Même chose, les personnages ne sont pas à moi. Ce n'est encore qu'une
fiction. Attention, slash léger dans ce chapitre.
Révélation désastreuse.
Le voyage se déroula plutôt bien. Ils ne se firent dérangés que par la préposée du train qui leur offrit une collation. Ron s'engouffra de chocogrenouille, mais Harry ne put rien avaler. À mesure que le temps passait, son inquiétude pour son directeur augmentait. Qu'arriverait-il s'il ne pouvait sauver la vie du vieil homme ? Il n'osait même pas l'imaginé. Dumbledore était le seul qui était craint par Voldemort. Si jamais ce pilier du bien tombait, il donnait peu cher de sa peau et de celle de son école. Il était tellement perdu dans ses pensées qu'il ne remarqua pas que le train arriva en gare. Ron du le secouer pour le sortir de ses rêveries. Les quatre prirent la carriole et se rendirent au château ou les attendait un professeur McGonagall des plus inquiète.
-Monsieur Potter, on peut dire que votre arrivée tombe à point. Je n'espérais plus vous voir venir.
- Bonjours Minerva. comment va-il?
Demanda un Sirius des plus inquiet.
- Son état empire mon pauvre. Je ne l'ai jamais vu en si mauvais état. On est tellement impuissant.
Pour la première fois de leur vie, Ron et Harry virent leur professeur de transmutation verser une larme. Mais bien vite, son côté rigide et austère reprit le dessus.
- Pouvons nous le voir, demanda un Harry de plus en plus inquiet.
- Oui, mais je vous avertis, vous aurez un choc terrible en le voyant ainsi. Il délire un peu. Hermione est à son chevet actuellement. Elle tente de le distraire, de lui changer les idées. mais rien n'y fait. Pauvre petite. passer tant de temps avec un malade. c'est inhumain.
- Où peut-on le trouver ?
- À l'infirmerie.
Sirius et Arabella restèrent quelques instants pour discuter avec la directrice de Griffondor tandis qu'Harry avec Ron à ses trousses coururent vers le malade. Juste avant d'entrer, Harry pris une grande respiration et dit à Ron
- À écouter McGonnagald, il est en très mauvais état. il faut s'attendre au pire.
C'est à ce moment qu'ils virent la porte s'ouvrir renversant Harry et Ron et ils aperçurent un jeune homme sortir en courrant avec un gros livre sous le bras. Peu de temps après, Hermione sortit pour le rattraper. Elle ne remarqua même pas les deux encore couchés par terre et partit à la course.
- Reviens ici tout de suite !! C'est mon livre !! Arrête de courir !
Malgré le ridicule de la situation, les deux jeunes hommes gardèrent leur calme et entrèrent dans la pièce.
Même dans leurs pires cauchemars, jamais ils n'avaient imaginé si atroce scénario. Il n'y avait qu'un seul lit occupé dans la pièce, ça devait forcement être Dumbledore. Il était dans un coin et la pénombre de la pièce ne leur permettait pas de voir très distinctement son occupant. Deux choses par contre les frappèrent. Tous d'abord, leur directeur bien aimé avait pris une teinte verdâtre. Ensuite ils virent qu'il avait maintenant qu'un seul oeil au milieu du front.
Pour les deux, ce fut l'horreur. Quel pouvait être cette maladie qui affectait le directeur de l'école ? Quel mal allait jusqu'à changer la morphologie ? Une seule cause lui vint en tête, la plus terrible de toutes... Voldemort. Ron sembla arriver à la même conclusion car Harry lu dans son regard la même rage que celle qu'il ressentait.
Ils étaient tellement préoccupés à ce demander comment venger leur bien- aimé directeur qu'ils n'entendirent pas Hermionne entrer.
- Hé, vous êtes déjà arrivé...
- C'est terrible. comment ça a pu arriver ? demanda Harry
-Vous savez, à son âge, la maladie pouvait frapper n'importe quand. Ça aurait pu être pire.
