.
- Ils semblent que les pouvoirs magiques se révèlent de ce côtée. Ils ne serait pas surprenant que tout les Gtranger de votre génération soit des sorciers et qu'une nouvelle branche soit née. Mais voyons pour les baguettes. Commençons par vous Miss Granger, ce sera sans doute moin long. »
Le sorcier sortit un ruban à mesurer qui commença son travail habituel, comme il l'avait déjà fait pour Harry, Hermione et même James.Après quelques minute le ruban tomba tout seul et Ollivandeur alla choisir une baguette parmis tant d'autres. « Voyons celle-ci. 22,3 centimètre, bois de pommier, avec une ventricule de dragon à l'intérieur. Tient bien dans la main, idéal pour les sortillèges de déplacement. Agitez-la un peu. »
Julia s'exécuta et presque aussiôt des palliettes vertes et rouges s'échapèrent de la baguette. « Très bien, le choix à été facile. Cette baguette vous a choisit, alors elle vous convient parfaitement, tâchez d'en prendre soin. À vous maintenant Miss Potter. »
Les mesures de Gaëlle furent prises de la même manière que celle de Julia. Ollivander lui tendis une baguette, ésitant légèrent. « 18 centimètres, bois de rosier, crin de licorne. Flexible et idéale pour les métamorphoses, agitez-la un peu. »
Elle s'éxécuta, rien ne se produisit. Ollivander lui arracha des mains et lui en tendis une autre. « 21 centimètre, bois de châtaignier, ventricule de dragon. Solide et très bonne pour les sort d'attaque. Allez-y. »
Toujours rien. Le même manège se répéta pendant plusieurs minutes. Gaëlle avait eu l'impression d'avoir essayé toute les baguettse du magasin quand Ollivander sembla avoir un éclair de génie. Il s'excusa et se dirigea vers l'arrière boutique, pour revenir quelques secondes plus tard en tenant une boîte comme s'il s'agissait d'un trésor. Il l'ouvrit et tendis la baguette à l'adolescente sans donner d'expliquation et tremblant d'excitation. Gaëlle l'agita et des étincelles blaches et or sortirent de la baguette. Ollivandeur sembla être aux anges. « Monssieur Ollivandeur, dit doncement James, cette baguette, qu'à-t-elle de spéciale?
- Il semble que vos deux enfants aient des prédisposition pour les phénix qui sorte de l'ordinaire, monsieur Potter. Cette baguette est l'harmonie parfaite de 25 centimètre de bois de sorbier et d'une plume de phénix albinos, animal unique et considéré comme le plus pur de tous. Bien qu'elle soit la meilleure en qualité pour les duels il est impossible de tirer un sort de magie noir de cette merveille. Il m'a été difficile de lui trouvé un propriètaire et évidement cette baguette convient parfaitement à une Potter. Je crois que vous ne pourez pas vous écarter de la voie de la lumière jeune fille. »
Le silence retomba dans la pièce. Harry repensait à sa propre baguette qui, elle aussi contenait une plume de phénix. Ce phénix avait fornit deux plume au fabriquant de baguette. Une avait servit à la conception de sa baguette et l'autre à celle de Voldemort. Il ne le regrette pas, loin de là. Elle lui avait d'ailleurs sauvé la vie il y a avait à peine deux mois Après avoir payé les objets magiques le groupe sortit pour acheter le reste de leur matériel.
Lily était maintenant dans la cour, faisant le vide de son esprit et le rapprocha de celui de la nature. Elle repoussait les vision qui voulait s'immincer dans sa tête, particulièrement quand elle était dans cette état- là et en appella à la nature. Tout les membre de la famille Potter avait quelque chose de particulier. James et Harry était les héritiers de Godric Griffondor, et Gaëlle en était la descendante. Cette dernière était la pureté incarné. Lily se rappelait de sa naissance particulière...