- Pire ?? Comment ça aurait pu être pire ? Tu vois bien ce qui lui arrive ? C'est une catastrophe. Et comment fais-tu pour garder cette mine réjouit ? Questionna Ron.
-Voyons, c'est pas si pire et parfois c'est franchement rigolo ! Tu ne peux pas savoir comment je me suis amusée au cours des deux dernières semaines. J'ai découvert un nouveau côté à notre directeur. Vous savez, il n'en a pas l'air, mais il est un vrai bout en train ! Même si je dois le forcer à lire quelque uns de ses livres, il est quand même bien ainsi.
Les deux furent dévastés par les propos de leur amie. Comment pouvait-elle rester de marbre devant l'état de santé de Dumbledore.
- Au fait, que faites-vous à côté de la nouvelle créature que Hagrid a amenée pour son cours ?
-Tu veux dire que cette chose n'est pas Dumbledore ? Demanda un Ron dubitatif
La réponse lui vint de l'autre bout de la pièce.
- Hé non !
C'était le jeune homme qui courrait tout à l'heure qui lui répondit.
- Tu as Albus Dumbledore en chair et en os en face de toi. En fait. Si ce qu'Hermionne m'a dit est vrai, c'est mon nom !
Ron se laissa tomber assis sur une chaise et dit
- Aujourd'hui, c'en est trop pour moi... Vraiment trop.
- Mais comment s'est arrivé. Pourquoi à lui ? Demanda Harry.
- Personne n'ose le dire, mais on pense tous que c'est Voldemort. Qui d'autre aurait intérêt à enlever Dumbledore de Poudlard.
Hermionne leur expliqua que leur directeur avait été retrouver un matin dans son lit, mais à l'âge de 9 ans. Comme elle était passé à l'école pour chercher un livre pour son exposer sur la dissolution des mages de Fielonan, elle proposa son aide aux professeurs bien peu préparés à affronter un jeune garçon au caractère fougueux. Les professeurs avaient déjà fait des recherches pour essayer de voir si Dumbledore n'avait pas été enlevé, mais ils se sont aperçus, après plusieurs sortilège tous aussi compliquer les uns que les autres, que le petit était bel et bien Dumbledore. Nul doute n'était possible. On n'avait aucune idée des causes de cette maladie, tout ce qu'on savait était que le directeur s'était plaint d'avoir froid la nuit.
Pour l'instant, leur professeur de métamorphose occupait le poste de directrice. La fin de l'été arrivait à grands pas, et tout le personnel de l'école, même Rusard et Miss Teigne, s'arrangaient pour que la rentrée soit des plus normales. Pour permettre à Dumbledore de rester à l'école, on a décidé de le faire passer pour un élève.
Encore fatigués de leur voyage en train et surtout abattus par les révélations d'Hermionne, Ron et Harry décidèrent de se couché tôt. La soirée fut quelque peu mouvementé par le petit Dumbledore qui ne voulut pas manger ce que les elfes de maison avaient préparé. Ensuite il vola à deux reprises le livre d'Hermionne et il pourchassa Hedwige jusqu'à ce qu'elle se tanne et aille dormir à la volière.
Chacun gagna son lit. Harry trouva facilement le sommeil. Ron, quant à lui, repensa à son été jusqu'ici. Il n'y voyait qu'un seul point positif. Il avait réussi à se rendre plus proche d'Harry. La dernière année avait été dur sur l'amitié des deux jeunes hommes. Il se tourna et vit qu'Harry dormait. Il le regarda encore quelques secondes avant de détourner les yeux en soupirant... «Si seulement tu savais... Si seulement...» Il pleura doucement pour ne pas réveiller son ami et s'endormit épuisé.
Ils eurent une bonne nuit de sommeil et au matin, ils étaient tout à fait reposé. Harry remarqua que son ami avait les yeux bouffi,s comme s'il avait pleuré... mais il n'osa pas lui demander, ne voulant pas le mettre mal à l'aise. Ils rejoignirent Hermione à la bibliothèque qui essayait à grande peine de forcer le jeune Albus à lire un gros bouquin. Elle était trop occupée avec leur directeur qu'elle dut leur demander de la laisser car leur présence le déconcentrait.
-Ron, tu te rappelles de ce que Sirius a dit ? demanda Harry.
-Oui qu'il sortait avec A.
-Non idiot, je parle de ce qu'il a dit à propos du fait que j'étais le seul à pouvoir sauver Dumbledore.
Harry lui fit un grand sourire quand il vit que son ami avait mal pris le commentaire. Il lui passa la main dans le dos.
-Tu sais bien que je ne pense pas que tu es idiot. Même au contraire, tu es un des garçons les plus brillants que je connaisse.
C'est à ce moment que Ron recommença à pleurer.
- Pourquoi pleures-tu ? demanda doucement Harry, «Je m'excuse pour ce que j'ai dit, je ne le pensais vraiment pas.»
- C'est rien, juste de la fatigue accumulée, répondit Ron en essuyant ses larmes. « Je peux te poser une question, je veux que tu me répondes honnêtement »
- Vas-y, je n'ai rien à cacher.
- Tu me considères vraiment comme ton ami ? Je veux dire. si jamais. enfin, ce que je veux savoir c'est est-ce que tu laisserais quelque chose se mettre entre notre amitié ?
- Non, jamais ! Tu le sais bien Ron que tu es mon meilleur ami. Je serai toujours là pour toi, que tu le veuilles ou non. Et en ce moment, je sens que quelque chose te tourmente. Je vais respecter ton choix si tu préfères ne pas me le dire, mais ça me fait vraiment de la peine de ne pas pouvoir t'aider.
Ron murmura quelque chose qu'Harry n'entendit pas.
-Quoi ?
.
Hermione finit pas laisser le petit avec les professeurs. Elle voulait passer du temps avec ses amis. Lorsqu'elle arriva à la salle commune de Griffondor, elle entendit Ron dire : « Je t'aime Harry » Elle croisa Harry dans la porte qui quittait en trombe sans même avoir pris le temps de répondre à Ron. Ce dernier était recroquevillé par terre et versait toutes les larmes de son corps.
J'attends vos commentaires avec impatience.
Révélation désastreuse.
Le voyage se déroula plutôt bien. Ils ne se firent dérangés que par la préposée du train qui leur offrit une collation. Ron s'engouffra de chocogrenouille, mais Harry ne put rien avaler. À mesure que le temps passait, son inquiétude pour son directeur augmentait. Qu'arriverait-il s'il ne pouvait sauver la vie du vieil homme ? Il n'osait même pas l'imaginé. Dumbledore était le seul qui était craint par Voldemort. Si jamais ce pilier du bien tombait, il donnait peu cher de sa peau et de celle de son école. Il était tellement perdu dans ses pensées qu'il ne remarqua pas que le train arriva en gare. Ron du le secouer pour le sortir de ses rêveries. Les quatre prirent la carriole et se rendirent au château ou les attendait un professeur McGonagall des plus inquiète.
-Monsieur Potter, on peut dire que votre arrivée tombe à point. Je n'espérais plus vous voir venir.
- Bonjours Minerva. comment va-il?
Demanda un Sirius des plus inquiet.
- Son état empire mon pauvre. Je ne l'ai jamais vu en si mauvais état. On est tellement impuissant.
Pour la première fois de leur vie, Ron et Harry virent leur professeur de transmutation verser une larme. Mais bien vite, son côté rigide et austère reprit le dessus.
- Pouvons nous le voir, demanda un Harry de plus en plus inquiet.
- Oui, mais je vous avertis, vous aurez un choc terrible en le voyant ainsi. Il délire un peu. Hermione est à son chevet actuellement. Elle tente de le distraire, de lui changer les idées. mais rien n'y fait. Pauvre petite. passer tant de temps avec un malade. c'est inhumain.
- Où peut-on le trouver ?
- À l'infirmerie.
Sirius et Arabella restèrent quelques instants pour discuter avec la directrice de Griffondor tandis qu'Harry avec Ron à ses trousses coururent vers le malade. Juste avant d'entrer, Harry pris une grande respiration et dit à Ron
- À écouter McGonnagald, il est en très mauvais état. il faut s'attendre au pire.