Flash back
James et Harry, qui venait avait tout juste 4 ans, étaient à ses côtés lorsque la petite fille qu'ils attendaient depuis neuf mois apparaîssait. Il avait fallu plusieurs heures d'effort à Lily avant de pouvoir tenir la petite Gaëlle dans ses bras. Elle avait à peine pleuré, juste le temps de signaler que tout allait bien et qu'elle avait ressentit le choc de son arrivé dans le monde immense des hommes. Elle était magifique, sa peau était couleur de crème et non craimoisie comme celle de tout les nouveaux- nées et ses immence yeux bleu-gris s'ouvraient déja sur le monde, regardant rapidement sa famille avait de boire pour la première fois au sein de sa mère. Elle était déjà étrange pour un bébé nouveau née, mais en parfaite santé. Ce ne fut que lorsque les médicomages et les infirmières quittèrent la pièce que l'événement qui changeraient à jamais la vie de Lily et du reste de la famille se produisit. Une lumière d'une blancheur douche et pure se répandit dans la pièce puis Il apparut. Un homme dont ils ne peurent voir le visage mais dont les immence ailes blanches étaient plus qu'apparente. Il s'approcha de la mère et du bébé qu'elle tenait près de son coeur, passa sa main fine sur le front de Gaëlle et murmura d'une voix trop pure pour être humaine : « Veillez sur ce peit ange, elle aidera son frère à lutter contre les ténèbres de ce monde »
Fin du flash back
Puis il y avait James. Il n'était ni Auror, ni sorcier-gerrier, ni mage de guerre, ni duelliste et ni héro, mais un mélange de tout ça. Il était puissant, il n'avait jamais perdu de duel, sauf peut-être contre son grand-père, Albus Dumbledore. Voldemort voulait l'éliminer mais ne le pouvait pas, les force de son adversaire était trop grande. Il n'y avait eu qu'un seul moment dans la vie de James où celui-ci avait été plus vulnérable face à Voldemort, c'était dans le mois qui avait suivit la pratique du sortillège de Fidelitas car le sort avait ulilisé plus de la moitié de ses pouvoirs et il avait fallu du temps au socier avant de récupéré. Heureusement Sirius ne les aurait jamais trahis. James était peut-être suffisament puissant pour résister à Voldemort et ne pas être tué par le mage noir mais il ne l'était pas suffisament pour l'éliminer. C'était Harry qui aurait bientôt les pouvoir pour. Élu pour combattre les ténébres. Tant de puissance et d'espoir placé dans un adolescent qui aurait du s'affirmer être comme les autres. Heureusement peu de gens était au courant, et le jeune hériter de Griffondor pouvait encore rester annonyme. Il avait certain dondont il ne voulait pas mais qui lui servait à combattre son ennemi. Puis il y avait elle, Lily Potter. Elle avait tout d'abord un don très puissant de Claire-voyanse, sensibilité, appellez le comme vous voulez. Un don qu'elle avait transmis à ses deux enfants. Mais ce n'était pas tout, elle était aussi sorci-druide, une sorcière rallier à la nature. Elle savait communiquer avec les animaux, pouvait entendre les murmures de la flore et s'avait interpretter les signes des éléments. Elle n'avait pa besoin de devenir animagus car elle pouvait prendre la forme de l'animal qu'elle voulait quand elle le voulait. Elle savait utilisé la nature pour se protèger et attaquer. Puis, finallement, elle contrôlait parfaitement la magie sans baguette. En faite elle avait apris à contôler ainsi ses pouvoir bien avant de savoir qu'elle était une sorcière. Elle aussi apportait une aide précieuse à la résistance.
L'arrivée de sa soeur la sortit de ses réflexions et de se concentrarion. Elle semblait craintive, sur ses gardes. »Nous avons pris notre décision... »
Après avoir acheté tout le matériel nécessaire à leur année scolaire, le groupe se dirigea vers la ménagerie magique. Gaëlle et Julia voulait toutes les deux un animal qu'elle pourait ammener à Poudlard. Les parents avaient accepté et c'est pour cette raison qu'ils entraient présentement dans le magasin le plus bruyant du Chemin de Traverse. Le nombre de sortes d'animaux vendu à cet endroit avait encore augmenté cette année. Pendant qu'il passait devant la viterine d'où l'on voyait diverse serpents Harry se tut, s'arangeant pour ne rien dire alors que les différente phrase que pronnoçaient les reptilesqui discutaient entre eux parvenait à ses oreilles. En effet, Harry Potter était un fourchelang, bien que ce ne soit pas naturel...