C'est à ce moment qu'ils virent la porte s'ouvrir renversant Harry et Ron et ils aperçurent un jeune homme sortir en courrant avec un gros livre sous le bras. Peu de temps après, Hermione sortit pour le rattraper. Elle ne remarqua même pas les deux encore couchés par terre et partit à la course.
- Reviens ici tout de suite !! C'est mon livre !! Arrête de courir !
Malgré le ridicule de la situation, les deux jeunes hommes gardèrent leur calme et entrèrent dans la pièce.
Même dans leurs pires cauchemars, jamais ils n'avaient imaginé si atroce scénario. Il n'y avait qu'un seul lit occupé dans la pièce, ça devait forcement être Dumbledore. Il était dans un coin et la pénombre de la pièce ne leur permettait pas de voir très distinctement son occupant. Deux choses par contre les frappèrent. Tous d'abord, leur directeur bien aimé avait pris une teinte verdâtre. Ensuite ils virent qu'il avait maintenant qu'un seul oeil au milieu du front.
Pour les deux, ce fut l'horreur. Quel pouvait être cette maladie qui affectait le directeur de l'école ? Quel mal allait jusqu'à changer la morphologie ? Une seule cause lui vint en tête, la plus terrible de toutes... Voldemort. Ron sembla arriver à la même conclusion car Harry lu dans son regard la même rage que celle qu'il ressentait.
Ils étaient tellement préoccupés à ce demander comment venger leur bien- aimé directeur qu'ils n'entendirent pas Hermionne entrer.
- Hé, vous êtes déjà arrivé...
- C'est terrible. comment ça a pu arriver ? demanda Harry
-Vous savez, à son âge, la maladie pouvait frapper n'importe quand. Ça aurait pu être pire.
- Pire ?? Comment ça aurait pu être pire ? Tu vois bien ce qui lui arrive ? C'est une catastrophe. Et comment fais-tu pour garder cette mine réjouit ? Questionna Ron.
-Voyons, c'est pas si pire et parfois c'est franchement rigolo ! Tu ne peux pas savoir comment je me suis amusée au cours des deux dernières semaines. J'ai découvert un nouveau côté à notre directeur. Vous savez, il n'en a pas l'air, mais il est un vrai bout en train ! Même si je dois le forcer à lire quelque uns de ses livres, il est quand même bien ainsi.
Les deux furent dévastés par les propos de leur amie. Comment pouvait-elle rester de marbre devant l'état de santé de Dumbledore.
- Au fait, que faites-vous à côté de la nouvelle créature que Hagrid a amenée pour son cours ?
-Tu veux dire que cette chose n'est pas Dumbledore ? Demanda un Ron dubitatif
La réponse lui vint de l'autre bout de la pièce.
- Hé non !
C'était le jeune homme qui courrait tout à l'heure qui lui répondit.
- Tu as Albus Dumbledore en chair et en os en face de toi. En fait. Si ce qu'Hermionne m'a dit est vrai, c'est mon nom !
Ron se laissa tomber assis sur une chaise et dit
- Aujourd'hui, c'en est trop pour moi... Vraiment trop.
- Mais comment s'est arrivé. Pourquoi à lui ? Demanda Harry.
- Personne n'ose le dire, mais on pense tous que c'est Voldemort. Qui d'autre aurait intérêt à enlever Dumbledore de Poudlard.
Hermionne leur expliqua que leur directeur avait été retrouver un matin dans son lit, mais à l'âge de 9 ans. Comme elle était passé à l'école pour chercher un livre pour son exposer sur la dissolution des mages de Fielonan, elle proposa son aide aux professeurs bien peu préparés à affronter un jeune garçon au caractère fougueux. Les professeurs avaient déjà fait des recherches pour essayer de voir si Dumbledore n'avait pas été enlevé, mais ils se sont aperçus, après plusieurs sortilège tous aussi compliquer les uns que les autres, que le petit était bel et bien Dumbledore. Nul doute n'était possible. On n'avait aucune idée des causes de cette maladie, tout ce qu'on savait était que le directeur s'était plaint d'avoir froid la nuit.
Pour l'instant, leur professeur de métamorphose occupait le poste de directrice. La fin de l'été arrivait à grands pas, et tout le personnel de l'école, même Rusard et Miss Teigne, s'arrangaient pour que la rentrée soit des plus normales. Pour permettre à Dumbledore de rester à l'école, on a décidé de le faire passer pour un élève.
Encore fatigués de leur voyage en train et surtout abattus par les révélations d'Hermionne, Ron et Harry décidèrent de se couché tôt. La soirée fut quelque peu mouvementé par le petit Dumbledore qui ne voulut pas manger ce que les elfes de maison avaient préparé. Ensuite il vola à deux reprises le livre d'Hermionne et il pourchassa Hedwige jusqu'à ce qu'elle se tanne et aille dormir à la volière.
Chacun gagna son lit. Harry trouva facilement le sommeil. Ron, quant à lui, repensa à son été jusqu'ici. Il n'y voyait qu'un seul point positif. Il avait réussi à se rendre plus proche d'Harry. La dernière année avait été dur sur l'amitié des deux jeunes hommes. Il se tourna et vit qu'Harry dormait. Il le regarda encore quelques secondes avant de détourner les yeux en soupirant... «Si seulement tu savais... Si seulement...» Il pleura doucement pour ne pas réveiller son ami et s'endormit épuisé.
Ils eurent une bonne nuit de sommeil et au matin, ils étaient tout à fait reposé. Harry remarqua que son ami avait les yeux bouffi,s comme s'il avait pleuré... mais il n'osa pas lui demander, ne voulant pas le mettre mal à l'aise. Ils rejoignirent Hermione à la bibliothèque qui essayait à grande peine de forcer le jeune Albus à lire un gros bouquin. Elle était trop occupée avec leur directeur qu'elle dut leur demander de la laisser car leur présence le déconcentrait.
-Ron, tu te rappelles de ce que Sirius a dit ? demanda Harry.
-Oui qu'il sortait avec A.
-Non idiot, je parle de ce qu'il a dit à propos du fait que j'étais le seul à pouvoir sauver Dumbledore.
Harry lui fit un grand sourire quand il vit que son ami avait mal pris le commentaire. Il lui passa la main dans le dos.
-Tu sais bien que je ne pense pas que tu es idiot. Même au contraire, tu es un des garçons les plus brillants que je connaisse.
C'est à ce moment que Ron recommença à pleurer.
- Pourquoi pleures-tu ? demanda doucement Harry, «Je m'excuse pour ce que j'ai dit, je ne le pensais vraiment pas.»
- C'est rien, juste de la fatigue accumulée, répondit Ron en essuyant ses larmes. « Je peux te poser une question, je veux que tu me répondes honnêtement »
- Vas-y, je n'ai rien à cacher.
- Tu me considères vraiment comme ton ami ? Je veux dire. si jamais. enfin, ce que je veux savoir c'est est-ce que tu laisserais quelque chose se mettre entre notre amitié ?
- Non, jamais ! Tu le sais bien Ron que tu es mon meilleur ami. Je serai toujours là pour toi, que tu le veuilles ou non. Et en ce moment, je sens que quelque chose te tourmente. Je vais respecter ton choix si tu préfères ne pas me le dire, mais ça me fait vraiment de la peine de ne pas pouvoir t'aider.
Ron murmura quelque chose qu'Harry n'entendit pas.
-Quoi ?
.
Hermione finit pas laisser le petit avec les professeurs. Elle voulait passer du temps avec ses amis. Lorsqu'elle arriva à la salle commune de Griffondor, elle entendit Ron dire : « Je t'aime Harry » Elle croisa Harry dans la porte qui quittait en trombe sans même avoir pris le temps de répondre à Ron. Ce dernier était recroquevillé par terre et versait toutes les larmes de son corps.
J'attends vos commentaires avec impatience.