Flash back
Harry avait tout juste cinq ans lorsqu'il était allé au chemin de Traverse avec ses parents pour la première fois. Tout c'était bien passé jusqu'à ce que la foule commence à s'agité, criant et se sauvant. Des Mangemorts, et Voldemort lui-même, étaient apparu et commençait à tuer sans aucune pitié tout ceux qui se retouvait sur leur chemin, épargant cepandant certaine famille plus que d'autre. Remus avait éloigné les enfants du danger(comme la pleine avait eu lieu la veille et que ses force était réduite, c'est lui qui avait été désigné accomplire pour cette tâche) , prenant Gaëlle dans ses bras et tenant Harry par la main, alors que James, Lily et Sirius allait combattre leur ennemi. Cepandant Harry fut entraîner par la foule furieuse loin du loup-garoup alors qu'il passait au travers et Remus n'avait pas réussit à retenir sa main. Harry était effrayé, comme tout enfant de cinq ans prit dans la panique générale, mais bientôt sa peur allait encore augmenté. La foule était passée, Harry était intacte, mais secouer et isolé de tout secours lorsqu'il était aparut, lui Voldemort. Il avait souri lorsqu'il avait aperçu l'enfant Potter, non pas d'un sourire rassurant et protecteur, mais cruel et sastisfait. Il avait pointé sa baguette vers le coeur de cet enfant sans défense et avait prononcer la formule que craignait tout les sorciers, l'Avada Kedavra. Cepandant il se passa une chose à laquelle Voldemort ne s'attendait pas... Une lumière rouge et or entourant le plus jeune hériter de Griffondor et formant une sorte de bouclier qui absorbait le sort lancer pas le Seigneur des Ténébres. Le sort lancer inconciament par Harry pour le protèger était puissant, mais pas suffisament pour arrêter la totalité de celui, mortel, lancer par Voldemort. Après quelques secondes le bouclier tomba et une infime partit de l'Avada Kedavra le toucha. L'enfant tomba sur le sol, envelopper par les ténèbre. Il n'était pas mort, mais dans le comma. Il ne sortit de cette était que trois semaine plus tard, dans un lit de St Mangouste. Il avait fallut quelque jour à James et Lily pour se rendre compte que l'incident n'avait pas été sans autres conséquences majeurs et que dorénavent leur fils était un Fourcelangue. Mais ce n'était pas tout. Le don que lui avait transmit sa mère, à savoir qu'il est des vision du passé, du présent ou du futur était dorénavant davantage focalisé sur Voldemort. Ce dernier était aussi le premier sorcier dont Harry était arriver à sentir la présence. Et finalement il y avait leur baguette....
Fin du falsh back
Pour beaucoup de sorciers être Forchelangue signifiait obligatoirement être un mage noir. C'était un préjuger complètement infondé, bien sûr, mais qui avait beaucoup d'impacte sur la vie des concerné. Alors ce n'était pas sans raison que Harry préfèrait tenir sa langue en présence de serpant et de sorcier. C'était plus prudent. Alors qu'il dépassèrent la section réservé au reptile, l'adolescent recommença à discuter et à conseiller sa soeur. Celle-ci ne voulait pas de hiboux, elle n'en avait pas besoin puisque Harry avait Hedwidge et qu'il lui laissait l'utiliser. Et puis elle voulait un animal qu'elle pourrait avoir plus souvant près d'elle. Son père et son frère lui conseilèrent tout les deux un chat, puisque les chiems n'était pas permis à Poudlard. Elle accepta et elle opta pour un minuscule chaton blanc qui avait des allures un peu sauvage. Julia, elle, préféra une chouette effraie pour garder contact avec ses parents. Leurs achats terminés le groupe se sépara pour se rendre chacun à leur propre maison.
Lorsque James, Harry et Gaëlle arrivèrent chez eux ils trouvèrent Lily assit à la table ave csa soeur et la famille de celle-ci. Visiblement elle tentait d'ouvrir l'esprit des Dursley face au monde de la sorcellerie et y réuisiisait moyennement. Ses interlecuteurs était à la fois curieux et méfiant. Finalement le séjour de cette famille moldu au manoir Griffondor pouvait mieux se passer que ce qu'ils espèraient...
Lorsque le mal demeure, Lorsque les ténèbres se font maître Et que la lumière laisse davantage d'espace à la noirceur à chaque combat, L'espoire devient notre force, notre lueure à l'horizon, Alors le combat reprend et la victoire change de camp.
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Je suis impardonnable! Plus d'un mois avant de finir se chapitre alors que vous attendez la suite. Et dire que je vous fait des menacesO_O. Pourtant j'avais commencer ce chapitre la journée même où j'ai posté l'autre... Donc ça veux dire pas de menace pour ce chapitre( en plus je vais continuer le dernier rempart en même tant que d'écrire le chapitre trois (ou quatre dépendant du point de vue) ) Mais ça ne veux ps dire que j'aime pas vos reviews. Au fait désoler si ce chapitre est vraiment trop plein de faute d'orthographe mais je n'ai pas faite de deuxième lecture pour pouvoir vous envoyer ce chapitre plus vite. Au fait je cherche encore un ou plusieur correcteur pour mes deux fics. Bon asser de bla bla, place au défi.
J'ai décider de mettre un défi qui colle un petit peu avec ce chapitre, histoire de famille, haine qui est peur, ect. alors voîlà :
On sait que la famille Malfoy déteste et méprise les sorcier d'acendance Moldu et par concéquent lesMoldu. Mais si cette haine cachait en réalité une peur encore plus grande. Si une malédiction touchait cette famille, malédiction qui dirait que tout les membres de cette famille se ferait tuer par des Moldu ou des sangs-de-bourbes...
Ne me demander surtout pas où je vais chercher mes idées, surtout que j,en ai de plus bizard que celle-là...
Alors place aux réponses à mes gentils reviewers:
Luffynette : Bon, je vais commencr par répondre à ta question... C'était trois reviews pour ce chapitre. C'est vrai que ce n'était pas claire. Sinon, je te remercie pour tes compliments et j'espère que ce chapitre ne ta pas déçu. (au fait c,est gentil d'avoir reviewer au deux chapitre même si le le deuxième étaitdéjà sortit^-^)
Solla : Merci. Je ne voudrait pas que ma fic ressemble aux autres, alors j'suis contente. ( Et oui, Harry en grand frère, moi j'aime bien et je suis contente que toi aussi. La suite va sans doute révéler d'autre surprise.
Ange Rogue : Merci pour tes compliments. Et le defi est à toi (mon amie était très contente quand je lui ai dit que son idée t,avais interessé) Je continu, ça c'est sûr.
Constance : Salut toi! J'suis contente que cette fic de plaise aussi. Hésite pas à me faire d'autre commentaire, bon ou mauvais(je sais toi tu ne m'en à jamais fait, mais parfois j,aimerais avoir des critique pour mieux m'améliore) sino je continue comme ça, je te le promet.
Voilà, et pour me faire pardonner mon retard je vais faire un preview du prochain chapitre. Ça se peux que certaine choses change, mais en gros c'est ce que j'ai prévue.
Harry devient un vrai animagus et on connît sa forme Un coup d,oeil sur remus et Sirius Pleine lune façon Maraudeur Un couple...slash(peut pas résister) devinner qui, aller c'est facile. Quelques problèmes avec les Dursley(incontornable) Et départ de ses derniers.
Bon, finalement, deux derniers petits mots : Joyeuse St-valentin!
Deux jour plus tard, finalement j'ai put corriger une bonne partit des fautes (fanfiction ne uplaudais pas le 14) bien qu'il en reste sûrement c'est beaucoup moin pire qu'à l'origine...
